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    Le Journal d'une femme de chambre
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    Mathias Le Quiliec
    Mathias Le Quiliec

    43 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 août 2017
    Je commençais quasiment mon entrée dans le monde de Bunuel la semaine dernière grâce a une rétrospective des cinéma studio. A la base je n'avais vu que "le charme discret de la bourgeoisie" et "Viridiana" qui m'avait laissé un sale goût en bouche l'an passé. Et puis l'annonce de la mort de Jeanne moreau tombant quasi au même moment m'ont définitivement convaincu de la voir évoluer dans ce film. Etant fan du style de Jeanne Moreau, je pense qu'on pourrai parler ici d'une de ses cinq meilleurs performance, elle est délicicieuse. Et que dire d'un Michel Piccoli pas en reste et d'une galerie d'acteur de l'époque tous aussi bon les uns que les autres (les bonnes, le voisin antisémite, les concierges, etc...). un film d'époque qui n'a pas veillit plus qu'un autre grâce a ses acteurs et au sujet que Luis Bunuel sut maitrisé à la perfection. Un classique
    ferdinand75
    ferdinand75

    453 abonnés 3 641 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 juin 2020
    Un beau film de Buñuel, tout en sobriété ; image très belle en Noir et Blanc, qui baigne dans l’austérité de ce film en milieu rural, où vit une bourgeoisie très traditionnelle. Mais on peut être déçu quand on est un amateur fervent du livre de Mirbeau, de la restriction apportée par Buñuel, qui ne traite que l’épisode de la dernière position de Célestine , où elle exerce sa fonction dans une famille de petite bourgeoisie de province ; tous les flash backs du roman dans des familles parisiennes de tous styles et de toutes classes ne sont pas reprisent dans le film. C’est pourtant ce passé qui expliquait la personnalité ambiguë et trouble de Célestine. Le roman était une vaste fresque sociale, acerbe et critique de la société des années 1890. Toutes les classes en prenaient pour leur grade. Il y avait un côté très rebelle, très nihiliste. Mirbeau était annonciateur du Céline du siècle suivant par la noirceur et l’anticonformisme de ses propos ; même son style était plus classique, et parfois un peu lourd. Buñuel transpose le film dans le début des années 30. Le bourgeois ne lit plus la « Libre Parole » de Drumont, mais l’ Action Française de Maurras. Il soutient les ligues fascistes de 34, et fait référence dans le plan final à Chiappe , préfet de Paris à l’origine des journées de février 34, qui aussi le préfet qui censurera l’ « Age d ‘OR » film surréaliste de Buñuel et Dali . Le scénario est adapté par J.C. Carrière et porte sa griffe, il garde le côté anticlérical et anti bourgeois de l’œuvre originale, mais réduit l’intrigue à un presque huis clos étouffant. Carrière joue d’ailleurs le rôle d’un prêtre corrompu et égrillard avec une réplique culte « il y a caresses , et caresses » . Célestine, devient le centre d ‘intérêt d’un carré de petits bourgeois, elle est libre et sauvage et tire tous les hommes par le bout du nez. Jeanne Moreau est excellente avec son air mystérieuse et réservée. Piccoli toujours impeccable annonce déjà le grand acteur qu’il sera par la suite .Si on fait abstraction du livre, le film de Buñuel, est solide et très bien réalisé , sans être du niveau de ses chefs d’ œuvre qui suivront , i ;e , « Belle de Jour ».
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 009 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 janvier 2017
    Avec "Le journal d'une femme de chambre" Luis Buñuel inaugure sa collaboration avec le producteur Serge Silberman et le scénariste Jean-Claude Carrière. Six films majeurs naitront de cette prolifique réunion de talents. Buñuel dont c'est le premier travail en France depuis sa période surréaliste, choisit d'adapter le roman d''Octave Mirbeau. Avec Carrière, pour répondre aux préoccupations de Buñuel, ils apportent quelques modifications au roman qu'ils transposent dans les années 1920. Le cinéaste se délecte d'observer les manies des bourgeois qui tournent autour de Célestine, la nouvelle femme de chambre venue de Paris dans ce manoir normand où vivent le couple Monteil et le père de l'épouse. Toutes les petites perversions s'expriment à travers les abus dont sont victimes les gens de maison de cette époque, que Mirbeau décrit comme "La pourriture des nantis". Rabour (Jean Ozenne), Monteil (Michel Piccoli) et le capitaine Mauger (Daniel Ivernel) tout à la fois pathétiquement drôles et terriblement conscients de l'indu pouvoir que leur confère leur rang social n'en sont pas moins humains. Pareil pour Joseph, le garde-chasse, joué par Georges Géret dont Buñuel contrairement à Mirbeau, en le désignant clairement coupable du meurtre d'un petite fille voisine, nous indique comme souvent dans ses films que la perversion n'est pas une affaire de classe. Célestine jouée par Jeanne Moreau alors au sommet de sa gloire, accumulant les collaborations prestigieuses, observe tout ce manège avec l'air amusé que lui autorisent sa grande force de caractère et son intelligence des situations. Jeanne Moreau qui dégage ce mélange bizarre de froide détermination, de candeur mutine et de sensualité bestiale s'insère parfaitement dans l'univers du réalisateur espagnol dont il se dit qu'il aurait été à plusieurs reprises dérouté par la hardiesse du jeu de Miss Moreau. Il est intéressant à ce propos de comparer sa prestation avec la Célestine proposée en 2015 par Léa Seydoux et Benoit Jacquot beaucoup moins complice et dont transparait à chaque instant la soif de revanche. Plus fidèle au roman, Jacquot a cherché à en extraire toute la rage sociale dont Mirbeau était habité lors de son l'écriture. Buñuel épicurien et fasciné par les perversions sexuelles de l'homme s'est par tropisme intellectuel davantage attardé à cet aspect de l'œuvre. L'une à côté de l'autre, ces deux versions rappellent que d'un seul roman suffisamment riche plusieurs lectures sont possibles qui ne dénaturent en rien la vision de l'auteur.. La carrière française de Buñuel était donc lancée de la plus brillante des manières.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 octobre 2016
    encore une fois il n' y a rien à redire de ce film, il est parfait comme "presque" tous les films de Bunuel; certaines scènes et certains propos sont d'une actualité éclatante; il s'est un peu éloigné du roman de Mirbau, mais au final il est resté fidèle à l'idée principal du roman, une certaine hypocrisie de la bourgeoisie et une vision extrémiste du "petit peuple"
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    218 abonnés 2 788 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2016
    Exercice de style qui évoquera pour beaucoup les films de Chabrol sur les petits travers des bourgeois de province, cette adaptation d'Octave Mirbeau est l'occasion pour Bunuel de livrer une réflexion sur l'esprit de revanche pris dans toutes ses dimensions: revanche sur la vie, sur la société, sur soi-même... Jeanne Moreau livre une performance de qualité et est très bien entourée dans ce récit sans véritable fin, où tout est question d'atmosphère. La mise en scène est très juste et le texte finement écrit.
    ffred
    ffred

