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    Une jeunesse dorée
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    1,8
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    27 critiques spectateurs

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    Lawrence Peyrac
    Lawrence Peyrac

    74 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mars 2023
    Quitte à voir un film daté des années 80, autant voir des originaux que cette pâle évocation dont le principal défaut reste à mon sens l'absence de scénario. Voir ces dandys désabusés traîner de fêtes en fêtes, entre alcool et cocaïne, sexe et érotisme glauque, n'a guère d'intérêt. J'aime beaucoup Isabelle Huppert et Melville Poupaud et je me demande s'ils ont crû une seule seconde à leur rôle... bref, évitable !
    Spider cineman
    Spider cineman

    112 abonnés 1 806 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 mars 2022
    Dommage que ce film ne restitue pas mieux une ambiance sensuelle et plus sulfureuse de l époque... il y avait de quoi en s en inspirant. Intrigue assez convenue et jeu d acteurs très médiocre desservent cette histoire. Très décevant
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 968 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 février 2022
    Des enfants gâtès, des jeunes qui ne font rien dans la vie si ce n'est traîner, douter et se perdre dans la nuit! La fine fleur d'une jeunesse dèpravèe, frimeuse et insouciante qui font la fête jusqu'à mourir au coeur du Faubourg-Montmartre de la fin des seventies! Histoire intime d'un premier amour entre une fille perdue de seize ans et son fiancè artiste! L'atout du film, c'est Galatèa Bellugi, alter ègo de Eva Ionesco, qui s'èprend d'un goût extrême et irraisonnè pour un peintre sans le sou! Isabelle Huppert en combinaison latex noir et Melvil Poupaud en martingale rose complètent la distribution en jouant un couple de bourgeois sans tabou et destructeur! Voilà bien le style de Ionesco qui constitue son rècit en forme de marivaudage libertin, pièces éparpillèes de l'innocence et de l'amour èperdu, avec une B.O bien ancrèe dans les annèes Palace! La romance se veut sincère avec de jeunes acteurs qui surjouent en permanence! Mais on s'y fait ce qui peut surprendre le non-initiè...
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 395 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 octobre 2020
    Si vous êtes cinéaste Une jeunesse dorée est intéressant en tant que travail sur la façon d'identifier les erreurs que vous ne devriez pas faire. Un scénario prétentieux très mal joué, des mauvais dialogues et mise en scène catastrophique. Les scènes de fêtes étaient tout simplement mauvaises. Honnêtement je ne sais même pas comment de grand acteurs comme Isabelle Huppert et Melvil Poupaud on pu accepter de jouer dans ce film pompeux snob et ennuyeux...
    sabbenji
    sabbenji

    24 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 octobre 2020
    La présence de Delon Junior au casting gâche ce film, quel dommage. Sinon, le reste du casting et l’intrigue semblent intéressants.
    Debo Livio Palamara
    Debo Livio Palamara

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 mai 2020
    Un des films les plus malaisant que j'ai vu.
    Un jeu d'acteur inexistant (mon fils de 5 ans joue mieux).
    Un film tordu où je me suis carrément perdue entre l'actrice qui ne fait que gueuler tout le long ( parfois en mode dominatrice,parfois pcq on sait pas en fait), les dialogues pas très poussés, l'histoire de base plutôt bancal... et pour les années 70 faudra repasser..
    Un film qui parle de libertinage mais ne le fait pas très bien donc à éviter, regardez un dessin animé à la place. (Le dernier roi lion est superbe 😉)
    Dora M.
    Dora M.

