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    Maestro
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    Sebastien Francois
    Sebastien Francois

    5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2024
    interprétation magistrale de Bradley Cooper, le mimétisme avec Bernstein lorsqu'il dirige l'orchestre est saisissant
    Jupii
    Jupii

    95 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 avril 2024
    J’ai adoré Bradley Cooper qui au même titre que star is Born est sur tous les plans. Il a appris pendant 6 ans à diriger un orchestre et cela se fait ressentir. (la course a l’oscar). Il faut dire que le début est un peu long mais j’ai adoré être dans le couple de cette artiste. En beaucoup de points j’ai pu me reconnaître, preuve que la vie du couple est peut-être bien représentée dans ce film. La scène de 6 min dans l’église m’a donné des frissons. Respect.
    Juliette Annet
    Juliette Annet

    1 critique Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2024
    très bien filmé, très bon acteurs mais scénario décevant.
    J'aurais apprécié qu'il explore davantage la vie et les inspirations de Bernstein.
    gizmo129
    gizmo129

    75 abonnés 1 468 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mars 2024
    Toujours dans le monde musical après A star is born, Bradley Cooper nous revient pour sa deuxième réalisation avec un biopic sur le compositeur de West Side Story : Bernstein ! Mais loin d'apprendre des choses sur le parcours du chef d'orchestre, c'est davantage sur le personnage, ses failles et déviances de l'époque que le film se concentre. Finalement peu intéressant sur le fond, c'est sur la forme que le film retient notre attention, en particulier la performance des 2 acteurs principaux et en particulier Bradley Cooper pour un plan séquence magistrale dans une cathédrale. Film Netflix autant à la gloire de Bernstein que de Cooper qui occupe tout les rôles, le film a été boudé aux Oscar, peut être injustement pour le prix de meilleur acteur.
    Ciné-13
    Ciné-13

    94 abonnés 892 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mars 2024
    Pas récompensé aux Oscars 2024, alors que nominé 7 fois!
    COOPER nous propose une brillante interprétation de BERNSTEIN sur l'ensemble de sa vie, et c'est une véritable prouesse :
    tour à tour jovial, bienheureux, doué, passionné, cabotin, séducteur, ambigu...
    MULLIGAN elle aussi est brillante : tour à tour amoureuse, chagrinée, jalouse, fâchée, triste, malade...
    La couleur a été choisie un peu artificiellement quand les enfants ont environ 20 ans.
    Les meilleurs moments seront les disputes dans le couple; et bien sûr la direction de la symphonie n°2 avec choeur, orchestres et soliste avec une immense ferveur spoiler: (on découvrira la version originale étonnante dans le générique final)
    . J'aurais tant aimer écouter les réflexions du maestro sur sa musique, mais là la frustration est grande!
    Loriot Laurent17
    Loriot Laurent17

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mars 2024
    Je ne m'attendais pas à ce regard, j'aime sa musique que je connais, j'espérais sûrement passer une heure 30 en musique intense mais non c'est un regard sur sa vie privée. Je connaissais cet aspect car j'aime ce qu'il a apporté à la musique au monde mais là il s'agit de sa vie privée et c'est un regard que je n'apprécie pas. L'homme tel qu'il était était merveilleux le reste les regardait. C'est une intrusion. J'espérais un film sur sa musique pas sur son homesualite et la dualité qu'elle a engendré et que je respecte. Donc oui le film est bien mais quel intérêt à déballer son intimité... aurait il voulu cela voilà la question doit on mettre en pâture. L'homme était merveilleux et c'est son œuvre que j'aime entendre et encore . Sa vie privée est privée comme s'il fallait justifier ses choix. Cela ne nous regarde pas. Donc oui je suis déçue par le choix choix de déballer sa vie privée son homosexualité. Comme si au final c'était une faute. En faisant ce choix cinématographique on ne lui rend pas hommage. Oui il était homosexual et alors.
    Evan D
    Evan D