    1 502 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 décembre 2015
    Un roman, deux adaptations, deux films très différents que j'ai vus à la suite. Le film de Buñuel est très daté (sorti en 1964) mais il profite d'une belle distribution avec une Jeanne Moreau impériale à sa tête. Un classique à revoir avec toujours le même plaisir. La version de Benoit Jacquot de cette année est bien sûr très différente sur tous les plans. L’histoire est la même mais la fin est totalement changée. Certaines scènes ou dialogues sont identiques, mais il se laisse regarder, je m'attendais à pire. On préfèrera tout de même la version du maître espagnol.
    Extremagic
    Extremagic

    54 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mai 2015
    Ah que j'ai du mal quand c'est hermétique à ce point. C'est pas que c'est mauvais au contraire, c'est juste que j'arrive pas. Alors d'un point de vue formel c'est superbe, les acteurs, la photo, toussa toussa c'est très réussi mais disons que d'une part je n'ai pas vraiment accroché à l'histoire mais c'est surtout cette fin, c'est beau, très mystérieux mais j'ai été largué et du coup bah forcément ça marche pas vraiment, disons pas au point où ça devrait marcher. De fait je suis tenter de dire que je préfère la version de Jacquot quoique plus pessimiste, quand bien même serait-elle objectivement moins réussie, mais c'est intéressant d'avoir une autre approche très différente.
    cylon86
    cylon86

    2 260 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2015
    Luis Bunuel et Jean-Claude Carrière adaptent le roman d'Octave Mirbeau et transposent l'action dans les années 30 alors que le fascisme monte en puissance. A travers l'histoire de Célestine, femme de chambre arrivant de Paris pour servir une famille de bourgeois provinciaux, Bunuel dénonce une fois de plus les travers et la décadence d'une bourgeoisie qui se meurt et qui est pourrie de l'intérieur. Entre le père de la famille qui fait porter à Célestine des bottines, la femme puritaine et hautaine et le mari qui ne cesse de la harceler sexuellement, le portrait des êtres humains fait ici est peu reluisant et ce n'est pas Célestine, qui finira par se marier et asservir son mari qui viendra changer la donne. C'est donc un portrait de mœurs féroce que voilà et dont le propos n'a encore rien perdu de sa force aujourd'hui.
    Olivier Ferry
    Olivier Ferry

