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    Hollow Man, l'homme sans ombre
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    253 critiques spectateurs

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    Starwealther
    Starwealther

    48 abonnés 1 161 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 avril 2022
    Paul Verhoeven fonde ce film fantastique sur l'invisibilité et toute la perversité qui en découle. En effet, Sébastian Caine (Kévin Bacon) décide de se porter volontairement pour un un sérum le rendant invisible puis d'utiliser l'antidote qu'il vient lui même de découvrir. Malheureusement, il restera invisible et ne pourra revenir à son état physique antérieur. S'en suit une haine des autres et un besoin de vengeance, il utilisera d'ailleurs l'invisibilité pour assouvir ses pulsions meurtrières. Le réalisateur réussit un très bon film, les effets spéciaux sont d'excellente facture, le cinéaste utilise encore la jalousie dans le trio amoureux comme il l'avait déjà fait précédemment dans "Starship Troopers" comme problème principal de son film.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 171 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 octobre 2018
    Kevin Bacon joue un brillant scientifique qui vient de mettre au point une formule pour rendre invisible. Pour son test ultime, il tente l’expérience sur lui-même. Mais son équipe et lui ne parviennent pas à inverser le phénomène. Réalisé avec un budget de 95 millions de dollars, le film est une véritable prouesse dans sa première partie. Les effets spéciaux de décomposition de l’homme sont incroyables. Pourtant, une fois l’expérience réussie, enfin pour le spectateur, « Hollow Man, l’homme sans ombre » se dirige vers un thriller sans véritable enjeu. En effet, l’homme invisible profite d’abord de son don pour donner dans la perversion mais finit ensuite par jouer à cache-cache pour tuer ses collègues un par un. Ces derniers n’ont d’autre choix que de se lancer à sa recherche plutôt que de rétablir les choses. A l’image de la carrière de Paul Verhoeven qui alterne nanar et chef d’œuvre, « Hollow Man, l’homme sans ombre » est un film inégal.
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    Shelby77
    Shelby77

    139 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mars 2024
    Un film assez décevant. Certes le thème abordé permet l'utilisation d'effets spéciaux originaux tournant autour de l'invisibilité mais le problème vient du scénario qui ne tient pas la route. Je trouve l'attitude du savant pas vraiment crédible sans compter le dernier rebondissement trop conventionnel. Nous avons donc du Verhoeven très moyen et sans surprise.
    Vador Mir
    Vador Mir

    224 abonnés 707 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2022
    Un excellent film de SF / action, avec des effets spéciaux très soignés pour l'époque, si bien qu'ils tiennent encore la route plus de vingt ans après. Le rythme du film est parfait. C'est bien réalisé. On peut regretter un certain pessimisme sur la nature humaine en sous-texte.
    mistermyster
    mistermyster

    34 abonnés 1 166 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 novembre 2020
    Verhoeven aux manettes, pourtant on ne ressent pas vraiment son style, le film date de 2000 et à voir aujourd'hui, on est bluffé par les effets spéciaux et on se dit que son réalisateur à misé sur ce point crucial pour la crédibilité de son film. A juste titre, car les scènes où l'on voit les transformations sont saisissantes. Bacon n'a pas le beau rôle, mais le personnage lui va parfaitement, quant au reste du casting, on a le droit à Elisabeth SHUE en haut de l'affiche. Se passant quasiment que dans le labo, le film pourrait vite devenir laçant, mais il n'en est rien, les différences entre les chercheurs, et les actions malsaines de notre homme invisible donne assez de piment pour nous tenir en haleine, du début à a fin.
    konika0
    konika0

