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tixou0
638 abonnés
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1,0
Publiée le 1 octobre 2019
"Un Jour de pluie à New-York" ?... Une sorte de "jeux de l'amour et du hasard", mais plutôt en mode "niaiseux" (comme disent nos cousins du Québec), hybridée avec une sorte d'"impromptu" (de N-Y - pour temps pluvieux), mais ici c'est de cinéma dans le cinéma, qu'il est question. Cependant Woody Allen n'est ni Marivaux, ni Molière, et à peine WA, en fait ! On ne perçoit qu'une très vague lueur de son ancienne manière, caustique et alerte. C'est tristounet, redondant, et globalement....vide. Le couple central (une godiche et un indécis) n'a aucune épaisseur - pas plus que les personnages secondaires, d'ailleurs. Ces rôles, à peine esquissés, sont mal défendus. Qui sauver ?.... Hélas, aucun interprète ! Ai dû m'assoupir (ce qui ne m'arrive quasiment jamais au cinéma), car, émergeant à un moment, un détail du peu substantiel dialogue, saisi au vol, faisait à l'évidence allusion à une "péripétie" de "Ashleigh", relevée par "Gatsby" (notons au passage l'effort intellectuel des parents parvenus de chaque "héros", quant au choix du prénom de leur progéniture), que j'avais "zappée" (pour autant sans dommage...). 84 ans aux tisons, Mr Allen... il est sans doute temps d'arrêter le cinéma : votre style n'est même plus essoufflé, il est carrément tari.
On retrouve les classiques de Woody Allen : New York, le jazz, le piano, les psys et la névrose, les juifs, l'infidélité, le couple. Film assez moyen au final : Elle Fanning sous exploitée dans un rôle de gourdasse, Timothée Chalamet en pauvre petit garçon riche, trop de blabla (on s'écoute beaucoup parler ...), des répliques qui tombent à plat et beaucoup de longueurs. Heureusement, Selena Gomez surnage au milieu de tout ça. Il faut vraiment être fan du réalisateur pour apprécier ce film.
Woody Allen, c'est Woody Allen...alliant à la fois le romantisme, l'art (dans ce film piano, peinture et sculpture sont de la fête) et surtout sachant exploiter tous les sentiments présents chez les personnages. Un scénario sentimental et plein de surprises avec New York sous la pluie, un régal. Comme à son accoutumée l'introspection orale chez les acteurs prime et donc à chaque fois qu'une pensée trotte dans la tête de ces derniers, elle émerge et nous fait vivre en même temps leur réalité du moment. Très bien interprété, film intéressant et non dénué de surprises...
Sans être fan de Woody Allen, j'apprécie certains de ces films, mais celui là m'a carrément agacé. Je n'ai même pas lu les critiques presse car je les sais excellentes dès qu'il s'agit de Woody Allen, ce qui n'est vraiment pas objectif pour ce film. Un jeune new-yorkais prétentieux trimballe à Manhattan une petite bourge provinciale nunuche. Elle Fanning est vraiment trop insupportable dans son rôle de godiche. Cette histoire de jeunes baignant dans le luxe, est ennuyeuse, pas drôle et ne peut intéresser que les inconditionnels de Woody Allen
"Un jour de pluie à New York" est un Vaudeville avec deux jeunes tourtereaux dont le week-end en amoureux ne va pas se passer comme prévu et révéler "leur vraie personnalité". On a impression d’avoir vu toutes les scènes de ce film ou presque dans les précédents films de Woody Allen. Le scénario est paresseux et lourd avec les éternels clichés éculés (la blonde idiote et gentille, le réalisateur névrosé et dépressif, l’acteur dragueur, etc…), les quiproquos et intrigues croisées... des choses qui, par le passé (années 70, 80 et 90), fonctionnaient bien, dans des comédies souvent drôles et raffinées. Mais ça, c’était avant ! Ici, on sourit deux ou trois fois mais les répliques ne font plus mouche. Les dialogues de Woody Allen ont vieilli et ses personnages n'ont jamais semblé aussi fades et prévisibles. Bref on s'ennuie ferme. Autant je trouve que Woody Allen est capable encore de nous émouvoir avec des films très beaux comme "Wonder Wheel" et surtout "Blue Jasmine", autant, avec ses comédies, il ne suscite plus qu’un ennui poli.
