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    Jour de fête
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    81 critiques spectateurs

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    Gonnard
    Gonnard

    214 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 juillet 2009
    Bin non. Je n'adhère vraiment pas à l'humour de Tati. Ces pitreries sont pour moi de vaines gesticulations, pas de l'humour. Je trouve que cela manque de finesse. On voit les pseudo-gags arriver à des kilomètres. Exemple ? Le coup du goudron sur la route. "Par où vais-je passer ? Allez, sur le goudron, comme cela je vais m'enliser". Super les gars, je suis plié en deux, je n'en peux plus Lol, ptdr, mdr et compagnie. Donc oui, jetez-moi des cailloux si cela vous chante, fans de Tati, mais je resterai malheureusement hermétique à sa magie.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 décembre 2010
    Jour De Fête c'est l'histoire d'un facteur qui, après avoir vu les perfs invraisemblables de super postman américains, décide de se prouvez qu'il n'en est pas moins capable. Du grand Tati avec comme toile de fond la vie trépidante d'un village de campagne avec toute ses habitudes et ses petites originalité. C'est drôle du début à la fin, et les facéties de notre facteur préféré sont toute aussi drôles les unes que les autres. Le bar, la courses cycliste, les fameuses info au ciné... Et puis toutes ces petites chose bien observés qui font de Tati un génie du Cinéma. Toujours marrant, jamais méchant ni lourdingue, un classique intemporel qui se regarde autant de fois que l'on veut sans jamais lassé.
    ferdinand
    ferdinand

    12 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juillet 2013
    Superbe copie restaurée de ce film de 1949. En plus du cycliste inénarrable imaginé par Tati sur un vélo Peugeot de 1912, il y a un vrai document sur la vie d'une petite commune juste après la guerre. C'est par moment très drôle et plein d'observations savoureuses. Premier chef d'œuvre de Tati.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 juillet 2013
    Un film qui provoque des baillements intempestifs quand il n'est même pas l'heure d'aller dormir ne saurait être bon. L'histoire n'a pas grand interêt, les gags ne fonctionnent pas, la restauration n'est pas bonne. Et même quand on regarde avec un oeil cinéphilique ça ne fonctionne pas non plus. Travail extraordinaire sur le son avons nous lu ! Sans doute... mais pas de quoi nous passionner pendant la durée du film dont la projection a été pour moi un supplice. L'histoire du cinéma se réecrit sans cesse (comme celle de la musique, de la peinture, de la littérature...) Rien n'est figé et interrongeons nous objectivement sur la place de Tati dans cette histoire, n'ayons pas peur des tabous. La production de Tati est au moins surévalué.
    septembergirl
    septembergirl

    563 abonnés 1 069 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 mai 2015
    Une comédie réalisée par Jacques Tati en 1949, qui marque le premier long-métrage du réalisateur, et relate une fête patronale dans un village de province après la Libération. Un film champêtre et atypique, fleurant bon la douceur de vivre, qui a malheureusement perdu de sa fraîcheur, présentant un humour devenu aujourd'hui désuet, entre gags insipides et lourds, et dialogues répétitifs et soporifiques. La première réalisation d’un Jacques Tati dont l’esprit visionnaire et le génie se révéleront davantage quelques années plus tard dans "Les vacances de Monsieur Hulot" ou encore "Playtime" pour atteindre leur paroxysme dans "Mon oncle" !
    Photo-cineaste
    Photo-cineaste

    41 abonnés 572 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 avril 2009
    Autant j'adore Playtime du même réalisateur, autant celui-la j'ai eu bien plus de mal à accrocher. C'est drôle, mais j'ai trouvé le rythme très long. Ma critique n'est pas très argumentative, mais je ne sais pas quoi d'autre ajouter. 6/10
    Maqroll
    Maqroll

    132 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 juin 2009
    Tati commence ici son petit parcours (dans le long métrage du moins)que d’aucuns trouvent génial. Ne partageant pas cet avis, je me contenterai de relever la pauvreté du scénario, le manque d'ouverture des images et la mégalomanie du bonhomme. Quant au fait que je n’ai pas souri une seule fois, je suis d’accord, ce n’est pas un argument !
    Estonius
    Estonius

    2 480 abonnés 5 227 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 février 2013
    On s'emmerde, c'est lourdingue et l'humour ne fonctionne pas, (on sourit juste un petit peu pendant le dernier quart d'heure !). De plus la restauration couleur est hideuse. A obtenu le Prix du meilleur scénario à la Mostra de Venise en 1949 et le Grand prix du cinéma français en 1950 ce qui en dit long sur la signification réelle de ces palmes.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 février 2007
    Difficile aujourd'hui de regarder ce spectacle : on assiste à un enchaînement de gags façon burlesque qui ne font pas (plus?) rire. L'intérêt actuel du film peut résider dans l'aspect historique, mais que c'est ennuyeux !
    bsalvert
    bsalvert

