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    Sale temps à l'hôtel El Royale
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    rocky6
    rocky6

    26 abonnés 1 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2024
    Un film rudement bien mené et construit avec un découpage en chapitre qui distille le suspense à petites doses. Les personnages sont tous assez énigmatiques et très bien interprétés. Une sorte de cluedo dans uns mystérieux hôtel où 7 personnages se croisent. Chris Hemsworth est excellent dans un rôle à contre-emploi. Le film fait un peu penser aux "8 salopards" de Tarantino. Un très bon moment.
    gregbox51
    gregbox51

    28 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 avril 2019
    Film en vase clos bourré de rebondissements. Ça fait penser fortement à du Tarantino, ça flingue peu mais bien, de quoi faire sursauter le spectateur. Le personnage de l'agent fédéral aurait pu être plus développé, mieux expliqué, il manque comme quelque chose. La seule critique négative serait la longueur du film, des scènes qui s'éternisent, mais le reste n'est que du bonheur !
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 037 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mars 2019
    Sale temps à l'hôtel El Royale se vendait bien : bande-annonce dynamique, casting au point, et surtout Drew Goddard à l'écriture et à la mise en scène. Showrunner de la tuerie Daredevil et scénariste de Cloverfield ou World War Z, Goddard s'impose ici comme un réalisateur qui veut avoir une vision d'auteur accompli au point d'aller piocher à droite et à gauche, et d'empêcher son oeuvre d'avoir, finalement, sa propre personnalité.

    On y retrouve des touches de lumières et de couleur des frères Coen, le cadrage et la direction d'acteurs de Tarantino, la vision d'auteur génial en moins. On retrouve ces éléments dans la manière qu'il a de caractériser ses acteurs; Jeff Bridges, prêtre, fait penser à une version aseptisée des personnages des 8 Salopards; quand à Chris Hemsworth, survendu tandis qu'il n'arrive que vingt minutes avant la conclusion, il écope d'un rôle de sous Charles Manson pour lequel il passe son temps à imiter Johnny Depp, sans jamais donner l'impression qu'il y croit.

    On se rend alors compte de la volonté qu'à Drew Goddard de faire prendre la pose à son film; Hemsworth en plein surjeu, qui croit qu'il a réinventé l'eau chaude, face à un Jon Hamm aux airs de Batman qu'on nous survendait une fois encore, et qui n'a que peu d'importance dans l'intrigue globale. Et le casting a beau être sympathique, il est tellement dirigé comme un ersatz de Tarantino qu'il n'a finalement plus d'autre relief que celui de reproduire ce qu'on avait déjà vu en mieux.

    Cela, on le retrouve également dans l'écriture. Lente, à la limite de la prétention, elle passe tellement son temps à vouloir bien faire les choses qu'elle s'enferme elle aussi dans une reproduction du travail du réalisateur de Pulp Fiction, au point même de reprendre sa narration scindée qui fit la sève de son art avec, notamment, le film cité précédemment; souvenez-vous de cette scène d'introduction qu'on suit des yeux de Tim Roth pour, à la fin, la voir du point de vue de Samuel Jackson.

    Goddard reproduit ce procédé narratif, sans l'avoir bien compris; c'est ainsi qu'on se retrouve avec une scène vue par trois personnages différents; celui de Jon Hamm, l'autre de Lewis Pullman, celle de Cynthia Erivo (sûrement la meilleure actrice du film, d'ailleurs), sans que cela n'ajoute de réel plus à l'intrigue, si ce n'est du temps supplémentaire. On retrouve aussi cette perte de temps dans des scènes ouvertement contemplatives, au point de ne plus rechercher la vraisemblance.

    Viennent en point d'orgue ces insupportables passages chantés, au nombre de trois ou quatre, et qui font défiler des minutes entières sans rien apporter de neuf à chaque fois, si ce n'est quelques nouveaux plans de caméra. Etait-ce véritablement la peine de filmer si longuement le passage de la recherche du butin, où les coups de marteau viennent se juxtaposer sur le chant de notre fameuse héroïne? Et que dire de ce passage ridicule où on lui propose de chanter encore à l'orée de sa conclusion, comme si le reste n'avait pas assez appuyé le propos ?

    A l'instar de ces flashbacks disséminés un n'importe où, alourdissant plus le rythme du film que ce qu'ils lui permettent en terme de profondeur d'écriture. Il suffira du combat final pour comprendre à quel point Goddard n'aura pas compris leur intérêt dans les films de Tarantino; plus que des rappels, ils permettent surtout de soutenir, par les révélations du passé, l'action du présent. On quitte clairement ce registre avec la révélation du flashback final, arrivé en plein combat, et propice à l'énervement du spectateur; quand le film abandonnait sa volonté de copier et prendre la pose, quand il décidait d'enfin régler ses comptes avec ses personnages, voilà que ses manies d'écriture reviennent tout gâcher.