    6 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mars 2024
    Film sympa, Bradley Cooper joue bien même si j’ai une préférence pour le jeux de Carey Mulligan.
L’histoire est prenante, la première heure du film en noir et blanc fait vraiment penser à des films d’époque, et la relation entre les deux personnages principaux fonctionne bien.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    226 abonnés 2 883 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2024
    Je suis un peu toqué... bah oui car je pensait vraiment que ce film allait me faire perdre la tête tellement ça allait être un chef d'oeuvre et au final je suis tombé un peu de haut... bon c'est clair que Bradley Cooper est un génie de la réalisation et c'est clair aussi qu'il est un excellent acteur mais le parti pris du film m'a un peu gêné... c'est filmé bizarrement, beaucoup de moments importants de la vie de Bernstein sont mis sous silence pour mettre en évidence des moments plus secondaires et au final j'ai l'impression d'etre passé à coté de sa vie, de sa personnalité, de sa carrière... et j'en suis ressorti frustré... mais il n'empêche que Mr Cooper est un réalisateur prometteur et je lui souhaite la merveilleuse carrière qu'il mérite ! Bradley je t'aime !
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    6 abonnés 600 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 février 2024
    « Si ça devient un sacrifice, alors je disparais. »

    Déjà encensé par le public et en grande partie par la critique pour A Star is Born (2018, remake d’un grand classique hollywoodien des années ’30, plusieurs fois repris), Bradley Cooper est un touche-à-tout de talent, c’est indéniable. Pour ma part, je l’ai découvert en acteur dans la trilogie Very Bad Trip (The Hangover, 2009, 2011, 2013) de son ami Todd Philips et j’ai été surpris par la nonchalance nihiliste de son personnage, dans une interprétation d’une sobriété exemplaire pour ce genre d’exercice.

    Comme souvent dans le cinéma contemporain, Bradley Cooper, réalisateur opposant plusieurs époques, s’adapte à chacune d’elle en adoptant sa syntaxe. Ainsi, la première partie, couvrant les années ’40/’50, est-elle tournée en noir et blanc en épousant le ratio d’écran de la période, aux 4/3. Classique, donc. En revanche, le jeu des acteurs s’adapte également, en flux rapide, à la manière des films de Capra, où les voix s’entrechoquent en dialogues vite inaudibles et d’un ton plus haut qu’aujourd’hui. Il en va de même pour les jeux d’ombre en plans fixes et lignes de fuite. On soulignera ainsi la qualité de la photo (Matthew Libatique, fidèle de Darren Aronofsky) et le soin apporté à la reconstitution d’époque.

    Au-delà du biopic, la première partie du film rend hommage à un genre encore méprisé en Europe, la comédie musicale, qui a su, aux Etats-Unis, réconcilier l’art élitiste de la musique classique et la culture populaire dans un même élan à travers Broadway et Hollywood.

    Peu avant l’heure de visionnage, quand on aborde les années ’70, la couleur revient mais avec un ratio identique, comme une transition en douceur. Les travellings semblent aussi de plus en plus lents, tout comme les dialogues, plus distants, plus froids, Bradley Cooper s’exprimant alors d’une voix grave, peut-être un rien surjouée, due à l’âge et à la cigarette.

    La lenteur du film devient alors omniprésente et ne se voit soutenue par aucun artifice narratif ou interprétatif, à l’image, justement, de certains travellings interminables. Initialement proposé à Martin Scorsese (qui a magnifié la comédie musicale à travers New York, New York, 1977) puis à Steven Spielberg (qui a réalisé le remake de West Side Story en 2021), tous deux producteurs du film parmi d’autres, Maestro rend plus hommage au second dans sa recherche de l’effet ponctuel et sa linéarité parfois soporifique qu’au premier et à son énergie rythmique beaucoup plus en phase avec le thème de la musique. On sera en effet surpris que les compositions de Bernstein, pourtant personnage central, n’accompagnent pas plus l’histoire, comme c’est le cas de West Side Story, à peine évoqué, ou de sa messe pourtant importante sur le plan socio-politique, qui témoigne des engagements du compositeur et chef d’orchestre. On regrettera par exemple qu’il ne soit jamais fait mention de son attachement à la musique pop (Les Beatles, Paul Simon) ou de son engagement envers les droits civiques, lui qui organise en 1970, avec Felicia, une soirée de soutien au mouvement des Black Panthers.

