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    Gloria Bell
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    RedArrow
    RedArrow

    1 528 abonnés 1 491 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2019
    Avoir le physique de Julianne Moore et être encore célibataire à la cinquantaine passée est une probabilité qui a de quoi mettre un sérieux coup au moral de toutes les âmes esseulées de la planète mais c'est pourtant bel et bien le cas de Gloria Bell, héroïne de ce remake américain de "Gloria" toujours réalisé par Sebastían Lelio (n'ayant pas vu ce dernier, je m'abstiendrai donc de toute comparaison dans cet avis).
    Divorcée depuis de nombreuses années et mère de deux enfants n'ayant ostensiblement plus besoin de sa présence dans leurs vies respectives, Gloria est une femme de plus en plus victime de sa solitude qu'elle tente désespérément de combler par des rencontres éclairs lors de ses sorties dans des discothèques pour personnes d'âge mûr. Un soir, son regard croise par hasard celui d'Arnold (le toujours excellent John Turturro), un homme divorcé depuis un an mais qui peine à couper les ponts avec son ancienne vie de famille. Quelques étincelles amoureuses plus tard, tous deux entament une relation qui va peu à peu pousser Gloria dans ses derniers retranchements...

    Impossible de commencer à parler de "Gloria Bell" sans évoquer son plus bel atout : Julianne Moore pour qui on ne sait plus utiliser quel qualitatif élogieux tant la prestation de l'actrice, omniprésente à l'écran, irradie le film en permanence. On le sait, son talent n'est bien évidemment plus à prouver depuis longtemps mais "Gloria Bell" est sans doute une de ces œuvres dans sa riche filmographie mettant le plus en avant cette sorte de magnétisme émotionnelle qui émane d'elle et qui est à même de briser la carapace du spectateur le plus endurci. Que Julianne Moore/Gloria Bell rit, pleure ou exalte tout le spectre de nuances émotionnelles entre ces deux extrémités, elle vous contamine instantanément et vous vous surprenez à voir vos propres sentiments échapper à votre contrôle pour épouser ceux transmis par l'actrice (peu de ses consoeurs peuvent se targuer d'un tel pouvoir d'attraction émotionnel, preuve si besoin en était que l'on a affaire à une très grande en son domaine). Ce morceau de vie essentiel traversé par Gloria Bell et conté par le film permet donc à Julianne Moore de briller à chaque instant, à tel point qu'il en devient impossible de ne pas être touché par le parcours du personnage magnifié par la puissance du jeu de son interprète.
    Seulement et cela va être le coeur du problème, la présence de Julianne Moore est d'une telle force que l'on vient à se demander si le film, lui, est vraiment à sa hauteur...

    "Gloria Bell" est un joli long-métrage, dur de le contester, mais il paraît toujours courir après la performance de son immense actrice pour être à son niveau.
    La question ne se pose pas quand il se fixe sur la relation entre Gloria et Arnold, c'est là que le film fait le plus preuve de finesse, comme si les interactions entre ces deux personnages suffisaient à elles seules à le porter à un palier d'excellence (en ce sens, leur dernière confrontation dans les ultimes instants est sera bien sûr le point culminant auquel il sera impossible de ne pas succomber). De même lorsqu'il suffit seulement de scruter le visage de Julianne Moore pour comprendre cette héroïne, comme on l'a dit, la comédienne transcende tout sur son passage.
    Là où la donne est beaucoup plus compliquée, c'est quand "Gloria Bell" cherche à nous transmettre les non-dits émotionnels de ses personnages par l'intermédiaire d'éléments externes. En la matière, le film se transforme alors en une espèce de catalogue d'artifices faciles pour les nuls : entre un voisin bruyamment dépressif, un chat sphynx envahissant, un problème médical, des signes rappelant sans cesse la fin de vie ou une playlist record de chansons tristes, Sebastían Lelio se montre aussi subtil qu'un phacochère invité à un dîner mondain pour traduire les sentiments cachés de son héroïne. On en vient même parfois à rester vraiment interloqué tant ce déluge d'astuces grossières prend des proportions ahurissantes, un peu comme si aucune comédie dramatique indé de ce genre n'avait existé depuis au moins vingt ans. C'est bien simple, à peu près tout ce que Gloria croise, voit ou entend est balancé à la tête du spectateur comme un potentiel indice/symbole/subterfuge se voulant malin sur son état actuel... sauf qu'à chaque fois, ben, tout ça n'a absolument rien de malin ! Avec la légèreté d'une cerise bigarreau sur un gâteau bavarois, l'utilisation obligatoire d'une certaine chanson en bout de course viendra résumer cette impression d'usage perpétuel de grosses ficelles (attention, la dernière scène est magnifique dans ce qu'elle veut nous transmettre mais c'est encore une fois plus le fruit de Julianne Moore que de Sebastían Lelio -on imagine sans mal le bougre tout fier d'avoir trouvé l'idée de passer ce morceau...).