    4 abonnés 196 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 juin 2014
    plutôt mou, les événements intéressants ne surviennent qu'a la fin du film et même là le "suspense" est assez faible
    Grouchy
    Grouchy

    109 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 avril 2014
    Première collaboration entre Bunuel et Carrère au scénario qui donnera un film encore soft comparé aux suivants qui seront les oeuvres emblématiques du style du cinéaste ; ils transforment une intrigue à suspens en histoire remplie de symbolisme sexuels et d'irrespect envers les conventions d'une enquête policière et se détourner rapidement de son point de départ. Il s'agit de se moquer ouvertement d'une famille bourgeoise très stricte au demeurant : la femme frigide domine ce monde glacial, le mari essaie tant bien que mal par la chasse ( métaphore de la masturbation ? ) d'oublier les privations sexuelles et drague toutes les bonnes, belles ou laides qu'il trouve, et le vieux père, respectable en apparence, fantasme sur les bottines. Vient ensuite une histoire de meurtre qui ne sera jamais résolue, le spectateur tout comme Célestine ne saura jamais qui est vraiment l'auteur du crime. Le film se finit brusquement, sur une manifestation de nationalistes disparaissante au loin : est-ce le mal qui s'est échappé ? Bunuel ne manque pas d'ajouter des références au surréalisme ( fourmis du Chien Andalou, escargots ... ) tout en symbolisant subtilement la sexualité ( raccord étrange entre entrejambes de Joseph et sur Célestine au lit, ainsi que les allusions chaperon rouge/loup ), et faisant évoluer en crescendo la dérivation du scénario, si bien qu'à la fin, la bonne a détrôné ses maîtres. Film intérieurement spécial, Le Journal d'une Femme de Chambre est caractéristique du cinéma de Bunuel et sera le début d'un style absurde à part entière.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 février 2014
    Après "Viridiana", voici donc "Le journal d'une femme de chambre". Date de sortie française : 1964.
    Plus accessible que le précédent de par une trame plus filiforme, ce Bunuel a du mal à se caractériser. Alors oui, Luis fait du Bunuel. Voici donc deux points que je vais aborder.
    D'abord, Luis met en scène cette femme de chambre (Jeanne Moreau), l'illumine par endroit, l'assombrit dans d'autres moments et met en forme, avec ses plans à la fois larges et serrés, une peinture qu'on croirait sortie directement d'un musée de la Renaissance. Le tout, aidé par un N&B bien sûr très bien calqué. Ce que j'ai préféré dans cette peinture, c'est l'ensemble qui n'est ni noir, ni blanc, mais bel et bien gris, tous comme la société dépeinte qui est mon deuxième argument.
    Cette société, grisée par la mise en scène de Bunuel, est ancrée dans une Province française des années d'avant guerre (1920-1930). Octave Mirbeau qui est à l'origine l'auteur du roman, sorti en 1900, situe son histoire au dix-neuvième siècle. Bunuel nous fait vivre ici dans le charme discret d'une bourgeoisie décrépie à souhait, vue au travers d'une personne venant de la capitale, la fameuse femme de chambre (sublime Jeanne Moreau, actrice déjà chevronnée : "Touchez pas au grisbi" (avec Lino), "Les amants" (de Louis Malle), "Jules et Jim" (de Truffaut)...) qui se range d'un bout à l'autre du film à côté de chaque personnage, brillamment écrits par Bunuel et Jean-Claude Carrière (scénariste lui-aussi. Il collaborera avec Luis pour "Cet obscur..." et sera reconnu ensuite par la profession : "Le tambour" (de Volker S.), "Valmont", "Cyrano de Bergerac"...) et qui en profite pour prendre un rôle dans le film, celui d'un curé. La noirceur et la misogynie sont aussi bien présents, n'en déplaise à Luis qui n'y va pas de main morte. Dans les tourments de ses personnages, il prend un malin plaisir à saisir un regard, un faciès, un dialogue, et ce, les mains dans les poches. Certes non provocateur, Bunuel pioche dans son univers perfide pour nous asséner ses tourments psychologiques (excuse-moi Luis !!) et psychorigides. Luis n'oublie pas non plus son fétichisme avec l'inénarrable Jean Ozenne (Verneuil l'avait engagé pour "Les amants du Tage") et ses fameuses bottes. Bunuel n'en démord pas et fait de ce deuxième point (cette société grisée, minée) l'essence même du "Journal d'une femme de chambre".
    Je tiens à parler du casting en dernier. Il y a donc Jeanne Moreau, Jean-Claude Carrière, Jean Ozenne. Luis Bunuel fait en sorte que l'interprétation soit bien générale. Tout comme dans "Viridiana" en somme. Avec Georges Géret (au début de sa carrière ! "Compartiments tueurs", "Z" (de Costa Gavras), "Flic ou voyou" (avec Bébel)...), Michel Piccoli (après avoir formé un couple avec B.B., il accompagnera Bunuel pour "Belle de jour" et "Le charme...". Revu tout récemment chez Nanni Moretti pour "Habemus papam"), Françoise Bertin (à partir des années 2000, elle a joué pour Chabrol ("La fleur du mal") puis elle a tourné dans l'avant-dernier Berri : "Ensemble, c'est tout") et Dominique Zardi (autre grande gueule du cinéma français : "Le doulos", "Pierrot le fou", "Max et les ferrailleurs", "Masques" (de Chabrol)...) notamment, tous à la même hauteur d'interprétation.
    Pour terminer, "Le journal d'une femme de chambre" se doit d'être vu en raison de son accessibilité et de la domination charnelle d'une Jeanne Moreau nous dévoilant tout son potentiel d'actrice (je l'ai néanmoins préférée dans "Jules et Jim").
    Spectateurs, à vos postes.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    667 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 septembre 2013
    "Le journal d'une femme de chambre" est à la base un roman d'Octave Mirbeau que je n'ai hélas jamais lu, mais autant dire que cette adaptation de Luis Buñuel me donne particulièrement envie de le découvrir. J'ai trouvé l'histoire particulièrement forte, mais en plus nous avons le droit à une interprétation pour le moins remarquable d'une Jeanne Moreau franchement envoùtante et la mise en scène est d'une très grande richesse. Visuellement, c'est donc vraiment une oeuvre que l'on prend plaisir à contempler, mais la superbe photographie de Roger Fellous et les très beaux décors y sont aussi pour quelque chose. On peut donc clairement dire que l'on se trouve devant une des oeuvres les plus importantes dans la filmographie de ce cinéaste.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 septembre 2013
    Superbe film et superbe interprétation. Mais pourquoi cette fin nécessitant la consultation de plusieurs articles encyclopédiques pour la comprendre ?
    Estonius
    Estonius

