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Note moyenne
2,6
23 titres de presse
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Chronic'art.com
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Le Figaro Magazine
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Aden
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Ciné Live
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Le Figaro
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Le Journal du Dimanche
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Le Parisien
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Le Point
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Les Inrockuptibles
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Repérages
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Studio Magazine
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Télérama
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Cinopsis.com
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Fluctuat.net
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L'Express
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L'Humanité
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L'Obs
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Le Monde
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Les Echos
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Libération
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MCinéma.com
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Positif
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Urbuz
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Chronic'art.com
Même si le film (...) appartient à la catégorie, peu regardante en matière de réalisation, des "divertissements grand public", il possède néanmoins un charme qui tient en grande partie à son héritage, issu d'un fantastique à la française (...)
Le Figaro Magazine
(...) film d'aventures à renbondissements multiples utilisant tous les moyens technologiques modernes pour donner vie et mouvement à des feux follets de rêves.
Aden
Belphégor n'existe pratiquement que par la présence intense de Sophie Marceau. Très bien entourée, c'est vrai. Comment, alors, le film peut-il être si moyen ? C'est que Sophie Marceau force la comparaison. Elle donne beaucoup. Et le film pas assez.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Journal du Dimanche
On ne sort pas de là franchement bouleversé, mais avec l'envie d'aller (re)voir les salles du Louvre où le film a été tourné.
Le Parisien
Si aime se laisser prendre à une vraie histoire sans être trop exigeant sur la réalisation, alors ce "Belphégor" fera l'affaire.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) un produit sans lustre à la réalisation anonyme, où ne surnagent que des effets numériques kitsch destinés à s'aligner sur les productions US. Ce n'est pas vraiment concluant, mais ça passe.
Repérages
(...) Jean-Paul Salomé brode un film un peu terne, que relèvent ses interprètes féminines.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Manquent l'audace visuelle et la tension dramatique qui auraient pu faire décoller ce Belphégor-là vers sa destination naturelle : le fantastique. La seule étrangeté du film, finalement, c'est, de bout en bout, son caractère lisse.
Cinopsis.com
La réalisation maladroite de Salomé (...) évince toute tentative frissonnante en incluant directement son spectateur dans la ritournelle. Et ce dernier se voit devancer les acteurs avec un déplaisir certain.
Fluctuat.net
Les soupirs nous envahissent et d'une certaine manière on peut penser que ce Beplhégor moderne a atteint bien involontairement son but. Par sa vacuité, il nous offre un cadre où nous nous laissons bercer par les effluves du passé, avec une pointe de regret.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(...) espèce de thriller fantastique exploitant sans brio l'égyptomanie ambiante.
L'Obs
Le défaut de ce remake insuffisamment naïf, c'est que le fil en casse à chaque séquence. Le fil du temps, bien sûr.
Le Monde
Jean-Paul Salomé semble avoir été victime d'une malédiction encore plus terrifiante : les esprits maléfiques dont il a troublé le sommeil l'ont condamné à rater son film sur le champ. Cet échec passe par de mystérieuses idées, mises en œuvre en dépit du bon sens.
Les Echos
(...) passé les quatorze ans et demi, il faut faire un gros effort pour ne pas se sentir déplacé devant ce spectacle par ailleurs peu spectaculaire.
Libération
Ni la beauté toujours plus stupéfiante de Sophie Marceau, ni le métier tranquille de Michel Serrault (...) ne peuvent pallier la nullité de la mise en scène, la laideur de la photographie et le grotesque d'images numériques agitant des spectres (...)
MCinéma.com
Le film trahit l'esprit et l'ambiance de la fameuse mini-série créée par Claude Barma. Pas de frayeurs, pas la moindre once de suspense, de lyrisme, de magie, juste des effets spéciaux qui servent un scénario faiblard. Bref, un nanar.
Positif
Même en mettant de côté des souvenirs d'enfance terrifiés devant le feuilleton télévisé (...), force est de constater que ce nouveau Belphégor ne risque pas, aujourd'hui, d'effrayer ni encore d'émerveiller grand monde.
Urbuz
Sans vraiment sombrer définitivement dans le ridicule, c'est un film sans âme, où la volonté de bien faire (d'en faire trop) prend le pas sur le désir de susciter l'étrangeté, élément essentiel du film de fantôme, totalement absent ici.