Avis : Greenland - Le dernier refuge - Page 2

Un film gentillet et bien pensant avec les
sempiternels bons sentiments américains. avec leurs grandes maisons leurs très grosses voitures leur famille moi d abord et leur toute petite tête. Le jeu des acteurs est convenu le scénario est banal et sans surprise et aucun élément de science fiction original

D'ordinaire pas trop fan de ce genre de film, je me suis laissé tenter. Et ce fut une très bonne surprise, j'en veux pour preuve ce sentiment de malaise ressenti pendant le film. Malaise car criant de réalisme, efficace, sans effets spéciaux plus qu'il ne faut. le réalisateur explore avec justesse tous les comportements humains peu glorieux que l'on rencontrerait dans ce genre de situation. GB pour une fois n'est pas un super héros, guerrier de l'apocalypse, avec un jeu plus en sobriété qui lui va très bien. A voir bien entendu

J’adore les films avec Gérard Butler, ils sortent souvent l’été et ce sont principalement des films aux scénarios catastrophes. Difficile de passer alors à côté de Greenland pour plusieurs raisons, la première, celle que je viens de vous dire, la 2e il faut bien avouer qu’au vue de la conjoncture actuelle il n’y a pas beaucoup de sortie intéressante et puis parce que c’est le genre de films à voir au cinéma et non pas sur un écran de télé.

On peut dire que la famille Garrity vit une sale période dans le film ! Tout d’abord choisi par le programme présidentiel, ils se voient refusés l’accès à l’avion et là tout tourne à la catastrophe directement dans leur vie. C’est la descente aux enfers et c’est franchement mal barré pour eux. Finalement, forcément, tout ne se termine pas si mal dans ce scénario catastrophe mais bon. Le passage avec leur fils est assez déchirant, quelle horreur ! Une chose comme cela pourrait tellement arriver que ça en fait froid dans le dos. On voit la condition humaine changer avec la peur de mourir et certains sont prêts à tout pour arriver à leur fin.

C’est en soit que le film est bon parce qu’il montre tous ces aspects possibles des gens par le négatif. On le constate avec ce que deviennent finalement certains avions parce que les gens sont désespérés. Même si l’on comprend pourquoi telles et telles personnes sont choisies c’est tellement dégouttant de refuser un enfant malade ! C’est vraiment la lutte pour la survie. Est-ce qu’un échappatoire est possible avec ce qui tombe sur la terre ? Une deuxième extinction de masse arrivera t’elle un jour ? ‘ai beaucoup aimé le jeu des acteurs. Ils sont efficaces, le petit garçon également. Beaucoup de choses se passent dans le film, on ne voit pas le temps passer et le rythme est extrêmement soutenu. Un film qui nous remue littéralement !


En résumé, Greenland est un bon film. Il est vrai qu’on le voit d’un autre œil avec ce qui se passe à l’heure actuelle avec la covid. Parce que oui clairement un jour l’histoire de Greenland pourrait aussi nous arriver et ça fait peur parce que rien n’est possible… Est-ce que certaines personnes auraient le même traitement de faveur que dans le film, bonne question ! En tout cas, il nous fait nous interroger sur ce que l’on est ! A voir actuellement au cinéma.

Greenland est un film catastrophe dont le côté catastrophe est mis au second plan pour se consacrer plus sur les péripéties d'une famille qui veut rejoindre un refuge pour survivre à la catastrophe éminente.
C'est sur la fin que le film traite à nouveau du sujet qui aurait dû être plus exploiter ( la chute de météorites).
Certes toutefois les nombreux rebondissements rends les 2 heures de ce film rapide.

le film catastrophe par excellence avec un scénario à l américaine...
cela plaira au spécialiste du genre....