    En définitive, on sort de "Gloria Bell" pétri de contradictions : oui, le film nous a indéniablement touché et ce bien plus d'une fois, cela veut dire qu'on l'a forcément apprécié quelque part mais l'a-t-on adoré pour autant ? La réponse ne peut rester qu'en suspens vu ce yo-yo agaçant dans son traitement capable du meilleur comme du pire dans la justesse du regard porté par son auteur. Une chose est sûre, Dame Moore y est tellement grandiose qu'elle vaut à elle seule le déplacement. Une révérence pour elle.
    Jorik V
    Jorik V

    1 196 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mars 2019
    Le chilien Sebastien Lelio qui a reçu l’Oscar du meilleur film étranger pour le beau « Une femme fantastique » réalise lui-même le remake du film qui l’a fait connaître, « Gloria ». Une pratique rare mais pas inédite (« Sang-froid » récemment ou « Funny Games » de Mickael Haneke). Pour se faire, il s’adjoint les services de l’une des meilleures actrices de sa génération en la personne de Julianne Moore. Et la réussite de ce film lui doit beaucoup, pour ainsi dire presque tout. De tous les plans, elle irradie l’écran comme jamais et prouve encore une fois qu’elle sait tout jouer, du rôle le plus complexe (une femme atteinte d’Alzeihmer dans « Still Alice » qui lui a valu l’Oscar) à celui plus ludique d’un blockbuster (la méchante Poppy dans « Kingsman, le cercle d’or ») sans que sa très riche et discrète carrière ne souffre de faux-pas. Ou si peu. Ici en femme ordinaire et célibataire battante qui tente de donner un sens à sa vie, elle est tout bonnement stupéfiante de sincérité et de justesse dans la moindre de ses expressions. La classe faite actrice et le charme insolent en étendard.

    Le film en lui-même pourrait paraître anodin et sans grand intérêt tant il ne raconte rien d’extraordinaire. Mais c’est dans cette banalité de la vie d’une quinquagénaire que se trouve son charme. Lelio filme la vie comme elle est : faite de joies et de déceptions, de moments de grâce et de désillusions mais sur une tonalité solaire et positive qui donne la pêche. La lumière couchante de la Cité des Anges et des tubes très eighties servent d’écrin à cette chronique juste, simple et touchante qui finit par nous emporter. Au début, le film se traîne un peu et l’accumulation de petites scènes de la vie de tous les jours pourra sembler fastidieuse à certains mais on finit par rentrer dans la vie de Gloria et à s’amuser de certains de ses déboires tout comme à s’émouvoir de ses déconvenues.

    Le réalisme du long-métrage qui ne verse dans aucun cliché propre à Hollywood, que ce soit sur son versant romantique comme sur son versant dramatique, est louable. C’est une leçon de vie, une ode au positivisme et au bonheur, qui peut être parsemé d’embûches et dont la finalité dépend du sens qu’on lui donne. Il y a des petites longueurs et peut-être beaucoup de seconds rôles dont beaucoup ne semblent pas assez creusés mais l’énergie déployée par son actrice principale permettent de passer outre. Et la dernière demi-heure, entre le voyage à Las Vegas et un exutoire pour le personnage principal, clôturent « Gloria Bell » de la plus belle des manières. La petite vengeance de Julianne Moore sous le « Total Eclipse of the heart » de Bonnie Tyler (la meilleure scène du film) et les derniers plans sublimes où elle danse et jouit du moment, finissent de nous convaincre et de nous faire aimer cette Gloria sauce californienne.

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    amour13
    amour13

    26 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mai 2019
    Ce film nous montre la difficulté de rencontrer une personne sérieuse lorsque nous sommes célibataire. Bonne interprétation bon sujet mais mais dommage que le film n'est pas 100 % prenant. Avoir tout de même.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    68 abonnés 482 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2023
    c’est un remake comme on disait autrefois, de Gloria, du même réalisateur.

    Ce qui change: ça se passe à Los Angeles, Las Vegas et Julianne Moore et John Turturro
    remplacent Paulina Garcia et Sergio Hernandez à Santiago (Chili)
    Un bel exercice de style où Gloria, écorchée vive se cache derrière une distance..
    Toujours prête à croire au Prince charmant et à "s'éclater" en boîte de nuit.
    Amour d'un soir ou pour toute une vie, là est la question ?