    D'autant plus que si la photographie rattrapera sans problème quelques détails irritants de sa rédaction (l'éclairage est réussi, et la représentation de l'hôtel en fait un lieu vivant faisant un peu penser au Bates Motel ou à celui de Shining), ses dialogues ont la fâcheuse habitude de rechercher des punchlines toujours plus marquantes, sans jamais parvenir à les rendre percutantes. Ni du niveau d'un Leone ni de celui d'un Dirty Harry, Sale temps à l'hôtel El Royale accumule les clichés dans son écriture au point de se terminer dans un combat d'immense pathos à deux balles, sur fond de rédemption christique et de purification par le feu.

    Son rythme plombé faisant qu'on ne ressent aucune montée progressive vers son dénouement, l'action de conclusion n'aura que peu d'impact sur le spectateur, si ce n'est celui non négligeable de le libérer enfin après deux heures et demi de reproduction, de bavasserie et de quelques acteurs qui ne jouaient pas trop mal. Certes beau, Sale temps à l'hôtel El Royale, par sa volonté de bien faire en s'inspirant d'autres grands, a finalement mal fait en tombant dans la copie pure et simple, donnant à son film des airs de 8 Salopards en moins réussi, sur tous les points.

    Décevant.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 011 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 juillet 2019
    Avec "Sale temps à l'hôtel El Royale", Drew Goddard , scénariste de séries télévisées reconnu réalise son deuxième long métrage. Comme pour "La cabane dans les bois" (2012) c'est un huis clos qui nous est proposé par Drew Goddard qui n'aime rien tant que disséquer le comportement des membres d'une communauté, ici improvisée, face à des évènements extraordinaires. A la frontière entre le Nevada et la Californie sur la rive du lac Tahoe, se trouve un hôtel ayant connu son heure de gloire quand une partie de la jet set politique et hollywoodienne venait dans cet endroit luxueux et retiré pour s'encanailler. Nous sommes en 1969, juste après l'élection du Président Richard Nixon pendant que le conflit vietnamien s'enlise et que l'hôtel a perdu sa clientèle pour ne rester qu'une somptueuse carcasse vide, dernier témoin de son prestige passé. Alors que l'endroit semble endormi comme le seul gardien (Lewis Pullman) chargé de son entretien, arrivent quatre clients dont Drew Goddard nous fait vite comprendre qu'ils ne sont pas obligatoirement ce qu'ils indiquent sur le registre de l'hôtel. La suite s'inspire des romans à tiroirs d'Agatha Christie revus et corrigés à la sauce yankee, assaisonnée de tous les clichés véhiculés par Hollywood depuis la grande époque des studios. Si l'on est tout d'abord intrigué par la construction très originale et rigoureuse de l'intrigue et par les portraits très référentiels des personnages dont Jeff Bridges en prêtre bidon, clin d'œil au Robert Mitchum de "La nuit du chasseur" (Charles Laughton en 1955), on perçoit très vite que Drew Goddard comme c'était déjà le cas pour "La cabane dans les bois" se laisse griser par sa trouvaille dont il n'arrive pas à s'extraire pour dynamiser une intrigue qui finit par s'éventer à force d'être étirée en longueur à coups de digressions, le plus souvent sous forme de flashbacks patauds . On comprend aussi assez vite qu'à travers des personnages archétypes d'une Amérique de la fin des années soixante peu reluisante, Goddard tend un pont avec celle de Donald Trump. Soit, mais là encore la démonstration un peu lourde se termine dans le kitsch le plus absolu avec l'apparition d'un Chris Hemsworth, ange exterminateur plutôt ridicule, à mi-chemin entre Jim Morrison et Charles Manson, chargé de nous rappeler le danger d'être sous l'influence d'un gourou aussi séduisant soit-il. Si le film déçoit notamment par sa longueur (140 minutes), on peut y déceler certaines qualités formelles intéressantes qui font penser qu'en changeant légèrement l'approche de sa mise en scène qui confine à l'exercice de style un peu vain, Drew Goddard pourrait sans doute réaliser des films qui immergent davantage le spectateur plutôt que de le laisser à distance à cause d'un formalisme trop appuyé.
    2985
    2985

    227 abonnés 935 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mars 2019
    Tourné dans un style chère à Tarantino, ce film ne manque pas d'atouts. Acteurs plutôt bon, mise en scène correcte, scénario et montage réussies. Une réussite donc mais qui pioche dans pas mal de mélange de genres et de styles qui on déjà été fait auparavant par d'autres pour nous servir un melting pot de tous ça. Il manque donc légèrement d'originalité pour en faire un excellent film qui se démarquerait des autres et ainsi avoir sa propre identité.
    eldarkstone
    eldarkstone