    22 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 août 2021
    Dieu est partout, il voit tout, il peut tout.
    C’est le dernier Verhoeven qu’il me restait à (re)voir. Un film 100 % verhoevenien assurément. Sebastian Caine dirige un groupe de recherche scientifique qui vise à rendre des êtres vivants invisibles. L’expérience est hasardeuse et suite à des signes encourageants sur un gorille, Caine décide de tester la formule sur lui-même et parvient à convaincre son équipe de le suivre dans cette aventure. Seulement voilà, devenir invisible est une chose, redevenir visible en est une autre. Et surtout, s’il on n’est vu par personne, a-t-on besoin d’assumer ses actes ? On notera en premier lieu, une esthétique d’époque qui nous fait dire que oui, 20 années ont passé. Pour autant les CGI sont plutôt réussies même si avec les yeux d’aujourd’hui, on se dit qu’elles manquent de texture. Mais c’est un détail. La trame de l’intrigue est assez classique et c’est dans une foule de petites choses que se glisse la subversion à la sauce Verhoeven. Car avant d’être un film fantastique, c’est surtout la prolongation des réflexions de son auteur. Ainsi, le film questionne le pouvoir et la morale à l’échelle de l’individu. Si Caine se compare à Dieu, c’est parce que tel son égal il peut bouleverser les lois de la nature et s’affranchir du jugement du simple mortel. Dès lors, Dieu est-il bon par définition ? Au delà de ces considérations thgéologiques, Hollow Man tente de nous montrer que l’homme est fondamentalement perverti et que seule la pression sociale le fait rester dans le camp de ce qu’on appelle la raison et la morale. Si cette pression n’est plus, alors, c’est la liberté totale et tout est permis, surtout le pire. On pourrait aussi y voir une métaphore sur le libéralisme économique, destructeur et autodestructeur, prédateur carnassier, invisible, incontrôlable, qui file entre les doigts et pourtant lourd de conséquences pour les sociétés. Quand Dieu c’est la thune. Probablement pas un hasard si les recherches de Caine sont financées par le ministère de la défense. Au fond, si Verhoeven était allé au bout de sa logique, il aurait gagné à choisir un personnage moins manichéen, un type normal car le salaud, c’est toi et moi si on nous laisse faire. C’est donc un film complet qu’on tient là. Le suspens fonctionne à merveille et on s’accroche au siège. Bacon est parfait, comme d’hab. En bref, un très bon thriller qui offre une double voire une triple lecture à celui qui prendra le temps de creuser et de faire des ponts. 20 ans plus tard, c’est toujours aussi efficace et probablement plus actuel qu’alors.
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    41 abonnés 914 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 avril 2023
    Entre série B déviante et SF subversive, Verhoeven se montre toujours incorrect mais délivre le film hollywoodien commandé! Un résultat un peu ambivalent, un peu bridé, mais généreux en effets spéciaux sans être aussi sulfureux qu'attendu.
    bobbyfun
    bobbyfun

    30 abonnés 1 216 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 janvier 2020
    Une vision réussie, violente sombre de l'homme invisible. On aurait cependant aimé voir Verhoeven se lâcher un peu plus...
    dougray
    dougray

    207 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 janvier 2012
    Un excellent casting dominé par un Kevin Bacon magistral et des 2nds rôles parfait (Elisabeth Shue, Josh Brolin, William Devane, Kim Dickens...) et des effets spéciaux phénoménaux associés à une mise en scène efficace font de cet "Hollow Man" un bon divertissement qui se permet une réflexion sur la folie et les pouvoirs d'un homme qui serait invisible. Seul petit reproche, la 2nde partie est un peu moins bonne!
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    138 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mai 2015
    Un excellent film d'épouvante avec Kevin Bacon en homme invisible démoniaque. Josh Brolin joue très bien son rôle, celui du héros. Elizabeth interprète avec brio l'ex-petite-amie de Sebastian. Greg Grunberg, un ancien de la série Felicity les rejoint pour combattre l'homme sans ombre.
    Ricco92
    Ricco92

