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    Pink Flamingos
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    2,9
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    55 critiques spectateurs

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    Siphnos92
    Siphnos92

    64 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 juin 2023
    Un chef d'œuvre de mauvais goût, de trash, de dégueu et de dérangeant. Alors oui, les puritains du ciné qui s'offusquent à la moindre vulgarité vont détester (ou le déteste déjà) ce film qui assume totalement sa perversité et son côté écœurant. C'est justement là le génie : faire une bouse complètement aboutie et assumée, pour choquer ! J'adore !
    Enfantduparadis
    Enfantduparadis

    1 abonné 45 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 juin 2021
    Sans faire la fine bouche la mythique scène finale ( en termes de performance d'acteur elle efface les 30 kg pris par de Niro pour Raging bull), annoncée dès les dialogues de l'entretien d'embauche, ne doit pas faire oublier que le vrai chef d'œuvre de Waters est Female trouble.
    Mais il est déjà visionnaire : ses délires (traffic de bébés au profit de couples lesbiens(dont l'obsession pour les oeufs que manifeste grand ma n'est que l'innocent reflet), phobie des microbes ou délation élevée au niveau d'une vertu) sont devenus la réalité de notre société cauchemardesque .
    Évidemment les sensibles n'apprécieront pas l'hilarante scène avec les poulets.
    DaftCold
    DaftCold

    12 abonnés 213 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 mai 2020
    C'est assez compliqué de noter un tel film... C'était le but de faire un film aussi sale, aussi moche, aussi scandaleux. Mais quelque soit l'intention de l'auteur, c'est vraiment un film horrible, les plans sont moches et surtout tout est d'un mauvais gout absolu. C'est peut être une forme d'art ou que sais-je, mais je ne trouve rien à retirer de cette horreur.
    Acidus
    Acidus

    618 abonnés 3 648 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 mars 2020
    "Pink Flamingos" ou le mauvais goût à l'état brut. Son auteur, John Waters, verse dans le trash, le vulgaire et le politiquement incorrect. Son film peut trouver son public mais, pour ma part, m'a plus exaspéré et ennuyé qu'enthousiasmé. C'est du "choquer pour choquer" et derrière "Pink Flamingos" c'est le vide sidéral. En dehors de l'excellente bande son, je ne vois aucune autre qualité. C'est mal joué, mal réalisé, mal scénarisé,... Bref, un film beauf sans aucun intérêt. Si seulement les personnages étaient intéressants et nous offraient de bonnes punchlines mais ça serait trop demander.
    THIRA10
    THIRA10

    1 abonné 27 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2019
    Adepte des films "weirdo" j'ai vu le film
    "le plus dégoûtant du monde" "ode à la hideur" selon les propos de John Waters le réalisateur.
    Moi j'y vois surtout une "ode à sa muse l'irremplacable Divine et à la différence
    Alors c'est vrai, tout est laid, dans" Pink Flamigos" : les couleurs, les personnages Tout.
    Sur un scénario assez simple : 2 familles revendiquent le droit d'être les plus dégoûtantes de la ville. À partir de la tous les coups sont permis entre le couple qui vend du crack à la sortie des écoles primaires et s'adonne à la vente de bebes à des couples de lesbienne. Du côté Divine, son fils, sa mère, et une amie totalement fan, pas mieux on a le droit à tout : inceste, cannibalisme, TOUT le mauvais goût possible et inimaginable avec à mes yeux une morale oui oui vous avez bien lu
    La scène du jugement avec [spoiler]le goudron et les plumes[spoiler] avec une Superbe Divine en juge. La scène finale ne m'a pas choqué tant que cela (trop commentée, etc..) et au point où on en était... La scène d'anniversaire de Divine énorme aves ses cadeaux bien pourris et ses "attractions" la scène du "contorsionniste" avec l'anus chantant juste à mourir de rire. J'ai fait decouvert ma "trouvaille" à 3 amis pas trop délicats qui étaient littéralement eberlues de ce qu'ils voyaient à l'écran, en commentant tout ce qui m'a valu de ne pas avoir le temps d"aller aux toilettes, tellement je riais.
    En conclusion que l'on aime ou déteste c'est un film à voir au moins une fois dans sa vie, en bonne compagnie, éviter les amis délicats ou coincés, ne pas manger avant et prévoir d'aller aux toilettes. Voilà. Merci Mr Waters et RIP Divine
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 26 juillet 2015
    Autant je suis complètement adepte des films délirants qui virent dans le trash, autant pour moi Pink Flamingos est un échec complet... Le film nous sert du mauvais goût de A à Z sans aucun talent, n'arrivant ni à décrocher un sourire ni à attirer l'attention. Il n'y a absolument aucune idée dans le film, juste une succession de stupidités reliées par des dialogues écrit à la va-vite (qui donnent l'impression d'être improvisés, c'est peut-être le cas). C'est extrêmement mal réalisé (bien que ça donne un certains charme au long-métrage), les acteurs jouent mal, et surtout ça n'a aucun intérêt. Ça m'a juste donné envie de revoir "The Feebles", qui lui est un chef d'oeuvre de mauvais goût.
    Maxime S
    Maxime S

