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    The Whale
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    432 critiques spectateurs

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    Penny
    Penny

    4 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mars 2023
    Wow, je ne sais pas quoi dire sur ce film tellement qu'il m'a laissé tremblant à la fin de la séance.
    Ce film est une merveille, remplis d'émotions, un drame familiale prenant. Franchement, tout est parfait dans ce film.

    Le retour de Brendan Fraser fait ultra plaisir, je ne l'ai pas vu depuis la Momie.
    Je ne suis pas sur que j'aurai la force de revoir ce film à nouveau tellement que son message est lourd d'émotions.

    Il ne plaira surement pas à tout le monde, mais c'est un vrai film de cinéma.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    593 abonnés 2 773 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 février 2023
    Dès les premières secondes, The Whale nous confronte à ce qui n’aura de cesse d’être caractérisé de « dégoûtant » par les personnages : Charlie est surpris en pleine masturbation devant une vidéo pornographique à caractère homosexuel. Le scandale naît moins de la pratique à laquelle il se livre que de la monstruosité apparente du corps qui s’y adonne frénétiquement, monstruosité qui glisse aussitôt de l’homme vers le long métrage qui le représente. Une telle ouverture, nullement gratuite, permet au contraire à Darren Aronofsky de conjurer tout voyeurisme et toute complaisance ; son geste consiste à incarner la souffrance de son protagoniste principal en refusant l’hypocrisie de la suggestion : il n’est pas comme ce livreur de pizzas qui, livraison après livraison, cherche à tisser un semblant de lien social avec un homme qu’il ne voit pas, jusqu’au jour où, confronté à lui, il disparaît. Ainsi, le cinéaste interroge l’image et le sens à lui donner dans un monde aseptisé et puritain, comme il l’a toujours fait : son long métrage n’est pas l’écran noir central parmi des dizaines de vignettes d’étudiants connectés, il allume la webcam.

    Le corps de Charlie est parcouru, scruté, dissocié de l’esprit qui, lui, gambade librement et transmet la littérature à des élèves réunis en visioconférence : les mains potelés, les pieds gonflés en comparaison de ceux qui marchaient sur la plage – le temps d’un flashback d’une poignée de secondes, loin des minutes navrantes de The Son (Florian Zeller, 2023) –, le dos qu’il faut laver à l’aide d’une brosse, les cheveux dispersés… Il est un corps cloué au sol que les habits n’habillent pas : trempés de sueur, ils sont déformés, enlevés à terme par leur propriétaire. Il apparaît tel un avatar de Job, figure biblique tirée de l’Ancien Testament, que nous pouvons ici citer : « Alors Job se leva, il déchira son manteau et se rasa la tête, il se jeta à terre et se prosterna. Puis il dit : "Nu je suis sorti du ventre de ma mère, nu j’y retournerai"». L’ultime plan partira d’ailleurs des pieds nus en lévitation pour remonter et dépasser le crâne dégarni. Darren Aronofsky réécrit donc, une fois de plus, le livre de Job, personnage qui, mis à l’épreuve par Satan, accède à terme à la reconnaissance de la grandeur divine et retrouve une unité familiale, comme Charlie. Tous deux commencent par essuyer les critiques de leur entourage : la controverse naît avec l’infirmière à domicile et belle-sœur interdite (non-officielle) ; elle est amplifiée par sa propre fille qui pénètre chez lui pour lui hurler des méchancetés ; elle atteint son paroxysme avec l’épouse qui le raccorde au passé et à sa culpabilité. Ces trois femmes, dans le long métrage, brossent le portrait d’un Dieu vengeur qui punit le mode de vie pécheur d’un homme ayant délaissé sa famille pour reconstruire son existence avec l’un de ses étudiants. Pourtant, une quatrième voix se fait entendre et dissone : celle du jeune missionnaire porteur de la parole du vrai Dieu ; celui-ci est un double d’Élihou. Aronofsky le rattache initialement à une congrégation pour mieux, à terme, l’en affranchir : Thomas n’appartient à aucune institution humaine, n’appartient qu’à Dieu, est son envoyé paradoxal en ce qu’il se dévoile par les altercations avec Ellie et par la drogue. Dieu est puissant, et juste en même temps, prompt à avertir et pardonner ; il s’adresse à Job et à Charlie par l’intermédiaire d’une tempête qui finit par se lever. Preuve à l’appui, la clausule organise la restauration de sa bonne fortune, non comme dans le mythe biblique mais sous la forme d’un don intégral à sa fille, qu’il présente comme sa « merveille », comme sa seule réussite terrestre.

