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    Martin Eden
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    Shawn777
    Shawn777

    474 abonnés 3 340 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 octobre 2019
    Ce film, réalisé par Pietro Marcello et sorti tout récemment, n'est pas mal mais sans plus. Effectivement, contrairement aux critiques très positives, je l'ai personnellement trouvé bon mais il ne m'a plus enchanté que ça. Le film est adapté du roman homonyme de Jack London mais ne l'ayant pas lu, je pourrais pas en parler sur le plan de la fidélité. C'est en tout cas ici l'histoire d'un marin qui cherche à devenir écrivain et à séduire une bourgeoise mais cela implique en même temps de renier ses origines. Honnêtement, le synopsis ne me disait pas grand chose et j'avoue y avoir été un peu à reculons. Finalement, j'ai été plutôt agréablement surpris même si, encore une fois, je ne l'ai pas apprécié au même point que la critique. On suit donc Martin dans son parcours personnel qui essaye de devenir écrivain. Le scénario à l'air plutôt original comme ça mais je ne l'ai trouvé dans le fond plutôt banal. Ce genre de parcours initiatique, de partir de rien pour arriver à tout, est un peu bateau et à déjà été vu au cinéma. Sans être prévisible pour autant, la trame n'est tout de même pas vraiment surprenante, ce qui peut provoquer un certain ennuie au bout d'un moment, surtout que le film comporte pas mal de scènes longues. En dehors de cela, les deux heures de film passent assez vite même s'il manque un vrai propos de fond, outre le contexte politique et social. La mise en scène est quant à elle très réussie, nous avons un jeu tout le long du film sur le format de l'image qui permet d'inclure plus facilement les images d'archives. Ces dernières servent quant à elle à appuyer le propos de l'action ou à donner des métaphores, ce qui est très intéressant et, peut-être pas inédit, mais en tout cas trop rarement utilisé au cinéma. En ce qui concerne les acteurs, nous retiendrons Luca Marinelli qui excelle en nous livrant plusieurs nuances de son personnage et puis Jessica Cressy qui joue très bien également. "Martin Eden" est donc un film certes intéressant mais qui ne m'aura pas spécialement marqué.
    velocio
    velocio

    1 182 abonnés 3 043 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mai 2022
    Très libre adaptation du roman homonyme de Jack London, écrit au début du 20ème siècle, "Martin Eden" se déroule dans une époque impossible à déterminer. Pas grave. L'action a été déplacée de San Francisco à Naples. Pas grave. La transformation de Martin Eden de marin inculte en écrivain à succès est très maladroitement décrite. Cela commence à être grave. On ne comprend rien à la position politique adoptée par Martin Eden : rejet du socialisme, rejet du libéralisme, individualisme. S'agit-il d'anarchisme ? De fascisme ? Cela commence vraiment à être grave. Dans la première demi-heure du film, chaque fois qu'on commence à trouver un peu d'intérêt à l'histoire et au personnage, cet intérêt se dissout dans une chanson, des chansons différentes mais toutes aussi médiocres l'une que l'autre. Voilà comment l'histoire a priori passionnante d'un jeune homme se cultivant par amour mais qui, ce faisant, en arrive à trahir sa classe d'origine, se transforme en film prétentieux et plutôt soporifique. Notons toutefois que ce film italien qui aurait pu avoir "Le traitre" comme titre a quand même une grande qualité : sa distribution avec, tout particulièrement, Luca Marinelli, l'étoile montante du cinéma italien, dans le rôle de Martin Eden. Son prix d'interprétation masculine à la dernière Mostra de Venise n'a rien d'usurpé.
    elriad
    elriad

    387 abonnés 1 789 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2023
    Nul besoin d'avoir lu le roman de Jack London pour se laisser entrainer dans ce Naples volontairement intemporel, car le sujet l'est aussi. Porté de bout en bout par le charismatique Luca Marinelli et son regard bleu perçant, présent à chaque plan, totalement habité par son personnage tourmenté ( récompensé pour son interprétation à la Mostra de Venise ). Chemin initiatique pour le héros amoureux, différences sociales, lutte des classes, difficulté à la création, le film de Pietro Marcello brille autant par sa mise en scène que par sa forme, étonnamment moderne.
    Hotinhere
    Hotinhere

    429 abonnés 4 766 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2021
    Librement adapté du roman de Jack London, un récit d’émancipation brillant et exaltant, émaillé d’images d’archives couvrant tout le XXe siècle, et illuminé par la prestation poignante de Luca Marinelli.
    cinono1
    cinono1

