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    Black Tea
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    2,5
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    57 critiques spectateurs

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    Ecirtab765150
    Ecirtab765150

    9 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 avril 2024
    C est un film sur la difficulté d assumer les différences , réalisé avec brio dans la sobriété..mais que j ai vraiment trouvé très lent , même si c est un vœu du réalisateur de prendre son temps dans les différentes scènes .Un peu décevant.
    Vergnus
    Vergnus

    8 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 mars 2024
    Un film d’un esthétisme fou, d’une grande élégance et d’une très grande sensualité avec un message sur la tolérance et l’écoute de l’autre
    Jipéhel
    Jipéhel

    22 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mars 2024
    On reste sur sa… soif

    Souvenez-vous, c’était il y a 10 ans, le mauritanien Abderrahmane Sissako raflait tout sur son passage – avec entre autres 7 César -, pour sa merveille intitulée Timbuktu. Entre les deux, rien ! Il revient avec cette romance dramatique de 110 minutes plus ennuyeuses que convaincantes. Aya, une jeune femme ivoirienne d’une trentaine d’années, dit non le jour de son mariage, à la stupeur générale. Émigrée en Chine, elle travaille dans une boutique d'export de thé avec Cai, un Chinois de 45 ans. Aya et Cai tombent amoureux mais leur histoire survivra-t-elle aux tumultes de leurs passés et aux préjugés ? Bien sûr, les intentions sont louables : choc des cultures, racisme latent, un raffinement de chaque instant, une douceur envahissante… mais quel ennui, avec une histoire hors-sol, un univers comme aseptisé, des personnages frappés par l’apathie – qui, ici, vient en buvant du thé et non pas en mangeant -, générale qui baigne tout ce film décevant.
    J’attendais sans doute trop du nouveau Sissako. 10 ans pour mûrir cette histoire, on était en droit de se dire, on court sinon au chef d’œuvre au moins au très bon film. Et puis, flop ! Même si, esthétiquement, ce film est une splendeur, la romance manque de chair, les sentiments, à force d’être feutrés- c’est une litote -, sont presque totalement gommés. La forme efface le fond, au point de le faire disparaître. Et quand il n’y a plus de fond… c’est le vide. Le cinéaste avoue une envie de raconter la possibilité d’un monde en mouvement vers une harmonie. On a l’harmonie, mais on se demande où est le mouvement. Onirisme, quand tu nous tiens.
    Rien n’y fait. Nina Melo, charmante, Han Chang, tout en charisme rentré, Wu Ke-Xi, Michael Chang et les autres semblent s’ennuyer ferme, en tout cas presque autant que le spectateur que je suis. De suggestions en malentendus et en ellipses, on n’est pas très sûr d’avoir compris quoi que ce soit à cette romance dans les théiers, fuligineuse à souhait et soutenue par des dialogues niais à force de se vouloir poétiques. De ce breuvage et de son cérémonial, on retient plus l’amertume que la douceur d’aimer. Cette nouvelle version de « Canton n’a que l’amour » ne fonctionne pas.
    Pierre Johnson
    Pierre Johnson

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2024
    Un film d’une grande beauté et sensibilité. À Sissoko nous délivre ici un conte à valeur universelle : une jeune femme africaine dit « non » le jour de son mariage. Nous la retrouvons en Chine où elle est est initiée à l’art du thé par un homme Chinois au passé complexe… Les dialogues et les scènes sont admirablement bien construits. Loin des clichés sur les Africains ou les Chinois, un film d’une grande beauté.
    Luwucas
    Luwucas

    2 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mars 2024
    Un petit film touchant, qui semble tenir une belle philosophie mais reste au stade de belle histoire maladroite.
    Les décors et ambiances sont beaux, aux dépends des dialogues et jeux d'acteurs.
    Pierre
    Pierre

