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cinono1
253 abonnés
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3,0
Publiée le 9 juin 2021
Le sentimentalisme un peu envahissant du film n'empèche pas d'offrir un bon moment de cinéma, un dépaysement sur les terres du Sénégal dans une histoire paisible aux rebondissements rares qui n'entravent pas la qualité du film. L'ambiance est doucereuse, on peut se faire emporter...
La vie est faite de rencontres qui marquent et font envisager l'existence différemment. Un road movie au cœur du Sénégal flamboyant qui se transforme en retour aux sources et au rapprochement avec les racines. Le scénario manque toutefois de sel et l'on aurait pu envisager une fin davantage développée, vrai point final au propos.
Une histoire sympathique sur la quête de ses racines au Sénégal par un acteur célèbre dont la famille est issue de ce pays. Belles images d'une Afrique comme l'apprécient les touristes, un peu folklorique ; quelques jolis portraits. Mais ça manque de profondeur, la complexité et la diversité de ce continent sont à peine esquissées
C’est un bon film dans l’absolu. Il est surtout porté par deux acteurs qui sont au diapason. Encore une fois, Omar Sy joue une partition sans fausse note. Les décors sont authentiques et beaux à la fois. Mon seul regret se situe surtout dans la réalisation du film. Il lui manque en effet quelque chose, cela n’est pas assez Punchy je trouve et c’est fort dommage.
Rencontre impromptue entre un jeune sénégalais et un acteur de la même région mais n’y ayant jamais posé le pied, rencontre choc entre différences culturelles et émotions. Plongée dans les belles régions du sud Sénégal, sobre et efficace sans être exceptionnel un récit initiatique qui fonctionne grâce à un duo d’acteurs puissants.
On ne peut qu'aimer ce voyage initiatique d'Omar Sy sur la terre de ses ancêtres dans un rôle qui lui est finalement assez proche. On aime cette confrontation du monde occidental rapide et énervé comparé à l'univers calme et mystique du continent africain. Au gré d'un road trip avec ses rencontres et désillusions, on s'attache au petit Yao et ses compères sénégalais qui jouent très juste face à un Omar Sy tout en retenu. En faite, Yao remplit parfaitement son cahier des charges de film social et d’ode à l'Afrique mais c'est bien assez peu avouons le. On aurait aimé moins de paresse dans le scénario, tout est convenu, le film ne sort jamais de sa ligne directrice, cela manque de surprise ou de magie moins préfabriquée. Le potentiel était là mais à vouloir trop bien faire, le réalisateur oublie de laisser son imagination portée le film.
Si Philippe Godeau produit un peu tout et n’importe quoi, il est un réalisateur qui prend son temps pour nous offrir des œuvres qualitatives. Après avoir mis François Cluzet dans la peau d’un alcoolique dans « Le dernier pour la route » et d’un convoyeur de fonds dans « 11.6 », il emmène Omar Sy au Sénégal. Célèbre acteur français, son personnage est invité à Dakar pour promouvoir son livre. Il fait la rencontre d’un jeune garçon de treize ans qui a parcouru seul 387 kilomètres pour le rencontrer. Touché par cet enfant, Seydou Tall va à son tour, faire le chemin inverse pour le raccompagner dans son village. « Yao » est un road trip initiatique autour de racines et d’un pays. A la fois sobre et touchant, le film nous fascine par sa juste mesure. Certes, nous y verrons quelques longueurs dans le calme des paysages. Mais voir Omar Sy plus sincère que comique provoque en nous un sentiment de contentement. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
un voyage initiatique un retour aux sources d'un acteur africain dans son pays d'origine et la rencontre d'un gamin fan. Un beau duo bravo pour la prestation du jeune acteur. Un road movie plein de tendresse et de philosophie.
La relation entre l’acteur (Omar Sy) et le jeune garçon (Lionel Louis Basse) est attendrissante mais on n’est rarement surpris ou ému par ce qu’il se passe à l’écran tant l’ensemble se montre bien trop neutre. Seule l’intervention de Fatoumata Diawara amène brièvement un rayon de soleil au film.
«Un film touchant et marquant entre une belle histoire Yao (Lionel Basse) qui est prêt à tout pour rencontrer son acteur préféré Seydou Tall (Omar Sy) et nous fait découvrir le Sénégal dans un magnifique paysage et la culture sénégalaise et ses traditions malgré quelques longueurs dans le film on s’en lasse pas» Très bonne interprétation d'Omar Sy encore une fois et de Lionel Basse pour son premier rôle.
Très beau reportage sur le Sénégal. Voilà ce que je pourrais dire pour résumer ce film
En effet la photographie est superbe les décors somptueux et c'est un plaisir de plonger au cœur du Sénégal et de la vie des Sénégalais
Oui mais pour faire un film il en faut plus et c'est là malheureusement que le bat blesse car il n' y a pas grand chose d'autre dans ce long métrage Un scénario qui tiendrait dans une feuille de papier à cigarette, aucun rebondissement tout est cousu de fil blanc. Si bien que malgré l'assez faible durée du film on se retrouve vite à s'ennuyer .
Omar Sy est un peu trop laxiste dans son rôle parfois et semble aussi s'ennuyer.
Une déception dans l'ensemble car il y avait mieux à faire
Yao ( le nom de l'enfant) est un film sympathique, mais un peu lent, une lenteur due au road- movie avec un scénario assez mince, mais aussi au rythme du cinéma africain. En Europe, les images nous offrent un dépaysement agréable mais qui n'opère plus au bout d'une demie-heure car on s'habitue aux beaux paysages de la brousse.Alors, reste le côté documentaire sur le Sénégal,, le tandem entre l'enfant qui découvre son pays et l'homme qui retrouve ses origines, qui vient d'un pays où on ne prend plus le temps de vivre pour arriver dans ce pays où on prend le temps, reste aussi un Omar Sy dans un rôle différent de celui qu'il nous offre plus souvent, un rôle qui lui va très bien, alors on se met à rêvasser, nous aussi, au pied d'un baobab.
Plus que "Yao", le film devrait s'appeler "Omar Sy", tant l'on ne voit que lui devant le jeune homme qui est censé être le personnage important à suivre. Un road-trip en Afrique qui gomme gentiment toutes les aspérités trop politiques, anti-égalitaires que l'on pourrait y croiser, ce qui se traduit soit par l'absence totale d'objectivité (on ne nous montre que le côté "carte postale" en occultant tout le reste) soit en coupant les scènes qui allaient égratigner l'image idyllique donnée à voir jusque-là (le voleur qui commence à se faire rattraper par la foule...et on coupe net pour surtout ne rien montrer). Bref rien d'intéressant à voir dans cette Afrique idéalisée au point de s'en rendre aveugle. Les aventures en elles-mêmes ne sont pas très crédibles, le personnage d'Omar Sy laisse vite tomber son pseudo-caractère narcissique pour se donner corps et âme à l'enfant (vous avez dit "flatterie de l'ego" ?), et le final s'oublie vite tant il manque de scènes fortes. Si vous n'avez pas d'agences de voyage à proximité, le film Yao est là pour suppléer la bande-annonce touristique flatteuse et sans intérêt.
un film plein de bons sentiments où l'enfant vole un peu ma vedette a O.Sy comme souvent, les seconds sont parfois plus intéressants , le paysage a beaucoup d'importance par la cohérence du scénario laisse à désirer.