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    #Jesuislà
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    246 critiques spectateurs

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    tichobernard
    tichobernard

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 février 2020
    Le film le plus nul et insipide de ce siècle, Alain Chabat navigue sans conviction dans ce méandre de fadaises. Ce n'est même pas un documentaire sur Séoul c'est un rien mais Si voulez voir un ....rien, il faut y allez et ensuite vous laisser bercer par une déprime.
    Joelle L.
    Joelle L.

    4 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2020
    Alain Chabat très crédible dans un registre où on ne le voit pas souvent ( ''Prête moi ta main)belle histoire et belles photos , bravo . Je vais le recommander autour de moi car j ai passé un très bon moment...
    Chris58640
    Chris58640

    184 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2020
    Parfois on va au bout du monde pour rencontrer quelqu’un spoiler: et au final, la seule personne que l’on retrouve, c’est soi-même.
    C’est en gros le message du charmant film d’Eric Lartigau, qui a plein de petites qualités sur le fond comme dans sa forme. Sans être époustouflante ou révolutionnaire, la réalisation de Lartigau est quand même assez soignée. Il utilise l’écran du cinéma comme un écran de téléphone, il s’offre quelques jolies scènes poétiques avec des jolies surimpressions toutes délicates, il utilise la musique comme il faut et surtout, il filme Séoul en nous donnant une furieuse envie d’y aller. Le film se déroule d’abord dans un Pays Basque luxuriant, assez carte postale c’est vrai mais ce n’est pas bien grave. Ensuite le film passe spoiler: beaucoup de temps
    dans l’aéroport ultra moderne de Séoul, une ville dans la ville (où l’on peut tout faire H24, quasiment) dans un décor qui mêle subtilement technologie et poésie asiatique et puis finalement Séoul, et pas juste le Séoul des buildings ou des cerisiers en fleurs mais aussi celui des quartiers plus pauvres, de la street food au kilomètre. On sent qu’Eric Lartigau a eu un coup de cœur pour ce pays et cette ville qui n’est pas une destination de tourisme habituelle comme peuvent l’être Tokyo ou Pékin. Et puis il y a les coréens, qui semblent tous tellement gentils et abordables, serviables et polis, et même leur gastronomie finit par nous faire envie ! Le film tire un petit peu en longueur dans son dernier quart d’heure, et c’était un peu la crainte que j’avais, une fois le nœud de l’intrigue dénoué spoiler: (Soo viendra elle à l’aéroport ?)
    , le scénario est un peu en roue libre et le film se délite un tout petit peu sur sa fin. Mais dans l’ensemble, « #Jesuislà » tient la route en très grande partie grâce à Alain Chabat. Chabat a une cote d’amour avec le public qui ne se dément pas depuis plus de 30 ans et « #Jesuislà » ne va rien y changer, au contraire. A la fois drôle et émouvant, Chabat compose un homme tout simple, à un tournant de sa vie, qui cherche quelque chose sans savoir qu’il le cherche. Il passe son temps à discuter sur Instagram avec une jeune femme dont il ne sait rien, qui habite au bout du monde, mais cette femme c’est le symbole de tout ce qu’il n’a pas fait dans sa vie spoiler: (il voulait faire les Beaux-arts mais a finit par reprendre le resto de son père)
    . Ce n’est pas Soo qu’il va rejoindre à Séoul, au fond, c’est la vie qu’il aurait aimé vivre qu’il va trouver si loin : s’émerveiller d’une culture si différente, rencontrer des tas d’inconnus, voir des paysages qui lui sont totalement étrangers dans une langue à la quelle il n’entend rien. Stéphane va à Séoul pour enfin sortir d’une routine confortable qui le pèse, sans qu’il s’en rende vraiment compte. Il est parfait, Chabat, dans la peau de cet homme simple et curieux, émerveillé de tout, qui finit par sympathiser avec tout le monde. Il y a une fraicheur de jeune homme dans ce personnage, et clairement Alain Chabat était le comédien parfait pour ce rôle là, dosé juste ce qu’il faut. Les seconds rôles français sont un peu effacés, à commencer par Blanche Gardin (affublée d’un accent qui ne fait pas naturel et ne fonctionne pas du tout !), Ilian Bergala ou encore Jules Sagot, mais parfaitement croqués, pour le peu qu’ils sont à l’écran. C’est la même chose en ce qui concerne Doona Bae, qui incarne Soo. spoiler: On la va verra au final assez peu mais son rôle est intéressant, et on est frustré (comme Stéphane du reste) de ne pas en savoir plus sur elle au final. Elle est et restera mystérieuse, comme une sorte d’être imaginaire. Mais c’est assez normal car comme je l’ai dit, c’est plus lui-même que ce sexagénaire basque va chercher en Corée, elle demeurera éternellement une sorte de symbole, d’idée plus qu’une vraie personne en chair et en os.
    Le scénario se déroule en 3 temps : la France, l’aéroport et Séoul et c’est clairement la partie centrale à l’aéroport qui fonctionne le mieux. On y retrouve cette ambiance particulière, spoiler: celle qui avait donné « Le Terminal » de Steven Spielberg.
    Il y a beaucoup de moments de comédie, particulièrement spoiler: lorsque Stéphane devient malgré un héros des réseaux sociaux et une star d’Instagram, avec tout le barnum (un peu flippant) que cela peut supposer. Il attend Soo, il l’attend encore et encore, ça pourrait être pathétique et pourtant grâce à l’interprétation, ca ne l’est jamais.
    Alors c’est sur, l’histoire, sur le papier, fait un peu faible, et c’est à cause de cela qu’au bout d’1h15 de film, le scénario s’essouffle comme s’il avait dit l’essentiel et qu’il fallait meubler encore un peu. Toute la dernière partie, spoiler: avec ses deux fils
    , tourne un peu à vide. Mais pris dans son ensemble, « #Jesuislà » tient la route. Certes le message est tout simple, mais le film passe bien et Alain Chabat emporte le morceau. Ce n’est sans doute pas le film de l’année mais je suis presque certaine que j’en verrai en 2020 des biens moins charmants, biens moins sympathiques et bien moins subtils.
    tisma
    tisma