    13 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mars 2015
    Noter "Pink Flamingos", c'est à peu près aussi facile que de faire rentrer un flamby dans un dé à coudre... Difficile de savoir par quel bout attraper cette monstrueuse chimère du cinéma. Faut-il lui mettre 5 étoiles parce que dans son genre, le trash, "Pink Flamingos" est excellent... ou 0.5 parce que le scénario atteint des sommets en matière de connerie ? Cette compétition de beaufs qui souhaitent être gratifiés de la mention "personnes les plus dégoûtantes du monde" devient très rapidement gênante et choquante, mais l'absurdité du scénario ( spoiler: une obèse dans un parc d'enfant obsédée par les œufs, un couple qui kidnappe des autostoppeuses pour vendre leurs bébés à des couples lesbiens,une crotte de chien dans un colis...
    ) peut également le faire basculer dans le 2nd degré.
    2,5 étoiles donc, pas parce que le film est moyen, mais parce qu'il est quasiment impossible de démêler le pour du contre de ce "film".
    EspritReveur01
    EspritReveur01

    1 abonné 151 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 décembre 2014
    Ce n'est pas évident de donner une note à Pink Flamingos quand on est sain d'esprit.

    On a affaire à une escalade dans le summum de la folie et de l'horrible. Quand on pense avoir vu son quota de scènes horribles, il en pleut encore. Toutes les unes, plus malsaines que les autres. C'est pour dire... Moralement, on atteint le niveau zéro de l'empathie.

    En tout cas, la surprise est au rendez-vous et il y a de quoi ! Pink Flamingos est dérangeant et le restera mais il est quelque part un classique qui se doit d'être vu une fois, pas plus, afin de rester un minimum sain d'esprit.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    361 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 septembre 2014
    Une expérience vraiment bizarre et déconcertante, je redoutais ce film car il m'inspirait le dégoût, rien qu'a voir des extraits je savais un peu à quoi m'attendre et le résultat est à la hauteur des craintes ...

    "Pink Flamingos" sort en pleine mouvance de la mode Midnight Movies et devient un des piliers du cinéma underground grâce à son mauvais goût débordant, le réalisateur John Waters repousse ici les limites de l'acceptable, il raconte l'histoire de Divine réputée comme étant la personne la plus dégoûtante de la Terre, un couple va tenter de la détrôner par tout les moyens, on y voit des scènes de sexe malsaines, de la fellation, des gros plans de pénis, vagins ou anus, de la scatophile, c'est une ode à la vulgarité pure et dure.
    Le scénario n'a ni queue ni tête, les acteurs sont ultra mauvais, les dialogues théâtraux au possible, c'est mal filmé, c'est moche, la liste de défauts est interminable ... Les personnages sont poussés à la caricature de manière totalement exacerbée, la pire, mis à part Divine, est la mère dans son parc pour bébé quémandant ses œufs l'air complètement hébétée, on a envie de lui écraser dans sa face tellement elle est insupportable.
    Ça ne manque pas de scènes choc, la plus réputée étant celle où Divine mange un crotte de chien à la fin du film, ça file vraiment la gerbe, et ça n'est pas du faux, ayant vu un documentaire je sais que l'acteur a dû l'ingurgiter en une prise, on reste vraiment médusé par tant de déversement subversif, mais au moins c'est totalement assumé. Franchement je ne sais pas trop quoi dire pour tenter trouver quelque chose de positif, tout est tellement mauvais et vulgaire, mais ce qu'on ne peut certainement pas lui reprocher c'est de disposer d'une personnalité et d'un univers tout à fait singulier, et tout autant repoussant qu'il est il développe une intention à bousculer l'ordre établit, il est parfaitement en adéquation avec son époque du début des 70s, de la libération des mœurs et de la sexualité débridée.