    J’ai trouvé l’interprétation de Julianne Moore, frémissante et John Turturro,
    (excellent!), malgré sa mâle assurance, se laisse dévorer par les siens…..
    et c’est là le problème….
    Sam L.
    Sam L.

    14 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mai 2019
    Faut aimer Julian Moore effectivement pour voir ce film car elle apparaît sur tous les plans. Le film est un peu plat mais il a le mérite de montrer la vie d’une quinquagénaire voire sexagénaire, qui souhaite profiter.. Sans Julian Moore ou autre actrice charismatique, ce film serait par contre d’un ennui profond ..
    vidalger
    vidalger

    291 abonnés 1 226 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 mai 2019
    L’excellent souvenir que l’on a du précédent « Gloria » de Sebastián Lelio (1993) avec l’inoubliable Paulina Garcia dans le rôle-titre s’est vite dilué dans ce remake de 2018 avec Julian Moore, très juste cependant en quinqua n’ayant pas abandonné l’idée de vivre en femme et en amoureuse cette partie de l’existence où les femmes deviennent parfois invisibles en terme de séduction. Le scénario est quasiment le même, pas de surprise ou changement majeur. La caméra se focalise pendant tout le film autour de l’héroïne. On ne sort pas vraiment de ces dialogues vite répétitifs et tout parait bien long, bien terne dans cette tentative de couple avec un néo-célibataire pas encore totalement détaché de son ancienne vie. Turturro en amant épisodique, velléitaire et maladroit, nous tape vite sur les nerfs tant il semble prendre son rôle au sérieux. Comment Gloria peut-elle bâtir une histoire avec un Arnold aussi foireux ? C’est la limite d’un scénario qui nous a fait décrocher et - faut-il l’avouer ? - légèrement piquer du nez avant le générique.
    selenie
    selenie

    5 437 abonnés 6 016 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2019
    Le cinéaste rétro-pédale pour ainsi dire en signant son auto-remake de son film "Gloria" (2013). La première chose qui frappe est l'approche du personnage, qui, après 5 ans, insiste beaucoup plus sur une Gloria est sans nul doute dépressive. Ce choix s'impose alors au récit qui s'avère moins drôle, plus mélodramatique même si un optimisme sous-jacent tente d'exister. L'histoire respire au rythme de la musique que Gloria écoute en voiture. Ainsi on commence par des chansons tristes avec l'espoir de connaître l'amour pour terminer sur un titre d'une banalité confondante et si attendue ! Un auto-remake maladroit qui ne surnage que grâce à une Julianne Moore toujours étincelante de justesse et de grâce.
    Site : Selenie
    tupper
    tupper

    116 abonnés 1 304 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mai 2019
    L’impression laissée par ce film est étrange. Il y a le bon. Cette tranche de vie de Gloria pour laquelle on entre immédiatement en empathie en grande partie grâce à l’interprétation sans faille de Julianne Moore. Il faut dire que le rôle semble taillé pour elle. Et puis le moins bon. La quasi absence de scénario qui nous amène à nous demander : à quoi bon tout ça ? Et s’il suffisait de passer outre cette interrogation pour simplement partager un moment avec Gloria ?
    Michel C.
    Michel C.

    234 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2019
    Julianne Moore exceptionnelle dans le rôle omniprésent de Gloria, ne laissant aucune autre place, que ce soit à Arnold (John Turturro) ou les autres membres de la famille. Une belle femme indépendante qui s'assume et s'épanouit presque complètement, et qui progressivement bascule dans des interrogations et des lenteurs - à l'image du film lui-même - qui nuisent le bon démarrage encourageant..... Dommage. Dommage surtout pour n'avoir pas laissé écouter les fabuleuses musiques, - quelques scènes très réussies et joyeuses où Julianne chante au volant, musique à fond, et des prises de vues magnifiques - et bien sur la meilleure "GLORIA" pour le final (logique).... !! **
    zorro50
    zorro50

    109 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2019
    Une femme divorcée, seule, mûre et libérée entame une liaison inattendue avec un homme récemment rencontré qui pourrait bien être l’homme parfait. Ce film a une bien jolie bande-son et Julianne Moore qui est dans tous les plans, s’en sort plutôt pas mal. Cependant, entre les comportements et les réactions irrationnels excessifs de chacun, et les longueurs où l’on doit se contenter de déchiffrer sur son visage ses états d’âme qui passent continuellement du rose au noir et inversement, en surveillant son regard subitement perdu dans le vague ou le pincement de ses lèvres plus ou moins appuyé, on finit par trouver le temps long surtout pour une histoire qui est loin d’être captivante, alors c’est un film que je ne saurais recommander à quiconque
    Caine78
    Caine78

