Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Une vibration continue qui nous aura subjugués comme un chant astral et enivrant, nimbé d’une mélancolie de combat.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Beau sujet mais également superbe mise en scène. Serebrennikov fait le choix d’un très beau format scope (écran large) en noir et blanc qu’il parsème d’éclats colorés. Un des meilleurs films de l’année, à voir absolument.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Dominique Widemann
Après le Disciple, un nouveau film remarquable de Kirill Serebrennikov.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un formidable film pop.
Le Figaro
par Olivier Nuc
Un film initiatique, poétique et vibrant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Serebrennikov déplie tout un monde imaginaire, fait de pulsion d’émancipation, à partir de la posture du fan. Qui imite et idolâtre se libère plus qu’il ne s’aliène.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Ce qui est vraiment magnifique ici, c’est la façon dont le cinéaste aborde ce moment de bascule, de crise, où un processus de désagrégation politique inexorable s’amorce comme en sourdine, non sous la forme attendue, fulgurante du drame mais en laissant les épisodes du quotidien déposer et cristalliser, dans l’ample matière du souvenir instantané, la joie irremplaçable des instants privilégiés et la conviction sereine que ce qu’il était possible de vivre l’était sans retenue ni calcul, et jusqu’à la plénitude d’un gâchis extatique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Très musical, sensible, juste et esthétiquement très original.
Paris Match
par Yannick Vely et Karelle Fitoussi
"Leto", un grand film sur la liberté qui a tout pour devenir culte.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Denitza Bantcheva
L'ensemble a une grâce rare, renforcée par les mouvements souvent sinueux, presque dansants, de la caméra et par l'utilisation très habile de la musique (tantôt in, tantôt off, tantôt entremêlant les sources) pour restituer l'espace mental des personnages.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Kirill Serebrennikov est toujours assigné à résidence à Moscou, accusé d’un détournement de fonds dont il nie toute implication. Tandis que se déroule son procès, « Leto » qui signifie « L’été » en russe, illumine les écrans français. Courez-y même si le rock vous indiffère.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Frédéric Mercier
Entre recherches formalistes et captation lyrique d'un bref moment d'euphorie, "Leto" réussit à inventer une image inédite de l'URSS : joyeuse, avenante, mais lucide.
Télérama
par Jacques Morice
Un film baroque et grisant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Une sorte de comédie musicale punk somptueuse, ode échevelée à la jeunesse et à la liberté (...).
Bande à part
par Olivier Pélisson
Un éloge de la force. Celle de l’élan libertaire, celle de l’amour, celle de la musique. Brio total.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Kirill Serebrennikov se souvient de Viktor Tsoï, musicien de légende du rock russe, mort accidentellement en 1990 à l’âge de 28 ans. Il reconstitue cette époque rock, dans un lumineux noir et blanc de nostalgie. Les chansons du film sont jouées sur des instruments d’époque – beau souci d’authenticité.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Express
par Christophe Carrière
Ainsi "Leto" lève-t-il le voile sur une période méconnue : les prémices de la perestroïka. Une immersion passionnante dans un univers ultracontrasté, dès la séquence d'ouverture, où les musiciens endiablés jouent devant une assemblée stoïque que des caciques obligent à rester sagement assise.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Cette fougue, cette liberté imprègnent la mise en scène de Serebrennikov et ses séquences musicales.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Leto, en apesanteur, touché par la grâce, impressionnant d’inventivité visuelle, pourrait bien devenir l’œuvre culte de la jeunesse d’aujourd’hui, le manifeste d’une Nouvelle Vague, irisée de romantisme et de mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Existe-t-il film plus libre, beau et mélancolique que "Leto" ?
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Une reconstitution habile et vibrante, assez libre pour éviter les pièges et lourdeurs du biopic.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Kirill Serebrennikov évoque avec une euphorie élégiaque la scène musicale du Leningrad des années 1980.