    7 abonnés 105 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 mars 2024
    Un film pas ouf. La nouvelle vie d'une personne en Asie avec la ven te du thé. Je me suis ennuyé devant le film.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    206 abonnés 864 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mars 2024
    Aya refuse son mariage et choisit de quitter la Côte d’Ivoire pour la Chine. Elle y rencontre Cai, un chinois plus âgé et en tombe amoureuse. Ensemble, ils vont devoir affronter les préjugés de la famille de Cai et des habitants autour d’eux. Dommage que le scénario soit trop léger, l’ennui se ressent très vite malgré de belles images.
    Madame Baleine
    Madame Baleine

    6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 mars 2024
    Une esthétique de publicité Chanel sans âme et un propos grossier. j'ai été scandalisé d'un bout à l'autre du film. des scènes surdécoupées avec des dialogues naïfs ("se brûler, ça fait très mal"), les relations entre les personnages sont vides de sens et d'alchimie, les comédiens sont livrés à eux mêmes, et les dix dernières minutes du film tentent de se charger d'un propos politique à gros sabots (le racisme, c'est mal), très embarrassant, caricatural et sans aucune nuance. un film qui se moque de nous.
    christophe gomes
    christophe gomes

    9 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 mars 2024
    Une petite déception. L’idée d’origine est pourtant intéressante et on s’attend vraiment à quelque chose de plus profond. Il y a trop d’histoires dans l’histoire ce qui fait que rien n’est vraiment raconté. Qui est qui ? Pourquoi ? On parle de chocolate city mais on ne sait rien de ce lieu ? C’est où ? Qu est ce que ça représente ? Pourquoi et comment elle est venue en Chine ? Elle parle très bien la langue pourtant. Il y a beaucoup de personnages qui sont là pour meubler l’histoire on dirait, sans fond, juste un prétexte pour nous dire quelque chose qu’on pouvait comprendre par un vrai travail d’écriture pour un meilleur scenario.
    Coolcat
    Coolcat

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 mars 2024
    La bande annonce m'avait attirée, j'y allais en terrain conquis: rencontre entre l'Afrique et l'Asie, sensualité, mélange culturel autour de la passion du thé... miam miam. J'ai aimé: les belles robes d'Aya, (lol!) les passages sur le thé, les scènes dans les magasins, la galerie de personnages secondaires. Je n'ai pas aimé du tout spoiler: la scène d'introduction en Afrique, pas crédible, ni la fin en nombreux points d'interrogation: robes rouges identiques, déception(de quoi?) lettre sans contenu, retour sur la première scène
    ... Trop fouillis et surtout trop superficiel en général. Aya se débat pour qui? Son amoureux est piteux, inconsistant, sans remords et sans engagement. Le film, qui a de beaux côtés esthétiques, manque de discours et de profondeur. Un black tea trop léger à mon goût.
    corinne nord
    corinne nord

    6 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 mars 2024
    L'univers du thé est la seule parenthèse intéressante pour le reste? C'est confus pas abouti je n'ai rien compris surtout la fin a-t-elle rêvé toute sa vie? À ce qu'elle aurait pu être? Bref c'est long et ennuyeux
    Lafeemure
    Lafeemure

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2024
    Les films de Sissako et Tal me transforment en ce que j’ai toujours rêvé d’être : une voyageuse invisible dont seul le cœur est présent, sans le biais d’observation ethnographique.
    Le seul pré-requis pour embarquer est la contemplation ! Trop cool.

    Ce qui est frappant avec ce film-là, c’est que la dernière séquence est un cliffhanger parfaitement démoniaque qui recolore tout le film d’un puissant suspense rétroactif. Scénaristiquement, c’est génial.

    Contrairement à ce qu’on a lu, ce film n’est ni une romance ni un drame. C’est une étude anthropologique acerbe et sans complaisance, comme Timbuktu. Riche et puissante.

    C’est une expérience de compassion et de beauté qui révèle avec une infinie délicatesse, le ridicule et la violence des illusions humaines.