    175 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juin 2016
    Les échecs consécutifs de Showgirls et de Starship troopers poussent Paul Verhoeven en 2000 à s’orienter vers un blockbuster plus conventionnel mettant de côté ses tendances provocatrices. Ainsi, le cinéaste se calme sur la sexualité : désormais, les personnages portent des caleçons et des chemises de nuit pour dormir ! Même si le personnage principal est assez obsédé par le sexe, les séquences se plus osées se limitent à montrer rapidement des seins spoiler: : la séquence de viol s’arrête juste avant que celui-ci est lieu (les séquences coupées en montrent à peine plus avec un plan furtif se passant pendant l’acte puis en montrant très rapidement la femme choquée après celui-ci)
    . Même lorsque Sebastian Caine se déshabille pour tenter l’expérience d’invisibilité, Verhoeven ne filme Kevin Bacon que de dos et se limite à montrer ses fesses.
    Verhoeven met également un frein sur la violence. Ainsi, certaines séquences violentes sont filmées en infrarouge et la séquence la plus violente spoiler: (l’agression envers Carter)
    est peu sanguinolente en comparaison des œuvres passées du cinéaste. Cependant, Verhoeven conserve quelques restes de visions horrifiques lorsque Sarah balance des poches de sang pour faire apparaitre Sebastian et lorsque celui-ci se retrouve en cendres.
    Reste à savoir si Hollow man : L’Homme sans ombre est un bon film malgré son caractère plus soft dans la carrière du réalisateur ! En effet, le film possède un splendide générique de début, une très belle musique et surtout des effets spéciaux extrêmement réussis spoiler: (les séquences transition entre visibilité et invisibilité sont extraordinaires)
    . De même, les thématiques abordées (L’invisibilité fait-elle perdre toute valeur morale à la longue ?) sont intéressantes et l’intrigue est assez plaisante à suivre jusqu’aux dernières séquences.
    Hélas, celles-ci transforment Sebastian en être indestructible alors que son invisibilité est la seule chose qui le différencie d’un être humain normal. Cette volonté d’offrir un final plein d’action entraine un manque de crédibilité de celui-ci : spoiler: Frank passe du statut de quasi-mourant à celui-d’être en parfaite santé sans raison, on ne croit jamais à la séquence de l’ascenseur…
    On sent que Verhoeven ne s’intéresse pas à cette conclusion et bâcle même sa dernière séquence spoiler: (un seul plan où les survivants sortent accompagnés par les pompiers et sur lequel débute le générique)
    , ce qui est un comble de la part de l’homme qui nous a offert des fins aussi marquantes que celle de Robocop, de Total recall ou de Basic instinct.
    Hollow man : L’Homme sans ombre est donc un blockbuster pas déplaisant mais assez banal, malgré des qualités techniques indéniables, qui est le film portant le moins la patte d’un réalisateur ayant visiblement perdu une partie de sa liberté à Hollywood. Ceci-ci explique très certainement que Paul Verhoeven décida de retourner dans sa Hollande natale pour réaliser son film suivant, Black book.
    Henrico
    Henrico

