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    Proxima
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    3,6
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    199 critiques spectateurs

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    Chris Marou
    Chris Marou

    4 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 décembre 2019
    Les astronautes sont des super hommes et femmes. Intellectuellement et physiquement..
    Mais ce sont avant tout des hommes et femmes..
    J'ai bien aimé les séquences d 'entrainement , et cette relation mère fille. Bien interprétée.
    on peut reprocher pourquoi cette histoire est pour une mère et sa fille.Pourquoi pas avec un père et sa fille.toujours ces vieux clichés , la mère indispensable et le père non.
    Son escapade hors du centre n 'est pas réaliste, mais c 'est un film bien agréable à voir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 décembre 2019
    Film magnifique de sensibilité,j'ai beaucoup pleuré tant c'est bien écrit - par une femme pour les femmes -remarquablement interprété par Eva Green ,la précision des détails,les décors naturels grâce auxquels on est impressionné,la mise en valeur de ces énormes machineries et technologies face à la fragilité de l humain et la force de ces femmes qui ont une volonté de fer tout en étant féminine.C'est à la fois un documentaire d'exception avec une super héroïne maternelle ,du jamais vu !Bravo , bravo,même si vous n'êtes pas attirés par l'espace (comme moi) allez-y! vous serez bouleversés et vous apprendrez beaucoup .Merci à Aline Winocour
    thetitus
    thetitus

    7 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 janvier 2022
    Bon film filmé sur les sites réels. Pour un passionné comme moi de la conquête spatiale c'est vraiment intéressant, avec la Cité des étoiles et Baïkonour on découvre le vrai, le réel pas les guignolades navrantes de Starwars par exemple.....
    L'entrainement des cosmonautes est très intéressant d'autant plus que nombre d'acteurs ou de figurants sont les vrais intervenants. Il y a même Thomas Pesquet.
    Le scénario vaut ce qu'il vaut mais contrairement à certaines critiques je pense que partir un an dans l'espace, loin de sa famille, ne doit pas être une petite affaire.
    Et puis le fait que cette aventure spatiale soit internationale est un vrai souffle d'espoir et de Paix.
    75001tine
    75001tine

    10 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 décembre 2019
    Film trop lacrymal, trop dans l'émotion pour être intéressant. On attend, on attend mais, au final, on s'ennuie ferme pour une fin attendue et sans surprise !
    Alexis
    Alexis

    2 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 novembre 2020
    Le scénario de ce film est plus que banal.
    personnellement je trouve que c'est plus intéressant de le prendre comme un mini documentaire que comme un film qui en lui même est plus que ennuyant.
    YVANELEM
    YVANELEM

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 décembre 2019
    Allez le voir. Très beau film, bien écrit, bien dirigé, original pour un film sur la conquête de l'espace, puis qu'il y est question de la préparation, mais surtout de la séparation entre une mère cosmonaute et sa fille. Le film a été écrit à partir des témoignages de femmes cosmonautes et reprend leurs anecdotes. Eva Green est étonnante de force et de fragilité mêlées, dans ce monde très masculin. Un beau rôle également pour Lars Eddinger et Matt Dillon. Zélie Boulant-Lemesle, dans le rôle de la fille d'Eva Green est étonnante d'authenticité, de simplicité.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 décembre 2019
    Plongée dans les relations entre une mère cosmonaute séparée et sa jeune fille qu’elle s’apprête à quitter pour rallier l’espace. Comment faire comprendre à cette jeune fille que ce depart n’est pas un abandon? Comment la brutalité de l’annonce du départ est vécue? Comment chacun gère cette perspective du depart? En filigrane, le monde de la preparation physique au decollage est bien montré. Le film commence lentememt puis décolle et enflamme le spectateur. Sensibilité et spectacle. Acteurs excellents. Film beau, profond, touchant et mystérieux. 15/20
    FaRem
    FaRem

