Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
L'AlsacienParisien
591 abonnés
1 402 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 19 octobre 2018
Après "Johnny English" (2003) et "Johnny English, le retour" (2011), "Johnny English contre-attaque" marque la troisième aventure loufoque de l'agent spécial anglais interprété par Rowan Atkinson. Imprégné par l'humeur burlesque et décalée de son personnage phare de M. Bean, c'est avec une certaine joie qu'on le retrouve pour un petit moment de détente ! Agent désormais en retraite, Johnny English est appelé à la rescousse pour sauver l'Angleterre d'une cyber-attaque ayant démasqué tous les agents en service. C'est avec assurance qu'il accepte, sans véritablement comprendre que ses méthodes désuètes ne font pas le poids face à l'enjeu technologique de sa mission. Ce n'est pas une grande surprise ! Ni une déception d'ailleurs. On retrouve Johnny English avec plaisir, légèreté et nostalgie, lui qui nous avait déjà fait rire il y a de ça des années. Son côté totalement décalé et à la fois rempli d'assurance promet de très bonnes scènes de (fou) rires où l'obsolescence du personnage se confronte à la technologie innovante, voire menaçante pour l'homme. On retiendra surtout la scène avec le masque de réalité virtuelle, qui est très drôle et originale, ainsi que ses interventions en prof de géographie atypique ou sa prestation de serveur sur les côtes françaises. La brève présence de Charles Dance et Michael Gambon en espions retraités participe pleinement à notre enthousiasme. C'est dommage que l'ensemble ne procure pas le même effet, notamment lorsque les seconds rôles féminins interviennent. L'ex-James Bond girl Olga Kurylenko se révèle efficace dans le rôle de l'agent secret mais fade lorsqu'il s'agit de faire face au comique sans failles de Rowan Atkinson. Emma Thompson, dont la présence m'a motivé à aller voir ce film, est très bien dans le rôle autoritaire de Premier Ministre mais j'ai été déçu par le manque de couleurs de son personnage. Et Dieu sait qu'une Emma Thompson hilarante face à Johnny English aurait pu nous faire pleurer de rire ! Côté histoire, on se laisse surprendre par un scénario, certes très gentil, mais dont la prévisibilité n'amoindrit pas la qualité générale du film. Le rythme des gags est soutenu et les codes du film d'espionnage sont toujours malicieusement détournés. Rowan Atkinson reste le clou du spectacle, potache, fin et parfois même touchant. Ses performances restent emblématiques dans genre comique à l'image d'un Jacques Tati, d'un Leslie Nielsen ou d'un Charlie Chaplin des temps modernes...
Il faut reconnaître que Rowan Atkinson et ses mimiques burlesques sont complètement has bean (ouais, elle est pour moi celle là !). Malgré cela, on se surprend à rigoler de ses aventures loufoques et - légèrement - exagérées et si ça ne restera pas la comédie de l’année, ce troisième épisode reste un bon divertissement dans son genre ...
"Johnny English : Le Retour" était une suite inattendue en 2011 de cette petite comédie d'espionnage sortie en 2003. 15 ans après, un troisième opus sort dans les salles de cinéma avec un budget tout aussi conséquent que le précédent. Mais qu'est-ce qui explique le succès de cette franchise ?
L'explication pourrait tenir en 2 mots : l'humour anglais. Un humour subtil, irrévérencieux, flegmatique et un brin absurde. Le seul humour où un personnage d'un autre temps (machiste, sûr de lui, narcissique, séducteur) peut faire des gaffes monumentales tout en restant d'une classe absolue.
Mais pour ce troisième opus, les scénaristes ont choisi de ne plus trop s'attaquer aux emblèmes nationaux du Royaume-Uni et de plutôt partir sur une critique de la société actuelle, dominée par les GAFA sans foi ni loi et par des politiques qui passent plus de temps à soigner leur image qu'à diriger le pays.
C'est l'occasion de se renouveler et de proposer de nouvelles vannes. Par exemple, Johnny English va confronter tout ce monde technologique à ses méthodes d'espionnage à l'ancienne.