    2 500 abonnés 5 234 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 août 2013
    Qu'on arrête de dire que les films de Buñuel sont des critiques de la bourgeoisie, ce n'est pas seulement la bourgeoisie qu'il critique c'est la nature humaine. (à ce que je sache la pire ordure du film, joué par Géret, n'a rien d'un bourgeois !) On n'a pas assez insisté sur le rôle de Michel Piccoli, pourtant excellent comme à ses habitudes. Jeanne Moreau est sublime dans ce rôle où tout le film nous la montre d'une lucidité extrême (elle ira même jusqu'à coucher avec Géret et se parjurer, rien que pour obtenir sa confiance), puis quand elle constatera que la justice ne fonctionne pas, elle épousera un vieux réac en attendant qu'il claque. Si on peut regretter une certaine propension de scénario à parfois trop caricaturer, le film n'en reste pas moins un chef d'œuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 juillet 2013
    Premier film que je visionne de ce réalisateur mythique et j’avoue que j’ai apprécié mai que cela n’a pas été non plus la folie. La première partie du film est vraiment bien foutu, l’arrivée en train la découverte du monde de la bourgeoisie. Cette satire faite par Luis est réussie avec ce maitre de maison obsédé sexuel, sa femme complètement maniaque et folle, son père fétichiste des pieds... on a le droit à une belle brochette. En revanche le scénario qui suit spoiler: avec le meurtre de la petite fille par le Joseph
    est assez peu intéressant, et ne cherche en fin de compte à montrer une seule chose, son extrémisme et son racisme. La fin en revanche est très bien trouvée avec Célestine qui finit par asservir elle-même ses domestiques. La boucle est bouclée.
    Passons aux acteurs et là on a du beau monde avec Jeanne Moreau et Michel Piccoli très bon. Les autres acteurs s’en sortent bien également mais bon rien d’exceptionnel!
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