Mon compte
    Madre
    Note moyenne
    3,3
    1818 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Madre ?

    122 critiques spectateurs

    5
    17 critiques
    4
    42 critiques
    3
    32 critiques
    2
    19 critiques
    1
    10 critiques
    0
    2 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Ufuk K
    Ufuk K

    472 abonnés 1 406 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 juillet 2020
    " Madre " remarqué l'an dernier au festival de Venise est un drame psychologique plutôt convaincant . En effet en dépit de longueurs et un message pas toujours clair du réalisateur , cette histoire qui parle de la pire tragédie que peut connaitre une personne perdre son enfant se révèle être troublant, parfois dérageant avec le tandem Marta Nieto ( récompensée lors du festival de Venise ) et Jules Porier forment un duo qui fonctionne bien.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 juillet 2020
    D'une finesse et intelligence rare.

    Une Marta Nieto exceptionnelle.

    Des plans séquences justifiés et sobres.

    Un grand film qui ne donne pas toutes ses clés.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    82 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juillet 2020
    En 2017, Rodrigo Sorogoyen avait écrit et réalisé un excellent court métrage titré Madre. Ce court métrage d’une durée excédant à peine un quart d’heure avait été lauréat en 2018 du Goya du meilleur court métrage de fiction avant d’être nommé l’année suivante dans la même catégorie des oscars. Deux ans plus tard, de cette réalisation à succès, Sorogoyen conserve le titre et imagine une suite au long cours (deux heures). D’un point de vue cinématographique, Madre est bien une suite et non un prolongement de son aîné. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com/2020/07/24/madre/
    vidalger
    vidalger

    297 abonnés 1 229 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2020
    Après Reino, thriller confus sur les sombres dessous de politique espagnole, et le début angoissant de Madre, le réalisateur Rodrigo Sorogoyen nous prend à contre-pied et change totalement de registre. Là où on s’attendait à une enquête policière ou à une sourde vengeance, on atterrit dans une petite station balnéaire du littoral basque français, dix ans après la disparition d’un petit garçon de six ans. Le film est alors porté par une actrice incandescente au charme lumineux, la belle Marta Nieto - justement récompensée par le Goya de la meilleure actrice - qui incarne le rôle-titre de la mère - madre - , celle-ci n’ayant pas totalement fait le deuil de son enfant. Sa rencontre avec l’adolescent qu’il aurait pu devenir est le vrai sujet de ce film. Avec une grande pudeur, avec beaucoup de finesse, le scénario valse et tangue, explore quelques fausses pistes et finalement se rattrape aux branches, conduisant habilement le spectateur vers une conclusion plutôt cohérente. Du beau travail !
    Bernard D.
    Bernard D.

    100 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 août 2020
    « Madre », le troisième long métrage du réalisateur espagnol Rodrigo Sorogoyen, est pour ma part un film raté !
    Il démarre par un magnifique plan-séquence dans lequel Elena, madrilène de 29 ans, reçoit un coup de fil de son fils de 6 ans qui est tout seul sur une plage des landes car son père est parti, et qui voit un homme s’approcher de lui … fin de l’appel du fait d’un manque de batterie.
    Dix ans plus tard, Elena est serveuse dans un restaurant-café de cette plage qu’elle arpente tous les jours dans le souvenir de son fils. Un jour, elle capte le regard d’un adolescent de 16 ans, Jean, et elle va le suivre faisant un transfert sur son visage poupin … mais - et c’est en cela que ce film est raté - cette phase est très lente et parfois lourde même si de magnifiques plans de la mer dans tous ses états, viennent la rythmer. La fin pour Jean n’est pas s’en évoquer un peu « Préparez vos mouchoirs » de Bertrand Blier (1978) alors que pour Elena elle me semble illogique pour ne pas dire psychiatrique !
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    695 abonnés 1 433 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juillet 2020
    Elena est une femme espagnole de 29 ans, elle est également la maman d'un fils de 6 ans en vacances avec son papa au bord de la mer dans le Sud-Ouest de la France.
    Un drame survient avec cet enfant et on se retrouve 10 ans plus tard : Elena ne vit plus en Espagne et dirige désormais depuis des années un restaurant dans les Landes, l'endroit où toute sa vie de mère a basculé...
    Ce thriller dramatique porté par le charme indéniable de Marta Nieto et du jeune et talentueux Jules Porier (déjà vu dans le film "Play") est véritablement touchant de justesse et de sincérité.
    Même si le thème principal peut légèrement surprendre et déranger, l'intelligence et l'habileté du réalisateur nous emportent dans une histoire d'amour au sens large.
    Délicat et troublant, avec en toile de fond les plages sublimes de l'Océan Atlantique.
    Site CINEMADOURG.free.fr
    norman06
    norman06