    Tout le film ne relate qu’une minute de réflexion, une minute d’hésitation. Il met en images la fulgurance du théâtre intérieur d’une personne qui se demande si finalement une forme de liberté est possible.
    Qui se demande si l’on peut cesser d’être prisonnier de sa naissance et de son instinct.
    En cela, on rejoint l’énergie de la gazelle qu’on voit dans la première séquence de Timbuktu.

    Vivement le prochain film de ces deux brillants cinéastes car le suspense apporté par la séquence de fin, même s’il est rétrospectif, n’en reste pas moins insoutenable.
    bruno fabre
    bruno fabre

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2024
    De très belles images, de très bons acteurs, et un sujet qui nous laisse libre de rêver, d'imaginer notre propre interprétation.
    Olivierh1962
    Olivierh1962

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mars 2024
    Très beau film, esthétique, sur la tolérance, l’amour et le partage. Magnifique ! Bravo. Les acteurs sont top et les thèmes abordés le sont avec finesse délicatesse et finalement cela rend le message plus fort
    Yves G.
    Yves G.

    1 314 abonnés 3 314 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mars 2024
    Pour avoir été trompée la veille de son mariage, Aya (Nina Mélo, l’infirmière de Nina, la série de France 2) dit non à son promis et quitte l’Afrique pour l’Asie. Elle part refaire sa vie en Chine dont elle apprend vite la langue. Elle travaille dans la boutique de M. Cai (Han Chang) qui y vend le thé qu’il cultive sur sa plantation. Entre la jeune femme en rupture de ban et l’homme mûr qui porte depuis son expatriation au Cap-Vert un secret trop lourd pour lui se noue un lien mêlé de respect et d’affection.

    Il aura fallu attendre près de dix ans pour que le réalisateur mauritanien Abderrahmane Sissako tourne son nouveau film. Le succès étonnant de "Timbuktu", César 2015 du meilleur film, nommé aux Oscars, aurait dû lui ouvrir bien des portes. L’a-t-il au contraire inhibé ?

    Abderrahmane Sissako choisit de situer l’intrigue de Black Tea à Canton (même s’il a tourné à Taïwan). Le lieu est fascinant qui voit se rencontrer deux univers qu’on n’associe pas spontanément, la Chine et l’Afrique, alors qu’on sait, sans remonter à l’expédition de l’amiral Zheng He sur les côtes africaines au début du XVème siècle, l’importance que la Chine occupe désormais en Afrique, au point d’y concurrencer les vieilles puissances coloniales (voir sur ce point le chapitre 5.2.1.2. de "La France en Afrique"). C’est à ma connaissance la première fois que le cinéma en fait son argument principal.

    C’eût pu être un documentaire sur « Chocolate City », le quartier africain de Canton où les commerçants africains viennent faire leur marché, qu’il s’agisse de thé, de niqabs ou de lingerie coquine, et où les Chinois achètent des produits importés, s’initient au twerk et se font tresser les cheveux. C’est hélas une fiction un peu trop artificielle, aux éclairages millimétrés qui tombent sur la tête des protagonistes, une sorte de Wong Kar-wai afro-asiatique.

    Aya, qui change de coiffure et de tenue à chaque scène comme si elle participait à un défilé de mode, parle le cantonais avec une aisance admirable. Mais ses expressions se réduisent au seul sourire pâmé que lui arrache la dégustation d’une tasse de thé. On se croirait dans une pub pour Dammann Frères.

    L’intrigue, digne d’un mauvais roman-photo, au lieu de se focaliser sur Aya, s’éparpille. Elle fait la part belle à l’autre protagoniste, M. Cai, avec lequel on s’embarque pour un flashback et/ou un rêve éveillé à Mindelo, dans le nord de l’archipel du Cap-Vert. Une scène le confronte à ses beaux-parents qui accumulent les clichés racistes sur les Africains, au grand dam du fils de M. Cai et de M. Cai lui-même. Ces réactions là auraient mérité de plus amples développements : comment les Africains sont-ils accueillis en Chine ? y sont-ils victimes de racisme ? Mais, là encore, un documentaire eût mieux convenu que cette fade bluette interraciale.
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