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    Hirune Hime, Rêves éveillés
    Note moyenne
    3,3
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    20 critiques spectateurs

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    moket
    moket

    437 abonnés 4 205 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2022
    Entre rêve et réalité, un beau film d'animation au graphisme très soigné et à l'histoire prenante. Dommage que les constantes allées et venues entre rêve et réalité ne cassent un peu le rythme...
    maxime ...
    maxime ...

    196 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mars 2022
    Il n'y a pas à dire, Hirume Hime possède une esthétique absolument parfaite, une narration altéré qui opère les virages qu'il faut, une histoire qui à du sens, en cela, aucun reproche à faire.

    Mais voilà, à aucun moment je ne me suis pris au jeu. Je me suis ennuyé malgré ses forces apparentes, plutôt deux fois qu'une !

    Trop propret et convenu pour vraiment surprendre.
    John-Peter B.
    John-Peter B.

    41 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 décembre 2018
    Un manga extraordinaire....Magique, émouvant, drôle.....Rêve et réalité se côtoient en parallèle puis se rejoignent et se confondent. Et enfin tout finit par se dénouer...Le scénario est ingénieux. Les personnages sont très attachants. L'héroïne est pétillante et pleine d'énergie vivifiante, en un mot, adorable et très débrouillarde....2 heures d'un spectacle au cours duquel l'on ne s'ennuit pas, le mystère s'épaississant au fur et à mesure et progresse crescendo pour exploser en une vérité époustouflante sur la destinée de l'héroïne...A la fin, rester pendant le défilement du générique qui apporte sont lot de révélations très émouvantes.
    Marc L.
    Marc L.

    40 abonnés 1 487 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 octobre 2018
    Sorti des productions célébrées de Miyazaki, Takahata ou Mamoru Hosoda, le cinéma japonais d’animation livre aussi des productions plus standardisées, au visuel soigné mais au scénario paresseux, qui doivent pourtant à leur vaste succès commercial dans l’archipel le droit de tenter leur chance en Europe et aux USA. Ces ‘Rêves éveillés’ reposent ainsi sur un concept souvent usité, dans ses diverses variantes, dans l’animation qu’elle soit japonaise ou occidentale : les deux mondes dont les réalités respectives deviennent de plus en plus perméables au fur et à mesure que le récit progresse. Ici, c’est une adolescente, prise dans la tourmente du vol par son père d’une tablette contenant des informations stratégiques pour l’industrie automobile nippone, qui se réfugie dans ses rêves : au spectateur de tenter de relier les événements de la réalité à leur réinterprétation dans le subconscient de la jeune fille. Visuellement réussi, sans forcément dégager une personnalité qui lui soit propre (même le monde onirique ne fait que reprendre une architecture Steampunk-fantasy consensuelle), ‘Hirune hime’ s’empêtre dans des tendances thématiques contradictoires : à mélanger, entre autres choses, le polar économique, la science-fiction, les personnages kawaï et le drama lycéen, la volonté scénaristique initiale en devient totalement illisible, sans que ces éléments antinomiques parviennent à créer quelque chose d’inédit, et le récit, malgré quelques envolées intéressantes, finit par retomber sur des rails un peu trop plan-plan et convenus. Au moins ‘Hirune hime’ offre-t-il un aperçu quasi exhaustif des obsessions de l’animation japonaise, du rapport ambivalent à la technologie au vieux fond panthéiste qui subsiste dans la psyché nationale, des robots mecha géants aux kaiju eiga, et des non-dits familiaux aux rapports platoniques entre lycéens.
    kroston
    kroston

    4 abonnés 290 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2018
    Une histoire de famille racontée avec beaucoup de fraicheur et de sensibilité.
    l'animation est belle avec de beau effets visuels par moment.
    Original et spectaculaire ce film est très bon.
    Sebastien Mac Fly
    Sebastien Mac Fly

