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    On ne vit que deux fois
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    66 abonnés 1 772 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2022
    Je le dis d’emblée, je ne suis pas très James Bond.
    Je n’ai vu que 4 James Bond au cinéma et suis ressorti à chaque fois peu emballé.
    A la téloche, l’espion 007 n’est donc pas ma priorité. Je peux même m’en passer.
    Puisque j’ai la possibilité de tous les voir, je vais me contraindre à parfaire ma culture 007.
    D’où une naïveté parfois volontaire et sincère.

    « On ne vit que deux fois » cinquième volet signé Lewis Gilbert.
    Voilà un autre James Bond que je n’avais encore jamais vu (déjà 3 sur 5).

    Le générique me paraît plus sage, plus discret dans les formes féminines qui ondulent ; il nous informe, pour l’essentiel, du lieu où l’agent 007 accomplira sa mission : le Japon

    L’introduction annonce du lourd : dans l’espace, alors qu’un astronaute est en sortie extra véhiculaire, un vaisseau anonyme avale la capsule spatiale US.
    spoiler: Plus tard, dans le récit, ce même vaisseau mystérieux gobera une autre capsule spatiale, cette fois, soviétique.

    Ce James Bond flirte avec la science-fiction.
    Cette fois, on y est vraiment ; depuis que je fréquente James Bond, la saga plonge sans complexe dans ce que j’appelle l’extravagance, l’improbabilité, l’invraisemblable.
    James Bond aura pour mission de dénicher ce vaisseau mystérieux qui kidnappe des capsules spatiales au milieu de l’Espace.
    Pour ça, il doit se rendre au Japon.
    Pourquoi le Japon, c’est à vous de le découvrir.

    A son arrivée au Japon, 007 doit prononcer un mot de passe savoureux à son contact.
    Moneypenny se charge de le citer avec délectation : « Je vous aime ».
    Elle lui demande de le répéter. Mais James Bond est un rustre élégant, pour réponse, il lui dit que c’est inutile car il est diplômé en langues orientales !
    Pauvre Moneypenny, combien elle aurait été heureuse de se l’entendre dire.
    En citant le mot de passe, Moneypenny n’en profiterait-elle pas pour déclarer sa flamme à James Bond ?
    Quant à James Bond, ne pas répéter le mot de passe, c’est sous-entendre que ce n’est pas réciproque.

    Voilà notre James Bond au Japon grâce auquel on découvre rapidement le sumo, les arts martiaux avec les fameux ninjas. Un espion chaussé parfois de sandales !
    On y voit même, ce me semble pour la première fois, un James Bond réaliser par deux fois deux cascades en se jetant par dessus les rambardes d’un port pour échapper à ses agresseurs.
    On lui présente des gadgets japonais qui n’ont rien à envier à ceux de Q.

    En parlant de Q, celui-ci s’est déplacé au pays du soleil levant pour monter la Petite Nellie ; spoiler: un petit hélicoptère qui permettra à 007 de scruter les environs pour tenter de dénicher l’antre du SPECTRE.

    Sans faire pour autant preuve d’originalité, la mise en scène use de pertinence spoiler: pour annoncer l’arrivée de quatre hélicoptères collés au derrière de la Petite Nellie. En effet, James Bond repère quatre ombres qui se dessinent sur les reliefs ; s’ensuit une poursuite dont l’issue permettra à 007 de dire :

    « Des malabars sont venus faire des avances à la Petite Nellie, elle a défendu sa vertu » !
    Toujours aussi coquin ce James Bond.

    En parlant de SPECTRE, Blofeld a enfin un visage, un visage balafré : celui de Donald Pleasence, The Number One SPECTRE.
    Il ne se montre pas de suite, la mise en scène nous l’incarne toujours de dos, de jambes, de pieds, engoncé dans son fauteuil à caresser son sempiternel chat blanc angora.
    La mise en scène nous permet de découvrir son visage au moment où celui-ci se présente à James Bond. C’est habile et je dirai légitime ; Blofeld ne peut se présenter aux spectateurs qu’à travers le regard de James Bond, son antagoniste.

    La James Bond Girl ? J’en compte trois dont deux japonaises : Akiko Wakabayashi dans le rôle d’Aki ; c’est le contact de 007 qui s’est entendue dire « Je vous aime ».
    spoiler: Cette petite Aki sauvera la vie de Bond au volant de sa Toyota quand même
    . Elle n'a pas le statut de potiche.
    Helga Brandt (Karin Dor), la secrétaire d’Osato ; spoiler: deux crapules à la solde du SPECTRE.

