Avis : Austin Powers dans Goldmember - Page 3

Il y a 2 catégories de comédies parodiques : celles qui assemblent des gags à la suite de manière analogue à une pâte pleine de grumeaux (Hot Shots!, Scary Movie, Pamela Rose...) et celles qui ont malaxé cette pâte avec suffisamment de travail et de créativité pour en faire une nouvelle gourmandise.
Austin Powers appartient à la seconde catégorie.

Ce 3e opus est de TRES loin le meilleur : dès le générique (spoilers interdits!), on en reste bouche bée en se demandant comment le niveau va rester aussi élevé pendant 1h30[A]. Tout n'est pas parfait mais l'avalanche de surprise mérite cette note (Beyoncé est une révélation, pour un premier rôle au ciné c'est pas mal du tout!).
On en est resté là pendant plus de 10 ans (il vaut mieux finir au top!)...pourvu que tout cela fonctionne encore en 2014...

"Groovy baby, yeah!"

[A] spoiler: En dehors des différents caméos on a même des jeux de mots propres à chaque langue (l'anglais britannique, les subtilités d'accent du japonais : inimaginable dans un film en apparence vulgaire...on voit bien le travail pour monter ce projet; dommage que les allusions au français soient imprécises)

Cet humour n'à pas fait mouche sur ma personne. C'est lourdingue et j'ai trouvé celà assez nul tout simplement. Les 5 premières minutes avec les caméos de toutes ces stars à été le meilleur et seul bon moment.

Ce troisième opus est toujours aussi drôle, Mike Myers n'a pas perdu son humour, ca fait toujours plaisir derevoir Caine en père d'Austin et puis Myers qui joue il me semble 4 rôles, ce qui est pas mal, faut l'avouer.

Je n'ai pas vu les 2 premiers austin powers, mais suite à la vision de celui la je crains le pire. Goldmember ne possède pas de construction scénaristique, il se contente seulement de balancer un gag par plan, rendant le film lourd ou l'on ne rit que rarement et ou Mike Myers qui interprète plusieurs personnages en rajoute dans la lourdeur de l'humour par son énergie.
à noter l'excellente scène d'ouverture avec le caméo de différentes vedettes hollywoodiennes, notament le grand Steven Spielberg.

Quelques bons gags assez fun et drôle, mais ça reste beaucoup trop débile et trop lourd, dommage, le moins bon Austin Power de la trilogie ...

Un troisième volet, toujours aussi drôle... le début d'une grande série sans fin à la James Bond ?

Toute la personnalité du film peut se résumer entre un duel-dancing opposant Austin et... Britney Spears. A partir de là, on subodore le pire. Mais ça ne dure pas longtemps puisque effectivement, on se rend compte bien vite qu'à notre grand désarroi, nos spéculations étaient fondées : un coktail explosif qui ne prend pas ; un met incroyablement riche en garniture pour un plat difficilement comestible. Au delà de la réalisation, la simple esthétique de base nous ronge déjà la rétine. Le scénario est... quasiment invisible tant l'humour gras et lourd comme un burger texan semble s'imposer partout ou il le peut. Au moins, la plupart des acteurs semblent s'éclater...

Et voilà...
Apres un premier film genialissime, un second raté et bien naze, voici le troisieme volet des aventures d'Austin Powers: une daube sans nom, sans talents, sans humours si ce n'est celui d'un Benoit XVI après trois camomilles.
Quand à Beyonce, elle joue à peu pres aussi bien qu'un bidet Jacob & Delafon...

Excellent film qui cloture a merveille cette triologie comme toujours si on a aimer les 2 premiers celui-ci sera de meme.
On rigole beaucoup du début a la fin.

Yeah baby ^^

Une des comédies préférées. Des gags excellents, un casting merveilleux et un scénario bien foutu. A voir à tout prix.

Nul ! Nullissime ! Une immense mascarade ! Un gros navet ! Du grand n’importe quoi. L’histoire n’est pas très intéressante et l’acteur principal du film fatigue rapidement.

Le début était super mais après on reprend au 2eme degrès ou il y a pas de scénario, il y a des moments qui commmences à peine et sépuises vite fait. Bref, que des gages et le reste c'est du nanar, du raté.

le moins intéressant des épisodes, l'inspiration s'est émoussée visiblement...