    14 abonnés 174 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mars 2018
    Plutôt pas mal mais à destination des enfants je pense, entre 7 et 14 ans. Non pas qu'il ne convient pas aux adultes, mais disons que je ne m'attendais pas à ça. L'histoire l'air tirée par les cheveux, mais est cohérente et tient debout quand on y réfléchit.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 7 septembre 2017
    Le début du film était pas mal mais au bout des deux tiers du film, ça a commencé à devenir du grand n'importequoi(l'histoire a commencé à partir totalement en live). Film à ne pas aller voir,très décevant.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 22 août 2017
    De jolis moments mais aussi beaucoup trop de gras, une thématique du rêve qui ne sert à rien et le fil conducteur industriel ne suscite aucune émotion particulière malgré tous ces membres d'une même famille qui tournent autour et se recherchent tout le long.
    Avec en plus des personnages inutiles, et ça c'est la plaie. Mais qui a visité le Japon sera très content de retrouver beaucoup de choses très bien reproduites. C'est mon cas.
    Galactus
    Galactus

    7 abonnés 353 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 juillet 2017
    L'animation est joli, propre, de très bonne qualité, mais pour s'accrocher au scénario il faut avoir beaucoup d'imagination. C'est un mélange de thèmes accrocheurs pris indépendamment, mais pris ensemble c'est trop à mon goût.
    Macéo M.
    Macéo M.

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2017
    CE FILM N'A AUCUN SENS HAHAHAHAHA Allez le voir. Maintenant. Il est bien. Et il y a un combat de mechas.
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    46 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 juillet 2017
    Vu et avis le 20170725.

    Sentiments bons marché, histoire grossière, féerie supposée tout pardonner. Mieux vaut l éviter.

    Tout ce que le film raconte et sa façon de le raconter est grossier et sans intérêt. La symbolique pataude car trop appuyée : les ordinateurs contre les logiciels, les machine contre la magie. Le film en fait trop, insiste trop lourdement sur l opposition.

    On prend un certain plaisir sur le moment aux images, aux personnages, à la musique. Mais le film est tellement pauvre, il y a bien d autres choses à voir avant.
    Skycrasher
    Skycrasher

    3 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 août 2017
    J'ai beaucoup aimé la manière de mêler progressivement rêve et réalité pour n'en faire plus qu'un : alors qu'ils sont bien distincts au début du récit, on réalise au fur et à mesure qu'ils sont en fait complémentaires. La chute est inattendue, l'aventure est superbe et les dessins sont sublimes.
    Eklerik
    Eklerik

    5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2017
    Admirateur du cinéma d’animation japonais, j’étais hésitant à l’idée d’aller voir ce film, en raison de la bande-annonce et des critiques moyennes. Grand bien m’a pris d’avoir suivi mon intuition et de m’être finalement décidé à le voir : c’est un film très réussi, original, au rythme enlevé et au scénario riche et bien écrit.

    Le film montre la vie de Morikawa, lycéenne d’une petite ville du Japon et de classe populaire qui, depuis la disparition de sa mère dans un accident quand elle était très petite, vit seule avec un père mutique qui ne communique pas avec elle.
    Ingénue et pleine de vie, l’héroïne est très rêveuse. Dans ses rêves elle vit une vie plus grande que la sienne, où elle se voit encore comme une enfant, une petite princesse nommée Ancien possédant une tablette tactile fantastique au pouvoir magique de donner vie aux objets, et qui est la fille d’un roi tout-puissant régnant sur Heartland, un royaume d’inspiration steampunk fondé sur l’industrie automobile.

    Son père est soudainement et mystérieusement arrêté par la police, le rêve rejoint la réalité et en quelques heures toute la vie de l’héroïne va être chamboulée. De mystérieux inconnus sont à la recherche de la vraie tablette tactile de la jeune fille, héritée de sa mère. Celle qui ne connaissait rien de sa mère et croyait n’être que la fille d’un mécanicien automobile talentueux mais pauvre et mauvais en affaires, se retrouve embarquée dans une grande aventure, celle d’un complot interne contre le PDG d’un très grand groupe automobile, sur fond de nouvelle technologie de conduite automobile autonome...

