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    L'école du bout du monde
    Note moyenne
    4,2
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    84 critiques spectateurs

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    Regine C.C
    Regine C.C

    28 abonnés 210 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mai 2022
    Film magique qui envoie un jeune "hyperconnecté" dans une zone de hautes montagnes du Bouthan, le monde du dénuement matériel. Il redécouvre tout ce qu'apporte la nature à l'homme sans concession mais également un lien social très fort qui est primordial pour ces communautés qui vivent dans des conditions très rudes. Mais j'étais gênée par un détail en sortant du film, c'est que dans cette école du bout du monde, il n'y avait que des filles. Après quelques recherches sur internet, on apprend qu'un enfant sur 5 travaille au Bouthan. Les garçons sont donc au travail. Même si ces gens semblent s'accommoder de leurs conditions de vie, quelques phrases lancées ici et là tentent qu'en même de nous alerter sur le ressenti de leur précarité : "j'étais tellement heureux quand j'ai eu mes bottes en caoutchouc que j'ai dormi avec", "ici, brûler du papier, c'est comme brûler de l'argent"
    Bref, au pays du bonheur intérieur brut, tout n'est pas aussi rose que l'on pense.
    iof
    iof

    3 abonnés 131 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2022
    Joli film sur un apprenti instituteur tiraillé entre ses racines familiales archi traditionnelles et son désir d'émancipation à l'occidentale. Ce dilème fait tout le film. Les acteurs non professionnels dans des paysages grandioses, en font le sel.
    Kupa Port
    Kupa Port

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juin 2022
    De belles images mais le film ne décolle jamais. On est loin de voyager, entre le personnage ultra-occidentalisé et la simplification à l'extrême du parcours initiatique...
    christophe D10
    christophe D10

    10 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 mars 2023
    Encore un film ou j’ai du mal à comprendre les critiques si élogieuses…
    La première partie est assez depaysante et intéressante mais une fois que l’instit arrive au village, ca se met vite a tourner en rond et l’ennui s’installe…
    4,2 de note moyenne ? J’avoue être perplexe..
    gonin.robert
    gonin.robert

    4 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 juin 2022
    Seulement gentillet.
    Scénario un peu simpliste et convenu.
    Très sobre, quelques belles images.
    Décevant
    Benito G
    Benito G

    585 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 décembre 2022
    Ce qui rend ce film si beau, c'est sa simplicité. Pas d'effets spéciaux par drones sur ce bout de toit du monde. Tous les regards sont à hauteur d'homme, pour se concentrer sur les rapports bienveillants des protagonistes de cette histoire. Le chant du monde rejoint le leur. L'harmonie de leur vie avec l'environnement les rend respectables, respectueux, encourageants sans emphase, sans dégoulinement de violons. M. Dorji a su rendre visible ses acteurs dans un cadre grandiose, tout en humilité. Bravo. Merci.
    Claude DL
    Claude DL

    75 abonnés 1 591 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mars 2023
    Rafraîchissant avec une philosophie très universelle. L'histoire de cet instituteur citadin muté à près de 5000 m d'altitude dans les fins fonds du Bouthan, accessibles après de longues heures de marche, montre qu'une vie simple entourée de gentillesse et de respect est ...la meilleure voie pour atteindre l'épanouissement ce que constate après coup notre héros. En se rendant à la fin en Australie, son rêve, il réalise a quel point il aurait dû rester dans le village du bout du monde. Une belle leçon de vie, et quels paysages !
    sylounette
    sylounette

    40 abonnés 173 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juin 2022
    des paysages à couper le souffle, des enfants attachants, un instit au grand coeur..
    tout est réussi ! l'histoire est magique, la rencontre entre 2 mondes, le bouthan du 21ème siècle et celui des villages montagneux, loin de tout et du progrès mais ces villageois sont tellement heureux.
    De quoi se demander si notre monde d'hyperconsommation ne détruit pas le beau en chacun de nous
    Ufuk K
    Ufuk K

    466 abonnés 1 400 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juin 2022
    "L'école du bout du monde" nommé cette année au oscar (meilleur film international) est une bonne surprise pour moi . En effet cette curiosité venue du Bhoutan émerveille par ses paysages, par l'humanité et la fraicheur que se dégage de cette histoire qui peut être vécu comme un documentaire initiatique avec en prime la fraicheur de l'acteur principal et des jeunes comédiens même si l'ensemble appuie trop sur les bons sentiments et du coup un peu surfait, dommage.
    Napoléon
    Napoléon

    116 abonnés 1 540 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 juillet 2022
    Une fable écologique et humaine unique. La mise en scène est majestueuse avec des plans montagneux magnifiques. L'interprétation est d'une splendide justesse. Pour un film dépaysant où l'émotion est le maître mot. Magnifique et magistral.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    106 abonnés 2 330 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 octobre 2022
    Dépaysement assuré avec ce joli film qui tient en éveille graver au capital sympathie qu'inspire son héros.
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 775 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 mai 2023
    Mon premier film bhoutanais, me semble t-il si ma mémoire ne me fait pas défaut.
    « L’école du bout du monde » vaut par ses paysages et ce morceau de bout du monde où un jeune professeur, nommé Ugyen est assigné à enseigner !
    Je dis assigné à escient car notre jeune professeur apprenti y va contraint !
    Comme on peut le comprendre !
    Une semaine de marche pour accéder à ce bout de terre, Lunana, tout petit village isolé dans des montagnes, sans électricité, sans réseau Internet, sans confort, sans moyen même pour enseigner dans de bonnes conditions.
    Même pas un tableau !