Troisième volet des péripéties de l'agent britannique excentrique, Austin Powers Dans Goldmember, à nouveau réalisé par Jay Roach, est une suite qualitativement dans la lignée de ses deux ainés. L'histoire nous fait suivre une fois de plus Austin Powers et le Docteur Denfer qui s'affrontent. Seulement, au milieu de ce duel, un troisième larron vient se greffer, Goldmember, un nouvel ennemi ayant enlevé le père d'Austin. Ensemble, les deux antagonistes projettent de noyer le monde dans les profondeurs des océans à l'aide d'une arme surpuissante. Dès lors, notre héros se retrouve confronté à une double mission qu'il va mener avec une partenaire. Ce scénario nous offre une intrigue totalement déjantée pendant une heure et demie. Le ton est donné dès la scène d'ouverture tout simplement hilarante, et va se poursuivre pendant toute sa durée. Si la formule n'évolue pas, on suit avec un immense plaisir les déconvenues de Powers. Le rythme est frénétique et les scènes plus grotesques et idiotes s'enchaînent avec énergie. Chaque séquence est marquante tant elles regorgent de créativité, de politiquement incorrect et d'irrévérence. L'humour sans finesse, toujours énormément porté sur l'appareil reproducteur, est pourtant d'une grande richesse et décroche de nombreux rires tout du long, notamment grâce à la galerie de personnages hauts en couleur interprétés par une distribution surprenante. Mike Myers incarne cette fois-ci quatre rôles et fait équipe avec Béyoncé Knowles. Ils sont entourés par des habitués et des petits nouveaux comme Robert Wagner, Michael Caine, Michael York, Fred Savage, Seth Green, ou encore Verne Troyer. En plus de tous ces rôles farfelus, de nombreux grand noms prestigieux jouent le jeu en faisant un caméo comme Tom Cruise, Danny DeVito, Gwyneth Paltrow, Kevin Spacey, John Travolta, Steven Spielberg, Quincy Jones, Britney Spears et Ozzy Osbourne. Tous ces individus entretiennent des échanges franchement marrants, soutenus par des dialogues inspirés et savoureux. Sur la forme, la réalisation de Jay Roach s'avère de bonne facture. Sa mise en scène détourne à merveille les codes du genre de l'espionnage et évolue dans des environnements variés et appréciables. Ce visuel saugrenu est accompagné par une b.o. aux compositions dans le ton de l'aventure. Cette mission sauvetage s'achève sur une fin satisfaisante, venant mettre un terme à Austin Powers Dans Goldmember, qui, en conclusion, est une très bonne comédie, divertissante à souhait, méritant amplement d'être visionnée et placée au même niveau que ses prédécesseurs.

Après une scène d’ouverture anthologique et un générique ultra-référencé, fourmillant tous deux de remarquables caméos de guest-stars tel que Tom Cruise, Steven Spielberg ou Britney Spears, la troisième et dernière aventure de l’agent Austin Powers multiplie les redites des éléments comiques et scénaristiques des précédents opus. La plupart des gags visuels et des jeux de mots sont en effet un recyclage plus ou moins bien travaillé de ceux déjà utilisés précédemment mais l’humour de répétition commence à s’essouffler. Il en est de même que le surjeu outrancier de Mike Myers qui n’incarne plus deux ni trois mais à présent bien quatre personnages grâce à l’introduction d’un nouveau méchant assez peu amusant. La présence de Beyoncé en guise de nouvelle Powers girl ne fait qu'apporter au film son quotat de charme et celle de Michael Caine (qui, dans la peau du père héros, parodie son propre d’Harry Palmer), et à travers lui le conflit père-fils qui lui-même fait écho au troisième opus d'Indiana Jones, est trop peu exploitée. De la même façon que les flash-backs nous faisant découvrir la genèse des personnages sont utilisés de façon inappropriés, le court passage dans les années 70 aurait mérité d'être davantage développé Ce ne sont finalement que les quelques scènes musicales qui apportent leur lot de surprises et de divertissement mais il ne fait nul doute que Jay Roach et Mike Myers ont manqué d’inspiration pour pouvoir clore leur trilogie niquédélique.