Derniers Avis sur Fréquence interdite

Excellent ! Avec le temps, à voir en VO bien sûr.. je ne comprends pas que ce film ne soit pas plus connu.Ne le loupez pas !

Scénario vraiment sympa de modification du passé, "Fréquence interdite" est un thriller qui tient en haleine avec une intrigue finalement assez simple et très classique mais qui permet grâce à son format d'être plus intéressant que les autres films sur le même sujet. On est loin du bon film de fantastique à l'instar de l'Effet Papillon ou de Retour vers le futur, mais pour un film quand on a rien à se mettre sous la dent, ça fait bien le boulot.
Le casting est assez moyen mais on se laisse quand même convaincre et malgré les nombreuses facilités scénaristiques et ficelles tirées sans surprise, on assiste à un film tout de même logique et qui ne tombe ni dans la surenchère ni dans le ridicule.

Très belle surprise ! Parmi tous les films qui jouent avec le temps (par radio interposée cette fois-ci), « Fréquente Interdite » fait partie des plus réussis et des plus originales. Évidemment, il reste bien en dessous d’un "Retour vers le futur", car on regrettera peut-être une BO digne de ce nom. Dans l’ensemble la réalisation est sinon séduisante, moins en ce qui concerne quelques scènes d’actions. Quatre étoiles pour ce brillant thriller fantastique !

Bon film ! Le scénario est accrocheur. La mise en scène à des défauts mais fait le job. Le casting est d'exception. La BO est suffisante mais aurait mérité un compositeur.

Super film javais aimer a l eposue de sa sortie , je l aime tjr ojd..
Un scenar qui tien en haleine jusqu'au bout...des acteurs a travers lesquelles les émotions se ressente...
Et un final qui me met des frissons à chaque fois...

Après "Le témoin du mal" avec Denzel Washington, ma seconde incursion dans la filmographie de Gregory Hoblit. Un thriller fantastique à mi-chemin entre "L'effet papillon" avec Ashton Kutcher et "Déjà vu" de Tony Scott qui explore le thème assez récurrent au cinéma du paradoxe temporel de façon sans surprises mais très attachant et accrocheur. Un duo Dennis Quaid - Jim Caviezel qui fonctionne très bien, des seconds rôles de qualité à l'image d'Andre Braugher, une mise en scène académique, sobre mais sans fioritures inutiles. En bémol, une intrigue aux ficelles un peu grossières notamment le ressort surnaturel vite expédié et entériné, des personnages qui manquent de profondeur psychologique. Loin d'être le film de l'année mais un ensemble très divertissant, sans grandes prétentions.

J'ai bien aimé ce film fantastique, qui est très positif, et parle de la relation d'un policier avec son père qui est décédé des années plus tôt. J'ai trouvé le côté fantastique (modifications du présent en agissant sur le passé via les conversations avec son père) intéressant et traite d'une question qu'on a tendance parfois à se poser :"et si telle chose s'était passée différemment, quelle serait ma situation aujourd'hui?". Toutefois, l'essentiel dans ce film est la relation père-fils, la notion de transmission et d'héritage, l'importance de la famille. Le film nous montre une gentille famille dans une belle maison, avec un voisinage amical, des gens intelligents et courageux, qui affrontent les dangers auxquels ils sont confrontés. Bref, un foyer modèle. L'enjeu étant de le protéger contre les menaces qui pèsent dessus, c'est à dire la mort d'un des membres de la famille. Tous ces gens sont fort sympathiques, et dès lors une tension dramatique, un suspense s'installe quand ils sont exposés à un danger. Le film a toutefois un défaut, qui n'est certes pas rédhibitoire vu les points positifs évoqués précédemment: le côté "modification du présent en changeant le passé" manque parfois de logique...mais c'est le lot de la plupart des films traitant de ce thème...Si vous voulez voir un film optimiste sans être niais, ce film est fait pour vous.