    Cet écart vis-à-vis du texte s’avère digne d’intérêt parce qu’il porte le don de soi suprême, de la même façon que Tomas – le même prénom ! – traversait les siècles sous la forme d’un conquistador, d’un scientifique ou d’un sage pour sauver la femme qu’il aime (The Fountain, 2006). Le cinéma de Darren Aronofsky consacre chacun de ses films à un membre spécifique de la famille, dont il questionne le rôle et les valeurs : Nina est « fille » (Black Swan, 2010), Noé est « père » (Noah, 2014), le personnage de Jennifer Lawrence dépourvu de nom est « mère » (Mother !, 2017), Harry est « fils » (Requiem for a Dream, 2000), Tomas est « époux ». Toutes ces figures sont éprouvées, et leur mise en l’épreuve découle de leur place dans la famille. The Whale est, sur ce point, plus complexe parce qu’il présente Charlie comme un amant et comme un père, deux rôles pour lesquels il se juge mauvais et demande pardon ; on le raccorde également à sa position de fils de Dieu.

    The Whale est donc une œuvre-somme sur le masculin, qu’il transcende par un corps dévirilisé, réduit à une vaste et insondable substance molle, jusqu’au sublime quand il se redresse et s’envole. Ce travail sur le genre est étroitement lié à la réécriture du roman Moby-Dick à laquelle s’adonnent et le présent long métrage et la pièce de théâtre de même nom qu’il adapte. La retraduction récente du roman de Herman Melville en français par Philippe Jaworski rétablit les ambiguïtés de caractérisation genrée de la baleine : comment rendre compte du louvoiement pronominal entre « he », « she » et « it », qui sont autant de façons de désigner l’animal ? L’écrivain offrait ainsi à son récit épique une profondeur étonnante, redistribuant les cartes de la virilité entre une baleine non pas sans genre mais, au contraire, les alliant tous et un héros homosexuel. Le personnage de Charlie va plus loin encore, en fusionnant ces deux êtres en un seul corps démesuré : il est à la fois Ishmael – comme lui, il est professeur et attiré par la gent masculine – et la « baleine » désignée par le titre du long métrage, qui correspond surtout au sous-titre de l’œuvre melvillienne (Moby-Dick or The Whale), par ses deux cent soixante-douze kilos. Sans oublier que le professeur enseigne la littérature et disserte explicitement sur Moby-Dick. Sans oublier que l’une des désignations du cétacé dans le livre est « sperm whale » (« cachalot » en français), en raison de sa couleur blanche ; or, le film s’ouvre sur l’éjaculation de Charlie. Le corps de ce dernier subit alors non pas une animalisation mais un processus d’atrophie genré par hypertrophie physique : il se raccorde à l’indistinction androgyne postulée par Platon et appliquée par Melville dans la mesure où il est « incapable de trouver son « pénis », suivant les aboiements lancés par Ellie.

    Nul hasard, par conséquent, si The Whale est sans cesse ramené vers l’Origine : les vagues de la mémoire brassent le souvenir d’un paradis familial perdu, l’écrit d’enfance de l’adolescente remplace la dissertation, l’écriture honnête vient stopper la rédaction de devoirs académiques artificiels. Le cinéaste procède à une relecture de l’Ancien Testament, qu’il réactualise pour en montrer l’actualité, l’université et la beauté seule à même de transcender l’homme. Il croit en l’idée que le Mal ouvre sur le Bien, que la souffrance est nécessaire pour accéder au bonheur, et que le seul espace accessible à l’être humain est sa famille. Le cygne blanc n’accède à l’immortalité qu’en se corrompant, qu’en acceptant la noirceur du monde. En adoptant la forme du huis clos contre celle du récit initiatique épique, Samuel D. Hunter (dramaturge) et Darren Aronofsky offrent à Moby-Dick son adaptation la plus ingénieuse : ils déplacent simplement l’angle par lequel lire le roman, optent pour le drame intimiste qu’ils perçoivent en cellule dans laquelle se déchaînent les forces terrestres et célestes.

    Concluons en citant les propos de Marie Blaise, enseignant-chercheur à l’université de Montpellier : « […] les figures bibliques, dans Moby Dick, ne sont pas des survivances d’un passé désormais perdu, et qu’il faut oublier, mais servent à établir un nouveau rapport à l’autorité et que, si elles le font, ce n’est pas dans la compensation d’une perte, fût-elle celle de la garantie suprême, mais dans la reconnaissance que cette perte a toujours déjà été là, à la base du contrat littéraire dont la Bible est, elle-même, historiquement, un élément capital » (article intitulé « Moby Dick ou la baleine de Job »). Un chef-d’œuvre incarné par un Brendan Fraser au sommet, une date nécessaire dans l’Histoire du cinéma.
    Yves G.
    Yves G.