    255 abonnés 1 860 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 avril 2021
    Un film décevant car il perd le spectateur. On est très peu emporter par cette histoire qui aurait pu etre intéressant, mais dont on n'arrive pas trop à suivre l'idée. On est perdu. Quelques blagues arrivent à relever le niveau de ce film.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    111 abonnés 2 276 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2021
    « #Jesuislà », une comédie française réalisée par Eric Lartigau (Mais qui a tué Pamela Rose ?, Un ticket pour l'espace, L'Homme qui voulait vivre sa vie, La Famille Bélier et la célèbre série "H") en 2020.
    Avec Alain Chabat, Blanche Gardin et la talentueuse actrice, chanteuse et photographe sud-coréenne Bae Doo-na.
    Si au début le film parait être un toute petite comédie parisienne habituelle où les personnages vont faire du portable pendant tout le film, la surprise est très bonne avec un superbe décollage inattendu du film et un merveilleux voyage en Corée.
    C'est drôle, mais c'est surtout beau, touchant, tendre et magnifiquement dépaysant.
    Un très bon film qui sait surprendre le spectateur.
    Une réalisation de qualité et une très bonne surprise.
    Yves G.
    Yves G.

    1 281 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2020
    Stéphane (Alain Chabat) s’ennuie. La cinquantaine blanchissante, séparé de son épouse, il marie son fils aîné et garde auprès de lui son cadet qu’il emploie dans son restaurant, une auberge basque dans son jus.
    Stéphane a rencontré Soo, une Coréenne francophone, sur Instagram. Elle est devenue son jardin secret. Avec elle, ce taiseux discute. Avec elle, ce pudique se confie.
    Jusqu’au jour où Stéphane décide de tout plaquer pour aller retrouver Soo à Séoul.

    Les réseaux sociaux réécrivent les « lois de l’amour ». C’était le titre d’un essai de Janine Mossuz-Lavau qu’on m’avait offert pour la Saint Valentin en… 1992 et qui racontait l’appareil juridique réglementant la sexualité en France depuis 1945. Quand Marie Bergström publie "Les Nouvelles Lois de l’amour" en 2018, il n’est plus question de droit, mais d’Internet, ainsi qu’en témoigne son sous-titre : "Sexualité, couple et rencontres au temps du numérique". Peut-être me l’offrira-t-on vendredi prochain.

    Deux inconnus se rencontrent sur Internet. Quel point de départ stimulant : romance, comédie, thriller, film d’honneur… Ce pitch ouvre tous les possibles. Il est étonnant qu’il n’ait encore guère été exploité au cinéma. Ne me vient guère à l’esprit que le récent Seules les bêtes – dont il ne constituait d’ailleurs pas l’argument central. Je prends le pari qu’il le sera dans les prochaines années.