    Ainsi, malgré une première demi-heure énergique et originale, on retombe vite dans les travers de l’exercice difficile du biopic : une narration classique, voire académique, faisant abstraction de l’oeuvre de l’artiste et de sa personnalité publique pour se concentrer sur sa vie privée somme toute assez banale sauf si la question de l’homosexualité, de la bisexualité en l’occurrence, défrise encore quelqu’un. L’interprétation trop mesurée, une caméra certes inventive mais qui s’essouffle vite, tout concourt alors à faire de ce prétendant à l’oscar du meilleur film un téléfilm de très bonne facture, sans plus. Se voulant inclusif, Maestro reste un film sur un mec, réalisé par un mec et son propos pseudo-féministe ne leurre personne.

    Au niveau de l’interprétation, Bradley Cooper semble constamment se diriger lui-même (ce qui est le cas, de fait), prenant garde à éviter le moindre écart avec l’image policée, plastique, qu’il se fait du compositeur. Carey Mullingan, tellement émouvante dans Shame (Steve McQueen, 2011) et tellement combative dans Suffragette (Sarah Gavron, 2015), joue ici à l’opposé du présupposé de départ, en épouse et mère effacée, qui se sacrifie alors qu’elle s’en défend, comme soumise et transparente. Il est difficile de comprendre pourquoi les deux interprètent figurent au palmarès des Oscars 2024, quand l’une et l’autre sont capables de tellement mieux d’autant que Bradley Cooper s’autofilme et écrase constamment la présence du principal personnage féminin et la prestation de Carey Mulligan.

    Ça n’est pas mal joué, ça n’est pas mal filmé, certaines scènes valent détour et le scénario n’est pas inintéressant mais bon sang que c’est fade, mou et vieillot !
    Gilles Domenech
    Gilles Domenech

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 février 2024
    Magnifique film qui illustre avec beaucoup de subtilité un thème très peu connu: la bisexualité.
    Magistrale interprétation
    Chloé Rabiller
    Chloé Rabiller

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2024
    Brillant et émouvant Bradley Cooper est épatant dans ce film un de ses meilleurs rôles !!
    Son oscar est amplement mérité
    Ce film est une réelle beauté pour les yeux et l’ouïe
    Cinémonde
    Cinémonde

    135 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2024
    Bradley Cooper, en seulement deux films, a eu le temps de prouver son talent pour la réalisation de film avec “A star is born” et à présent “Maestro” ; le second est sorti directement sur Netflix en décembre dernier (de l’année 2023). En somme, le second film est bon pour ce qu’il raconte ; la réalisation est d’une minutie honorable malgré un scénario peu abordable mais tout de même clair.

    En ce qui concerne le scénario, Léonard Bernstein possède une histoire complexe ; cependant, il est important de préciser qu’un non-initié à la vie de Bernstein peinera à trouver son compte ; par ailleurs, il est vrai que la narration est claire et extrêmement prenante. Le fait que ce soit Léonard Bernstein qui raconte l’histoire le fait rapprocher du spectateur et peut faire penser à un documentaire. L’aspect réaliste est constamment servi. Le public n’aura aucun mal à rentrer dans l’univers de ce compositeur. Effectivement, le film se centre sur la rencontre entre le compositeur et sa femme, Felicia Montealegre. Une histoire remplie de rebondissement, de sacrifice et de mensonge. En revanche, le récit en lui-même peut paraître ennuyant et peu accessible, malgré un sens du dramatisme impactant. Le couple incarné par Bradley Cooper et Carey Mulligan est très attachant ; les deux protagonistes possèdent un développement complet et touchant malgré une légère précipitation sur le dernier tiers du film. Les autres personnages sont peut-être trop anecdotiques et oubliables malgré une importance cruciale dans la vie du couple ou de Léonard. En somme, Bradley Cooper a su adapter la vie d’une légende de la composition à l’aide d’une narration intégrant le public à la réflexion malgré un ensemble peu accessible.

