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samosan
4 abonnés
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3,0
Publiée le 6 octobre 2018
Le 3’volet le moins réussi de la saga ont n’attendais beaucoup de ce terminator malheureusement Jonathan mostow ne fait que répéter les mêmes événements des 2 autres terminator ... il reste néanmoins des scènes d’action très spectaculaire au effet spéciaux réussi, mais c’est tous !
Un film de SF correcte mais une suite ultra décevante pour les fans de la saga Terminator. On est bien loin de l’univers de James Cameron et de la qualité des deux premiers opus. Le scénario est trop pompé sur le deuxième épisode, enchainant de trop nombreuses références inutiles ou mal positionnées. On regrettera également pas mal d’incompréhensions et d’approximations dans l’intrigue, on a parfois du mal à faire le lien avec ce qu’on avait appris dans les deux autres épisodes. Le film est également trop court (à peine plus d’une heure et demie), du coup certains aspects sont bâclés et les scènes s’enchainent trop rapidement pour permettre une cohérence suffisante. Le casting n’a rien de transcendant, Linda Hamilton manquant cruellement au tout. Cependant, il faut aussi reconnaitre quelques qualités au film de Mostow, comme les scènes d’action plutôt honnêtes, l’aspect des Terminator ou bien encore l’esthétique générale du film. Bref, un troisième opus réussi sur la forme, pas du tout sur le fond ! Oubliez-le vite et regardez à nouveau les deux chefs d’œuvre qui l’ont précédé…
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
C'est exactement le 1 ou le 2 avec l'aspect répétitif du scénario qui commence à devenir barbant et en moins bien (James Cameron le réalisateur est parti). Seules les fins changent vraiment. Malgré une Terminator séduisante, on a du mal à croire que le chef de la résistance à venir (John Connor) est devenu un alcoolique déprimé, surtout quand on a vu le 2. L'ambiance est bizarre entre l'atelier de vétérinaire, le cimetière, pour finir dans un bunker, tout ça manque de charme. L'humour redresse un peu l'ensemble, entre Schwarzenegger et le couple qui doit sauver l'humanité.
Le troisième terminator se débrouille pas trop mal, le scénario n’a pas la virtuosité des deux précédents, son homologue féminin au super-vilain T-800 est intéressant. Ça reste de la pure science-fiction, des moments haletants pour la version de cette femme machine en apportant sans égaler son prédécesseur T1000, pour la touche d’humour, du domaine clin d’œil, à revoir.
Après le sublime deuxième épisode, on redescend avec ce troisième volet. On est devant un film de science-fiction de bonne facture avec du suspense, des effets spéciaux et de l'action. Le T-X est bien interprétée. Le casting du jeune John Connor (Nick Stahl) est malheureux et l'acteur ne restera pas dans les mémoires. A l'inverse de Claire Danes qui incarne bien son personnage.
Bon c'est globalement la déception mais c'était assez prévisible tellement le 2ème est un monument ! Si on oubli les deux premiers, ce film reste tout de même globalement bon : Beaucoup d'action, quelques scènes à "couper le souffle" (la course poursuite de début de film avec le camion), un scénario honnête, sans temps morts et avec finalement pas mal de bonnes idées. Ce qui m'à finalement le plus déplu est le manque de charisme des acteurs incarnant John Connor et la T-X ! Les quelques tentatives d'humour/clin d'oeil sont aussi malheureusement, pour la plupart, plutôt loupés. 3.5 Plus !
Un troisième volet assez potable et plutôt cohérent avec un montage irréprochable, des acteurs convaincants, des scènes d’action impressionnantes et un bon scénario.
Quand au niveau de l'action, il est tout bonnement oubliable avec un humour qui n'a aucun registre.
Un film qui a réussi à remplir sa tire-lire grâce aux noms d'acteurs.
Un Swarzi vieillissant en terminator, un Conor inexistant et inutile (une sorte de Fredon Saké sans panache), une terminatrice aguichante et des explosions à gauche à droite de l'écran. Voilà la soupe qui vous est servi.
