Avis : Downton Abbey II : Une nouvelle ère - Page 2

Vraiment bien ! De l'humour ! Des costumes superbes ! Une intrigue prenante !
Je vous le conseille ! J'y suis allé avec un ami qui n'avait jamais vu la série et il a adoré !
On alterne entre doutes, rires, compassion, douceurs, manigances...
C'est léger
Sans violence, sans sexe, sans agressivité : j'adore ce film !!!!!

Le premier opus était loin d'être parfait mais avait certaines qualités. Ce film est plus facile à critiquer, le directeur de la photographie a fait un très bon travail, tout le reste est mauvais. C'est juste un supplice à éviter que de regarder ça.

1928. Dans le petit monde de "Downton Abbey", c'est quelques mois après la "royal visit". La vie a repris son cours ordinaire. Le "carnet mondain", quand le film commence, c'est un "carnet blanc" (annoncé à la fin du volet précédent) : Tom Branson, le veuf de la benjamine du comte de Grantham, se remarie avec Lucy Smith (voir le premier "long", sorti en 2019, au sujet de la filiation romanesque de celle-ci). spoiler: Et il s'achèvera sur un "carnet rose" : les Branson viennent d'avoir un enfant.

Comment, devant tant (d'heureuse) banalité, justifier le sous-titre de ce nouvel épisode du célèbre "period drama", savoir : "a new Era" ?... Le cinéma commence à "parler" ("Le Chanteur de jazz" est sorti fin octobre 1927), et quand les Crawley, dûment motivés par la toiture du château à refaire, acceptent de louer ce dernier, on assistera à un passage de relais obligé entre films muets, désormais boudés par le grand public, et films "sonores" - avec scénarisation à anecdotes pittoresques (l'excellent Julian Fellowes toujours à la manoeuvre), "upstairs" et "downstairs" entremêlés plus que jamais, mais aussi symbolique forte, celle de la "nouvelle Ère", justement ! Le spectateur découvrant, en parallèle, l'affaire dramaturgique intime du moment : quelles étaient, au juste, les relations de Lady Violet (Maggie Smith) avec l'aristocrate français "M. de Montmirail" (sic), sous le Second Empire, pouvant expliquer le legs de celui-ci à celle-là (une somptueuse villa près de Toulon, rien à voir avec un quelconque "Mon-Repos"... la "Villa des Colombes"). Sachant que la comtesse douairière, spoiler: sentant sa fin prochaine
, lègue elle-même le bien à la fille de Tom et Sybil, jusque-là la moins avantagée de ses descendants directs ? Une autre façon d'aborder, évidemment, la proclamée "nouvelle Ère" !
Toujours aussi délicieux... Là, mis en scène par le Britannique Simon Curtis (à la ville, et depuis 30 ans, époux de Elizabeth McGovern, à la scène, elle, Cora Crawley, comtesse de Grantham, née américaine comme l'actrice !), aussi chevronné et à l'aise que l'Américain Michael Engler du premier film "Downton Abbey". Interprètes toujours parfaits ("petits nouveaux" compris, comme le "réalisateur" Hugh Dancy - seule notre "frenchie", Nathalie Baye, ratant le coche en veuve Montmirail, inutilement empesée).

1928 à Downton Abbey. La douairière Lady Violet vieillit. Ses descendants apprennent avec étonnement que le marquis de Montmirail lui a légué par testament une luxueuse villa dans le sud de la France. Ils décident de s’y rendre pour éclaircir le mystérieux passé de leur aïeule.
Pendant ce temps, à Downton, un film se tourne avec des vedettes de cinéma toutes plus étonnantes les unes que les autres.

J’ai déjà dit le plaisir addictif que j’avais pris à regarder les sept saisons et les cinquante-deux épisodes de l’une des séries les plus célèbres au monde.
Je découvre avec étonnement en la relisant ma critique bien sévère du premier film qui en avait été tiré, sorti fin 2019. Le problème est que le second (ou le deuxième ?), sorti le mois dernier lui ressemble énormément.
Deux options s’offrent à moi : répéter les mêmes reproches au risque du bégaiement ou me montrer plus élogieux au risque de l’incohérence.