    259 abonnés 1 990 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juillet 2021
    Pietro Marcello a transposé le roman de Jack London du côté d'un Naples crouillant et misérable . D'inspiration autobiographique, le héros incarné par un fiévreux Luca Marinelli, reste un indécrottable écorché vif, à l'aise avec aucun groupe de la société, animé par sa soif de poésie, dont le film épouse les visions, à travers quelques séquences oniriques inspirées. Malgré quelques ellipses brutales, le film devient de plus en plus fiévreux à mesure que le succès apparaît, rendant hommage à un personnage romanesque incapable de composer avec la société.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    47 abonnés 741 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 novembre 2019
    Un film tout en contraste. Démarre de façon chaotique avec chansons hétéroclites déroutantes puis le personnage de Martin monte en puissance grâce à l'interprétation physique de Luca Marinelli. On relève de belles tentatives de mise en scène: les flashbacks en sépia, le cheminement final en direction de l'horizon, mais l'ensemble manque d'homogénéité. Donne cependant envie de lire le livre. La transposition dans une époque et un pays totalement différents parait légitime sans renier la force du personnage. Comme Martin Eden, cette adaptation montre sans filtre et au vu de tous ses qualités et ses limites.
    Cinéma vo - novembre 2019
    Jean-Jacques FERNANDEZ
    Jean-Jacques FERNANDEZ

    22 abonnés 202 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2021
    Un début brouillon qui pourtant nous fait pénétrer très rapidement dans l'ambiance de ce film. La magie du cinéma italien fonctionne à merveille. Le choix du format et la réalisation donne une dimension majestueuse à cette adaptation de l’œuvre de Jack London. Les acteurs de fondent à merveille dans cette belle histoire qui nous transporte du début jusqu'au générique de fin.
    Originalité : 8/10 , Réalisation : 8/10 , Acteurs : 9/10 Photo : 9/10 Scénario : 9/10
    didbail
    didbail

    23 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 janvier 2020
    Si Pietro Marcello a transposé le roman de Jack London en Italie, il n'en a pas moins conservé l'essentiel de la trame du roman. Cette histoire d'un jeune marin peu éduqué, plongé, par amour, dans un monde bourgeois, et qui va tout faire pour conquérir sa belle en se forgeant une solide culture et en devenant un écrivain reconnu, parvient à marier l'histoire individuelle et la critique politique. Malgré quelques maladresses, Martin Eden est donc un film fort qui dénonce l'hypocrisie d'un système ... toujours d'actualité.
    Ufuk K
    Ufuk K

    472 abonnés 1 405 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 décembre 2020
    " Martin Eden" qui a gagné de et nommé à de nombreux prix cette année est un drame romantique italien mi figue mi raisin. En effet j'ai trouvé le montage et la qualité visuelle du film peu harmonieuse, l'histoire se perd souvent en route faisant perdre de l'intérêt à cette adaptation d'un célèbre livre à succès, reste la belle prestation de Luca Marinelli et le romantisme italien qui se dégage du film . Vite oublié à la fin de la vision du film.
    maxime ...
    maxime ...

    202 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mars 2022
    La transposition et la relecture de Martin Eden à la Napolitaine tiens toutes ses promesses !

    Ce long métrage est sublime. Vraiment, j'insiste. L'image et les choix de sa direction artistique viennent d'office s'imprégné dans ma rétine et viennent à la fois invoqué tout l'héritage du - trop - peu de Cinéma Italien que je connais déjà mais aussi crée tout un " conflit " avec un modernisme et un changement de cap, que se soit avec le livre dont l'histoire ne dégage que se dont elle désir, mais bien plus encore avec les transitions et changement drastiques de Pietro Marcello qui embrasse un classicisme pour mieux le revitalisé, lui offrir une brutalité nouvelle.

    Ajouter à cela une découverte au cinéma, le coup de poings tiens encore à être sublimé.

    L'emploi de la musique à aussi de quoi faire tremblé les plus réticents ! Rarement un long-métrage ne m'a à ce point transporter, fait vibrer aux rythmes de ses envolées. Un autre argument de poids dans le geste et la vision de son réalisateur dont les effets ont su irradiés mes perspectives.

    Quand à son histoire, j'aime le fait que le film relise à sa sauce l'ouvrage exceptionnelle de Jack London. De son héritage, il en est doublement plus salutaire pour la mémoire de cet écrivain au combien fiévreux d'être animé de la sorte, au vue d'une plongée dans une transposition élégante et dévorante.