Nombreux sont les films à traiter de l’univers des paradoxes temporels, avec plus ou moins de réussite, on pourra notamment citer la saga des Retour vers le futur (1985/1989/1990), Timescape (1992), 12h01PM (1993), L'Effet papillon (2004) ou encore Predestination (2014).

Mais rares sont ceux qui parviennent à la fois à se démarquer, à faire preuve d’originalité et à transmettre autant d’émotion. Fréquence interdite (2000) fait partie de ces rares films à pouvoir se targuer de répondre à nos attentes.

Le film met en scène un très beau duo (interprété par Dennis Quaid & Jim Caviezel) et nous invite à un voyage science-fictionnel. Un soir, par une nuit illuminée d’aurores boréales et d'éclairs magnétiques, John allume une vieille radio amateur et croit entendre la voix de son père disparu tragiquement 30ans plus tôt (lors d’un incendie). Bien décidé à réparer les erreurs du passé, John va aiguiller son père afin qu’il ne périsse pas dans l’exercice de ses fonctions (pompier). Mais comme tout changement dans le passé peut avoir des conséquences négatives dans le futur (le fameux effet papillon), John va apprendre à ses dépens que nul ne peut modifier son destin et/ou celui d’autrui.

Fort d’un scénario habillement construit et riche en émotions (les retrouvailles père/fils par ondes interposées vous donnent la chair de poule), le film de Gregory Hoblit (Peur primale - 1996) est à la fois émouvant et passionnant. Un drame familial qui se permet même de lorgner vers l’action (lors de la séquence de l’incendie, non sans rappeler un certain Backdraft - 1991), ainsi que vers le thriller dans la dernière partie du film, ajoutant ainsi un peu de piquant à cette histoire.

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Un des rares film du genre sachant manier les paradoxes temporels avec une cohérence et une simplicité incroyablement astucieuse (le principe de la communication par ondes radio s'affranchissant de la linéarité temporelle classique "passé-présent-futur" est une trouvaille scénaristique absolument inédite et "géniale" à ma connaissance) ...adoubé d'un thriller absolument prenant de bout en bout en seconde partie.
La première partie s'attache à l'histoire de cette famille humble dégageant beaucoup d'authenticité dans ses moments heureux et dramatique. Les personnages principaux (le père et le fils) sont très bons dans leur manière de faire transparaitre leurs émotions ...leurs liens affectifs sont quasi palpables tout du long ...en particulier lors de la séquence où ils comprennent et découvrent l'identité de leur interlocuteur : en tant que spectateur en empathie avec le fils (qui n'en revient pas), ce moment est juste incroyablement émouvant...
Bref, un film fabuleux, excellent, prenant, qui mérite à être plus connu et reconnu...

5 ans avant la sortie du mémorable "Effet papillon" de Eric Bress et J. Mackye Gruber, Gregory Hoblit, principalement connu comme réalisateur de séries TV, nous offre une version particulièrement innovante de "voyage temporel immobile" avec comme acteur principal un Denis Quaid toujours excellent et nous entraîne dans un thriller bien ficelé et plein de rebondissements, malgré quelques petites incohérences.
Un bon petit film de S.F comme en aimerait en visionner plus souvent.

Très bon film malgré certains aspects scénaristiques prévisibles dus aux actions conjointes du père et du fils qui, immanquablement, allaient produire des conséquences qui devaient bouleverser leur avenir. Mais le suspens est fort parce qu'on ne sait pas du tout ce qu'il va se passer juste après, chaque action entraînant une réaction aux répercussions imprévisibles.
Les acteurs principaux Dennis Quaid et Jim Caviezel (je ne connaissais pas ce dernier) interprètent parfaitement leur rôle.
Le petit plus ultime est la fin, que j'ai vraiment appréciée, mais je ne peux pas en dire plus sans risquer de trop en dévoiler, ce qui serait fort dommage vu que c'est la récompense de ces deux heures de suspens.

