Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Veronique Guise
1 critique
Suivre son activité
5,0
Publiée le 26 juillet 2020
un film magnifique suis allée le voir 2 fois Fabrice Luchini excellent idem Bruel rires et pleurs on passe du rire aux larmes les acteurs sont éblouissants j' ai pleuré à la fin tellement c' est beau
Le film prend un peu trop de temps à démarrer, l'histoire ne devant réellement intéressante qu'après la scène amenant justement le malentendu. En tous cas la suite permet une cohérence dans l'évolution du récit avec une régularité judicieuse. On est plus agacé par la sempiternelle et omniprésente touche bobo parisien qui parasite quasi toutes les comédies françaises ; à croire qu'il n'existe en France rien d'autre que le parisianisme bourgeois ! Mais on s'attache à ce duo qui fonctionne à merveille, leurs différences étant leur force pour ce mixte buddy movie road movie franchouillard. C'est plutôt drôle, c'est émouvant même si on tombe un peu trop dans le pathos à la fin pour un récit qui accumule le cahier des charges du genre. Ca reste un bon moment à défaut de surprendre. Site : Selenie
Le meilleur reste à venir n’est ni plus ni moins qu’une magnifique déclaration d’amour à l’amitié. Une amitié formée ici par le duo Luchini / Bruel qui illuminent le film de bout en bout. Le premier joue Arthur, médecin intellectuel, timide, coincé. Le second, César, éternel enfant, joyeux, solaire. Les deux sont amis depuis toujours et tout le monde s’est toujours demandé pourquoi. Un jour, Arthur apprend que César est malade. Il va mourir. Un quiproquo intervient et César se met à croire que c’est Arthur le condamné, et il se met alors en tête d’offrir la meilleure fin de vie possible à ce-dernier, jusqu’à l’inévitable dénouement, test ultime de l’indestructibilité de cette amitié. Une histoire délicieusement lumineuse, probablement hautement improbable, mais écrite avec tellement de justesse par l'autre duo enchanté Delaporte / De la Patellière (Le Prénom - 2012) qu’elle n’en est pas moins d’un réalisme fort. Arthur et César font rire, pleurer, rêver. Ils sont si singuliers et sont en même temps le portrait de nos propres amis. On les aime, on les déteste, mais on les aime. Ils sont l’incarnation, sans en être une caricature, de ce qu’est une véritable amitié… pardon… Amitié. Sincère, sacrée, éternelle. Peut-être finalement la meilleure raison de vivre, avant de mourir dans un un grand éclat de rire.
Ca faisait longtemps que j avais pas pleuré en regardant un film. Sujet très sensible mais vraiment très bien joués. Je pense qu on rêve tous d avoir des amis pareils si cette tragédie nous arrivait. Félicitations aux acteurs. M. Bruel ai top M.lucchini également Merci
Après "Le prénom", voici une nouvelle réussite d'Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte.
Loin des clichés sur la maladie, le scénario incroyablement emporté par nos deux acteurs génies Bruel/Luchini transporte par sa justesse et sa perfection.
Ce savoureux cocktail du septième art donne naissance à une pépite poétique, réaliste et sincère.
Spectateur conquis, et amoureux du cinéma simple et émotionnel je ne peux que recommander ce bijou sublimé par une implacable leçon de vie.
j ai failli l écarté car je trouvais la bande annonce nulle et puis dans le doute car j' aime bien luchini ,j 'ai commencé à le visionner sans trop en attendre grand chose quelle erreur j 'aurais fait de louper ça, le duo est parfait ça joue juste dans une réalisation fluide . ça passe à une vitesse incroyable et tout ça sans artifice de mise en scène un bon moment de cinéma comme seule les comédies françaises savent le faire
Un quiproquo doux et savoureux sous l'impulsion Luchini/ Bruel dans une mise en scène bienveillante et consciencieuse à l'image de ce que fût Le Prénom. A l'écran tout fonctionne mais rien y fait, l'intérêt glisse et nous échappe avec un manque de relance scénaristique. On voudrait s'émouvoir mais les compères à l'écran tournent en rond.
Un bon film interprété par 2 acteurs très complices au service d'un scénario autorisant tous les quiproquos et de dialogues souvent percutants, même si on reste en dessous de la précédente collaboration des 2 réalisateurs ("Le prénom" ayant mis la barre très haute) . On alterne entre rire et émotion, avec une note positive dans la scène finale pour conclure en douceur et redonner le sourire.
« Un ami, c'est quelqu'un qui vous connaît bien, mais qui vous aime quand même », j'aime beaucoup cette phrase qui résume tellement bien le sentiment d'amitié.
Des acteurs justes, une histoire touchante, des dialogues parfaits, un chef d'oeuvre. Pour les gens qui aiment l'amour et l'amitié. Les autres ne pourront pas comprendre. Préparez vos mouchoirs ...
Redondant, rébarbatif, ennuyant... c'est regrettable tant j'aime Lucchini, tant je trouve que Bruel s'en sort plutôt bien dans chaque film qu'il a joué. En fait, il y a une grosse erreur dès le départ : les acteurs n'ont pas le bon rôle. Il fallait inverser, c'est-à-dire Lucchini aurait dû jouer le pote malade et Bruel, celui qui sait tout mais qui n'ose pas lui dire. Franchement, à partir de là, le film m'aurait déjà un peu plus percuté. Ça tourne en rond, on se mord la queue de par des répliques faciles, un quiproquo qui aurait pu être bien plus drôle, lequel est alimenté par des boutades qu'on voit au loin ; ce n'est plus amusant. Il y a dix ans, peut-être que ça aurait pu prendre, et encore, mais plus maintenant.
Un excellent tandem, un film avec de l'humour et de l'émotion dû au thème de la maladie. 2 acteurs qui s'allient extrêmement bien. Deux très bons acteurs.
Si les réalisateurs ont voulu faire une comédie drôle (au moins pendant un moment) basée sur un quiproquo entrainant son lot de malentendus, le sujet trop sérieux fait que cela tombe à plat. De toutes façons rien n'est franchement amusant, ni dans les dialogues, ni dans les situations (l' histoire secondaire de "listes de choses à faire avant de mourir" inexploitée). Peut être également un mauvais choix d'acteurs, Fabrice Luchini (trop classé "intellectuel") et Patrick Bruel (toujours dans le sur-jeu) n'étant pas les têtes d'affiche attendues pour déclencher des rires. Si les réalisateurs ont voulu faire un film émouvant traitant de la maladie et de la mort, c'est également un coup dans l'eau. Comment croire à une issue tragique quand Bruel semble être spoiler: en pleine forme les 3/4 du film...jusqu'au moment où il apprend son état réel et que tout d'un coup c'est le moment de verser dans le drame donc il se laisse pousser une petite barbe (cela fait plus malade certainement) et commence à tousser ? Alors que reste t'il? Peut être une tentative de raconter une histoire d'amitié qui vit ses derniers moments (mais qui m'a également laissé sur ma faim, tellement les deux personnages ne s'accordent pas)? Ainsi le "Meilleur reste à venir" ne marquera certainement pas la filmographie de ses acteurs, ni de ses réalisateurs auteurs du "Prénom".