De quoi rire encore une fois de bon coeur aux péripéties du personnage incarné par Rowan Atkinson. Serait-ce la meilleure parodie de James Bond ? Je le crois bien ! Et j'en redemande !
Beaucoup moins drôle que les deux précédents volets, cette aventure du pétillant Johnny English se laisse suivre sans aucun problème. Rowan Atkinson est plus cabotin que jamais. Un divertissement agréable.
un petit film pour passer un peu de son temps libre. un très bon début avec des très bons gags où j'ai bien rit mais par la suite j'ai trouvé les blagues un peu lourdes. certes, un film assez basique mais pas trop mal non plus donc une comédie simple et sympathique à voir pour passé un peu de son temps libre mais peu se faire attendre à le voir chez tranquille.
Un Johnny English toujours aussi drôle, avec plus d'un tour dans son sac. Un moment divertissant, ce dernier opus, n'est pas mal, mais pas autant réussi que son précèdent.
L'agent secret le plus calamiteux de Sa Gracieuse Majesté est de retour. Après qu'un hacker a révélé l'identité de tous les agents sous couverture et que les quelques 007 retraités sont morts (dans une scène hilarante), le MI7 (sic) n,'a d'autre ressource que de rappeler Johnny English (Rowan Atkinson) au service. Avec Bough (Ben Miller), son fidèle second, il se lance à la poursuite de l'auteur de ces cyberattaques, Jason Volta (Jake Lacy), qui, par son charme et son talent, est sur le point de convaincre la Première ministre britannique (Emma Thompson) de lui confier la gestion des données personnelles du pays. Sur la Côte d'Azur, il rencontre Ophelia Bhuletova (Olga Kurylenko), une espionne du KGB, qui a réussi à s'infiltrer dans l'entourage de Volta.
Voici le troisième opus des aventures de Johnny English, seize ans après le premier, sept ans après le deuxième. L'effet de surprise ne joue plus. Mais le plaisir est toujours aussi grand devant les defunèsseries de l'hilarant Rowan Atkinson. Aux prises avec un homard (un des sketchs les plus drôles des "Vacances de Mr Bean") ou prisonnier d'une armure médiévale, il continue à nous faire rire quand bien même ses gags ont un goût de resucée.
Le scénario est d'une bêtise assumée. Aussi on lui pardonnera son indigence. Car le film ne trompe pas son spectateur et ne cherche pas à se faire plus malin qu'il ne l'est. Il s'agit d'enfiler quelques sketchs - dont les plus réussis ont hélas été déflorés par la bande-annonce - comme celui où English teste dans les rues de Londres un simulateur de réalité virtuelle.
Rowan Atkinson n'est pas le seul à s'amuser. Les seconds rôles s'en donnent à cœur joie : la sublimissime Olga Kurylenko qui avait joué les vraies James Bond girls aux côtés de Daniel Craig est toujours aussi belle dans le rôle d'une fausse. Emma Thompson est comme d'habitude parfaite, ici dans le rôle d'une Première ministre portée sur la bouteille et prête à tout pour sauver son pays.
Ce nouveau Johnny English n’est pas bien innovent et réutilise les ficelles classiques pour un scénario passablement ennuyeux. Mais le film offre ses grands instants comiques qui sont très réussis. Drôle, surtout grâce à Rowan Atkinson, ça se regarde sans difficulté.
Rowan Atkinson, Le Mister Bean de notre enfance, celui pour qui j’aurai toujours un peu de tendresse tant il a égayé mes soirées dominicales de jeune ado. Il est de retour une troisième fois dans le rôle de Johnny English pour notre plus grand plaisir ! Bien sûr, on sait à quoi s’attendre, et même si ses pitreries ont selon moi toujours plus fonctionné pour des courts-métrages sans grand scénario, j’avoue que j’ai apprécié le revoir ici. Olga Kurylenko n’enlève rien au plaisir, le duo est sympathique, c’est simple mais efficace, peut-être que la pointe de nostalgie aide un peu, mais le sourire était là tout au long du film, je n’en demandais pas plus. Bref, une comédie classique tout à fait appréciable !