    Enfin Kissy Susuki (Mie Hama), spoiler: l’épouse factice de James Bond ; ce qui donne lieu à quelques moments coquins qui frustrent 007 qui aimerait tant jouer son rôle de mari !

    A propos de ce mariage blanc : James Bond est grimé en japonais. Risible pour ne pas dire ridicule.
    spoiler: Toujours est-il, ce couple artificiel finira par trouver la cachette du SPECTRE.


    En conclusion, j’en reste toujours à « Bons Baisers de Russie ». Indécrottable dans mon esprit.
    A voir en V.O… si possible.
    Roub E.
    Roub E.

    732 abonnés 4 823 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2022
    Dernier Sean Connery avant la pause d’au service secret de sa majesté on ne vit que deux fois continue d’évoluer vers le grand spectacle d’action avec une pointe d’exotisme. En effet on aurait pu appeler ce film James Bond au Japon tant l’aspect carte postale colle au film pour le meilleur et pour le pire (Sean Connery « grimé » en asiatique pour « passer inaperçu » est par exemple un passage qui a très mal vieilli). Autre chose qui a très mal vieilli ce sont les inserts sur des fonds projetés très nombreux et qui font vraiment tache. Mais malgré quelques défauts il reste plutôt un bon Bond. La chanson de Nancy Sinatra est excellente, les scènes ou James Bond fait « La Bagarre » sont amusantes, tout comme le fait qu’il soit très expéditif, il dessoude sans sommation dans ce film un nombre hallucinant d’hommes de main. Il y a aussi l’apparition de Donald Pleasance en Blofeld dont j’aurais aimé qu’il soit plus présent. Et puis il y a le travail sur les décors notamment la base de Blofeld typique de l’univers Bondien et qui sera repris dans les parodies comme Austin Powers. Loin d’être le 007 le plus marquant il reste tout de même un épisode plaisant.
    Jonathan M
    Jonathan M

    111 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 avril 2022
    Spectre, la révélation. Ernst Stavro Blofeld, premier du nom, interprété par le perfide Donald Pleasence. L'institution mafieuse internationale est révélée au grand jour. A noter, on ne voit pas mourir l'antagoniste principal à l'écran. Un épisode ambitieux, voici qu'on développe l'image de synthèse. Bon 50 ans sont passés par là, l'indulgence est de mise oui, mais le constat est sans appel : çà a hyper mal vieillit. Et si on peut rester très admiratif de l'envie de proposer une immersion dans l'espace, pas mal d'autres aspects font quelque peu tiquer : Un Sean Connery qui en prend un coup physiquement. Plus aussi affuté, la chorégraphie des bagarres qu'il nous propose est laborieuse. Curieusement, un laisser-aller dans son attitude l'éloigne quelque peu de ce qu'il nous a délivré sur les quatre premiers épisodes. Une production qui semble aussi dépassée : faire mourir Bond pour que ses détracteurs le retrouve aussi rapidement : utilité ? Le traitement de Mie Hama, une subtile James Bond Girl, est limite. On sait que le féminisme n'est pas encore un mouvement en herbe, surtout chez Bond, mais un minimum syndical aurait été le bienvenue. De même que le traitement réservé au Japon, première excursion asiatique pour James, et au peuple japonais, est très limite. Je crois que le maquillage effectué sur l'espion britannique lors de sa "planque" se passe de commentaire. Et pourtant une belle plume est derrière le script, Roald Dahl himself. Même Q et son prototype autogire cartoonesque rend le tout un poil ridicule. Bref, peut-être un épisode où l'intérêt commercial de la franchise dépasse celui de l'entertainment originel.
    stallonefan62
    stallonefan62

    237 abonnés 2 470 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 avril 2022
    Encore des péripéties pour notre James Bond !! Une enquête minutieuse réservant son lot d'actions !! Sean Connery donne de sa personne, que ce soit avec les femmes ou dans les combats au corps à corps !! Et puis voir Sean Connery grimé en Japonais ça vaut e coup d’œil !!
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    217 abonnés 2 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 avril 2022
    Pas dénué d'intérêt côté spectacle et avec un humour un peu plus subtil que d'habitude, ce nouveau volet des aventures de 007 période Connery amorce toutefois une pente descendante, due en grande partie à son scénario bourré d'invraisemblances et à une forme de désengagement de son acteur vedette. On sent le grand Sean peu concerné par ce qu'il doit faire, comme s'il anticipait déjà l'idée de laisser sa place. L'univers garde son charme et garantit le dépaysement, mais l'inspiration manque dans certaines séquences et dans la vision du Japon. Un opus qui appelle au renouvellement des cadres, assez clairement...
    S-Kayp
    S-Kayp