    Le gouvernement bhoutanais s’engage à ce qu’aucun village ne soit privé d’enseignement. Alors tout enseignant peut se voir muter dans un trou du c** du monde ! C’est bien, très bien, c’est une noble initiative. Mais le gouvernement n’y joint pas les moyens les plus basiques pour permettre et aux enseignants et aux élèves d’étudier correctement.

    Intéressant, instructif sur ce monde très protégé où le bonheur est le produit national brut.
    Qu’appelle-t-on le bonheur au Bhoutan ?
    Ugyen se résigne à laisser tomber son portable, lui, venant de la capitale, connecté au monde, un monde dans lequel il souhaite évoluer. L’Australie par exemple où il souhaite devenir artiste chanteur.
    ll y a comme une sorte de résignation à abandonner son portable.
    Résigner peut signifier contrainte.
    Une contrainte au bonheur ! J’assume.
    La contrainte de se connecter avec la nature, la spiritualité, l’identité même de son pays, le Bhoutan.
    Comme si le Bhoutan tenait à rappeler que les nouvelles technologies ne pouvaient par envahir tout le pays. Le Bhoutan doit conserver une grande part de ses fondamentaux comme la spiritualité, la nature comme source première d’existence, se satisfaire du peu qu’elle donne.
    C’est aussi ça le bonheur, ce n’est pas nécessairement l’arrivée de la télévision en 1999 qui fait du Bhoutan le dernier pays à l’autoriser et l’arrivée de l’Internet.

    Le Bhoutan c’est comme cette école du bout du monde située à une semaine de marche : peu importe les moyens pour enseigner, l’essentiel se trouve dans la capacité de l’homme à puiser dans ses retranchements intérieurs pour accepter une certaine idée d’un bonheur contraint par la force des choses ; puis se rendre enfin compte que le bonheur est un concept très simple, accessible à tous, à condition d’abandonner toute mentalité matérielle parce qu’elle fait appel à l’ingéniosité de l’homme à commencer par l’amour pour son semblable.
    Et qu’il n’y a rien d’impossible à partir du moment où les hommes oeuvrent ensemble pour parvenir à créer un tableau, par exemple, et qui donne du bonheur à ceux qui l’ont créé et à ceux qui en profitent comme les petits élèves de Lunana…
    Auré
    Auré

    18 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2022
    Ça pourrait ressembler à un épisode de Rendez-vous en terre inconnue, mais c'est pour ça aussi qu'on va voir ce film. J'ai aimé découvrir ce coin totalement isolé du Bhoutan, où réussir à avoir un instituteur est une vraie gageure

    mes critiques sur Instagram : aurelie_cct
    Gengisjean
    Gengisjean

    12 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mai 2022
    Beau film, beaux personnages, beau sujet (école, tradition et modernisme) , belle simplicité, en contrepartie le film manque un peu d'émotions
    Jipéhel
    Jipéhel

    44 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 septembre 2022
    Au pays du Bonheur National Brut

    Enfin ! La pépite venue du Bouthan et signée par Pawo Choyning Dorji, est sortie sur nos écrans, hélas, affublée d’un titre français passe-partout… Pourquoi ne pas avoir gardé le titre original, Un yack dans la salle de classe… tellement plus original et intrigant. Un jeune instituteur du Bhoutan est envoyé dans la partie la plus reculée du pays. Loin de la ville, le quotidien est rude, mais la force spirituelle des habitants du village transformera son destin. 110 minutes de pur bonheur. Vaut vraiment le voyage.
    En regardant cette petite merveille de douceur, on imagine les difficultés rencontrées pour le tournage. Et effectivement, le tournage devait se dérouler durant les deux seuls mois de l’année où il ne neige pas, et où il y a suffisamment de soleil pour que les capteurs solaires puissent être rechargés. Par ailleurs, aucune route ne conduit jusqu’à Lunana. L’équipe a mis huit jours pour y monter, avec une soixantaine de mules et d’ânes pour transporter les capteurs solaires, les batteries et la nourriture - riz et légumes secs à longue conservation -. Ce film minuscule a été invité dans plus de 80 festivals à travers le monde, où il a remporté une vingtaine de prix avant d’être sélectionné aux Oscars 2021. Quelle trajectoire pour un 1er long-métrage venu du bout du monde. On dit volontiers que ce tout petit état enclavé entre l’Inde et la Chine est le pays le plus heureux du monde. On n’est pas loin de le croire quand on voit ces bouthanais perdus à 5 000 mètres d’altitude, au sourire permanent, qui vivent nulle part et chez qui tout se termine par des chansons. Un bain de joie de vivre que je vous conseille de voir de toute urgence.
    Citer les noms figurant au casting du film relève totalement de l’anecdote. Il faut dire que les Sherab Dorji, Ugyen Norbu Lhendup, Kelden Lhamo Gurung, Pem Zam et compagnie jouent très mal et se contentent de débiter platement des dialogues dans le genre pauvret. Mais qu’importe, on oublie très vite pour se mettre dans les pas de ce peuple pas comme les autres. L'intrigue du film est un classique récurrent, mais son contexte unique, majestueux, sublime en fait un des plus beaux moments vus au cinéma ces derniers mois. Un film initiatique où l’on apprend l’humilité et où l’on tutoie la beauté du monde. Incontournable.
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