Aussi musclé que son scénario, l'agent reprend du service sous la couverture d'un troisième réalisateur qui n'apporte pas de renouveau dans le service. On sourit sans s'esclaffer. Un binôme avec un plus fou que lui aurait été une vraie idée de départ, mais aujourd'hui face aux autres parodies d'agent secret, Johnny traîne la patte
Le 1er est hallucinant d'inventivité avec une musique magnifique qui n'a rien à envier aux James Bond.
Le 2e était désolant de déception.
Celui-ci renoue avec panache avec l'esprit du 1er et se permet, sans spoiler, de faire rien de moins qu'innover dans le domaine de la course-poursuite en voiture.
Mais il y a plein d'autres idées nouvelles comme une utilisation intelligente (je veux dire débile bien sûr!) de la réalité virtuelle. La musique est moins emballante que dans mon 1 fétiche mais c'est vraiment agréable de voir cette tronche d'idiot dans un film à la hauteur.
Pour les inconditionnels, le plaisir de retrouver Johnny English et les gags formidables dont seul Rowan Atkinson à les recettes longuement concoctées depuis 1989. Un monument de 30 ans qui nous offre un nouveau divertissement efficace. Les codes sont inchangés, la qualité de la réalisation toujours bonne et ce nouvel opus était attendu avec impatience.
L’affiche publicitaire avec cet acteur au rôle farfelu de « Mr Bean », on pense systématiquement à une parodie d’espionnage britannique, l’humour présent est fortement absurde. Il se met dans la peau du pire des agents secrets au service de sa majesté et de sa première ministre trop distraite pour s’arracher les cheveux, tout le contraire du charisme anthologie de l’homologue bon élève 007, les baguettes de bataille en lunette 3D sont des spécialités gags du cancre du renseignement. C’est pas mal comme comédie, les acteurs font leurs jobs divertissement comiques, ne nous en privons pas pour apprécier la fine maladresse venue du Royaume uni.
Ce troisième épisode des aventures de Johnny English, sorti tout récemment et réalisé cette fois-ci par David Kerr, n'est pas mal du tout. L'espion gaffeur est désormais enseignant de géographie dans une prestigieuse école mais il doit revenir aider le MI7 afin de capturer un hackeur. On le sait maintenant, ce n'est pas le scénario que les films de la franchise se démarquent par leur humour délirant et ce film n'échappe pas à la règle. C'est un film que j'attendais depuis un petit moment, ayant adoré le premier et bien aimé le deuxième mais j'avais tout de même un peu peur car, en général, lorsque l'on fait des suites à une saga comme celle-ci, les résultats en sont de plus en plus médiocres. J'ai donc été agréablement surpris car sans être meilleur ou même égaler le premier, il est quand même un peu mieux que le deuxième opus. Au niveau du scénario, nous n'avons donc rien d'original, nous avons même le même fond sur le plan narratif que celui du premier mais qui se différencie par la forme. Par exemple, nous avons ici les nouvelles technologies qui sont source perpétuelle de gags et de gaffes pour notre espion démodé. L'humour y est un peu moins lourd que dans le deuxième même si nous avons encore quelques gags un peu longs mais il y en a de très bons, notamment celui avec la réalité virtuelle et avec l'auto-école qui sont excellents et très bien trouvés. On ne s'ennuie pas non plus car le rythme est assez soutenu. Du côté des acteurs, nous retrouvons bien-sûr Rowan Atkinson (que serait un "Johnny English" sans lui ?) mais également Ben Miller qui avait beaucoup manqué au casting du deuxième film. Nous avons également, entres autres, Emma Thompson et Olga Kurylenko qui jouent très bien. "Johnny English contre-attaque" est donc une bonne suite, tout simplement.
Exactement le film auquel on pouvait s'attendre. C'est débile, prévisible mais on ne s'ennuie pas et certains gags font rire. Le talent gestuel comique de Rowan Atkinson fonctionne toujours et rendra nostalgique les fans de Mister Bean. Un film à éviter sinon pour ceux qui n'apprécient pas ce type d'humour.