    126 abonnés 1 186 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2022
    Ce nouveau James Bond se déroule entièrement au Japon. C'est la première fois qu'on voit le visage de celui qui dirige le spectre (Ernst Stavro Blofeld). Et c'est la première fois qu'on veut autant tuer James Bond, spoiler: mais toutes les tentatives seront un échec, donc la première où on pense pourtant que James Bond est mort
    ! Il y a pas mal d'action (ça canarde pas mal) et c'est plutôt bien rythmé mais il manque un méchant charismatique en dehors de Ernst Stavro Blofeld qui n'apparait que vers la fin.
    Julien P
    Julien P

    14 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2021
    Sans doute mon préféré de Sean Connery! L'intrigue est présente. Le scénario est soigné. La mise en scène est correcte et à dû être compliqué à l'époque. Le casting est super. La BO est culte.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 395 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 septembre 2021
    L'histoire est très simple et en même temps totalement incroyable mais c'est aussi pour cette raison que le film est extrêmement divertissant à regarder. En tant que film d'action il est vraiment génial. Le film est vraiment rempli de nombreuses séquences d'action spectaculaires et même si elles sont un peu excessives. La plupart des séquences d'action n'ont même pas de sens lorsqu'elles se déroulent mais une fois que nous commencons à y réfléchir cela fait partie du charme du divertissement. On ne vit que deux fois est un film très imaginatif qui comporte des séquences inoubliables à la fois palpitantes et spectaculaires. Sean Connery est toujours excellent et amusant dans le rôle de James Bond et il a encore montré une bonne forme dans celui-ci. Cette fois Ernst Stavro Blofeld est joué par le légendaire Donald Pleasence. Il porte l'histoire à un niveau encore plus élevé. Il incarne le meilleur Blofeld de la longue série de films de James Bond avec Telly Savalas qui jouait le méchant personnage dans Au service secret de Sa Majesté. Il y a beaucoup d'action des aventures sur terre et sur mer de superbes Bond girls toutes jolies la crise entre les grandes puissances un méchant déguisé et maléfique tout est dans le très bon film de Bond rien de sérieux vraiment mais une aventure délicieuse et agréable au Japon montrant des endroits très rares et étonnants autour un paysage merveilleux et à couper le souffle et le grand et inoubliable acteur japonais Tetsuro Tamba. Et puis pour moi Sean Connery est le vrai et l'unique James Bond...
    maxime ...
    maxime ...

    196 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 mai 2021
    On ne vit que deux fois est un récital dans son genre, celui de diminuer l'autre pour mieux se valoriser soi-même. Forcement, le résultat tire sur une corde grotesque tant il est lourdaud !

    Le scénario est d'ailleurs mince au possible. On se sert du conflit opposant les USA et L'U.R.S.S comme de prétexte pour établir une base au Japon et en cela récité une comptine obscène, dégradante, humiliante au possible ... On ne se garde que vingt petites minutes en fin de film pour bâclé son intrigue déjà naze au possible tant si peu écrite et au fond complètement secondaire. Ici, l'enjeu est de filmer notre agent pantouflard en situation de conquête. Le mépris à son paroxysme !

    La voix de Nancy Sinatra est pour ma pars tout ce dont je souhaite conserver de ce long métrage.
    Dora M.
    Dora M.

    48 abonnés 479 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mai 2021
    James Bond (Sean Connery) enquête au Japon sur des incidents survenus dans l’espace, à l’encontre d’astronautes américains et russes, sur le point de déclencher une guerre entre les deux pays.
    Le film semble long, il ne m’a pas semblé très intéressant, peut-être en raison du trop grand nombre de situations improbables : James Bond s’initie à la culture japonaise (arts martiaux, mariage avec une japonaise) tout ça pour lui servir de couverture pour aller sur une île de pêcheurs ; le SPECTRE est capable d’envoyer des fusées en pagaille dans l’espace, en tout discrétion… Les scènes d’action ne sont pas folles, du moins semblent longues, comme celle avec tous les hélicoptères. Bref, vraiment pas le meilleur James Bond, à mon avis.
    gizmo129
    gizmo129