Tout est désordonné, il semble que le budget soit passé davantage sur la publicité que sur le film en lui même.
Ce film se repose sur la notoriété des précédents opus pour faire ses entrées. Il y avait bien mieux à faire avec tout ce que les précédents opus ont apportés à la franchise.
Absence d'originalité malgré le budget, dialogues inintéressant et totalement oubliage (pas une seule réplique phare), scénario copier-coller.
Sur le papier, Le soulèvement des machines ne part pas gagnant : un cinéaste en carton, un Schwarzy vieillissant, un scénar intégralement calqué sur celui de son prédécesseur, et pour argument principal de l’action bien numérisée, quand même. « Nous avons créé une technologie robotique plus en avance en terme de mouvement et de contrôle que ce qui existe partout dans le monde » s’enthousiasme un membre de l’équipe. Avec le paquet investi, tu m’étonnes, John. John, c’est Jonathan Mostow, réalisateur de troisième classe trop heureux de chiper la place à des concurrents plus fameux, et sans doute aussi beaucoup plus chers. Pensez donc ! On a failli avoir Ridley Scott, puis David Fincher, et même un autre John, le McTiernan derrière Piège de cristal. Mais bref, passons. Robots incrustés, plans larges retouchés, beaucoup de déjà vu mais aussi du nerf, du plutôt prenant, où on redécouvre un John (décidément) Connor, devenu insipide dans les traits du déjà oublié Nick Stahl, ou la bataille de cyborgs désormais traditionnelle, entre le bon tas de ferraille et la vilaine vitrine avant-gardiste. On a vu pire, mais la franchise nous avait aussi habitué à mieux. Pas sûr hélas qu’elle nous revienne un jour à son premier niveau.
Terminator 3 . La suite continue d'être bonne. Nous retrouvons les codes du premier, des effets spéciaux de plus en plus surprenants, du bon et du grand spectacle. Un scénario toujours aussi prenant. Un scénario de plus en plus flippant et possible à l’heure ou les I.A ne sont plus une idée pour la S.F mais une réalité qui va peu à peu s'imposer dans notre quotidien... as-t-on prévu un interrupteur pour tout débrancher à temps ? Non, bien sûr que non !
Bonne suite directe des premiers opus respectant l'histoire et la chronologie des événements mais on voit clairement que ce n'est pas James Cameron (réalisateur des deux premiers opus) qui a réalisé le film.
Nous sommes en 2003, 12 ans après Terminator 2 et son ambition sans borne, le XXIe siècle et Matrix sont passés par là (et ça se sent), et voici que sort en salle un troisième de Terminator. Après une référence suivie d'une suite mémorable, la saga Terminator s'amorce de façon beaucoup moins attirante avec ce soulèvement des machines. On assiste enfin à ce que l'on redoutait depuis le début, le fameux jugement dernier (beaucoup moins spectaculaire et noir qu'attendu), qui représente la révolte des machines contre l'homme et dans la logique la fin de l'humanité. Tout est passé du côté du grotesque ici, dès la première scène avec notre Schwarzy nu qui s'en va déshabiller un jeune baraqué de son acabit, c'est marrant la première fois, la deuxième passe encore mais c'est bel et bien la fois de trop. Puis vient la suite de l'histoire on l'on retrouve le jeune Connor en laissé pour compte face à une Terminator femelle qui n'apporte pas grand chose de plus si ce n'est un bitch face des plus attristants. Tout se répète en ayant la volonté de faire une suite au futur héroïque John Connor, auquel on affuble une future femme démunie... Mouais. Ces braves efforts nous apporte une pensée unique qui résonne bien fort tout au long du visionnage : ça marche, alors pourquoi ne pas continuer même si on a plus d'idées? C'est juste dommage d'en arriver là, surtout qu'on en est pas resté là justement. Bref, d'excellent films SF d'action on passe du côté suite navet de façon toute naturelle.
Une suite assez potable et plutôt cohérente des deux précédents opus avec un montage irréprochable, des scènes d’actions impressionnantes et un bon scénario.