Au risque de l’incohérence, c’est cette seconde voie que je choisirai.
Je crains hélas que l’opinion qu’on se fait d’un film soit très fluctuante : elle dépend de notre humeur quand on le voit et du moment dont on en parle ensuite. N’y a-t-il pas des comédies que vous n’avez pas trouvées drôles, bien qu’elles le fussent, parce que vous les avez vues de mauvaise humeur ? Des films dont vous dites le plus grand bien aujourd’hui alors que vous vous y étiez copieusement ennuyé, mais dont les qualités, passées au tamis du temps, ont fini par vous toucher ? Bref, l’opinion qu’on se fait d’un film est terriblement subjective et fluctuante.

De ce "Dowton Abbey II" – qui ressemble furieusement au "Downton Abbey I" – je pense le plus grand bien – alors que j’ai dit du mal du I. Pourquoi ?
C’est difficile à dire. Peut-être parce que cela faisait plus de deux ans que je n’avais plus été plongé dans la si délicieuse compagnie des Crawley. La série était trop proche du premier film, alors qu’elle est suffisamment éloignée du second.

J’ai retrouvé ces personnages qui, après tant d’heures à partager leurs vies, font un peu partie de ma famille : Lord Crawley, sa femme Cora, leurs filles Mary et Edith (Sybil, la si jolie benjamine, me manque terriblement) ainsi que leurs gendres et, bien sûr, la nombreuse domesticité, Carson, Barrow, Bates et son épouse Anna si aimante, Molesley…

"Dowton Abbey II" m’a fait pensé au jeu Tetris auquel nous avons tous joué : il s’agit d’enchasser en les faisant pivoter des formes géométriques tombées du ciel. Dans "Downton Abbey", plusieurs fils narratifs sont tirés qui finissent par s’imbriquer les uns aux autres dans une parfaite harmonie. Dans "Downton Abbey" aussi, chacun est à sa place, chaque place à son chacun. La société a beau connaître une scandaleuse division entre maîtres et serviteurs (à quelques rares exceptions près, tel Tom Branson, le chauffeur irlandais devenu l’époux de Sybil). Cet apartheid ferait frémir les marxistes les plus dogmatiques. J’avoue, toute honte bue, qu’il n’a pas terni le plaisir que j’ai pris à ces histoires.

Ce film respecte l' atmosphère de la série culte, la reconstitution est toujours respecter et tous le casting est là, ils ont tous prit un coup de vieux d'ailleurs. La réalisation est la même aussi dans les plans et les décors, et la musique aussi, bien enivrante parfois envahissante. En faite j'ai l'impression que je regarde un épisode de plus sur mon écran plat. Mais l'interprétation pour certain reste assez terne voir parfois trop forcée tandis que d'autre reste et devient même meilleur qu'avant. Toujours aussi charger en humour et en émotion les fans ne seront pas déçu, que ce film s'adresse directement malheureusement pour les néophyte ce sera plus compliqué. En guest star nous avons Natalie Baye, qui l'ont bien fait vieillir, bien que nous la voyons quelques minutes et c'est fortement, dommage ! Dominic west fait aussi son apparition dans cet épisode. Épisode qui voit un de ses personnages, voir la plus importante arriver malheur. Je pense qu'il envisagerait à mon avis une suite, éventuel. Une comédie dramatique de bonne classe !

On prend les mêmes et on continue. Les décors sont splendides mais le scénario bien mou voire inconsistant et on finit par se lasser des séquences de tournage du film muet qui sont là pour combler le vide de l'intrigue. On peut même somnoler. Pour les inconditionnels de la série.

Soporifique. 2 heures sur la bourgeoisie anglaise du siècle dernier. Très lent , il ne se passe quasiment rien.