    72 abonnés 1 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2021
    Sur fond de carte postale du Japon et de guerre spatiale entre les deux puissances de l'époque, On ne vit que deux fois marque le retour de Sean Connery dans la peau de l'agent 007 après la piètre parodie Casino Royale. Le plaisir de voir l'acteur séducteur est toujours là et voir le décalage entre son physique et son rôle avec la culture du soleil levant rend quelques scènes croustillantes. Le film nous sert son lot d'action attendu, voir même bien plus que ce que l'on a l'habitude d'avoir, le budget est conséquent et de nombreux passages du film serviront aux futurs pastiches des Austin Power.
    vivaBFG
    vivaBFG

    10 abonnés 1 135 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 septembre 2020
    Voilà un James Bond qui a bien vieilli, mais en mal. Les effets spéciaux sont d'époque et cela se voit malheureusement un peu trop. Le scénario n'est pas top. Ce film vaut surtout pour le pays dans lequel il se déroule : le Japon. Et c'est assez rare pour le noter. Et il prend une place non négligeable dans la série des Bonds, et devrais-je dire, dans l'évolution des Bonds.
    A voir par les amateurs de cet espion et des films d'action en général et qui n'ont pas peur de l'ancienneté.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 008 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 août 2020
    « On ne vit que deux fois » ne fait pas partie des James Bond les plus plébiscités au sein des classements de tous genres concernant la célèbre saga. Le casting y est sans doute pour beaucoup, étant principalement composé d’acteurs japonais au détriment d’acteurs occidentaux plus célèbres auxquels les fans de la saga désormais bien installée peuvent s’identifier. Donald Pleasance campe certes un méchant parfaitement comestible mais il n’apparaît qu’en fin de film et de manière très éphémère. Outre ces handicaps certains, le film est tout à fait distrayant et passe plutôt bien l’épreuve du temps. Sean Connery a fini par céder aux supplications d’Albert R. Broccoli et d’Harry Saltzman qui ne sont pas parvenus à lui trouver un remplaçant crédible après que George Lazenby a décliné le rôle (le mannequin australien se décidera pour l’épisode suivant). La silhouette épaissie, l’acteur écossais comme toujours à l’aise dans le rôle se retrouve comme un poisson dans l’eau, insufflant encore une fois à l’agent 007 une bestialité sexuelle qu’on ne retrouvera plus chez aucun de ses remplaçants . Le scénario concocté par Roal Dahl, auteur de romans gallois jusqu’alors principalement connu pour son livre pour enfants « Charlie et la chocolaterie » et ami de Ian Fleming s’éloigne du roman original qu’il ne trouvait pas très bon . Il joue avec malice du climat tendu de la Guerre Froide pour tourner gentiment en dérision la bataille un peu puérile qui s’orchestre autour de la conquête spatiale depuis le lancement du premier cosmonaute dans l’espace. Les gadgets sont sans doute les plus convaincants depuis les débuts de la saga et l’humour va bon train avec un Sean Connery qui n’hésite pas une seconde à jouer avec son image de séducteur notamment quand lors d’un mariage factice, il est affublé d’une perruque et d’un maquillage « japonisant » du meilleur effet. Il faut aussi rappeler que Lewis Gilbert qui officie pour la première fois dans la saga était un réalisateur très subtil. Les spectateurs n’ont d’ailleurs pas boudé ce cinquième opus « japonais » qui mérite objectivement une réévaluation.
    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    75 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 août 2020
    Le SPECTRE fait encore des siennes : là c'est carrément la menace d'une Troisième Guerre mondiale. Ni une ni deux James Bond (incarné par un Sean Connery fatigué) s'engage dans la bataille afin de sauver (une énième fois) le monde. Direction le Japon et leur coutumes ou la femme est bonne a servir son maître (Bond s'y verrait bien a la retraite), il va même jusqu'à se grimer en asiatique (ce qui ne servira à rien puisqu'il sera a chaque fois repérer). Bref c'est un nouvel opus bien moins prenant qu'à l'accoutumée. Il faut attendre l'attaque finale pour sortir du sommeil.
    Le D.
    Le D.

    179 abonnés 891 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juillet 2020
    "On ne vit que deux fois" est le cinquième volet de la saga des James Bond avec encore Sean Connery en tête d'affiche. Le film est divertissant, l'histoire est sympa et les scènes d'action sont plutôt convainquant.
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