    48 abonnés 479 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 mars 2020
    Une jeune fille sort de la DDASS pour aller habiter avec son copain, plus âgé qu'elle, l'occasion d'avoir une vie de fêtes et d'excès.
    Honnêtement, je n'ai trouvé aucun intérêt à ce film. J'ai trouvé très mauvaise l'interprétation de l'actrice qui joue Rose, pleine de pauses, pas naturelle. La réalisatrice lui a apparemment demandé d'utiliser un accent de la campagne, mais ça ne semble pas naturelle et ne colle pas à l'image de fausse sophistiquée qu'elle essaye de se donner. Dès qu'elle est filmée, elle prend des pauses (par exemple, peu importe l'endroit, elle marche avec la main sur la hanche, comme si elle faisait perpétuellement un défilé de mode, ou encore quand elle est assise, elle va mettre "négligemment" sa main pour soutenir son visage, en mode "séduction"). Globalement, l'interprétation des acteurs est souvent too much, ça manque de naturel. On ne développe aucun attachement aux personnages.
    L'histoire de cette jeunesse dépravée est malsaine, il n'y a pas d'intrigue, rien qui maintienne en haleine, rien de palpitant.
    Enfin, ce qui m'a vraiment dérangé, c'est que la cineaste a recherché l'esthétique à tout prix quitte à ce que ca ne serve pas du tout le film, on a vraiment l'impression d'être face à un étalage de pauses, de décors, d'ambiances dans un but simplement esthétique.
    Plus on avance dans le film, plus cette esthétique à tout prix ressort, et plus les situations des personnages sont ridicules, je me demande vraiment ce que sont venus faire Isabelle Huppert et Melvil Poupaud dans cette galère qui les tourne en ridicule. J'ai trouvé ce film complètement ennuyeux.
    Leo de Seine
    Leo de Seine

    6 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 janvier 2020
    Rarement vu des acteurs aussi mal jouer. Le Palace méritait quand même mieux que cette reconstitution bidon...
    FaRem
    FaRem

    7 406 abonnés 8 816 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 novembre 2019
    Eva Ionesco dresse le portrait d'une jeunesse que l'on a pas envie de connaître. Si "My Little Princess", le premier film de la réalisatrice était largement autobiographique, c'est moins le cas de celui-ci même si Rose est bien elle, ce qui se voit quand on compare physiquement les deux femmes au même âge. Comme je l'ai dit en introduction, elle met en scène des gens inintéressants au possible. Tout le film est fait de fêtes interminables, de dialogues ridicules et d'une sorte de triangle amoureux insignifiant. Tout au service d'un scénario indigent et porté des acteurs qui jouent très mal ou sont très mal dirigés. Ce n'est même pas le fait que ce soit mauvais le problème, c'est que le film ne raconte rien. C'est vide, artificiel et un peu pathétique. Bref, un film sans grand intérêt qui ne fait rien pour être apprécié notamment en mettant en scène ce genre de personnages.
    Patrick C
    Patrick C

    11 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 septembre 2019
    Les magnifique décors ne parviennent pas à faire oublier les malheureuses prestations des deux jeunes pseudos acteurs fils de... On se demande ce que la grande Isabelle Huppert est venue faire dans cete galère en compagnie de Melvil Poupaud toujours excellent. Ils ne parviennent pas à sauver le film qui est une sorte d'ersatz de la Dolce Vita, avec cependant une Anita Etberg moderne qui illumine de sa sensuelle présence ce voyage en décadence soft et gentillet, j'ai nommé la trés belle Melita Nikolic. Reste une atmosphére de fin d'époque assez bien restituée avec une bande son qui évoquera de nombreux souvenirs chez les sexagénaires bien que la fréquentation du Palace fût réservée à quelques enfants de "bonne famile". Je pose 3 étoiles pour la prestation des 3 personnages principaux.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 171 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 juin 2019
    Paris 1979, Galatea Bellugi joue une adolescente de 16 ans très libre et éprise d’un amour fou de Lukas Ionesco, qui joue un peintre fauché. De fêtes en fêtes ils rencontrent un couple libertin joué par Isabelle Huppert et Melvil Poupaud. Une passion faite de manipulations va naître entre les deux couples. « Une jeunesse dorée » décrit une société d’autodestruction entre les paillettes et l’alcool. Bien que les costumes et l’énergie déployée pour faire briller ces caricatures soit louable, le film ne parvient pas à trouver le ton juste entre l’ironie et le drame. Les acteurs n’y semblent d’ailleurs pas y trouver place.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    149 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 mai 2019
    Après nous avoir parlé de son enfance confisquée par une mère sans morale dans son réussi "My Little Princess" Eva Ionesco invite cette fois son propre fils pour évoquer sa fin d'adolescence à la dérive dans un Paris des grandes années du Palace. Bourgeoisie, oisiveté, drogues et libertinage pour un film sans grand intérêt qui s'écoute beaucoup trop parler sans vouloir vraiment chercher à plaire. Et même si l'heroine est délicieusement magnétique, le niveau de jeu global sonne aussi faux que les rapports qu'entretiennent les personnages entre eux. Une perte de temps à éviter.
    Ciné2909
    Ciné2909