Mon explication de la moyenne seulement de 3,4/5 de Fréquence interdite : lorsqu'on regarde le total des notes de ce film (je parle du moment où j'écris ma critique), il y en a 3194. Sur ces 3194 notes, il n'y a eu que 138 personnes qui ont écrit une critique. Ce qui signifie que (3194-138) 3056 ‬personnes ont juste cliqué sur les étoiles pour noter ce film.
Si je parle de ça, c'est parce que lorsqu'on regarde le détail des critiques écrites, il y en a eu 64 qui ont mis 4 étoiles et 4,5, et 32 qui lui en ont accordé 5. Or, seulement 27 personnes ont mis 3 et 3,5/5, 14 en ont mis 2 et 2,5, et une seule 0,5.
Cela signifie que (64+32+27) 123 personnes lui ont accordé au moins 3 étoiles, et seulement (14+1) 15 personnes lui ont mis moins.
Voyez-vous où je veux en venir ? La moyenne de cette production doit se situer entre 4 et 4,5/5 si on ne se fie qu'aux spectateurs qui ont écrit une critique. Et c'est auprès d'eux qu'il faut se reporter pour se donner une bonne idée de ce que vaut vraiment ce film.
La moyenne générale de 3,4/5 est donc due aux 3056 personnes qui ont juste cliqué sur les étoiles pour donner leur avis, et ces personnes ont fait chuter la moyenne du film de quasiment 1 étoiles.
Il fallait le faire quand même ! Et je parle autant de mon analyse des chiffres que de cette injustice sur cette réalisation, tellement plus proche de 4,5 que de 3,5...

C'est drôle car lorsque j'ai vu ce film il y a 20 ans, j'en avais gardé plutôt un mauvais souvenir. En le revoyant je m'aperçois qu'il est tout à fait agréable à regarder et que ce qui m'avait dérangé était probablement le personnage interprété par Jim Caviezel qui est plutôt antipathique et mal joué. Mais heureusement Dennis Quaid est là et lui fait le job à merveille. Un thriller aux portes du fantastique qui nous emporte avec plaisir dans un film policier de très bonne facture.

L'idée de départ est plutôt rocambolesque et marche un temps par contre elle ne tient ni la longueur ni la mesure.

Il faut retenir de Fréquence Interdite une vitalité de chaque instant qui s’empare de cette joute temporelle, cette course contre la montre dont la finalité doit restaurer l’harmonie familiale et en sauver ses membres. Pour l’orchestrer, Gregory Hoblit fait preuve d’un talent certain dans le découpage des scènes, capable de dessiner des crescendos assez efficaces. Pourtant, nous ne pouvons écarter plus longtemps l’incapacité du scénario à rassembler ses fils directeurs dans un tout cohérent et logique ; parce qu’il revendique une véritable érection dramatique où une minute apporte une idée supplémentaire, autant dire que le film ne se digère que difficilement. Trop d’ingrédients, une cuisson trop rapide. Et de ce refus de la simplicité découle une impression d’œuvre faite à la va-vite qui ne prend pas le temps de creuser ses thématiques. La faute doit à coup sûr être adressée au scénariste, Toby Emmerich, également scénariste de L’Effet papillon quatre ans plus tard, et qui n’en propose ici qu’un remâché approximatif. Dommage car les acteurs s’investissent et la partition de Kamen apporte une rugosité bienvenue. Peut-être aurait-il fallu privilégier le support sériel, seul à même de développer ces amorces alléchantes, mais guère exploitées.

Originale et simple à la fois, la mécanique du scénario, qui aurait aisément pu tomber dans le grand "n'importe quoi" vu la nature de l'intrigue est étonnamment bien huilée. On est immédiatement captivé par l'histoire, par ses personnages et par cette histoire un peu fourre-tout mais pas difficile à suivre. Les acteurs également sont bons, le seul point noir vient de la réalisation très fade, habituel pour ce réalisateur.