Derniers Avis : Mémoires d'une geisha - Page 2

très beau film cela m'a permis de connaître un peu plus sur les geishas et leurs vies. Un film touchant mais long !! Et ce qui m'a fortement déplu c'est la romance entre une petite fille de 10 ans et un homme âgé de 30 ans presque qui est complètement normalisé ...
J'étais vraiment écœurée de voir ça il n'y a rien de romantique et sain.

Très bonne romance dramatique dans le Japon des années 30... Acteurs, décors, photographie, mise en scène au top... Peut être un peu long pour ce que ça raconte... La fin est assez téléphonée... Aucune surprise... Une histoire d amour qui finit bien... Bref à part ça c'est un très beau film...

Je suis très divisé concernant Mémoires d'une Geisha. D'un côté, le film relate l'histoire de ces femmes appelées geisha que je ne connaissais pas du tout et c'est passionnant de suivre cela, d'autant plus que le film, même si il est américain, représente parfaitement le Japon, sa culture et son esthétique. Cependant, Mémoires d'une Geisha se perd dans un torrent de dialogues interminables et dure 2h25 ! Autant dire que ça m'a paru vraiment long et même si le film est loin d'être mauvais, je me suis franchement ennuyé devant assez souvent.

Réalisé par Rob Marshall, Mémoires d'une geisha est loin d'être un mauvais film, bien au contraire, mais je n'ai pas eu le coup de cœur espéré en le voyant.
Une chose est sûr, le film est magnifique. Le réalisateur arrive parfaitement à nous immerger dans le Japon du début du XXème siècle grâce à des décors saisissants, des paysages somptueux et une bo enivrante signée John William. Le travail sur les costumes est impressionnant et donne au film une énorme dose de réalisme. La manière qu'a le film à montrer l'évolution du contexte historique est très astucieuse.Côté casting il y a aussi du niveau, en particulier chez Gong Li, que j'ai trouvé électrisante et sensationnelle dans son rôle de rivale acharnée, ainsi que Ken Watanabe, qui est ici très touchant.
Le scénario est assez basique, malgré quelques rebondissements, et l'histoire ne m'a jamais vraiment pris aux tripes, et c'est dommage. J'ai trouvé que la romance, élément central du film quand même, durait trop longtemps, ce qui a rapidement fini par m'ennuyer...

L'esthétique et le décor du film sont magnifique par contre l'idée de créer une romance avec une gamine de neuf ans et un homme beaucoup plus âgé m'a vraiment dégoûté, On ne peut pas normaliser ce qui n'est pas éthique !

On ne nous laisse pas respirer..
Enfants pauvres vendus par leurs parents , malmenés, bousculés.
Cosette au Japon juste avant la guerre
39/45. Puis un sauveur...et tout s'enchaine: les gentils les méchants
Les brimades les mauvais coups.
Puis la guerre, l'exode ..Le travail forcé....
Autre sauveur et tout s'enchaîne
On va vers un fin heureuse , non sans écouter les derniers souvenirs philosophiques d'une geisha.
Ce qui sauve ce film: les décors et les costumes et côté fleur bleu .

Dans charisme , sans poigne, sans nervosité , sans tripes ni d’élégance .
Acteur nul en anglais , ambiance plus campagnarde que de soie .
Très dommage

incroyable film. plein japon d'il y a au moins 200 ans, le film raconte parfaitement le mode de vie d'époque ainci que ces nombreuses tradition. ont suit alors une petite fille voué a devennir une geisha (sorte de jolie fille japonnaise servante). le film devient alors rapidement un doccumentaire grandeur nature avec des acteur et actrices de tallent, des tennues et coiffures d'époque magnifique, les maisons d'époque. une incroyable histoire prennante.