    7 508 abonnés 8 869 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 avril 2020
    Tout rêve s'accompagne de sacrifices... Sarah est sur le point de réaliser son rêve en rejoignant une mission d'un an dans la Station spatiale internationale, mais cela signifie également qu'elle va devoir quitter sa fille. "Proxima" nous fait suivre les semaines qui précédent le jour du départ avec une préparation qui semble utile pour les deux séparations. Les femmes dans l'espace, c'est rare et dans les films de ce genre, ça l'est encore plus, donc c'est un bon point pour Alice Winocour surtout que son film est vraiment réaliste. La réalisatrice a notamment tourné dans l’agence spatiale européenne de Cologne et au Kazakhstan pour le décollage de la fusée. Il y a pas mal de références et elle a même pu compter sur la présence de Thomas Pesquet. Niveau crédibilité, c'est un film au point. Pour ce qui est de l'histoire, je pense que j'aurais vu le film différemment s'il n'était pas réalisé par une femme. Au départ, Sarah est limitée à son rôle de mère-femme comme si un père ne pouvait pas être triste de partir loin de son enfant. D'un côté, cela sert aussi à dénoncer avec Sarah qui a du mal à trouver sa place dans ce milieu d'hommes et qui doit faire face à un Matt Dillon particulièrement macho. Heureusement, ce n'est qu'au début, car par la suite, l'écriture devient plus subtile, plus juste. Si dans un premier temps, je trouvais la relation mère-fille futile étant donné que toutes les scènes sur la préparation de Sarah étaient bien plus intéressantes, ce n'était plus le cas par la suite. En fait, c'est tout le film qui gagne en intérêt au fil des minutes avec de bonnes scènes lors de la préparation ou de belles scènes entre la mère et sa fille. Eva Green est vraiment superbe. Au final, "Proxima" est un bon film qui évoque une touchante relation mère-fille et le parcours d'une femme dans un milieu principalement masculin.
    Jorik V
    Jorik V

    1 205 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2019
    Alice Winocour trace une voie assez singulière dans le paysage cinématographique français avec des films exigeants qui respirent une sensibilité féminine dans des univers à priori très masculins. « Proxima » ne déroge pas à la règle après l’intrigant « Maryland » et le plus austère « Augustine ». Néanmoins cette fois, en dépit d’une audace thématique et d’un déroulement carré, cette oeuvre est peut-être la moins réussie des trois alors qu’elle est peut-être la plus accessible. Enfin, une accessibilité toute relative, on reste dans du cinéma d’auteur qui ne plaira pas à tout le monde. On est en effet loin, très loin, de « Gravity » ou même le plus réflexif « Ad Astra ». D’ailleurs, avec son personnage féminin central omniprésent, le film pourrait avoir des accointances avec le chef-d’œuvre d’Alfonso Cuaron mais il n’en est rien. « Proxima » en est l’exact opposé. C’est un long-métrage anti-spectaculaire au possible qui se focalise davantage sur l’intime que sur l’aspect visuel cherchant à en mettre plein les mirettes. On pourrait à la limite plus le voir comme un prologue au long-métrage avec Sandra Bullock puisqu’ici on se concentre sur la préparation et non au voyage, le film s’arrêtant au décollage de la fusée là où on retrouvait Bullock dans l’espace dès le départ. Mais même si le film regorge d’informations instructives et intéressantes sur la préparation à un tel voyage, ce n’est pas non plus le sujet principal de « Proxima ». Non, ici on décortique surtout une relation basique et universelle, celle d’une mère avec sa fille. Et sur le combat intérieur de la première qui va devoir quitter la seconde pendant plus d’un an pour l’amour d’un travail pas comme les autres.