    "Pink Flamingos" est en apparence un mauvais film, un gros navet même, il dégoute et rebute du début à la fin, il est insupportable, mais il garde un côté cool et décomplexé qu'on trouve bizarrement attachant, à conseiller uniquement pour un public averti, sinon vous allez passer un sale moment, mais dans tous les cas il est inoubliable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 juin 2014
    Un film que j'ai bien aimé, le sujet est plutôt drôle. Quelques scènes malgré tout très dérageantes.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 avril 2014
    Film culte du cinéma underground et des midnight movies des années 70, Pink Flamingos est sans aucun doute l'un des films les plus trashs jamais réalisé dans l'histoire du cinéma américain. Des scènes de sexe ultra crues sans censure digne de films pornos hard, à d'autres qui sont extrêmement répugnantes spoiler: (la scène finale avec la merde de chien, ou le festin cannibale durant l'anniversaire de Divine),
    Pink Flamingos est un film hors-norme, et même si il divise la critique et les spectateurs, un véritable chef-d'oeuvre.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    114 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 avril 2014
    John Waters me plaît quand il accouche de Cecil B Demented ou Cry Baby, c'est à dire lorsque la sagesse ou le calme ou les 2 sont revevnus après la tempête Trash et expérimentale de ses débuts. J'avoue beaucoup moins l'aimer dans Pink Flamingos ou Female Trouble... Ok, il redéfinit à lui tout seul la notion de mauvais goût puisqu'il en fait le coeur de son film dans Pink Flamingos en l'occurence. Mais il y a un problème et de taille : quand Russ Meyer a inventé un cinéma Viagra qui s'assume, John Waters produit à ses débuts un cinéma qui a l'effet symétriquement inverse : Un cinéma de la débandade. Pourtant on nous promettait du Rose et du Divin... Quel gâchis ! Et puis franchement, côté mauvais goût on est allé beaucoup plus loin depuis. Ne suffit-il pas de voir au revoir Visitor Q de Takashi Miike ?
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 mars 2014
    Pour son deuxième film, John Waters choisit de raconter l'histoire d'une famille qui se veux la plus salle du monde "the filthiest" qui reçoit un colis d'une famille qui se revendique être encore plus sale. Cet élément déclencheur entraine alors une "course à la saleté" entre les deux familles, qui accumulent les exploits dégoutants : Un homme fait l'amour à une femme avec une poule ensanglantée entre eux, un homme respire avec son anus (il demandera d'ailleurs à ne pas être crédité au générique), l'actrice fétiche de John Waters : Divine, mange un étron, et j'en passe. Ce film est alors annoncé comme un film choquant et volontairement trash et devient un véritable monument des "Midnight Movies" (les fameuses séances de minuit qui ont par exemple révélées le film "The Rocky Horror Picture Show"). En 1972, la critique est donc forcement très divisée surtout que le film critique implicitement la société américaine. Le côté film amateur est aussi très bien rendu avec une caméra toujours tremblante et une prise de son sur le vif. Mais ne croyais pas que le film fût improvisé, l'actrice aux cheveux orange par exemple, eût recours à de nombreuses opérations complexe chaque matin car cette teinture n'existait pas. (Elle se fit alors teinté les cheveux en blanc puis mélangeait de l'encre et du shampooing avant chaque jour de tournage pour obtenir cette couleur. John Waters nous montre alors un film des plus repoussants qu'on ait jamais vus, et donc très intéressant sur la question du ce que l'image peut nous montrer et sur le rôle du spectateur. Malheureusement, on ne peut pas dire que le film soit un chef d'oeuvre en vu de la légèreté prise parfois par le réalisateur et du manque de pertinence du film dans son ensemble.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 mars 2014
    Passé maître dans l'art de filmer le mauvais goût avec un humour noir exacerbé, John Waters est l'un des réalisateurs phares du cinéma underground américain des années 70. Avant ses films plus "populaires" comme "Hairspray" ou "Pecker", le bonhomme frappait fort avec "Pink Flamingos", long-métrage synonyme à lui tout seul des "Midnight Movies", ces films underground et d'exploitation que l'on diffusait dans des petites salles aux States à minuit. Cette odyssée dans le mauvais goût raconte l'histoire de Divine, être qualifié par les médias comme étant la "personne la plus hideuse du monde". Jaloux du titre de Divine, un couple ignoble, les Marble, va tenter de lui voler la vedette en enchaînant immondicités sur immondicités. Mais Divine ne va pas se laisser faire... Prétexte à un enchaînement d'événements vulgaires et trashs. "Pink Flamingos" est l'un des films les plus dingues qu'il m'ait été donné de voir. Certes, on