Un film américano japonais avec des acteur asiatique de pleins de nationalité différente, Sur le monde très secret , fermer et japonais des geisha , avec un casting de folie , Zhang Ziyi , Michelle Yeoh , Gong li notamment pour ce donner la réplique ou ce creper le chignon . Un film qui nous permet d'en apprendre d'avantage sur les geisha, et leur univers. Des costume , une ambiance, des décors on s'y croirait vraiment
très réaliste, u film passionnant , intéressant dont les 2h20 de film passe assez rapidement, contrairement à d'autre du même genre et de même durée qui sont souvent à court de rythme ici ce dernier ne manque pas du tout nous éprouvons du plaisir à regarder ce film . Bien écrit et réaliser le tout chapeautée par Steven Spielberg.

résumer :
Quelques années avant la Seconde Guerre mondiale, Chiyo, une petite fille japonaise, est arrachée à sa famille pauvre pour aller travailler comme servante dans une maison de geishas.
En grandissant, elle se plie avec docilité à l'initiation difficile qui fera d'elle une vraie geisha. Elle triomphe des pièges que lui tend sa rivale, la fourbe Hatsumomo et devient, après des années de travail, la légendaire geisha Sayuri.
Très belle, épanouie dans son art, Sayuri fascine les hommes les plus puissants. Mais celle qui n'a plus le droit d'aimer reste hantée par l'amour qu'elle porte, en secret, au seul homme qu'elle ne peut atteindre...

Un très gros coup de cœur pour ce film.
Esthétique, musique, acteurs tout est parfait.
Une véritable plongée dans l'ancienne monde japonais et ses geishas.

Du très grand cinéma ! Rob Marshall produit par steven Spielberg dans une production hollywoodienne réalise une fresque sublime avec cette belle histoire d'une jeune japonaise vendue à une maison de geishas dans le Japon des années 30. On la suit tout au long de sa vie avec des images d'une Beauté incroyable, d'un esthétisme très soigné. Les costumes et les décors sont à couper le souffle aussi. Ziyi Zhang, Michelle Yeoh, Gong Li sont tout simplement sublimes et émouvantes. Quant à la bande son, c'est au même niveau :un enchantement avec les violons de Yo-Yo Ma. Et Itzhak Perlman. À voir et meme revoir sans hésiter.

On prend un livre grand public plein de mensonges et de fantaisie ce qui est bien après tout c'est de la fiction on le change pour le pire et on le jette a un groupe d'actrices chinoises et on les met dans un kimono et c'est vendu au public occidental comme japonais. Voilà des millions de personnes ont maintenant le sentiment de connaître la culture japonaise et de l'admirer. Les chinois prétendent qu'ils sont japonais. La scène où l'enfant pleure est bondée d'une demi-douzaine d'acteurs et d'actrices chinois. À bien y penser ce n'est pas différent de tous les restaurants de sushi chinois...

Malheureusement très en dessous du beau roman plus ou moins bien documenté d'Arthur Golden, ce film américain est destiné à un public d'américains (très) moyens. Caricatural et parfois grotesque il a tout de même le mérite d'évoquer le monde des geisha (geiko) de Kyoto. On regrettera bien sûr le choix calamiteux d'artistes chinoises pour jouer le rôle des geisha... Japonophiles distingués passez votre chemin!

La magnificence du spectacle visuel repose sur le jeu d'actrices absolument extraordinaires, et des images très belles de Rob Marshall. Pour ce qui est de l'utilisation du contexte historique (l'avant, puis l'après guerre), et socio-culturel (la précarité, le manque de couverture sociale de la majorité de la population nipponne, etc...) présente semble t'il dans le roman, elle est superficiellement rendue par Marshall dans son film.

Cette adaptation tant attendue en son temps est une véritable déception, même à la deuxième vision. Tout est trop parfait: parfaitement chorégraphié, parfaitement dramatisé, parfaitement cruel, parfaitement reconstitué, parfaitement dans l'émotion.
Et puis bonjour le folklore asiatique. Un Disneyland de l'Asie pour les Nuls avec tous les stéréotypes baignés dans une ambiance entre pétales de cerisiers et sombre gargote éclairée à la lanterne. Trop c'est trop.
Une vision too much du Hollywood qui aime aseptiser et cultiver les images d'Epinal. Quand au scénario, il y a tous les rebondissements d'une saison entière des "Feux de l'amour" réunis sur 2h20. Pauvre casting, qui heureusement lui est parfait pour de bonnes raisons.