Avis : Doubles Vies - Page 7

un bon Assayas très mordant sur le monde de l'édition, ,posant malgré les bonnes questions sur les enjeux du numérique. Très drôle ce portrait du milieu "germanopratin" et des adultères en pagaille...
je recommande si on aime bien les films un peu bavards mais très drôles

Quel ennuie....!
Je m'attendais à une comédie sympathique... Pour finalement trouver une bande de bobos débattre (en s'écoutant parler) sur les éditions de presse, version papier ou numérique, pendant tout le film... Ce thème prend toute la place et finalement la comédie et les émotions de ses «doubles vies» sont remisées (très loin) à l'arrière plan!
Pour créer une illusion de dynamisme à ces débats fumeux, Assayas fait bouger sans cesse ses personnages... c'est usant à regarder!
J'ai été très déçue par Nora Hamzawi, que j'aime pourtant beaucoup sur Quotidien. Finalement elle ne joue qu'une émotion, et cela devient agaçant de la voir sourire de coin, l'air moqueur, tout le long du film avec la même expression qu'elle questionne la fidélité de son conjoint, parle de la presse ou (spolier)...
Bref, pourtant bon public, surtout au cinéma, je me suis passablement ennuyée, et même agacée,au point d'être proche de quitter le cinéma pour aller me coucher tôt !

Hier soir, une petite envie d'aller au cinéma entre potes.
"Doubles vies" d'Olivier Assayas.
On sait que l'on va voir un film français, alors on est tolérant sur pas mal de choses. On y va sans attente, juste voir un film au cinéma. Et là ! Boum, le clash !!! Assayas a réussi un exploit : le pire cauchemar du spectateur.
Les bobos parisiens déblatérant sur l'avenir de l'édition pendant plus de la moitié du film, dans des cafés et des apparts parisiens, chiant au possible ! Sans intérêt. Et quand ils ne font pas ça, ils baisent avec les conjoints de leurs amis, et tout ça sans aucune émotion. Ultra prétentieux, pas drôle, comment peut-on donner de l'argent pour produire un tel navet.
Ecriture insipide, image dégueulasse, intensité inexistante, comédiens au pire de ce qu'ils sont capables de faire (sauf Juliette Binoche qui s'en tire très bien avec des dialogues de merde), une réalisation ! Ah bon, il y a un réalisateur ? Après 30 minutes, une grosse envie de quitter la salle. Tout ce que l'on peut détester dans le cinéma parisien (déjà, "cinéma parisien" c'est détestable, même pour le parigo que je suis) est réuni dans ce film. A diffuser dans les écoles pour apprendre tout ce qu'il ne faut pas faire. Le plus mauvais film qu'il m'ait été donné de voir.
On est resté jusqu'à la fin parce que mon pote attendait une surprise, il voulait comprendre le message. Je vous rassure tout de suite, il n'y en a pas.

Le film et sorti en Italie et ne risque pas de faire long feu. Malgré des acteurs excellents qui interprètent très bien leur rôle, les dialogues sont assomants, prétentieux, vides, artificiels. Il ne se passe pratiquement rien du début à la fin. Les personnages tournent en rond et s'offrent des soirées ou des rencontres de "masturbation intellectuelle" sur le futur du livre à l'ère du numérique sans jamais nous proposer quelque chose d'intéressant. On asssite à des débats soporifiques entre des bobos un peu minables. C'est pas ça qui va aider le cinéma français à trouver son public en Italie ... Dommage.

Un film très bavard certes, mais passionnant , car les dialogues sont bien écrits et analysent puis décortiquent le fonctionnement du mode réel contemporain: internet , fake news, création littéraire, modern -art. Tout cela par des dialogues savoureux ,et souvent pleins sin d'humour.Des sortes de petites scènettes qui s'enchaine sur ces thèmes là. Sur cela se greffe des histoires d'amour , de tromperies , de liberté sexuelle. Le thème classique de l'usure du couple revisité de façon intelligente.Les acteurs sont vraiment très bons , bien dirigés, Guillaume Canet est très étonnant , très bon ,loin de sa zone de confort , en éditeur ambitieux , smart et fourbe. Mais la grande surprise vient de Nora Hamzawi, formidable de fraîcheur de justesse, on y croit , elle nous embarque , en femme tour à tour , manipulatrice, ingénue et sensuelle , une vraie révélation.

Le cinéma français dans ce qu il a de plus detestable. Histoires de bobos parisiens névrose2s avec le quota de personnages immatures ....aucun intérêt. Des films français comme ça y en a plein tous aussi détestables les uns que les autres

Je suis surprise par autant de médiocrité ! Je ne m'attendais pas à un film aussi long, lent et ennuyeux ! Les conversations à rallonges (et je pèse mes mots) des personnages imbus de leur personne sont sans intérêt et très peu crédibles ! On décroche très vite. Dès les 10 minutes, j'ai compris que j'avais fait une erreur en choisissant d'aller voir ce film... Une catastrophe. Passez votre chemin...

Un film décevant qui peine à être crédible en ce qui concerne le débat de la transition des livres papiers VS livres électroniques (film de 2019 tout de même). Les dialogues sont à rallonge. Ce film aura le mérite de parler pour ne rien dire (ou presque). On sent la lassitude ainsi que de l'ennui. Pour les amateurs de bons films, passez votre chemin concernant doubles vies.

Sans intérêt, les doubles vies sont un prétexte à un thème de base chiant, concernant une elite bobo chiants, avec des dialogues plats qui n'en finissent plus ... ce que j'ai vu de plus mauvais depuis un an!!!