    Martin Eden est un film carnassier qui se pète le râtelier. Sans mauvais allusion, un peu tout de même ... Luca Marinelli est ivre de fougue et de rage, il transpire et vit à fond pour offrir relief et peine, certain y verront de quoi tiqués pour cabotinage, pas pour moi. J'approuve la dévotion d'un comédien à son personnage, celle-ci est faite de passion et transpire, fuse, irradie de beauté l'icone et lui donne vie.

    Quand aux message, ce dernier est clairvoyant et sinistre. Sa violence n'est pas son épicentre mais ces allusions et sa déferlante, je pense à l'entrainé d'Elena dans ce qu'elle juge, absolument troublant mais aussi extrême de vitesse et de manganisme. On virevolte dans une logorrhée qui rend grâce au texte, y compris dans ses disgressions.

    Le film tire de temps à autres sur quelques longueurs, je me suis parfois égaré, une seconde visite rendra l'alliage plus solide, tout du moins, je l'imagine. Un film qui est fort de faiblesses, en touts points magnifiques.
    Newstrum
    Newstrum

    32 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 novembre 2019
    Belle adaptation du chef-d'oeuvre de Jack London, fidèle à l'esprit du livre à défaut de l'être à la lettre. Lucas Marinelli est formidable en Martin Eden. Dommage que le réalisateur perde le fil du film à la fin, qui est inutilement surchargée en ornements baroques. Voir ma critique complète sur Newstrum : https://newstrum.wordpress.com/2019/11/11/martin-eden-de-pietro-marcello-histoire-dun-autodidacte/
    Francesca P
    Francesca P

    2 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2019
    Un film réussi qui sort nettement du lot, anarchiste même si le mot n'est pas prononcé (il s'ouvre sur la curieuse et belle image d'Errico Malatesta portant et regardant un tout jeune enfant). La mise en scène est puissante et s'appuie efficacement sur des films d'actualités début XX ème. Le personnage de Martin Éden est passionnant et superbement interprété. Seul bémol le dernier quart du film mais cela n'enlève rien à sa force et à son intérêt.
    Bernard D.
    Bernard D.

    100 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 janvier 2020
    Dans le cadre du « Festival Cinéma – Télérama », j’ai découvert « Martin Eden », le 3ème long métrage de Pietro Marcello.
    C’est le parcours initiatique de Martin Eden (Luca Marinelli qui mérite son prix à la Nostra de Venise), un jeune marin inculte qui va se mettre à dévorer des livres puis à écrire … pour s’élever auprès de Elena Orsini (Jessica Cressy, magnifique de douceur, de beauté et de fidélité), une jeune fille de la bourgeoisie « libérale » de Naples dont il a sauvé le petit frère au cours d’une bagarre sur le port. L’histoire est tirée d’un roman de Jack London publié en 1909 mais ici l’histoire se déroule avec en toile de fond les grands mouvements politiques italiens du 20ème siècle. Martin en sera toujours indépendant, libertaire, lié seulement à Russ Brissenden, un poète esthète qui va mourir de la tuberculose. Le succès et l’argent arrivant tardivement, Martin va tomber dans une folie autodestructrice où la drogue à sa place, qui ne lui permettra plus d’atteindre sa belle fiancée et dont il va finir par cracher sur l’origine sociale « gangrénée » et qui va l’amener à la mort.
    Le film est intéressant mais à mon avis un peu trop long à démarrer alors que la phase de descente aux enfers arrive presque comme une ellipse dans ce film qui dure 2 h 08. La photo mêle assez curieusement de très beaux plans, des plans rappelant la jeunesse de Martin filmés comme en super 8 et des plans en noir et blanc dont je n’ai pas toujours compris la symbolique, et même quelques plans d’archives.
    On aurait pu espérer un remake du « Guépard » de Visconti (1963), mais c’est finalement – comme d’ailleurs dit dans le film – la « malheureuse histoire d’une princesse et d’un matelot » dont on sort un peu frustré.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    77 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2020
    Librement inspiré du roman éponyme de Jack London – une œuvre elle-même largement autobiographique – Martin Eden nous raconte l’histoire d’un jeune marin peu cultivé cherchant à dépasser sa condition sociale en devenant écrivain. Ce faisant, il devra affronter tour à tour son propre milieu, puis l’élite bourgeoise et bien-pensante de sa ville de Naples et enfin, une fois son but atteint, son pire ennemi : lui-même. Pris en étau entre mille contradictions liées à la fidélité à ses origines, au sens profond de ses actes et à la réalité de ses sentiments amoureux, la tentation de se brûler les ailes sera grande. Parfois maladroit, clairement un peu long, Martin Eden n’en demeure pas moins un bel essai cinématographique qui nous dresse avec originalité – les images d’archives qui peuplent le récit sont bouleversantes – le portrait d’un homme « plus grand que la vie ». Intéressant.
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    47 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 novembre 2019
    Vu et avis le 20191108

    Quelques rares petites faiblesses mais tellement bien réussi pour le reste que je n y changerais rien ; qu il me convient tout à fait ainsi.