    320 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 juin 2011
    Les films de Tati ont ce coté magique qu'ils ne sont pas la pour nous montrer les gentils, les méchants mais seulement de nous divertir avec des situations, des expressions et voir notre facteur chercher à augmenter sa productivité nous fait passer un bon moment.
    CEE
    CEE

    31 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Jacques Tati, ou le Charles Chaplin français : mélangeant comique de geste et de situation en enchaînant les blagues, Tati nous fait découvrir François, facteur qui déboule la veille d’une fête foraine dans un petit village et qui décide de squatter. Il va boire ( on peut dire piccoler), rentrer dans un bar en vélo, bousculer des cochons pendant sa tournée, faire tomber le poteau de la place du village… Bref, François est un simple d’esprit : il fait tout et n’importe quoi jusqu’a relever le défi de faire une tournée à l’américaine. Succession de gags pas franchement originaux ( Tati qui court après on vélo et le personnage de la grand-mère qui parle toute seule sont par contre des moments classiques) Tati nous propose un film qui prend un sacré coup de vieux malgré la restauration en couleur et qui propose une lourdeur assez soporifique par moments. Un film malheureusement trop en dent de scie et irrégulier dans sa drôlerie.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 008 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2017
    En seulement six longs métrages (de 1949 à 1974), Jacques Tatischeff dit "Tati" aura réussi à laisser une trace indélébile dans le cinéma français. Il est désormais coutume de dire que les français ont Tati comme les anglais ont Chaplin et les américains ont Keaton. Associer l'homme de "Jour de fête" à ces deux géants du muet n'est pas dénué de sens tant l'engagement de Tati pour affirmer la primauté de l'image dans l'expression cinématographique est constant tout au long de son œuvre. "Jour de fête", sorti en 1949 mais tourné en 1947 dans le village de Saint-Sever-sur-Indre non loin duquel il s'était réfugié avec son ami scénariste Henri Marquet pendant l'Occupation, est un hommage au slapstick de Mack Sennett qui a vu naître le personnage de Charlot un beau jour de 1914. François, le facteur lunaire et iconoclaste qui débarque avec son vélo Peugeot de 1911 et sa sacoche pour bousculer à son corps défendant le bel ordonnancement de la fête foraine annuelle qui anime le village est dans la lignée de ces êtres hors du temps qu'aucun de leurs efforts maladroits ne parvient à intégrer au sein des sociétés occidentales qui depuis le début de l'ère industrielle sont en perpétuelle mutation. Idem pour le gag du plantage de piquet par un homme qui louche qui est une allusion à Ben Turpin grand acteur de second rôle qui hanta les courts métrages de Charlie Chaplin, finissant sa prolifique carrière aux cotés de Laurel et Hardy en 1940 dans "En croisière" de Gordon Douglas. On le constate tout au long de "Jour de fête", l'art de Tati s'inscrit dans la grande lignée des pionniers. Lors d'une rencontre à Hollywood après la cérémonie des Oscars de 1959 avec Tati, Buster Keaton dira : "Tati a pris le comique là où nous l'avions laissé et il l'a fait avancer" C'est encore d'Amérique que va venir la burlesque distribution de courrier par François qui va illuminer toute la fin du film. spoiler: Un film de propagande sur les exploits des facteurs de la Poste américaine projeté lors de la fête va en effet inciter François à initier une transformation postale.a réalité. Malheureusement ou plutôt heureusement, les excès de la veille au soir alors que la fête battait son plein vont transformer la tentative en course folle qui marque de manière brillante et définitive les références de Tati
    . Comme ses prédécesseurs, Tati est un fin observateur de la société qui l'entoure. Son œil aiguisé et parfois un peu cruel est aussi rempli de tendresse et de poésie. La guerre à peine terminée, le réalisateur lucide a compris que le village qu'il filme est presque déjà une résurgence du passé. Tel Albert Kahn (1860-1940), le banquier mulhousien philanthrope et mécène qui avait envoyé dès les débuts du cinématographe des opérateurs à travers le monde pour saisir des modes de vies en train de disparaître, Jacques Tati fait œuvre de témoignage avec son style si singulier empruntant aux films "parlants" de Chaplin qui plaçait des borborygmes dans la bouche de ses personnages, leur laissant intacte une expression corporelle tout aussi parlante. Mais François le facteur moins malicieux que Charlot se trouve en parenté plus directe avec l'antihéros keatonien, subissant plus qu'il n'imprime le rythme. Ce coup d'essai qui n'est pas sans quelques défauts que Tati corrigera très vite, fait déjà la part belle à la sensibilité de l'auteur pour le monde de l'enfance revendiquant ainsi le droit à la naïveté et à la maladresse dans lesquelles il puise de divines surprises. L'immense succès du film (deuxième recette française de 1949 derrière le "Jeanne d'Arc" de Victor Fleming) confortera Tati dans son choix radical mais aussi très risqué de la pantomime associée au refus d'une intrigue linéaire. Ainsi pour être en phase avec l'urbanisation galopante qui sera le sous-texte récurrent de ses films à venir, Monsieur Hulot prendra rapidement la suite pour quatre métrages qui seront autant d'alertes sur la soumission de l'homme à un progrès technique qui petit à petit le domine.
    Claude DL
    Claude DL

