Avis sur La Grande cavale

J'ai beaucoup apprécié ce dessin animé très amusant et sympathique.
Cette cavale de quatre animaux est follement agréable et divertissante.

Excellent dessin animé, vu en avant-première dimanche dernier.
Moi et mon neveu nous avons passé un très bon moment de divertissement et bien rigolé.
Cette troupe est épatante.

Ce dessin animé est très agréable à voir, très marrant, très sympa.
Mon fils de 9 ans a adoré et moi aussi.
Certes ce n'est pas du Pixar et alors ?!
Il n'y a pas que Pixar qui a le droit d'exister et de faire des dessins animés.
Bravo à ce studio pour ce dessin animé franchement très réussi.

J'ai adoré ! mes enfants ont été conquis par cette équipe loufoque et sympathique de détectives en herbe... à conseiller pour passer un agréable moment de détente !

Film très sympathique, le personnage du "zèbre" nous a bien fait rigoler !! Mes garçons de 5 et 9 ans ont adoré :)

Un très beau film, où tout est bien ficelé. Une oeuvre débordant de fantaisie, d'humour et de légèreté.

Ce film d'animation est un heureux mélange de drôlerie, de malice et d'intelligence. Animation ok, des références drôles, des personnages sympas et message intelligent.

Les personnages mignons sont adorables! Je veux donner une mention spéciale à la chatte héroïne qui est tout simplement adorable et que l’on a une furieuse envie de serrer dans ses bras. Un bon dessin animé, drôle et divertissant.

Amusant et original! Destiné aux enfants dès 6 ans, ce récit initiatique mise sur son énergie, son inventivité et son ironie, sans oublier des références savoureuses ("La Mort aux trousses", de Hitchcock).

La Grande cavale impose une identité non pas tant visuelle, quoique certains plans attestent un soin accordé à leur composition, que tonale, essentiellement axée sur le bouffon le plus trivial avec moult pets, rots et vomi qui s’inscrit dans un cadre campagnard et terrien. Or, le ton adopté sied plutôt bien au film, lui donne des allures de grand carnaval dans lequel les identités se travestissent : l’âne devient un zèbre, le chien maltraité se la raconte et joue les gros bras, la chatte s’improvise détective et part à l’aventure. Les personnages principaux traduisent ainsi une dégradation de leur animalité congénitale du fait des agissements déraisonnés de l’homme qui les maltraite ou les dorlote tel un enfant ; entre ces deux extrêmes surnage une douleur qui n’est jamais frontale, mais qui se diffuse au fil des péripéties. La propriétaire de Marnie projette sur cette dernière sa propre détresse affective, le fermier incapable de faire un choix et d’en assumer les conséquences transmet son infirmité au coq qui n’incarne plus la virilité triomphante de la basse-cour, mais davantage un corps impuissant que les femelles alentour veulent sacrifier, le chien reçoit la violence de son maître et s’enferme dans une solitude source de souffrance et d’exclusion. Le long métrage nous invite donc à dépasser les apparences pour saisir, derrière des attitudes parfois déconcertantes ou repoussantes, les battements d’un cœur qui bat à l’unisson d’un mal ; il défend en outre l’idée d’une mise en marche des différences, seule à même de les rassembler dans une identité de groupe qui les respecte. Ce faisant, La Grande Cavale pense le quiproquo comme le moyen privilégié de relancer perpétuellement l’action principale, si bien que le spectateur n’a pas le temps de s’ennuyer et est embarqué sans difficulté pendant une heure et demie de divertissement sympathique, assez cliché au demeurant, mais jubilatoire. De nombreux clins d’œil au cinéma d’Alfred Hitchcock agrémentent en outre le visionnage de cette curiosité venue d’Allemagne, pas déplaisante.

Une bonne petite histoire toute simple pour les enfants, qui n'en demandent parfois pas plus pour passer un bon moment. Pour les parents, des dialogues amusants, de belles lumières et matières, des couleurs chatoyantes. Bref un bon petit film produit en Europe à défendre face aux rongeurs US.

L'histoire de "La Grande Cavale" s'adresse sans nulle doute à un jeune public. C'est donc une approche très bienveillante, aux dialogues convenus et linéaires mais à la réalisation soignée.
Au final, un bon moment pour une soirée en famille des plus reposantes.

Il était une fois un chat, un chien, un coq et un zèbre (si vous vous demandez ce qu’il fait là, il faudra regarder le film !) se lançant à la poursuite d’un gang de voleurs. Une histoire assez improbable et librement inspirée d’un conte des frères Grimm ; les Musiciens de Brême. On ne va pas s’appesantir sur le scénario qui nous réserve une aventure rocambolesque avec cette drôle de ménagerie, tout cela est calibré pour le très jeune public. Là où on peut être plus partagé c’est au niveau de la direction artistique ; c’est une histoire de goûts mais à mes yeux c’est loin d’être une réussite. Un détail que les enfants ne prendront certainement pas en compte et qui se contenteront de la récréation offerte par La grande cavale.

Bon bon bon...alors ce petit film d'animation pourra ravir les plus petits mais sans plus. C'est assez lent j'ai trouvé...ok mon état physique étant malade m'a pi être pas aidé!lol Mais même sans cela cela reste pour les petits , c'est sympathique oui oui mais cela va pas rester dans ma mémoire , le principal c'est que Choupi ai apprécié en donnant un 20/20 ( sont naïf!^^) moi je vais me contenter d'un...

NOTE: 4/10

Un cadre paysagé agréable, des dessins moyens mais bien colorés, l'ensemble de l'histoire est assez compréhensible. Le personnage central Marnie est vraiment gentil et ses compagnons plutôt drôles quoique assez caricaturaux. On peut aussi trouver pas mal de choses stupides dans cette histoire, les paysans, les voleurs et les policiers sont tous plus stupides les uns que les autres presque méchants, spoiler: la fermière à qui revient le mot de la fin est traité comme comique mais en vérité c'est un personnage qui ne fait que maltraiter ceux qui l'entourent
. Ce n'est pas un gentil dessin animé pour les plus petits, les personnages gentils sont en fait maltraités dans une partie non négligeable de l'histoire. La morale veut nous dire que le groupe développe des qualités de coeur. Mais ce qui est montré dans le tout du film est assez nauséabond. C'est une sorte de réalisme anthropomorphique qui rend le tout complexe, une histoire qui cumule non pas des clichés pour une fois mais des péripéties indigentes, assez misérables. Le final montre une ode à une liberté gagnée par la persévérance et la réussite dans la création d'un groupe solidaire, mais aussi une fuite d'un cadre limité et en fait un peu malsain;