    6 015 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mai 2019
    Je n'ai que peu de souvenirs du « Gloria » originel signé par le même réalisateur (à revoir pour une meilleure comparaison), si ce n'est que j'avais été assez déçu, malgré une actrice exceptionnelle et quelques beaux moments. Néanmoins, porté par mon amour pour Julianne Moore et les critiques (à nouveau) élogieuses, j'ai voulu y croire, cette fois à raison. Le film a beau ne rien raconter d'exceptionnel, la manière dont le fait Sebastián Lelio fait presque toute la différence, créant une très grande proximité entre l'héroïne et nous dès les premières secondes. Les mouvements de caméra, le choix des décors, la musique : tout concorde à une ambiance douce et presque festive, contrastant avec la situation délicate de Gloria et les déboires qui suivront. Lelio n'en rajoute pas dans le mélodrame, et le ton choisi, ouvertement romantique, a quelque chose d'assez touchant, presque gracieux, notamment dans la manière de filmer sa protagoniste, l'élégance de la caméra comme du compositeur Matthew Herbert offrant quelques scènes magnifiques visuellement. Hélas, l'auteur de « Désobéissance » n'a pas corrigé certaines longueurs déjà problématiques dans l'original chilien. La scène du repas en est un bon exemple, et même si cela peut en partie se justifier, il aurait vraiment fallu enlever quelques minutes. On a un peu le même ressenti à plusieurs reprises par la suite, toujours dans une logique défendable, sans être vraiment convaincu. Embêtant, donc, sans être rédhibitoire. Si certains personnages restent trop dans l'ombre, c'est aussi pour mieux mettre en lumière la quinquagénaire et cette solitude qu'elle essaie de fuir par tous les moyens, familiaux comme sentimentaux. Je n'ai donc pas tout aimé, mais la réalisation, l'image, la bande-originale et ses classiques (souvent disco) sont suffisamment riches pour que je me perde souvent avec plaisir dans ce beau portrait de femme, libre, forte et fragile à la fois, interprétée par une superbe rousse de 58 ans en faisant 15 de moins : Julianne Moore, peut-être en avez-vous entendu parler, bien accompagnée par un excellent John Turturro que l'on est ravi de revoir dans un si bon rôle. Un film, un vrai, qui aurait, certes, gagné parfois en concision, mais n'en gardant pas moins une aura, une élégance devenue rarissime au cinéma pour une réécriture plus « Bell » que son modèle. Attachant.
    Hotinhere
    Hotinhere

    419 abonnés 4 737 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 octobre 2022
    Portrait touchant d'une quinqua divorcée qui tente de saisir le bonheur pendant qu'il est encore temps, interprétée par la lumineuse et vibrante Julianne Moore. 2,75
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    165 abonnés 1 427 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2019
    Bon film, avec une actrice bien choisie pour le rôle, j'aime beaucoup Julianne Moore qui sait apporter de la lumière à un rôle.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 171 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 juin 2019
    "Gloria Bell" est le remake de "Gloria" sorti en 2013 et signé du même réalisateur. Sebastián Lelio confie cette fois le rôle à Julianne Moore pour interpréter cette cinquantenaire indépendante et divorcée depuis de nombreuses années. Chaque soir elle s'étourdit sur les dancings pour célibataires de Los Angeles et occupe ses journées à voir ses enfants, faire du yoga et autres activités. En rencontrant Arnold, sa vie ne va pas énormément changer, mais cette stabilité occasionnera des compromis dans sa vie frémissante. "Gloria Bell" est un film qui célèbre la vie et prouve qu'on peut encore être heureuse à cinquante ans. Bien que son rôle manque de spontanéité, l'actrice enflamme l'écran et en délivre un beau portrait féminin.
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    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    164 abonnés 686 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mai 2019
    Sebastiàn Lelio réalise un deuxième film anglophone qui n'est d'autre que le remake de son film "Gloria". Julianne Moore récupère le rôle titre et on est bien content car elle porte à merveille ce rôle d'une quinquagénaire qui souhaite être encore heureuse, amoureuse et compter dans la vie d'un homme à défaut de celles de ses enfants qui sont adultes et indépendants. C'est un beau film sur la femme et sur les relations mère-fille. La réalisation est maitrisée et met bien avant les désirs de Gloria comme ses doutes. Il y a pas mal d'humour qui arrive à détendre certains passages comme la crise de la cinquantaine chez les hommes. On passe vraiment un bon moment et Julianne Moore nous estomaque une fois de plus.
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