Le Parisien
par La Rédaction
Tourné dans un noir et blanc somptueux, « Leto » conte la difficulté à faire bouger les choses, voire à tout simplement jouer en public dans la Russie de l’époque, tout en mettant l’accent sur la légèreté et l’aptitude à une certaine forme de dolce vita de cette tribu de musiciens qui vivaient de rock, de cigarettes, d’amour et de vodka fraîche.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Mathilde Cesbron
Le film de Kirill Serebrennikov raconte l'épopée flamboyante d'un groupe rock dans l'URSS d'avant la perestroïka avec une bande-son à faire pâlir les Stones.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
À parti d’un triangle (amoureux) de figures de la scène rock pré-perestroïka, Kirill Serebrennikov célèbre la jeunesse, le pouvoir de la pop et, à leur intersection, une parenthèse enchantée. Ce n’est pas rien, pour un film paré, par ailleurs, d’une telle mélancolie.
Première
par Frédéric Foubert
Kirill Serebrennikov tricote un biopic sur des stars de l’ère soviétique inconnues sous nos latitudes (Viktor Tsoi et Mike Naumenko) et le décalage linguistique et culturel va nous obliger à regarder ces clichés de la coming of age story électrique comme si on nous les racontait pour la première fois.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
"Leto" plaira aussi bien aux jeunes filles qu’aux retraités, et c’est ce en quoi il réussit son coup : rendre populaire aujourd’hui l’underground d’une époque pas si lointaine.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Le Russe Kirill Serebrennikov capte intelligemment l’inventivité folle et le besoin d’émancipation d’une jeunesse rock de la scène underground soviétique des années 80. Avec énergie et maestria, il livre une œuvre éloquente qui dépasse les canons poussifs du biopic musical.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Thomas Choury
Mais, un peu englouti par la surenchère stylistique, Leto peine à s’imposer finalement comme une évidence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou et Olivier Rossignot
De "Leto", on gardera en tête son infinie douceur, nourrie par un beau noir et blanc et une bande-son nostalgique (...). Mais s’il montre le grain de folie de cette jeunesse, il manque lui-même de folie dans sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Cahiers du Cinéma
Une vibration continue qui nous aura subjugués comme un chant astral et enivrant, nimbé d’une mélancolie de combat.
Franceinfo Culture
Beau sujet mais également superbe mise en scène. Serebrennikov fait le choix d’un très beau format scope (écran large) en noir et blanc qu’il parsème d’éclats colorés. Un des meilleurs films de l’année, à voir absolument.
L'Humanité
Après le Disciple, un nouveau film remarquable de Kirill Serebrennikov.
Le Dauphiné Libéré
Un formidable film pop.
Le Figaro
Un film initiatique, poétique et vibrant.
Les Inrockuptibles
Serebrennikov déplie tout un monde imaginaire, fait de pulsion d’émancipation, à partir de la posture du fan. Qui imite et idolâtre se libère plus qu’il ne s’aliène.
Libération
Ce qui est vraiment magnifique ici, c’est la façon dont le cinéaste aborde ce moment de bascule, de crise, où un processus de désagrégation politique inexorable s’amorce comme en sourdine, non sous la forme attendue, fulgurante du drame mais en laissant les épisodes du quotidien déposer et cristalliser, dans l’ample matière du souvenir instantané, la joie irremplaçable des instants privilégiés et la conviction sereine que ce qu’il était possible de vivre l’était sans retenue ni calcul, et jusqu’à la plénitude d’un gâchis extatique.
Ouest France
Très musical, sensible, juste et esthétiquement très original.
Paris Match
"Leto", un grand film sur la liberté qui a tout pour devenir culte.
Positif
L'ensemble a une grâce rare, renforcée par les mouvements souvent sinueux, presque dansants, de la caméra et par l'utilisation très habile de la musique (tantôt in, tantôt off, tantôt entremêlant les sources) pour restituer l'espace mental des personnages.
Sud Ouest
Kirill Serebrennikov est toujours assigné à résidence à Moscou, accusé d’un détournement de fonds dont il nie toute implication. Tandis que se déroule son procès, « Leto » qui signifie « L’été » en russe, illumine les écrans français. Courez-y même si le rock vous indiffère.