Dans le cinéma où je suis allé le voir, l'exploitant à cru bon d'ajouter le label "nouveauté" sur l'affiche de Greenland, le dernier refuge. Symbole d'une époque où l'activité culturelle est quasi au point mort, c'est certain (la plupart des grosses sorties ayant retardé leur arrivée en salles). Quand bien même, il est permis d'en rire puisque le blockbuster mettant en vedette Gerard Butler face à l'apocalypse est aussi anecdotique que routinier.
Situé quelque part entre La Guerre des mondes et 2012 mais avec 3 ou 4 fois moins de budget, Greenland a donc le bon sens de la jouer profil bas : l'humain passera donc en priorité. Une tactique plus fine qu'espérée, autour de laquelle convergent quelques bonnes idées pour faire rebondir le périple d'une cellule familiale fragilisée. Loin d'être novateur, le script joue quand même bien la partition pendant une heure. Délesté de son armure de bourrin ou de ses grosses pétoires, Gerard Butler rappelle qu'il peut incarner le héros d'à côté et s'en sortir avec les honneurs. Sur un pied d'égalité avec la star, Morena Baccarin fait un boulot irréprochable. Notons également la sympathique apparition de l'inoxydable Scott Glenn. En toute lucidité, Greenland ne figurera pas à leurs palmarès respectifs mais on ne le trouvera pas non plus parmi leurs casseroles. Ce qui est presque remarquable compte tenu des énormes faiblesses du film.
Rares sont les grosses machines qui se parent d'un scénario en titane, évitant soigneusement le maximum de lourdeurs et sottises sur le chemin. Greenland ne va pas changer les statistiques à ce niveau, à en juger par la mise en contexte quasi-absente, la crédibilité zéro de certaines situations, les effets spéciaux moyens (au mieux) et la morale bien chrétienne (les allusions à la sainte-mère église ne manquant pas). Honnêtement, je ne m'attendais pas à un film d'une grande subtilité. Apparemment, ce n'était pas le but non plus du réalisateur Ric Roman Waugh, dont la mise en scène est d'une inélégance manifeste, à base de caméras à l'épaule frustes et de rushes d'une publicité pour Center Parcs. Le long-métrage entame une brasse coulée sur sa dernière demi-heure, qui fait du surplace en piétinant jusqu'à un final honteusement recopié sur le délire ravageur du 2012 signé Roland Emmerich.
Pour un été aussi particulier que celui-ci, on va dire que Greenland a des arguments pour vous tenir 2 heures dans une salle climatisée. Bons et mauvais, mais ils pourront vous faire oublier ce qu'il se passe dehors un bref instant. C'est mince, très mince mais que voulez-vous, quand on aime le cinéma...

Des films catastrophe, il en existe plein, et celui-ci est un film classique niveau film catastrophe dans son scénario. Mais cela n'empêche pas que le film soit très bien, prenant, et distrayant. Cette famille qui essaie de sauver leur vie vont vivre une sacré aventure émotionnelle, notamment quand spoiler: leur fils se fait enlever
. Parfois, les films abusent en effets spéciaux, mais là c'est bien dosé, pour n'avoir que ce qui est nécessaire quand c'est nécessaire. On notera quelques incohérences dans le film. spoiler: La première est le fait qu'ils disent que la comète est sortie de nul part et qu'elle vient d'un autre système solaire. Sauf qu'avec la technologie actuelle, on peut repérer l'arriver d'une comète à de très très longue distance. Ensuite, on nous dit qu'il y a eu des erreurs de calculs quand aux morceaux de la comète qui sont rentrés dans l'atmosphère de la Terre. Au départ, ils pensaient que ces morceaux allaient se désintégrer entièrement avant de toucher le sol. Après, ils ont dit que certains morceaux allaient toucher la Terre mais qu'ils allaient tomber dans la mer sans faire de dégâts. Sauf que l'armée avait prévu un plan pour sauver des personnes (le plus qu'elle pouvait). Donc cela signifie que l'armée était au courant que les morceaux allaient faire beaucoup plus de dégâts que ce qui a été annoncé à la télé et à la radio. Parce qu'un tel plan de sauvetage aurait eu du mal à être mis en place aussi vite au dernier moment. Or, le film ne donne pas de détail à ce sujet sur ce que savait l'armée et depuis quand. Et enfin, lorsque John, Allison et Nathan sont sur la route et qu'on a un pluie de petit morceaux de la comète, ils cherchent un endroit pour se mettre à l'abris et ils trouvent un pont sous lequel ils vont se réfugier. Sauf que si des morceaux tombaient sur ce pont, ils pourraient le faire s'écrouler.