    134 abonnés 1 268 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juin 2020
    Paul Verhoeven ne nous a pas pris en traître! Après « Turkish Delices », son 2ème film, puis « La Chair Et Le Sang », son 6ème, personne ne pouvait ignorer que ses thèmes de prédilection, le sexe, la violence, les institutions, l’Histoire même, feraient l’objet de critiques politiquement très incorrectes, voire franchement subversives. Pour ce qui est de « Hollow man », version dévoyée de l'Homme Invisible, le film est politiquement incorrect. Le génie scientifique est souillé autant par la vanité que par les plus bas instincts de la nature humaine. Dommage que Verhoeuven clôture son film par trente minutes lourdingues de scènes archi déjà vues. Pour ce qui est de « Turkish …», l’incorrection politique réside dans le fait qu’on franchit la limite de l’érotisme pour tomber dans une certaine pornographie. Celle de « La Chair …», venait d’une intrigue tout en meurtres, viol, inceste, produisant un effet de « revisitation » archi glauque d’un moyen âge chevaleresque idéalisé. «Robocop» lui, avait ceci d’incorrect qu’il dénonçait la tendance des gouvernants aux USA et dans les pays occidentaux à se défausser de leur devoir d’assurer des services d’utilité publique (ex: Police) sur des entreprises privées, lesquelles, obnubilées par la rentabilité finissaient sans scrupule par aller à l’encontre des intérêts des citoyens. Mais à souvent rechercher l’outrancier, Verhoeven a parfois glissé dans le racolage. Ce fut le cas de l’hyper sulfureux mais finalement moyennement bon polar que fut « Basic Instinct ». Paradoxalement, l’un des moins appréciés des films du cinéaste est pourtant le plus équilibré. Intelligent, parfois drôle, et toujours dynamique «Starship Troopers», use de l’outrance, mais sous le prisme de l’ironie dramatique. Sous une apparente apologie des films de guerre, avec ses scènes de "classes" et de batailles ultra violentes, Verhoeven les démonte en dénonçant le cynisme de leur patriotisme, de la médiatisation de la guerre qu'en font les chaînes de TV, et l’intrusion militariste dans l’institution scolaire. Avec le très réussi « Hollowman », une nouvelle « revisitation » glauque, cette fois des visions gentilles de homme invisible, on pensait que la création Verhoevienne irait crescendo. Hélas, mièvre et peu crédible « Blackbook » nous est tombé dessus. Allons Paul, ressaisi-toi!
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    91 abonnés 1 180 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mars 2017
    Une adaptation moderne mais efficace de l'Homme Invisible d'H.G. Wells. Il faut rappeler que le livre original n'est pas du tout gentillet comme ont pu l'être les adaptations ciné et TV. L'homme invisible est une personne qui profite de son statut d'invisibilité pour faire tout ce qu'il veut en toute impunité, y compris des crimes de sang. Cette version moderne renoue avec l'esprit original de l'ouvre littéraire, avec un Kevin Bacon très convaincant dans les rôles peu reluisants.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 janvier 2010
    Le concept est bien trouver et les effets spéciaux sont réussis. L’histoire reste prenante, même si la fin est un peu trop prévisible et semble un peu bâclé, on dirait que Sebastian devient invincible. Mais dans l’ensemble le film se laisse se regarder jusqu'à la fin. Kevin Bacon joue vraiment bien son rôle du scientifique qui au fur et à mesure du temps va finir part sombrer (il incarne une personne qui va devenir les principales failles de l’être humain : violent, jaloux, cupide ou encore avoir des pulsions sexuelles) et le reste du casting se débrouille plutôt pas mal : Elisabeth Shue, Josh Brolin, Kim Dickens, Greg Grunberg, Joey Slotnick, Mary Randle, William Devane ou encore Rhona Mitra, dans un petit rôle. Un bon divertissement.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 juin 2019
    Pas terrible du tout pour la réalisation connue du super « Robocop », rien d’extraordinaire venant des critiques moyennes des spectateurs donnant raison à « Total Recall », « Starship Troopers », et le plus chiant des mises en scène. Ça commence à mettre le paquet en musique de punk rock science-fiction intrigante, ensuite on s’en doutait sans surprise que cela se transformerai en cauchemar pétard mouillée, vraiment digne d’un téléfilm. Le petit épisode de dimension parallèle irrationnelle frissonnante laisse sa porte de l’enfer oubliée d’être fermée, l’homme invisible sans ombre saisit l’occasion pour assouvir ses pulsions radicales. La pire espèce qu’est un super-vilain qui profite de ce pouvoir sadique, j’ai pas eu la chair de poule, le réalisme de confettis ce travail numérisé, quelques frayeurs sans conséquences en visionnant cette théorie de l’horreur sanguine. J’avais vu le vidéoclip chic choc non censuré de chanteur pop, ça fait très peur celui-là au moins, ce n’est pas un film pour les enfants, attention à conseiller au plus de 12 ans. Des relations non consenties perpétrés par la cuisine au Bacon 🥓du brillant monsieur scientifique devenu fou prédateur obsédé, les collègues sont dépassés après la formule miracle du phénomène irréversible, la faute au service secret. Le célèbre docteur « Frankenstein » sévit dans sa mauvaise nature criminelle, le reste du scénario surtout vers la fin des scènes, fait très « Alien » le vaisseau spatial copié horrifique. Les incohérences de l’histoire, il y en a un paquet tout entier à avaler, la digestion se fera vite éliminé.
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