    Porté par une Eva Green très investie et convaincante, « Proxima » parvient bien à nous faire ressentir le combat intérieur d’un personnage tiraillé entre son amour de mère et la passion pour son travail. C’est original sur ce point et bien analysé. En revanche, on arrive moins à palper la difficulté d’être une femme dans un milieu extrêmement masculin. Certainement que Winocour a voulu éviter les clichés de ce type de situation, mais on a l’impression qu’hormis quelques difficultés physiques évoquées, l’astronaute féminine fait jeu égal avec son pendant masculin. Ou alors est-ce le cas ? Difficile à dire tant cet aspect est effleuré. Mais ce sur quoi le long-métrage capote surtout, c’est bien l’émotion. La cinéaste garde sa mise en scène très austère, froide et épurée, un style qui collait tout à fait à ses deux précédentes réalisations mais qui s’accommode moins d’un tel sujet. Tout cela manque d’emphase et surtout on n’est jamais vraiment touché par la relation présentée à l’écran. On aurait aimé être ému mais cela n’arrive jamais, même quand on sent que dans certaines séquences c’était le but de la réalisatrice. Et la musique très discrète, qui rappelle parfois sur certaines notes l’inoubliable bande originale de « Interstellar » composée par Hans Zimmer, n’y peut rien. De plus, c’est un peu long à l’allumage et l’ennui pointe souvent par manque de péripéties, aussi intimes soient-elles. Un bien joli projet sur la note d’intention, de plus documenté comme il faut pour un réalisme indéniable, mais qui manque profondément d’affects.



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    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    596 abonnés 1 402 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 décembre 2019
    Vu par hasard, j'ai été troublé par la sincérité du film d'Alice Winocour. Une dualité entre la mère et l'aventurière. Presque filmé comme un documentaire, sans étoffer le scénario d'une intrigue extraordinaire, "Proxima" observe le processus de séparation d'une mère astronaute avec sa fille unique, tout en mettant en parallèle le parcours du combattant pour pouvoir décoller de la terre. La réalisatrice rend hommage aux femmes, à ces super-héroïnes des temps modernes qui embrassent leur destinée dans un monde ultra-masculin. J'ai beaucoup aimé comment la réalisatrice a filmé de façon épuré cet entrainement quasi surhumain, puissamment motivé par l'instinct maternel. Alors certes, il n'y a pas de rebondissements mais la force de l'invisible suscite toute notre attention. Personnellement, je ne me suis pas ennuyé et j'ai été hypnotisé par la simplicité de son actrice principale. Contrairement au récent "Ad Astra" de James Gray où le lien du sang réunissait un père et son fils aux confins de l'espace, "Proxima" témoigne du lien ombilical et fusionnel qui se scinde délibérément à l'aube d'une excursion spatiale. Dans cette sobriété, Eva Green est flamboyante de justesse et de détermination. Ca fait du bien de la voir dans un rôle dénué de tout jeu de pouvoir et de mysticisme. Pour le coup, j'ai eu l'impression de la redécouvrir, notamment dans sa sensibilité. Par contre, Matt Dillon est vraiment secondaire mais on retient les belles présences de Zélie Boulant et Lars Eidinger. Alice Winocour met superbement en exergue le lien maternel au travers d'un contexte original et exclusif. Qu'on apprécie ou non ce regard, la réalisatrice pose une empreinte singulière et profonde qui promet des prochains films riches en émotions.
    Yetcha
    Yetcha

    755 abonnés 4 292 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2021
    Eva Green incarne à merveille une spationaute en préparation en nous plongeant dans le quotidien de la préparation d'un vol spatial en optant sur l'axe de l'hommage envers les femmes qui sont trop rares dans ce milieu. Les difficultés d'être loin de sa famille, l'intensité de la préparation, le sexisme et l'ensemble des qualité requises pour faire ce métier. On y voit Thomas Pesquet (qui parle dans un anglais furieusement juste et sans accent, impressionnant) et l'ambiance est franchement réaliste. Un beau film à la limite du documentaire.
    moket
    moket

    446 abonnés 4 217 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 août 2020
    Le film décrit avec une précision quasi documentaire l'envers du décor du monde de l'astrophysique, mais la conquête spatiale est presque anecdotique ici, au profit des atermoiements de l'excellente Eva Green, tiraillée entre sa fille et sa carrière. L'actrice est formidable mais le film manque un peu d'envergure et reste trop terre à terre...
    Hotinhere
    Hotinhere

    430 abonnés 4 767 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 septembre 2020
    Une femme déchirée entre sa passion d'astronaute s'apprêtant à partir un an dans l'espace, et celle de sa fille. Un film sensible qui a la précision d'un documentaire mais un peu mou, malgré la prestation impeccable d'Eva Green.
    maxime ...
    maxime ...