Le nouveau Assayas remue l'air du temps et les questions de la fin du livre et du numérique et parle de la fin d'un monde cher à l'auteur-réalisateur.Ce n'est certes pas un chef d'oeuvre ni une Comédie humoristique ni un drame trés fouillé mais un film secondaire assez léger qui se laisse voir...On y retrouve avec plaisir Guillaume Canet et Juliette Binoche dans des rôles attachants ainsi que Nora Hamzaoui qui fait une entrée remarquée au cinéma.

Quelle déception: le plus gros navet de l’année. Un film sans scénario: la seule question métaphysique du film étant, les e-books vont ils remplacer les livres papiers? Vaste question...
Aucune action, aucune intrigue, les acteurs récitent un texte auquel il ne croient pas, sans aucune conviction. Mais pourquoi diable Guillaume Canet et Juliette Binoche ont ils accepté ces rôles? Visiblement le but est de décrire le quotidien de pseudo-intello parisiens s’écoutant parler au bar, au resto ou en buvant du rouge à la maison.
Je ne détaille pas toutes les phrases inintéressantes sans intérêt « gonflant » les dialogues du style: du sucre dans le café? J’ai froid.... C’est peut être la (ré’)émergence d’un style cinématographique. Peut être certains y trouveront ils une farce divertissante mais je n’ai pas entendu un seul rire dans la salle...
Bref, à fuir.

S’il est une sensation étrange, c’est celle de se retrouver seul dans une salle de cinéma.
je pense que c’est la première fois que cela m’arrive.
Mais bon… admettons que les éléments se soit coordonnés pour que personne ne vienne voir ce jour-là ce film classifié « art et essai » mais doté d’une belle brochette d’acteur par ailleurs connus pour leur talent.
Pour la suite, que dire ?
Rien.
Je ne peux absolument rien dire sur ce film dont j’ai cru qu’il était la mise en scène de longs échanges trouvés copié collé du net sur le sujet de l’édition. Aucune intrigue, aucune action aucun dialogue relevé aucune psychologie marquante et quand parfois on sent un frémissement de démarrage, il est aussitôt soufflé par le plan suivant qui semble n’avoir aucun rapport.
Il en résulte un film décousu pour lequel on passe son temps à se demander quel est le message et quand il va enfin entamer son propos
En fait, mon impression est que Tout se passe comme si le réalisateur avait pu se payer des acteurs qu’il aime mais qu’il ne savait pas quoi en faire.
Tout ceci explique t il le seul ticket d’entrée vendu pour cette séance ?
Du coup, je ne comprends pas les trois nominations à divers festivals prestigieux. c'est moi qui n'ai pas compris le film, c'est la seule explication possible.

Pour moi, Olivier Assayas est le réalisateur des extrêmes : d'un côté, des films que je considère comme exceptionnels, de l'autre, des films que je n'aime pas du tout. Entre ces extrêmes, rien ! Rien jusqu'à "Doubles vies", un film dans lequel on trouve du moyen, du bon, voire du très bon, et des défauts majeurs. Dans ce film, Assayas suit deux pistes. La première, ce sont les histoires sentimentales d'un éditeur, de sa femme, d'une de ses employées et d'un de ses écrivains, ce qui donne un marivaudage inégal, assez convenu dans l'ensemble mais recélant quand même quelques très bons moments. En fait, la partie la plus intéressante du film se situe dans la deuxième piste : une réflexion sur les bouleversements apportés par le numérique dans le monde de l'art en général et, ici, plus particulièrement, sur le monde de l'édition. Sujet très intéressant, vous en conviendrez, mais dont le traitement, plutôt sur le ton de la comédie, se révèle bavard, très bavard, trop bavard, avec, en plus, pas mal d'enfonçage de portes ouvertes. Dans la distribution, l'éditeur Guillaume Canet apparait un peu éteint, son épouse, Juliette Binoche, toujours au top (et sujet du meilleur clin d'œil du film !), l'écrivain Vincent Macaigne, faisant du Macaigne (attention, c'est une qualité !), son épouse, Nora Hamzawi, prometteuse dans ce premier rôle important au cinéma, tout comme Christa Théret, chargée du développement numérique chez l'éditeur.

Troisième long métrage que je visionne du cinéaste Olivier Assayas après les plutôt bons "Sils Maria" et "Personal Shopper" découvert en salles et pour son nouveau film "Doubles vies", le metteur en scène nous plonge dans le monde de la culture avec un ton léger et passionnant a suivre !! Olivier Assayas a la casquette de réalisateur et scénariste et nous plonge avec dans le fond l'adultère mais dans la forme des répliques du monde de la littérature, de l'édition, du cinéma avec des dialogues instructifs, très technique des professions de l'art, très fines et parfois droles. Avec un scénario comme ça, la mise en scène ne peut ètre très inspiré et je dois dire que j'ai été absorbé dans ce long métrage manié intelligemment. Les comédiens sont très bons comme Guillaume Canet, Juliette Binoche, Vincent Macaigne, Christa Théret, Pascal Greggory entre autres. Du très bon Olivier Assayas que je recommande.

Un marivaudage très inspiré, remarquable écrit et interprété, ce qui est d'autant plus fort que les personnages ne sont, au final, pas si attachants, mis à part Valérie, la seule qui semble croire à ce qu'elle fait. Dans le rôle, Nora Hamzaoui est tout simplement formidable, émouvante, drôle. La scène finale, qui illumine le film et lui donne tout son prix, doit beaucoup à la sincérité de la comédienne et à celle de Macaigne. Et comme Jonathan Richman chante une histoire de martiens sur le générique de fin, on n'est pas loin du bonheur...