Bof !!! Rien a voir avec la série éponymes, beaucoup plus intriguant et captivante, ce deuxième opus porté au cinéma est d'une platitude aussi agréable a regarder (J'ai dit a regarder....pas a suivre) qu'une feuille de papier a cigarette . Pas (Ou si peu) d'histoire (Miss Violet (Formidable Maggie SMITH ....la seule a tirer sin épingle du jeu) hérite d'une villa entre Toulon et Juan les pins et la demeure des Crawley sera sauvée de l'inondation dues a des fuites sur le toit grâce a l'apport inopinée de l'argent reçu en échange d'un tournage de film dans le château de Highclere) ...avec ca on en a pour 2 heures a éviter de roupiller . Aucun des acteurs ne semble y croire (Même Nathalie Baye qui se demande ce qu'elle fait là) et on en ressort avec mal a la mâchoire tellement on a baillé...a mourir d'ennui.

Un pur régal. Tellement contente de les retrouver toutes et tous malgré quelques clichés vite dépassés ! Décors et costumes sublimes bien sûr.

Encore une fois, comme pour le premier film, je n’ai pas regardé la série excepté le premier épisode. Donc je ne peux pas juger la cohérence dans l’univers de la série “Downton Abbey” mais le film en tant que telle. Et dans son ensemble, je trouve que ce film est mauvais et moins bon que le précédent.

Tout d’abord, la réalisation est beaucoup moins ambitieuse que celle du premier film. Là, elle ne prend aucun risque et n’a rien d'exceptionnel ; la mise en scène est presque fade et ennuyante et n’a aucun moment de subtilité. En fait, elle ralenti le rythme, ce qui rend le film interminable ; j’ai trouvé ce film extrêmement long. Heureusement que la musique qui ponctue le film revenait régulièrement à mettre du baume au cœur, car elle est vraiment chouette.

Pour l’histoire, c’est le même problème que le premier film : le récit n’a pas grand intérêt et le tout manque cruellement de péripétie. Le film n’a aucun intérêt, j’ai l’impression que tout va bien dans la vie des protagonistes, et qu'on suit des gens qui se portent bien. Les protagonistes sont de moins en moins attachants. La dernière demie heure est tout aussi interminable que le film ; il serait possible de s’endormir pendant le film tant l’histoire est chiante.

Bref, là je ne recommande absolument pas ce film (si vous connaissez ou non la série d’origine), tant pour sa mise en scène sans âme que pour son histoire inintéressante.

Se déguste comme un délicieux bonbon anglais. Ah cet humour dit anglais ! quelle finesse ! quel charme ! A voir bien entendu en V.O. absolument !

Quelle catastrophe ! Tout ce qui faisait le charme de la série a disparu. Si on aime Downton abbey, c'est parce qu'est un bonbon acidulé : très joli à regarder, mais pas si éloigné que ça de la vraie vie, avec son alternance de bonheurs et de malheurs ( parfois gros, les malheurs). Dans la version film, après un premier épisode supportable, sans génie mais proche génétiquement de la série, on plonge dans un océan insensé de sucre concentré : tout - ou presque- se passe bien ! Tout le monde se marie, tout le monde s'aime, tout le monde est adorable, mis à part Nathalie Baye dans le seul rôle négatif du film. Lady Violet proche de la mort ne dit plus aucune vacherie, Lady Mary se tient bien, et aucun personnage n'a la moindre activité sexuelle. Même Barrow devient gentil spoiler: ( et ne couche pas avec l'acteur qui le drague, ce qui est insensé).
. Bref on en sort un peu barbouillé ( et c'est trop long en prime).

On retrouve avec plaisir l'univers et les personnages de la série, les magnifiques décors et les costumes. Un film délicieux, élégant et plein d'humour. Une nouvelle intrigue prenante, un beau moment de cinéma.

Une digne suite de la série ....avec des acteurs qui ont vieilli....pas mal vieilli.....
L'intrigue est faible..mais on regarde par plaisir tout de même évoluer les membres de cette famille anglaise , hors du temps , ayant des problématiques de riches à régler....
C'est léger et les non fans de la série n'y trouverons aucun intérêt .

L'intrigue avec le tournage d'un film à Downton Abbey donne quelques scènes amusantes, par contre l'intrigue familiale avec un passage dans le sud de la France est soporifique. Plaisir de voir un casting raffiné, Dominic West est formidable comme d'habitude.