    75 abonnés 1 590 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 février 2010
    J'ai revu sans déplaisir ce Jacques Tati du tout début (1947), mais qui me parait être beaucoup moins abouti que "Les vacances de monsieur Hulot". En plus, la pellicule a beaucoup trop vieilli, malgré les efforts des techniciens du remastering. A revoir mais sans plus.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 septembre 2013
    Il y a quelques semaines, j'ai montré ce film à ma fille (9ans). Elle a rit comme sa maman. Combien de films peuvent réaliser cette prouesse ?? Monsieur Tati.... chapeau bas, enfin casquette basse... enfin bravo quoi !
    Stephenballade
    Stephenballade

    354 abonnés 1 235 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 octobre 2014
    Pendant la première moitié du 20ème siècle, Charlie Chaplin nous a régalés de ses pitreries facétieuses. Durant la seconde moitié du 20ème siècle, nous avons eu Jacques Tati, mais avec une carrière cinématographique nettement moins volumineuse que le clochard le plus célèbre du monde. L’œuvre s’inspire donc largement des films muets à la Charlie Chaplin ou encore à la Buster Keaton en intégrant un support musical largement employé, tout en laissant la place aux dialogues volontairement quasi inaudibles mais savamment distillés, tout cela au rythme de gags qui fusent en tous sens. Tourné à la fois en couleurs et en noir et blanc (une première en France), voici une œuvre majeure de Jacques Tati, excellent dans sa tournée du facteur. D’ailleurs, faute de moyens du côté des producteurs à l’époque, la version couleur ne sortira qu’en 1995, une fois restaurée. On découvre alors le village de Sainte-Sévère-sur-Indre (Follainville dans le film) dans le département de la Charente, que le cinéaste connait bien puisqu’il a dû y rester caché durant plusieurs mois lors de la Seconde Guerre Mondiale. Il a même fait participer les véritables habitants du village pour œuvrer sa première réalisation (tout du moins question long métrage), faute de moyens financiers après le bilan désastreux du conflit fraichement terminé, ce qui a le don de renforcer l’authenticité, tout en nous plongeant davantage dans la France profonde. C’est la seconde fois que Jacques Tati endosse le costume de François le facteur, après le succès du moyen-métrage "L’école des facteurs", dont le succès lui a donné envie de recommencer. Et je dis qu’il a bien fait ! Il n’y a qu’à voir : combien de générations ce film a déjà traversé et va encore traverser ? Essayez vous-même en famille, du plus jeune au plus v… euuuuh disons au moins jeune (c’est plus correct hihihi), et visionnez le film sans trop réfléchir, ce qui devrait transformer votre soirée en "jour de fête". Il ne faut pas perdre de vue que le film a plus d’un demi-siècle, que nous sommes entre Charlot et Louis de Funès, alors oui l’humour peut paraitre désuet, sur un scénario pouvant être résumé à sa plus simple expression (tout comme les Charlie Chaplin du reste). Mais que ça fleure bon l’humour d’antan, simple, sans chichis, un chouia teinté de caricature pour dénoncer le risque de perte de l’identité française (sujet toujours d’actualité), et démontrer le ridicule de l’américanisme : entre "vindju", et autres onomatopées que nous n’entendons malheureusement plus de nos jours, vous allez voir que ça, "ben çà, cé quéqu’choze" ! Plus qu’une chose, plus qu’un film, c’est un chef-d’œuvre ! De plus je n’ai plus qu’une envie : faire du vélo à… "l’américaine" !
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