J'en sors tout juste. Très très bien, je ne voulais pas trop Y aller pourtant & c'est un bon film catastrophe avec de bons acteurs (Butler en père prêt à tout pour mettre sa famille à l'abri), pleins de rebondissements & les effet spéciaux sont particulièrement réussis et réalistes! Ca démarre très vite. Et ceux qui disent que ce film est un navet _ allez donc voir 'light of my life' : ce dernier à l'affiche en ce moment est lui un véritable navet.

Un très bon film d'action, aventure, catastrophe apocalyptique... Le jeu d'acteurs est très honnête, ainsi que les effets spéciaux.

Un film spectaculaire, le suspens et la tension sont au rendez-vous.
On se demande constamment comment cela va se terminer.

Une catastrophe planétaire rappelant 2012 mais recadrée de manière plus intimiste façon La Guerre des Mondes. Gerard Butler et la délicieuse Morena Baccarin sont sous tension et ce film haletant est hautement recommandable.

Je n'attendais pas grand chose de ce film. Juste du divertissement. Eh ben !!! J'ai été vraiment surpris par ce film. Les acteurs sont excellent, la mise en scène est impeccable, le scénario et les dialogues sont très bien écrits et la musique est superbe. De l'action, de l'émotion. Je n'ai pas du tout vu le temps passé. Un très bon film. Une très bonne surprise !!! Je vous conseille d'aller le voir.

Plutôt une bonne surprise. Je pensais voir un film dans le genre de 2012 mais au final, celui ci est beaucoup plus centré sur l'humain que sur la destruction. Ici il n'y a pas trop de caricature, et a l'exception du final qui pour le coup fait hollywoodien ( spoiler: tout le monde heureux à la réouverture des portes, alors qu'en vrai ils ne pourraient pas trouver à mangé pendant des années
) le tout est plutôt bien transcrit sans être de trop.

Greenland a une excellente idée et deux vilains défauts. L’excellente idée est de recentrer la catastrophe depuis l’omniscience du blockbuster sur la cellule familiale, puisque, exception faite d’une poignée de plans bien peu spectaculaires au demeurant, nous ne percevons le chaos qu’à échelle d’homme, conviés à partager les douleurs de trois êtres sur le point d’être séparés – la procédure de divorce puis le refus d’embarquer l’enfant – et qui trouvent dans le déchaînement des forces naturelles l’occasion de resserrer les liens qui les unissent. La tragédie cosmique se rejoue en tragédie intime et tragédie de l’intime, dans lesquelles père mère et fils sont soufflés, écrasés par des foules en délire, secoués dans l’avion qui s’échouera quelques secondes plus tard, pris en otage par un couple désespéré. Le film réussit à capter cette détresse, traduction du sursaut de vie qui anime les individus, et à raccorder les humains à ce fond de bestialité que l’état de société, en le domestiquant, ne saurait annihiler. Néanmoins, une telle idée scénaristique se heurte à deux écueils importants. Le premier est l’écriture des dialogues, dont la qualité était pourtant nécessaire à une œuvre soucieuse de se mettre à hauteur d’homme pour regarder la catastrophe ; or, ceux-ci enchaînent les poncifs, sonnent souvent faux ou plaqués sur des situations qui ne demandaient que silence ou murmures ou balbutiements. Tout se passe comme si les personnages maîtrisaient la situation tout en surjouant l’urgence, occasionnant une impression de facticité dommageable. Cet écueil est accentué par un autre, le second en l’occurrence : la mise en scène. Ric Roman Waugh réalise son film n’importe comment, surdécoupe ses plans afin d’accélérer le rythme, use et abuse de la caméra à l’épaule sans que cette technique renforce l’immersion – sauf lors de la course dans le bunker, très efficace. Dit autrement, Greenland est visuellement laid, plastiquement grossier ; son geste artistique apparaît des plus lourdingues, tiraillé entre une volonté de réalisme mal géré et une représentation du passé idéalisé en flashbacks avec ses gros plans, ses lumières chaudes, ses visages souriants. Reste un divertissement honnête qui a le mérite de recentrer la focalisation portée sur la catastrophe sur la famille, comme le faisait déjà – et en mieux – 2012 de Roland Emmerich.

Bien que le scénario soit peu crédible et relativement prévisible, le film est haletant et nous plonge dans une atmosphère apocalyptique de fin du monde, tous les acteurs jouent bien (particulièrement Gerard Butler), il y a du suspense... Je recommande.