    On pourrait croire qu’il s’agit du sujet de "#Jesuislà" : la rencontre de Stéphane et de Soo, organisée en trois volets. Dans le premier, on est avec Stéphane près d’Hendaye où il s’ennuie gentiment. C’est la partie la plus convenue du film qui met en scène une midlife crisis dépressive comme on en déjà tant vu (on pense à Jean-Paul Bacri dans "Kennedy et moi" adapté de Jean-Paul Dubois, à Frédéric Beigbeder dans "L’amour dure trois ans" ou à Yvan Attal dans "Mon chien Stupide" et on se dit que le Pays basque est décidément propice à la crise de la quarantaine). Dans le deuxième, il atterrit à Séoul et va passer plusieurs jours à errer dans les couloirs de l’aéroport d’Incheon. C’est la partie la plus drôle du film. Dans la troisième, il quitte l’univers aseptisée de l’aéroport pour aller à Séoul. On n’en dira pas plus. C’est la partie la plus surprenante du film.

    Et on réalise, sans pouvoir en dire plus sauf à dévoiler la fin du film, que son vrai sujet n’est pas celui qu’on croit. Il s’agit moins d’une rencontre entre deux inconnus, d’une histoire d’amour qui commence, d’un voyage exotique dans un pays inconnu, que d’une quête intérieure, que d’un retour vers soi-même, que d’une introspection.

    Et on sort de la salle avec une question qu’on pose en redoutant d’être taxé de narcissisme. Que cherche-t-on sur les réseaux sociaux ? L’autre ou soi-même ?
    Marjolaine A.
    Marjolaine A.

    114 abonnés 488 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 février 2021
    J'ai beaucoup aimé la première heure du film, poétique et amusante. Mais la dernière demi-heure, qui tourne au mélo familial sans intérêt, est extrêmement décevante. Chabat est très touchant dans ce rôle qui lui va comme un gant.
    Alexandra L.
    Alexandra L.

    11 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2020
    J ai aimé.
    Ce film est doux, d'une belle sensibilité.
    Très belles images.
    Ne vous attendez pas à des blagues toutes les 5 minutes. C est bien plus spirituel que ça.
    Un petit clin d'œil au film "le terminal".
    Je recommande vivement pour un pure moment de douceur.
    Brigitte G
    Brigitte G

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 février 2020
    franchement ce que j'ai vu est sans nom!
    je mets une étoile car je n'ai pas le choix
    je me suis déplacée pour alain chabat ainsi que le réalisateur dont j'ai vu tous les films...merci de respecter les spectateurs
    Alexandre Z
    Alexandre Z

    25 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 février 2020
    super film merci Alain toujours plein de bienveillance d humour et de leçon sur l usage de la technologie. Très belle histoire qui sort de l ordinaire. Ceux qui note à moi je la moyenne ne comprenne pas ton humanité. Comme je te l ai dit une fois quand je t ai eu téléphone il ne doivent pas capter sur le réseau Itineris. Continue comme ça. Bienvenue chez Wam ;-)
    Muriel Avz
    Muriel Avz

    2 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 février 2020
    Scénario partiellement pompé sur le film "le terminal" avec Tom Hanks. mais sans le suspence... Bien joué mais pas terrible.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 février 2020
    Pas grand chose à dire, car raconter l'histoire est un peu la "spoiler" (la bande-annonce m'avait trompée et je n'avais pas compris le titre). Un film tendre, chaleureux, souvent drôle et aussi poignant, qui nous fait passer un très bon moment. Chabat est impeccable, touchant et humain. Allez-y, vous ne regretterez pas !
    No Quarter
    No Quarter

    3 abonnés 322 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 avril 2023
    Encore un film qui démarre moyennement. Assez banal malgré la prestation sympa de Blanche Gardin en jeune femme pas très futée avec l'accent du sud-ouest. Mais à partir du départ pour Séoul, on ressent un peu l'ambiance de "Lost in translation" (S Coppola). Et le reste du film est assez plaisant. Même Chabat que je n'aime pas en tant qu'acteur, n'en fait pas des caisses et apporte une certaine dimension intéressante à son personnage en crise de la soixantaine.
    Carole
    Carole

    5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2020
    J ai l impression que ce film ne trouve pas son public. Ce film se rapproche d un Lost in translation à la Française avec un Alain Chabat en pleine crise de 50’n radieux, qui ne maîtrise pas tout aux réseaux #j’ycrois. Et les différences culturelles entre la France et la Corée sont amenées subtilement. Perso, j ai passé un bon moment de voyage à suivre les pérégrinations de monsieur Chabat en Corée.
    Yves 4.
    Yves 4.

    91 abonnés 621 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2020
    film plein de fraîcheur et d'humanité.
    Alain Chabat en chef de restaurant , pris par les réseaux sociaux épris d'un amour impossible...Soo en Corée.
    Belles images de Séoul et du pays.
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