Barbant comme la pluie ! Un film affligeant de platitude, de bavardages ininterrompus et de projecteurs orange dégoulinants. Une débauche de luxe qui fait penser à des publicités pour Ikea, Maisons du monde et Cuir Center réunis, sans parler des toilettes de grands couturiers et des suites royales, les lofts somptueux, etc. Si vous tenez à suivre les péripéties de deux têtes à claques pleines aux as (un fils à maman et sa blonde caricaturale à souhait) à travers tout ce que Manhattan a de clinquant, dans une succession de plans et de rencontres improbables, des dialogues totalement creux et bidon, le tout au son d'un piano qui n'en finit pas de jouer sa partition horripilante, vous ne serez pas déçus ! On a reproché à Jean-Pierre Jeunet de ne pas avoir montré de noirs ou de maghrébins dans "Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain" : que ne va-t-on reprocher à Woody Allen dans cette véritable maison de poupées pour petite fille riche ? Ici, tout n'est que fric, décors en carton pâte – mais de luxe –, draps et rideaux en soie, grands crus et champagne qui coulent à flots, jusqu'à la nausée – c'est bien le cas de le dire. Woody Allen est-il tellement arrivé au bout du rouleau qu'il verse dans cette caricature extrémiste ? L'histoire est tellement insignifiante qu'elle serait nécessairement refusée à tout cinéaste ayant moins de moyens pour ses caprices. Les Gilets jaunes bruleraient une salle de cinéma pour moins que ça ! À projeter lors d'un dîner au Rotary, pas plus. Et si vous n'entendez pas les dialogues, vous ne perdrez pas grand chose. Du "prêt-à-voir" pour les riches, comme on dit du "prêt-à-porter" chez les 'pauvres'.
D'habitude je me laisse porter par l'univers de Woody Allen, mais là je n'ai pas accroché. J'ai trouvé l'histoire creuse et artificielle et les personnages sans intérêt. Le personnage principal (Timothée Chalamet ) sonne faux. À travers lui c'est Woody Allen qui parle. Les rebondissements de l'histoire m'ont laissé de marbre et les dialogues ne m'ont pas fait rire. Ennui !
Le plus mauvais Woody vaudra toujours mille fois mieux que l'ordinaire du flot ininterrompu de films Hollywoodiens standards. Et la en plus on a un bon Woody. Légèreté, finesse, drôlerie que demander de plus au cinéma que de nous transporter joyeusement une heure et demie durant dans un rêve, un peu amer, mais tellement enjoué !
Attention un nouveau Woody Allen : La presse s'emballe ! La presse adore ! Je me demande toujours si cette même presse serait aussi enthousiaste avec un réalisateur différent! Bref, s'il est de bon ton "d'adorer" cette pseudo comédie bobo new-yorkaise : pour ma part, elle m'a profondément ennuyée ! Rajeunir son casting n'empêche pas Woody Allen de tourner en rond et de radoter! Les dialogues sont jamais drôles, voire pénibles (cf : Elle Flanning en nunuche de service finit par agacer et trouve là son pire rôle!). Même Timothy Chalamet est insupportable! (alors qu'il était excellent dans "Call me by your name!"). Tout est prévisible! Tout est lourdingue ! Il serait grand temps que Woody Allen change de registre! Et par pitié, épargnez-nous un New-York sous la neige (après la pluie et le soleil) !
Issu de la haute bourgeoisie new-yorkaise, Gatsby est étudiant en lettres dans une université du Nord-Est, en partie pour contenter sa mère. S’il n’a pas vraiment de projet d’avenir, il passe du temps à jouer et parier. Pour le grand bonheur de sa mère, il est amoureux d’Ashleigh, une riche héritière venue d’Arizona.