    En ce qui concerne la réalisation, elle pourrait être divisé en deux parties distinctes ; la première est excellente avec un noir et blanc épuré et lisible avec une photographie très précise et millimétré, presque symétrique avec des mouvements de caméra impressionnant ; l’énergie dans les mouvements de caméra pourrait être vu comme l’âge du compositeur, jeune et énergique. Cette partie nous montre le passé du protagoniste ainsi que sa rencontre avec sa femme ; le noir et blanc pourrait représenter le passé et le passage à la couleur pourrait démontrer que l’image devient plus “agréable” après l’arrivée de sa femme. A contrario de la première partie, la seconde partie ne possède que très peu de mouvement, cela pourrait être en corrélation avec l’âge du compositeur ; Léonard Bernstein a durement vieilli entre la première et la deuxième moitié. Par ailleurs, la direction photographique est toujours aussi millimétrée mais les couleurs sont logiquement plus importantes et reflètent de l’humeur des protagonistes. La musique est extrêmement présente et ne fait que gagner en puissance, elle reflète son importance dans la vie du compositeur. En bref, la réalisation est totalement claire et le moindre détail a son importance.

    “Maestro” est un bon film avec une réalisation claire et intelligente avec une narration fine et ludique malgré un scénario qui pourrait être considéré comme élitiste.
    bobbill
    bobbill

    1 abonné 27 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2024
    Grande fresque - long nez - musique réduite à des jingles, on doit plus ou moins déjà connaître et apprécier, au moins. la figure du compositeur et chef d'orchestre pour ne serait ce que s'intéresser à ce catalogue de Polaroïds intimes, aux seuls contrastes soulignes par une direction lumière et photographie majeure. Dommage on aurait aimé vibrer, mais le personnage nous demeure étranger et ses histoires de séduction des numéros sans identités. Glaçant..
    GéDéon
    GéDéon

    57 abonnés 454 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 février 2024
    Le deuxième long-métrage en tant que réalisateur de Bradley Cooper, sorti en 2023, retrace la vie du musicien Leonard Bernstein, notamment connu pour avoir écrit la partition de « West side story ». Toutefois, il n’est aucunement question de musique mais plutôt du rapport que le compositeur entretenait avec sa femme (Carey Mulligan) en dépit de ses relations homosexuelles. Ce choix narratif donne une orientation tronquée de l’existence de cet homme, d’autant plus que le manque de contextualisation par rapport aux différentes époques traversées (de 1950 à la fin des années 1970) ne permet pas de se passionner pour le récit. Seule la prestation de Bradley Cooper, dans un rôle taillé pour l’Oscar, constitue un véritable défi. Bref, une biographie abordée par le petit bout de la lorgnette qui finit par ne présenter qu’un intérêt limité.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    313 abonnés 1 707 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2024
    Bradley Cooper s'essaye de nouveau à la réalisation, mais cette fois pour Netflix. Quelques années après le succès de A Star Is Born. Ce second film est sans aucun doute une belle réussite pour Bradley Cooper. Sa carrière de réalisateur démarre donc parfaitement.

    Le début peut en revanche en rebuter plus d’un. Cette première partie est plus conceptuelle. Avec un style en noir et blanc, Bradley Cooper donne l’impression de vouloir prouver sa capacité technique à être réalisateur. La maîtrise cinématographique est bien présente avec des plans bien enchaînés. Malheureusement, ça s’arrête là. Cette partie est plus une démonstration autocentrée de savoir-faire, qu’un véritable apport pour le spectateur.

    Par contre, cela devient plus intéressant par la suite. Maestro se livre enfin. L’émotion commence enfin à naître. En revanche, ce n’est pas pour autant que la forme est délaissée. Tout reste millimétré, que ce soit le montage, la photographie, le jeu d'acteur, mais aussi la musique qui est sublime. En effet, faire un biopic sur un chef d’orchestre met le standing assez haut.

    Comment ne pas être ébahi par la performance grandiose de Bradley Cooper et Carey Mulligan. À l’image de A Star Is Born, Cooper aime prendre toute la place. On sent l’importance indéniable du personnage de Mulligan dans l’histoire, mais malgré tout, elle n’a que trop peu de moment de lumière.
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