Transfuge
Entre recherches formalistes et captation lyrique d'un bref moment d'euphorie, "Leto" réussit à inventer une image inédite de l'URSS : joyeuse, avenante, mais lucide.
Télérama
Un film baroque et grisant.
Voici
Une sorte de comédie musicale punk somptueuse, ode échevelée à la jeunesse et à la liberté (...).
Bande à part
Un éloge de la force. Celle de l’élan libertaire, celle de l’amour, celle de la musique. Brio total.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Kirill Serebrennikov se souvient de Viktor Tsoï, musicien de légende du rock russe, mort accidentellement en 1990 à l’âge de 28 ans. Il reconstitue cette époque rock, dans un lumineux noir et blanc de nostalgie. Les chansons du film sont jouées sur des instruments d’époque – beau souci d’authenticité.
L'Express
Ainsi "Leto" lève-t-il le voile sur une période méconnue : les prémices de la perestroïka. Une immersion passionnante dans un univers ultracontrasté, dès la séquence d'ouverture, où les musiciens endiablés jouent devant une assemblée stoïque que des caciques obligent à rester sagement assise.
L'Obs
Cette fougue, cette liberté imprègnent la mise en scène de Serebrennikov et ses séquences musicales.
La Croix
Leto, en apesanteur, touché par la grâce, impressionnant d’inventivité visuelle, pourrait bien devenir l’œuvre culte de la jeunesse d’aujourd’hui, le manifeste d’une Nouvelle Vague, irisée de romantisme et de mélancolie.
La Septième Obsession
Existe-t-il film plus libre, beau et mélancolique que "Leto" ?
Le Journal du Dimanche
Une reconstitution habile et vibrante, assez libre pour éviter les pièges et lourdeurs du biopic.
Le Monde
Kirill Serebrennikov évoque avec une euphorie élégiaque la scène musicale du Leningrad des années 1980.
Le Parisien
Tourné dans un noir et blanc somptueux, « Leto » conte la difficulté à faire bouger les choses, voire à tout simplement jouer en public dans la Russie de l’époque, tout en mettant l’accent sur la légèreté et l’aptitude à une certaine forme de dolce vita de cette tribu de musiciens qui vivaient de rock, de cigarettes, d’amour et de vodka fraîche.
Le Point
Le film de Kirill Serebrennikov raconte l'épopée flamboyante d'un groupe rock dans l'URSS d'avant la perestroïka avec une bande-son à faire pâlir les Stones.
Les Fiches du Cinéma
À parti d’un triangle (amoureux) de figures de la scène rock pré-perestroïka, Kirill Serebrennikov célèbre la jeunesse, le pouvoir de la pop et, à leur intersection, une parenthèse enchantée. Ce n’est pas rien, pour un film paré, par ailleurs, d’une telle mélancolie.
Première
Kirill Serebrennikov tricote un biopic sur des stars de l’ère soviétique inconnues sous nos latitudes (Viktor Tsoi et Mike Naumenko) et le décalage linguistique et culturel va nous obliger à regarder ces clichés de la coming of age story électrique comme si on nous les racontait pour la première fois.
Rolling Stone
"Leto" plaira aussi bien aux jeunes filles qu’aux retraités, et c’est ce en quoi il réussit son coup : rendre populaire aujourd’hui l’underground d’une époque pas si lointaine.
aVoir-aLire.com
Le Russe Kirill Serebrennikov capte intelligemment l’inventivité folle et le besoin d’émancipation d’une jeunesse rock de la scène underground soviétique des années 80. Avec énergie et maestria, il livre une œuvre éloquente qui dépasse les canons poussifs du biopic musical.
Critikat.com
Mais, un peu englouti par la surenchère stylistique, Leto peine à s’imposer finalement comme une évidence.
Culturopoing.com
De "Leto", on gardera en tête son infinie douceur, nourrie par un beau noir et blanc et une bande-son nostalgique (...). Mais s’il montre le grain de folie de cette jeunesse, il manque lui-même de folie dans sa mise en scène.