    spoiler: Au fil de son aventure pour aider son père, on comprend que les rêves de Morikawa sont en fait la représentation d’objets et de personnages du réel qui vont peu à peu faire sens et nous expliquer le mystère de l’intrigue. Ses rêves récurrents sont en effet des réminiscences d’une histoire que lui racontait son père dans sa petite enfance en la bordant, histoire inventée dans laquelle son père avait caché par pudeur le vrai récit de la vie personnelle de la mère disparue de Morikawa, ne sachant sans doute exprimer directement à sa fille le souvenir de sa femme après l’événement traumatique de sa disparition, qui l’a probablement enfermé dans son mutisme. Morikawa apprend donc que l’histoire que lui racontait son père dont découlent ses rêves ne la figuraient donc pas elle mais sa mère : le roi de ses rêves n’est donc pas son père mais son grand-père, PDG de la plus grande firme automobile du Japon, et la princesse est en réalité sa mère, fille du PDG et informaticienne de génie qui avait développé avec le père de l’héroïne, employé de la firme, un programme révolutionnaire pour la conduite autonome et intelligente des voitures. Alors trop précurseurs, le grand-père père s’était fâché avec les deux parents, ne croyant pas en la vision de l’automobile autonome, et les avaient renvoyés de l’entreprise. Des années plus tard, l’entreprise se résout finalement à développer des voitures autonomes mais ne parvient pas à finaliser le programme informatique embarqué. Des cadres comploteurs vont alors se mettre en recherche du code informatique de génie de la mère de Morikawa, caché à l’intérieur de la tablette tactile, qu’ils vont chercher à voler pour s’accaparer la gloire de son travail. Dans le monde du rêve, la tablette est magique, c’est la révolution numérique et l’informatique qui sont magie, symbole du progrès et de futur que représente la mère en opposition au monde ancien entièrement mécanisé et piloté manuellement que représente le personnage du grand-père. A partir de la révélation des éléments de la vie de ses parents, Morikawa ne se rêve alors plus sous sa forme d’enfant, la petite princesse Ancien, mais à son âge actuel et sous son nom « coeur et ailes » qui prend son sens, comme s’il lui lui avait fallu résoudre l’énigme de son histoire familiale pour grandir et commencer à exister, trouver sa place. L’imbrication du rêve avec la réalité, comme deux mondes parallèles, est assez réussie : le démon de Heartland est une personnification des comploteurs, comme un tumeur maligne rendue possible à cause du conflit du grand-père avec sa fille et son beau-fils. Morikawa joue le rôle de réparatrice, elle devait comprendre son passé pour sauver la mémoire et l’honneur de sa mère et s’inscrire dans la continuité de son histoire, c’est-à-dire aider son père à vaincre le démon grâce à la magie de sa mère - son œuvre informatique - dont elle est quelque part devenue l’héritière et la dépositaire. A la fin l’héroïne tient le rôle de réconciliatrice entre son grand-père et son père et sa mère disparue, prouvant que sa mère avait raison, rattrapant ainsi une histoire familiale manquée et réparant un traumatisme. Si la mère était trop en avance sur son temps et que le monde n’était pas encore prêt pour son invention, la tablette est un objet témoin qui symbolise la génération numérique enfantée symboliquement par la mère, la génération de Morikawa, qui elle est pleinement prête pour cette invention et qui prend pleinement sa place dans le monde et dans la suite du récit familial.

    Dans la grande tradition du conte et du récit initiatique du cinéma d’animation japonais, où un jeune personnage de petite condition se révèle avoir une grande destinée, ce film choisit une forme originale pour raconter les obstacles et les épreuves que doit affronter l’héroïne pour mûrir et comprendre son identité. Si la structure du film n’est pas sans rappeler Souvenir de Marnie, où le rêve éclairait également peu à peu l’histoire familiale cachée de la protagoniste, ici le fantastique et la magie du monde du rêve symbolisant le numérique, et le choix de l’industrie automobile pour figurer le monde, sont très inattendus et beaucoup moins traditionnels. En choisissant ces thèmes, ce film s’inscrit dans notre temps et parle de notre époque, et incite ainsi le jeune spectateur à l’identification et au courage et à prendre sa place dans un monde nouveau et numérisé.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 juillet 2017
    Rappelez-vous de ce jour de 1999 où "The Matrix" sortait au cinéma pour nous donner une claque dans notre philosophie et devenir une œuvre culte. Et vous vous souvenez certainement de la première des nombreuses phrases qui allaient vous retourner le cerveau : «N'as-tu jamais fais de ces rêves qui ont l'air plus vrai que la réalité ? Si tu étais coincé dans un de ces rêves, comment ferais-tu la différence entre le monde du rêve, et le monde réel ?»