    183 abonnés 1 955 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2018
    Un film riche en scénario bien ficelé et en bons personnages hauts en couleurs et en émotions ! prenant jusqu'au bout !
    CH1218
    CH1218

    157 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2023
    L’hôtel El Royale a la particularité d’être à cheval sur la frontière qui délimite la Californie du Nevada, mais en cette nuit pluvieuse de 1969, il va dévoiler ses secrets et surtout ceux de ses clients. Drew Goddard tire habilement les ficelles de cet énigmatique puzzle à coups de flash-backs, de rebondissements et de spoiler: mort violence
    . C’est très bien filmé, la bande musicale est une pure merveille et la distribution est vraiment bonne. C’est un chouïa long mais ce huis clos noir et choral est suffisamment barré et original pour que je l’aie pleinement apprécié.
    lmc-3
    lmc-3

    228 abonnés 432 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Scénario et idée de base intéressantes, les acteurs jouent à la perfection, le montage, inhabituel, efficace, mais la réalisation... certaines scènes sont trop longues, d'autres inutiles, le rythme est constamment cassé, et le film... mou, vraiment mou..
    Dommage
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    51 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Un film complètement décalé, assez violent, un peu dans la lignée des pulp fiction et une excellente distribution et du suspense à souhait à voir !!
    Serpiko77
    Serpiko77

    48 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 avril 2019
    Très esthétique et bien joué, le film souffre malheureusement d’innombrable longueurs et il vaut mieux éviter le visionnage de nuit sous peine d'endormissement. Une mise en scène très Tarantinesque mais n'est pas Tarantino qui veut. Quelques twists biens sentis mais on finit par se lasser un peu des flash-back.
    bibtar
    bibtar

    30 abonnés 598 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 avril 2020
    Un grand vent de fraîcheur et d’originalité qui fait plus que plaisir concernant le genre du suspense et du film en huit clos, car pratiquement tout ce qui est mis en scène offre un moment qui accroche immédiatement l’attention, la qualité est au rendez-vous à tout les niveaux et le casting est reluisant. En effet, s’il faut commencer par un point assez efficace de ce film, c’est bien sûr la poignet de protagonistes rassemblés ici, qui est plus de présenter des personnages plutôt bien pensés, c’est aussi le casting qui le porte, de Jeff BRIDGES égal à lui même en passant par Dakota JOHNSON portant parfaitement sa part de mystère ou encore l’apparition assez savoureuse de Xavier DOLAN, avec un grand coup de chapeau a Chris HEMWORTH qui montre enfin son talent dans un rôle incroyable, faisant à la fois office d’un des nombreux climax du scénario et illustrant incroyablement bien ce que représente ce protagoniste, le tout mis en image dans une entrée en scène géniale. Néanmoins, la chose qui frappe le plus quand on se lance dans cette œuvre, c’est bien évidemment la singularité de sa mise en scène, qui commence par une technique de l’image plus que maîtrisée, alliant cela à une ambiance construite de façon très intelligente afin d’allier l’intrigue à l’atmosphère qui se dégage de l’ensemble de ce qui se passe à l’écran, une bande originale de haut vol, puis sans oublier un excellent montage, qui donne un rythme d’ensemble presque parfait, mêlant habilement thriller, action et huis-clos. Rien que l’introduction met tout de suite dans le bain, montrant d’emblée que ce film sera à la fois un grand moment de divertissement sans jamais délaisser la qualité de la mise en scène, on accroche complètement à ce qui est proposé dans son ensemble, étant très malin sur la manière de dévoiler des bribes de l’intrigue ou au contraire de se jouer toujours plus des fausse pistes, le scénario ayant la force de surprendre tant par ce qu’il raconte que par la forme que cela prend. Ainsi, l’époque à laquelle se déroule cette intrigue fait parti de ces exemples de technicité en ce qui concerne la structure même du film, amenant cela de manière toujours subtile, pour en faire soudainement un élément clé de l’histoire pour ensuite le destiner à un tout autre effet scénaristique, toujours lié à son époque, certes, mais qui lorgne vers d’autres enjeux, et sur ce genre d’effet, le film est une pure réussite, surtout que chaque personnage apporte sa pierre à cette belle et grande réunion improvisée, tant par son histoire que par son devenir dans cette même histoire, et les retournements de situation ou même d’ambiance est très habile, à l’image de cette incroyable scène chantée en guise de portrait d’introduction de l’un des personnages principaux, qui en plus d’être réussi visuellement, créer ce type de rupture plus que plaisantes. Malheureusement, cela ne parvient par à briller jusqu’au bout, car si l’ensemble se défend parfaitement, parvenant à ne pas concentrer l’attention et l’œil simplement sur le fond, offrant une forme de pur cinéma, le soufflé retombe de manière trop brute lors de la conclusion de l’intrigue principale, ne parvenant pas tout à conserver la même saveur d’originalité que avait baigné tout le film, car les derniers instants de l’œuvre sont plus que laborieux, se terminant de manière assez fade au regard de ce à quoi on vient d’assister, et ne parvenant aucunement à donner un vrai sens à ce qui se passe dans le dénouement, paraissant bien trop facile et un peu trop différent de ce qui avait été présenté jusque là. Il est donc difficile de rester complètement satisfait une fois arrivé au bout, gardant cette sensation de rester entre deux eaux pour ce qui est du scénario, surtout que chaque personnage avait été amené et justifié parfaitement jusque là, mais une fois tout assemblé, certaines failles transparaissent de façon trop flagrante, d’autant plus de l’ambiance si particulière qui avait mis en place ne réussi pas à sauver cette conclusion de bien trop basse qualité contrairement au reste de cette œuvre, après ce qui est rassurant au final, c’est que cela n’abîme en rien de travail technique qui a été mis en image dans ce film, c’est juste que le contraste est trop fort, et perd tout le sens acquis pourtant assez aisément en début de projection. Finalement, ce que prouve ici le réalisateur pour son second long métrage, c’est qu'en plus d'être un auteur de qualité, réalisant son propre scénario avec une vision intéressante, c'est surtout cette force de s’approprier, digérer et rendre visuellement de manière originale un genre, une ambiance et même un lien avec le temps, jouant habilement de son époque et de ses enjeux, et d’en offrir un vision non seulement singulière par l’image et la mise en scène, mais aussi par les ficelles du scénario dont le réalisateur dispose qui rivalisent d’originalité tant vis à vis des œuvres habituelles liées au genre des films chorales et aux multiples rebondissements qui y sont de mises, mais aussi vis à vis de ce film lui-même, se jouant de façon très maline des éléments d’intrigues présentés pour les retourner aussi brutalement que amenés à l’origine, et même si l’on est pas convaincu jusqu’au bout, il est clair que ce genre d’expérience fait plaisir, et que l’on redemande de ce genre de film plus souvent, car sortir des sentiers battus est souvent de bonne augure, même si le succès public ne l’est pas forcement.
    benitoberlon
    benitoberlon