La jeune femme envisage d’interviewer Roland Pollard un cinéaste célèbre à New York. Avec Gatsby elle se rend à Manhattan. Mais la journée ne se déroule pas comme prévu.
J’ai un peu pensé à « Eyes wide shut », mais dans une version diurne, post adolescente, soft et comique !
L’humour de Woody Allen évolue avec le temps, plus décapant, toujours aussi référencé et féroce.
Personne n’est épargné dans « un jour de pluie à New York » sauf peut-être l’Amour lorsqu’il est associé à l’humour.
La ville de New York cette fois filmée sous la pluie offre des belles perspectives, une lumière automnale et de beaux appartements.
Les acteurs sont brillants, avec un bagou fluide et passionné, dont seul Woody Allen a le secret. Timothée Chalamet, à la fois cool et intelligent sait distiller l’ironie. Les autres personnages sont bien croqués.
Le film passe comme un tourbillon que j’aurais souhaité plus long. Mon blog : larroseurarrose.com
Une comédie romantique emplie de charme et d’humour, écrite et réalisée par Woody Allen. Le scénario plein de surprises nous propose un Trip spirituel et drôle. Ses dialogues truculents nous donnent des répliques acidulées, des attaques à fleurets mouchetés écorchant les scénaristes, réalisateurs et acteurs sexistes, sans oublier de recadrer les snobs des milieux Bobos. L'excellente BO musicale jazz et classique est comme toujours très présente et bien placée. Le réalisateur New-yorkais nous distille quelques images magnifiques : l'horloge de musique au zoo de Central Park à Manhattan, ou l'intérieur du Metropolitan Museum avec les peintures de Pierre Auguste Renoir. Le casting de ce film est lui aussi une grande réussite avec, dans le rôle du "Réal", Jude Law que l'on voit trop peu et la jeune et attachante Selena Gomez. Pour le rôle central de cette histoire, Elle Fanning est véritablement craquante ; quant à Timothée Chalamet, il est tout aussi remarquable dans son rôle de "pittoresque romantique". Encore une très belle réalisation de Mr Woody, après les excellents Wonder Wheel (2017), Minuit à Paris en 2011 et le fantastique "La Rose pourpre du Caire".
Le nouveau Woody Allen ! Ce dernier retrouve New-York et il se croit obligé, une fois de plus, de faire du Woody Allen. Le problème, quand on a vu tous ses films, c'est que le genre est usé, il n'y a plus de surprise, seulement la désagréable impression de revoir des scènes déjà vues, d'entendre des répliques déjà entendues. On est d'accord, il arrive qu'on rit dans "Un jour de pluie à New-York" ! Au point qu'on en arrive à se poser la question : supposons que ce soit possible, on a effacé de notre mémoire toute la filmographie de Woody Allen et on "se fait" la totale, mais à l'envers, en commençant donc par "Un jour de pluie à New-York". Qui sait ? Ce film, peut-être, nous apparaitrait comme étant une comédie romantique originale et d'une grande fraicheur et, arrivé à "Annie Hall", on commencerait à trouver que trop c'est trop et que le réalisateur devrait songer à s'arrêter.
Les comédiens ne sont pas convaincants voire jouent mal pour certaines, Chalamet et Jude law sauvent la face. La photo est médiocre sur de nombreux plans.le scénario est poussif les dialogues sont pauvres et manquent d'originalité et de vitalité... un cinema daté...bande son habituelle.
Encore un magnifique Woody Allen. Il nous peint les villes comme dans un rêve et nous donne tellement envie de s'y promener et d'y vivre sa petite vie. Un pur moment de poésie comme à chaque fois. Timothée Chalamet a un exceptionnel talent et on a simplement l'impression de vivre une autre partie de sa vie, après l'homosexualité puis la drogue.