    306 abonnés 1 606 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juillet 2020
    Ce drame psychologique captive de bout en bout en réussissant à contourner tous les clichés du genre. Le cinéaste réussit à créer une tension narrative tout en sachant préserver les zones d'ombre de son scénario. Marta Nieto et le jeune Jules Porier sont surprenants.
    Joce2012
    Joce2012

    176 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juillet 2020
    Thriller qui tient en haleine du début à la fin. ...impression de malaise car beaucoup de non dits qui mettent le doute, compassion et incompréhension se mélangent. ..
    Yves G.
    Yves G.

    1 309 abonnés 3 311 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juillet 2020
    Dix ans ont passé depuis la disparition inexpliquée d'Ivan, son fils âgé de six ans seulement, sur une plage landaise. Elena ne s'en est jamais remise, qui a quitté l'Espagne et est venue s'installer sur les lieux du drame.
    C'est là qu'elle rencontre Jean, un adolescent qui aurait eu l'âge de son fils et pour lequel elle ressent une attirance trouble.

    Le pitch de "Madre" est particulièrement efficace qui laisse entrevoir un thriller façon "Ne le dis à personne" dont l'enjeu serait d'élucider les conditions de la disparition d'Ivan voire de le retrouver vivant.

    Mais le film prend une direction différente. Il s'agit moins d'un polar que d'un drame intime. Le scénario se désintéresse de la disparition d'Ivan pour se focaliser sur l'impossible reconstruction de sa mère. Comment reprendre une vie normale quand on a perdu son fils ? Comment faire son deuil quand les conditions matérielles de ce deuil - la certitude du décès de l'être disparu et la disposition de son corps - ne sont pas réunies ?

    Pour Elena la rencontre avec Jean constitue un quitte ou double. Cet adolescent si beau, si vivant risque de lui rappeler avec une douloureuse acuité la perte de son fils. Ou bien, elle peut espérer à son contact se mithridatiser et renaître enfin.

    Il y a dans la relation entre Elena et Jean, son cadet de plus de vingt ans, une dimension incestueuse avec lequel le film tangente - comme l'avait fait en son temps "Le Souffle au cœur" de Louis Malle. Ce n'est peut-être pas la partie la plus intéressante de "Madre" dont on regrette qu'il prenne ce parti là dans sa seconde moitié - quand bien même l'interprétation toujours juste de Marina Pieto lui évite de sombrer dans le pathétique.

    Reste toutefois la bluffante maîtrise de Rodrigo Sorogoyen. Le réalisateur de "Que Dios nos Perdone" et de "El Reino" accumule les plans séquence d'une impressionnante maestria à commencer par le premier qui dure pas moins de quinze minutes - et que le réalisateur avait dans un premier temps sorti en court métrage. Le procédé est repris tout le long du film au point qu'on puisse parfois y voir de l'esbrouffe. Mais, pratiqué à ce niveau, l'art du plan séquence inspire plus d'admiration que de réprobation.
    Abus Dangereux
    Abus Dangereux