    1 309 abonnés 3 310 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 mars 2023
    Charlie (Brendan Fraser) a perdu le contrôle. Après la mort de son compagnon, il s'est laissé aller à une boulimie maladive et a pris du poids jusqu'à devenir un énorme corps malade de 260kg, quasiment impotent, menacé de céder d'un instant à l'autre à un infarctus fatal.
    Charlie enseigne à distance l'anglais à des adolescents auxquels il essaie de transmettre son goût de la littérature et qu'il exhorte sans succès à faire preuve de plus d'authenticité dans leurs rédactions.
    Liz, une infirmière bienveillante, est son seul lien physique avec le monde extérieur.
    Sentant sa fin prochaine, Charlie veut renouer avec sa fille, Ellie, une adolescente rebelle, que son ex-femme l'a empêché de voir depuis que Charlie a reconnu son homosexualité et a divorcé.

    "The Whale" est un film-choc qui m'a inspiré des réactions contradictoires. J'ai longtemps hésité sur la "note" que je lui mettrai - puisque la règle, même si elle m'exaspère, veut que je mette une "note" à chacun des films que je critique sur ce blog. J'aurais dû faire la moyenne des sentiments paroxystiques que ce film a suscités chez moi et logiquement lui attribuer un 10/20 médian. Mais deux étoiles aurait été un jugement bien fade sur un film qui ne l'est pas.

    "The Whale" vaut d'abord pour l'interprétation hénoooooorme de Brendan Fraser, une de ces figures christiques que Hollywood adore et à laquelle elle vient d'ériger un autel en lui décernant l'Oscar du meilleur acteur. On ne voit rien de lui sinon d'abord un écran noir dans une visioconférence qu'il anime en prétextant une panne de caméra. Puis son corps apparaît, vautré dans un sofa. Il s'en extrait non sans mal et aidé par un déambulateur, ahanant, se dirige vers les toilettes. Image dantesque, même si son effet vient autant sinon plus des prothèses collées sur le corps de l'acteur que de son jeu.

    "The Whale" vaut ensuite pour ce portrait bouleversant - ne demandez pas où je suis allé chercher cet adjectif - d'un homme en perdition, ivre de chagrin, qui se suicide lentement à force de corps gras. Il ne faut pas avoir le cœur au bord des lèvres pour le regarder se goinfrer de pizza, de mayonnaise, de boissons sucrées... et il ne faut pas avoir de cœur du tout pour ne pas être retourné par la somme de solitude, de chagrin et de remords qui l'écrase.

    Mais "The Whale" a au moins autant de défauts que de qualités.
    C'est l'adaptation d'une pièce de théâtre qui peine à s'affranchir du théâtre filmé : un seul décor dont on ne sortira quasiment pas, quatre ou cinq personnages à peine, de longues tirades. On attendait autre chose, on attendait mieux de Darren Aronofsky dont les transgressions punk - qu'on se rappelle "Pi" ou "Requiem for a Dream" - promettaient de faire souffler un grand vent d'air frais dans le cinéma hollywoodien du début des années 2000.

    Ce huis clos nous prend au piège d'un drame suffocant.
    Le film aurait été grandiose s'il s'était réduit au face-à-face entre Charlie et son infirmière. Mais on dira encore - et on aura raison - que je fais la critique du film que j'aurais aimé voir. Hélas, le scénario a la mauvaise idée d'introduire deux autres personnages : un jeune prêcheur faisant du porte-à-porte pour rallier de nouveaux fidèles et Ellie, la fille de Charlie, insupportable adolescente qui oppose aux tentatives larmoyantes de son père pour se rapprocher d'elle des rebuffades toujours plus cruelles dont on comprend vite qu'elles cachent un manque abyssal d'amour.

    Le principal défaut de "The Whale" est l'énorme pathos dans lequel il est englué. Derrière ses montagnes de graisse, Brendan Fraser nous décoche des regards noyés de chagrin de petit chat écorché qui émouvront jusqu'aux plus endurcis.
    spoiler: La dernière scène - dont je ne suis pas certain d'avoir compris le sens - m'a laissé dans le même état d'incertitude que le reste du film : est-elle déchirante ou insupportablement pathétique ?
    Adrien J.
    Adrien J.