    J ai beaucoup apprécié les flashbacks, globalement je les trouve superbe, tant au niveau de l esthétique de l image que de leur façon délicate d apporter quelque chose en plus / une nuance au film. Ces séquences sont délicates, intelligentes, bien dosées, signifiantes, justes et j en passe peut être. Bien sûr, je ne pense pas que le Martin éden du film ait vu naviguer dés navires à voile, mais je comprend que ça illustre sa culture / d où il vient et probablement ses préférences.



    Pour ce qui est des petites faiblesses, comme quasi tous les films récents, le film commence en abusant de mouvements pendant peut être son premier tiers. C est souvent artificiel, inutile, laid et désagréable. Cela donne sûrement du rythme , réveille le spectateur mais ça fait surtout plaisir à l ego du réalisateur.
    Je n ai pas apprécié le début, la rencontre avec Arturo qui me semble un prétexte raté au film, la présence d Arturo à cet instant, de cette façon, à cet endroit, semble très fausse, ne fonctionne pas. Ce qui est d autant plus dommage que la rencontre Elena-Martin fonctionne très bien. En plus, cela donne à Arturo une importance qu il n a pas dans le film puisque la seule fois remarquable où on le revoit est la scène de la photo.
    Le combat de clown me semble raté aussi. Déjà, on met beaucoup trop de temps à comprendre le sens de la scène, son message : Martin est désabusé, malheureux. La séquence manque.d explication sur ses raisons, les enjeux du combat, ses protagonistes. Il me semble que c est l entrée dans le film de l éditeur que l on voit quelques temps dans le film. Pourquoi le fait qu il propose de l argent résous le conflit ? Pourquoi ne l a t-is pas fait plus tôt ? Pourquoi Martin ne l a t-I'll pas fait plus tôt ? Cette scène n a pas l air crédible au vu de ce qui se passe et dit avant et après. J imagine même possible qu elle ait été initialement prévue pour suivre la conférence de Martin, avec l altercation avec le journaliste qui demande si Martin a écrit le dernier livre de Russ.
    Je n ai pas apprécié aussi la dernière scène d Elena. On ne la comprend pas la ou elle est placée. Elle aurait été très forte si elle avait terminé le film. Je comprend que le réalisateur ait voulu le terminer sur Martin et qu il ne savait pas comment le film pouvait conclure sa trame Elena-Martin. Mais en ce cas, il n "avait" qu à la mettre en plein milieu du générique de fin, ou après. Elle aurait alors été très forte car on aurait compris alors la sincérité, le désarroi d Elena. On aurait même pu remarquer qu elle supposée bien plus raffinée, subtile, éduquée, n a pas réussi à trouver les mots face à Martin dans leur dernière scène commune. Placée la où elle est, elle n apporte rien au film, n a pas de sens.
    Nombre de discours de Martin dans la dernière partie du film (à partir du moment où il parle aux grévistes), sont assez abscons. Ils auraient probablement gagnés à être synthétisés et simplifiés dans la lecture d un article de journal, ou analyses dans une discussion.


    Je ne suis pas sur de bien avoir compris la pensée globale de Martin dans le film. Je crois que globalement il parle beaucoup de l exploitation de la population par les bourgeois, les notables, qu il faut repenser entièrement le système économique. Ses contradicteurs soutiendraient alors l hypothèse que pour améliorer la société, il faut accorder aux plus pauvres quelques améliorations dans leur qualité de vie, mieux les traiter. L évocation à un moment de la question de la guerre prend alors du sens. Certains disent que la guerre, c est des gens qui ne se connaissent pas et n ont aucune raison de se hair (aussi pauvres, maltraités) qui s entretuent pour le compte de gens qui se connaissent et se haïssent. Face à cette conception de la guerre, la guerre reprend été donc bien le pire échec possible puisque guerre signifie situation d urgence et appel au patriotisme, réquisition, empêchement des luttes sociales afin de préserver la nation face à l ennemi. Asservissement de la population aux impératifs de la guerre, retour à une forme d esclavage qu est la conscription forcée, ..., la guerre est je pense l anti émancipation des populations les plus pauvres et défavorisées.
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