    38 abonnés 108 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juillet 2020
    Elena (Marta Nieto), espagnole et responsable d’un restaurant, croise sur la plage du Vieux Boucau (son lieu de travail et de vie) Jean (Jules Porier), adolescent en vacances et croit reconnaitre en lui son fils disparu (enlevé)10 ans auparavant sur le même site et jamais retrouvé. Cette rencontre mettra, en quelque sorte à la fin du film, un terme à la quête de cette jeune femme qui ne parvenait pas à faire le deuil. Bizarrement catalogué « thriller », ce drame psychologique absolu est porté par une actrice hallucinante qui livre une prestation « coup de maître » et ce, dés la scène d’ouverture. Surnommée « la folle de la plage » par les habitués des lieux, Marta Nieto nous entraine dans sa quête obsessionnelle, nous fait comprendre son manque, son espoir, son désir. Jules Porier est aussi très juste dans son rôle d’adolescent sensible, rebelle, intelligent , amoureux. Très bonne direction d’acteurs et mise en scène aboutie font de Rodrigo Sorogoyen un réalisateur de plus en plus important. A voir pour tout cela, et encore une fois, pour assister à la naissance d’une grande actrice.
    Willie Cicci
    Willie Cicci

    24 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 juillet 2020
    Rodrigo Sorogoyen s'affranchit des codes dans ce très beau mélodrame qui flirte avec le thriller. A ne pas manquer !
    jean l.
    jean l.

    147 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 juillet 2020
    Chef d’œuvre de délicatesse
    Rodrigo Sorogoyen nous surprends avec ce film intime qui commence comme un thriller
    Loïck G.
    Loïck G.

    297 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juillet 2020
    Rodrigo Sorogoyen quitte brillamment le registre de ses deux précédents films (« Que Dios Nos Perdone » et « El Reino ») pour l’intime rencontre d’une mère avec son douloureux passé. Elena a perdu son fils de six ans sur une plage française alors qu’il se trouvait avec son père dont elle est séparée. Elle a vécu au téléphone ses derniers moments, et depuis dix ans ne sait rien de cette disparition, de cet enlèvement.. La manière dont le cinéaste nous conte ce drame intime et familial, ce bouleversement universel d’une mère dépossédée de son enfant est magistrale. Elena n’aura de cesse de le retrouver dans le visage d’un jeune surfer rencontré sur cette même place dix ans plus tard. Leurs relations ambiguës, leur attirance mutuelle, tissent la trame d’un récit déjà vécu mais cette fois entretenu avec attention par un réalisateur fascinant et des acteurs tout aussi grands.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    177 abonnés 380 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 juillet 2020
    Drame espagnol freudien extrêmement bien réalisé et interprété. Marta Nieto, l'actrice principale, est impressionnante de vérité et de complexité et bouleverse le spectateur de la première à la dernière image de ce film très soigné, ample et magnifique.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 192 abonnés 4 004 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 juillet 2020
    La scène d’ouverture de “Madre” est bouleversante. Elena assiste impuissante au téléphone à la disparition de son enfant. En pleurs, celui-ci ne retrouve pas son père alors qu’ils étaient partis à la plage dans les Landes. Un lent fondu apparaît sur cette même plage. Quelques lettres à l’intensité brutale : 10 ans plus tard. Voici donc une décennie que cette mère erre sur les plages en quête d’un indice pour retrouver son enfant devenu adolescent. Cet espoir qu’il vit encore ne la quitte pas. Dévastée, elle s’accroche un jour à un adolescent français qui lui rappelle son fils disparu. Elle se lie d’amitié avec et parvient désormais à esquisser quelques sourires. Mais cette relation ambiguë n’est pas saine. Et les vrais parents de l’ado la remarque. “Madre” est l’un des drames les plus poignants de cette année. La douleur réside perpétuellement dans le regard de cette mère qui avance tant bien que mal dans la vie. Si on dit qu’il n’y a rien de pire pour un parent que d’enterrer un enfant, ne pas savoir, est peut-être encore plus accablant.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top