    202 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mai 2023
    Le Proxima d'Alice Winocour tiens d'une étrangeté, proche et si lointaine d'Augustine, motivation principale de mes envies de découvertes. Après un premier long métrage aussi fort et prenant, cette réalisatrice parviens à s'infiltré dans une autre sphère, un autre cocon et en extrait une source ou le hors du commun est affaire de norme ...

    Dès le départ, on commence par une forme d'exo. Physique et psychologique. Il ne faut pas chercher bien loin pour comprendre qu'ici, le rôle, sera l'un des objets d'expertises, une loupe sur un présent et un avenir. Une femme, qui dans l'exigence de ses obligations, jongle entre pro et perso, dans une conjugaison à double sens, dans la proximité et la distance. Franchement, le film parait froid, austère parfois, mais une fois quitté, on comprend ... On ressent !

    J'ai aimé le mélange des langues qui d'emblées fait le lien de la parabole commune, entre concurrence et partage. L'organisation / planification de la quête se ressert dans cette communion étrange fait de rivalité et d'adversité, aux travers d'une union encore une fois qui se calque sur une drôle de mécanique, qui passe à la moulinette ces routines peu communes. Se préparer à la séparation et la mission à venir, avec les sacrifices évidents, comme pour d'autres un peu moins.

    Le fait d'être une femme, dans ce milieu, principalement masculin, avec les préjugées et moqueries de " bonne " camaraderie considère avec une vision télescopique le rapport de force qui s'instaure et l'épreuve nettement plus délicate pour Sarah, ce personnage pour lequel on obtiens une sympathie à la fois soudaine et renversante. Elle, qui doit endurer le choc, sans rien montrer, être encore plus robuste que ses congénères, jugé plus durement à la moindre entrave à ce code de marche forcée. Qui sourit devant, qui vomit en cachette ... Mise sur le banc pour un retard, remplacée pour une faiblesse, une fatigue, incomprise car difficile de cacher ses émotions dans une telle condition. Elle qui gère touts, ou presque. Qui plus est, pas très fan des protocoles par dessus le marché !

    La relation mère - fille est d'ailleurs son épicentre. C'es par passent ses instants les plus renversants. Dans une piscine, ou derrière une vitre, en pleine présence, ou dans une absence, Proxima raconte dans les yeux de l'une et de l'autre la tendresse qu'elles éprouvent. Cette femme, cette mère, qui mène sa carrière, sa vie comme elle l'entend, à sa guise, bouleverse et transperce les murs. Sans grosse louche, au contraire, dans une finesse assez folle ...

    La quarantaine, et sa demi-fuite pour voir la fusée avec cette compagnie si recherchée en est la plus belle des preuves. Un moment d'on l'image và me rester ! L'allumage et le décollage, dans les yeux fiers et tristes des entourages aussi.

    L'hommage final d'Alice Winocour pour ses femmes astronautes est à prendre avec une considération en pointillé, comme une marge, prenant de la place, un modèle du genre. A l'image de sa mise en scène, fluide, discrète et original, rationnelle, pertinente, intense dont l'étincelle prévaut tous les brasiers ... J'aimerai finir comme çà, mais j'oublie un point, crucial qui plus est ... Son actrice titre !

    Touts les comédien.e.s sont superbes, vraiment très bien, mais j'insiste sur Eva Green, qui trouve là une place pour une facette nouvelle. Elle m'a captivé, touché et ému, de A à Z. Voilà comment je termine cette critique d'un film qui sans m'emballer complètement m'a eu, dans un tour de force royal.
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    169 abonnés 1 427 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 décembre 2019
    Un film dont l'intrigue, même si elle rappelle de grands films hollywoodiens, reste simple et très intéressante. Un aspect de la vie des astronautes féminines qui est bon de rappeler.
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