    45 abonnés 966 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 janvier 2019
    Plutôt stylisé, le film démarre lentement. Très lentement...tellement lentement qu'on se demande où ça va nous mener (vers l'ennui?). Heureusement, le scénario bien ficelé, et l’enchaînement telle une pelote de de laine que l'on déroule, associé à un sublime jeux d'acteur (tous très bon, mais mention spéciale à Cynthia Erivo, Chris Hemsworth et le toujours généralissime Jeff Bridges) nous fait voir un bon film...Il y a du Tarantino là dedans! Un peu trop vendu à mon gout, le film s'étire un peu en longueur, mais est franchement bien!
    Dany R
    Dany R

    16 abonnés 407 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 février 2019
    Ce thriller en huis clos surprend d'abord par son ton très différent des films de ce genre. Difficile de dévoiler quoi que ce soit sans spoiler le film. Sachez que la mise en scène et la photo sont très travaillées et contribuent à l'ambiance unique de ce thriller très prenant. Les personnages très ciselés sont magistralement interprétés et contribuent à cette réussite dont le rythme ne baisse jamais malgré les 2h20. Les twists nombreux et souvent violents relancent sans cesse l'attention et on ne se doute jamais du dénouement. On pourra y faire un rapprochement avec le style de Tarntino tout en restant personnel. Une belle réussite malgré un titre peu vendeur.
    Michel1664
    Michel1664

    16 abonnés 687 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2022
    Quelle bonne surprise, que ne laissais pourtant pas présager ce nom de film cul-cul gnan-gnan ! Un huit clos vraiment original, un montage astucieux, des personnages intéressants, des acteurs au poil. Peut-être un petit point négatif : quelques longueurs par moment. Allez, un 4 étoiles en étant un peu généreux pour cette production originale.
    lorenzo fly
    lorenzo fly

    17 abonnés 813 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mars 2019
    "Sale temps à l'hotel El Royale" est un film qui se laisse agréablement regarder. Le scénario saccadée et rythmée est efficace. On regrettera un peu de facilité et un manque de soin dans la mise en scène par moment; ce qui relaie ce film pourtant à fort potentiel à une œuvre juste appréciable mais sans plus!
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