    63 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 mars 2019
    Voilà un film qui ne vous laissera pas indifférent à plus d’un titre ! D’abord, parce qu’il se dégage du film une atmosphère libertine (ce qui n’est pas déplaire à certains, oui je parle de toi là !), on est par contre moins à l’aise devant le mauvais jeu d’acteur pour certains personnages. Malheureusement, dès les premiers instants du film, on sent que Galatea Bellugi peine à trouver ses marques et c’est loin de s’arranger par la suite. On n’est pas davantage convaincu par Lukas Ionesco si bien que le tandem Isabelle Huppert / Melvil Poupaud essaye tant bien que mal de sauver les meubles. Si on peut accorder à Une jeunesse dorée d’avoir su plus ou moins bien retranscrire l’atmosphère d’une époque insouciante, cela ne nous empêche pas d'être assommé par la médiocrité des premiers rôles.
    Vale R.
    Vale R.

    1 abonné 24 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 janvier 2019
    Je m'attendais au pire avec un film décousu..J'ai trouvé ce film superbe avec un quatuor principal d'acteurs formidables. L'époque et l'ambiance fin 70 sont bien restituées. C'est encore la fête, la folie et la fausse insouciance avant le crépuscule où beaucoup de ces personnes mourront de suicide, de drogue et du déferlement de la vague sida. On suit une jeune fille sortie de la ddass par son amoureux fils de famille et apprenti peintre qui va vouloir elle aussi rentrer dans ce milieu de la nuit. Après on fait la connaissance d'un autre couple plus âgé dont la femme est une mante religieuse qui fascine et dont son principal plaisir est de séduire des jeunes gens et de séparer des couples. Quand à son mari ex écrivain raté joue aussi bien au dandy qu'au gigolo. Dans ce fillm, on s'amuse de tous ces fêtards à moitié félés mais il y a aussi beaucoup de tragique dans cette sarabande débridée. Comme ce faux mariage et cette ronde où les jeunes sont plus sensés que les aînés. Après maintes pérépéties, le final est surprenant spoiler: car la jeune fille quitte son fiancé et le monde des ténèbres pour entrer dans la lumière en essayant de devenir actrice avec des cours de théâtre.
    Malo M.
    Malo M.

    1 abonné 25 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2019
    La deuxième fiction autobiographique d'Eva Ionesco retrace la jeunesse française lors des années Palace.
    La réalisatrice crée un film où la protubérance de la mise en scène règne en maître. Décors remplis d'éléments scéniques, jeux de lumière importants, costumes à caratère hétéroclite jouissif. Eva Ionesco régale l'oeil du spectateur qui est constamment à la recheche du détail qui pourrait le rassasier. La réalisatrice de My Little Princess égraine son long métrage de références à la fois subliminales et évidentes comme avec la danse serpentine autrefois exécutée par Loïe Fuller. Ses mouvements de danse permettent au corps, élément propre à la caméra qui semble obnubiler l'oeil de celle-ci, de sublimer la chair de Galatéa Bellugi de par des mouvements de caméra qui ravissent. Cependant, un détail fait s'effondrer totalement la tour de cristal instaurée par Eva Ionesco, celui du casting. Un jeu surfait, qui peine, devrait même t-on dire, qui empêche totalement l'inclusion et l'aspect réaliste de naître. Alors que l'on pensait avoir atteint des sommets avec Lily Rose Depp dans l'homme fidèle, voilà que la jeune et très fraichement nommée aux césars, Galatéa Bellugi, s'abandonne dans un jeu d'une lourdeur dévastatrice qui parvient à surpasser celui de sa concurrente. Elle n'est pas à être en reste du casting, qui suit le même chemin déjà tout tracé par la comédienne. Seul Melvil Poupaud relève le défi de proposer un jeu en cohérence avec un réalisme certain.
    Une jeunesse dorée brille par sa vigueur de la mise en scène, qui est similaire lors de certains plans à Gatsby le Magnifique (avec moins de moyens on le concède), son authenticité et son originalité scénaristique mais rouille par un casting exécrable.
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