peut reprocher le caractère expérimental de l'œuvre, la manière de filmer proche du documentaire fait par Waters. Les plus puritains viendront à cracher aussi sur la "dégueulasserie" de certaines scènes. Toutefois, il faut prendre "Pink Flamingos" pour ce qu'il est. Un film déjanté, emprunt d'un humour noir prononcé et de séquences obscènes mais soutenues par un 2nd degré très présent. Et quand on se prend au jeu, force est de constater que le film de John Waters est une comédie à faire réveiller nos zygomatiques jusqu'à pleurer de rire. John Waters, plus que de vouloir choquer son monde (quoi qu'il y a de ça tout de même) crée un univers bien à lui, fait d'absurde et de grotesque et ce, sans se sentir retenu par un certain politiquement correct qui abonde dans les comédies dites "trash" actuelles. "Pink Flamingos", de par son portrait de "freaks" et de scènes que jamais on aurait imaginés dans un long-métrage, est une œuvre particulière, subversive, mais qui n'en demeure pas moins un exercice de style fort réussi dans le "mauvais goût". Un ovni cinématographique comme on en fera plus jamais.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 087 abonnés 4 214 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2013
    Bon, Pink Flamingos c’est indéniablement le type de films difficile à critiquer, car appartenant à la vague de films underground des années 70, nettement plus expérimentaux qu’autre chose. Pour autant je vais essayer de m’y atteler.
    D’abord, je souligne un casting convaincant. Divine, dans son propre rôle, n’a évidemment pas à faire un énorme effort de composition (bien que le travestissement en lui-même soit déjà une performance exemplaire ici), mais donne à son personnage toute l’exubérance, la folie, la luxure nécessaire. Excessif à souhait, il (elle ?) apporte un net plus au métrage. A ses cotés une pléiade d’habitués du cinéma de Waters. Dans l’ensemble ils ont des rôles trashs, pas si facile que cela à incarner avec naturel, et ils le font sans grande difficulté ici. Du coup l’ensemble n’a pas un caractère artificiel, comme c’est souvent le cas dans ce type de film, et on a vraiment le sentiment d’être confronté à un monde de dégénérés, mais pas si farfelu que cela !
    Le scénario tient évidemment en peu de choses, et est surtout prétexte à un déchainement de folie en tout genre. Dans l’ensemble le film est plutôt dynamique, bien rythmé, et offre quand même une trame de fond qui permet de ne pas simplement assister à une « expérience », comme c’est trop souvent le cas dans ces « OFNI » que nous offre de temps en temps le cinéma. La conclusion est d’ailleurs bien trouvée, et laisse une forte impression. Pour ma part j’ai suivi avec un certain intérêt Pink Flamingos, mais il est clair qu’il s’inscrit de très forte manière dans les années 70, et qu’aujourd’hui une large part de son propos est un peu désuète. D’autres films de la période ont moins vieilli de ce point de vue.
    Visuellement avec un budget ric-rac de 10000 dollars, il ne faut pas s’attendre à des miracles. Les décors notamment se limitent à trois lieux, dont un intérieur miteux, une boutique et une caravane (je crois que c’est à peu près tout). La photographie fait franchement très amateur, mais à la limite cela lui convient plutôt bien aujourd’hui. Ca renforce nettement son coté underground, et ca lui donne une esthétique particulière qui plaide plus en sa faveur qu’en sa défaveur. Quant à la mise en scène de Waters, elle est dans la même veine. Aucun plan n’est stable, les cadrages sont très moyens, certains effets de mise en scène sont ratés (lorsque Divine tire sur la fin). Bon après il est certain qu’il vaut mieux aussi cette dimension amateure dans la mise en scène, car sinon la différence entre cette-dernière et les décors et la photographie aurait vraiment fait tache. Alors Pink Flamingos est clairement un film que je ne conseille qu’aux amateurs du genre. Ca n’a rien d’horrifique, mais c’est surtout trash. Tous les bas instincts humains sont représentés à l’écran sans détour, il y a du sexe bien crade, et un humour poisseux. Pour ma part je ne juge pas, mais il est évident que le public d’un tel film ne peut-être que très très restreint. Bonne bande son à relever aussi, variée et bien dans le ton seventies du métrage.
    En conclusion, Pink Flamingos est un film singulier, qui ne laissera personne indifférent. Après tout c’est déjà pas mal, mais il faut reconnaitre que Waters parvient à éviter la plupart des écueils de ce type de films, ne se limitant ni à la dimension expérimentale, ni à la dimension purement trash. En clair, il n’est pas complètement abscons ou idiot. S’il est destiné à un public très averti, il offre 1 heure 30 bizarre et intrigante, alors ma foi, pourquoi pas jeter un coup d’œil en connaissance de cause.
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