    "Hirune Hime", c'est un peu l'application de cette citation au sens propre. En France, le film porte le sous-titre "Rêves éveillés", titre que je trouve peu judicieux car l'héroïne de cette histoire dors, et souvent. Nous suivons la jeune adolescente Morikawa qui a une sorte de double vie. Dans la réalité, c'est une lycéene un peu "rentre-dedans" qui vit avec son père mécano. Cette jeune fille a un défaut : elle s'endort souvent sans raison ; et fait toujours le même rêve. Elle doit défendre le royaume de son père grâce à la magie fournie par…une tablette tactile. Mais la réalité va être chamboulée quand quelqu'un de louche va tenter de voler la tablette de son père.

    Toute la force de la mise en scène du film est de faire en sorte que l'histoire commencée dans la réalité continue dans le rêve de Morikawa. Une mise en scène bien pensée et bien réalisée mais qui manque parfois de vraisemblance. L'autre gros problème de cette technique est la confusion entre les deux mondes. Plus le film avance et plus on s'aperçoit que cette confusion est voulue, mais elle s'avère quelque peu déplacée sur la fin jusqu'à se contredire et perdre de sa crédibilité.

    De plus, je n'ai pas pu m'empêcher de remarqué que ces passages au monde du rêve était parfois des astuces un peu grosses pour éviter de devoir raconter une situation ennuyeuse ou épineuse dans la réalité. Un bon stratagème, mais un poil gros parfois. Cependant, la narration est très fluide entre les deux univers et le rythme du film fait que l'on ne s'ennuie pas. Je regrette simplement un manque d'enjeux palpables dans la partie réelle. Les enjeux sont clairs dans la partie rêvée mais la confusion entre les deux rend la perméabilité du discours très imparfaite et il subsiste une sorte de scission.

    La partie rêvée appartient à une sorte d'univers steampunk fantaisiste avec une touche de cyber ; mais la réalité, d'abord plus portée sur l'humour, suit une intrigue policière qui va imposer sa structure et ses codes à l'ensemble du film. Le plus important des codes est la multiplicité des rebondissements. Ca n'arrête pas du film, mais la bonne écriture permet de ne jamais être perdu. Mais bon… comme pour beaucoup de film d'animation japonaise, j'avoue ne pas avoir tout compris de la fin avec toute la symbolique qu'elle utilise… Le sens de ces métaphores m'échappe. Cependant le propos lui reste clair : le film tourne autour de la famille et des conflits familiaux.

    Mais on ne peut pas faire un film qui utilise le rêve comme ressort narratif sans aborder la question de sa signification. Le film nous en livre une explication simple, adaptée au public ciblé qui sont les enfants. Mais il y a aussi une métaphore intelligente de comparaison entre la science et la magie avec un propos très intéressant à ce niveau ; ainsi qu'un «encouragement à suivre ses rêves».

    Au final, après avoir dirigé l'immense série "Ghost in the Shell : Stand alone complex", Kenji Kamiyama nous livre ici une œuvre au discours simple mais efficace et surtout très riche. Peut-être même un peu trop et qui entraîne la confusion. Le film est dans l'ensemble agréable à suivre, drôle et plein de surprise ; la fin est un peu grossière et confuse, avant de se terminé sur une note limite cliché. Peut-être que Kamiyama a essayé de parler de trop de chose en même temps : l'adolescence, la famille, les dérives de l'industrie, la dictature, l'héritage, la science contre la magie… Tout est bien placé dans l'intrigue et bien traité mais ça fait beaucoup à digérer.

    Malgré tout, je vous conseille vivement de voir ce film qui ravira petits et grands.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 18 juillet 2017
    Très décevant : l'histoire a peu d'intérêt...
    L'enjeu au cœur de l'intrigue (la voiture autonome) n'est pas intéressant et le mélange des mondes oniriques et réel manque d'intérêt...
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