    45 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mars 2023
    Malgré de belles performances et un récit aussi bouleversant qu'inconfortable, Darren Aronofsky peine à offrir un long-métrage à la hauteur des espérances. Un huis clos étouffant et sadomasochiste particulièrement tire-larmes où l'air se renouvelle uniquement grâce aux personnages secondaires...
    Jerome Ardux
    Jerome Ardux

    4 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 février 2023
    Vu en avant première.
    Magnifique film.
    Profondément humain.
    Superbe interprétations.
    A voir absolument.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 novembre 2022
    Darren Aronofsky n'étant pas forcément connu pour faire les choses à moitié, c'est avec une certaine appréhension que j'ai abordé The Whale, qui nous conte les jours d'un homme obèse atteint d'une dépression profonde. Le récit, parfaitement fluide, prend la forme d'un huis-clos très théâtral et bénéficiant de dialogues soignés, et qui ne donne jamais l'impression d'être enfermé dans un espace pourtant exiguë. Y sont abordés des thèmes assez difficiles, la pathologie du héros bien entendu, mais aussi ceux du deuil et des relations familiales. Un menu copieux mais qui reste assez digeste. Impossible de ne pas mentionner la performance ahurissante de Brendan Fraser, qui devrait sans doute lui attirer les meilleurs prix d'interprétation. Reste maintenant un point de vue plus personnel, celui de se confronter à un film remarquable humainement et artistiquement, mais particulièrement éprouvant émotionnellement.
    selenie
    selenie

    5 515 abonnés 6 034 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mars 2023
    Un homme seul se morfond, pleurniche, s'apitoie et attend la fin. Le tout dans un huis clos morbide et malaisant. Voilà le film qui pourrait être aisément une adaptation théâtrale, on pense d'ailleurs un peu à Florian Zeller, après "The Father" et bientôt "The Son" ça pourrait être "The Uncle" ou "My Brother". D'abord la maladie d'"obésité" due à la dépression peut être intéressante mais ça reste avant tout un paramètre pour un "rôle à Oscar", sur le fond cette maladie est assez peu exploitée et n'apporte pas grande chose au récit. Une autre maladie aurait fait l'affaire. Heureusement, la performance de Brendan Fraser est effectivement à couper le souffle, il mérite un Oscar, quelle rédemption. Mais le pire reste sans doute sa fille, une gamine tête à claques abjecte dans ses mots et son attitude qui n'a d'égal que le dégoût qu'elle ressent pour son père. On est touché par l'abnégation de l'infirmière, ému par l'ex-femme, mais ça n'avance pas beaucoup autrement, l'ado est trop antipathique pour qu'on s'attarde sur elle, le jeune homme qui s'incruste est inintéressant jusqu'à ce "rebondissement" où on tente de nous faire croire que la fille n'est pas une garce ; trop tard maman nous a convaincu.
    Site : Selenie.fr
    Shawn777
    Shawn777

    476 abonnés 3 343 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2023
    Ce film, réalisé par Darren Aronofsky et sorti tout récemment en France, qui fait beaucoup parler de lui, notamment car c'est la première fois que Brendan Fraser reprend un rôle principal depuis bien longtemps, est très bon ! le film est adapté de la pièce de théâtre éponyme de Samuel D. Hunter et raconte les derniers jours de Charlie, un homme en obésité morbide. Bon voilà, c'est pas très fun mais, en même temps, le réalisateur ne nous a jamais habitué à des sujets vraiment très plaisant ! Je tiens d'ailleurs à préciser que nous ne faisons que suivre les derniers jours de cet homme de manière passive car le réalisateur installe une ambiance vraiment très lourde. On repère d'ailleurs assez vite que le film est tiré d'une pièce de théâtre car l'histoire se déroule en huis-clos, dans l'appartement de Charlie. Malgré tout, le film ne fait pas pour autant théâtre filmé, le fait que l'histoire ne se déroule pratiquement dans une seule et unique pièce apporte énormément au récit puisque le spectateur vit alors complètement avec Charlie. Et le réalisateur ne nous épargne pas, notamment lorsque Charlie a ses crises et qu'il mange à outrance, spectacle aussi triste que repoussant ! Mais ce n'est pas les seuls moments où le film nous prend aux tripes ! Nous avons effectivement beaucoup de scènes très touchantes qui ne sont pas vraiment larmoyantes, même si les violons sont de sortie. Même si on peut malgré tout relever que la toute fin tire un peu trop sur la corde, ce qui m'étonne d'ailleurs d'un réalisateur qui se veut, normalement, beaucoup plus froid et cru. Plus on apprend à connaitre le personnage, plus on s'attache à lui, les personnages gravitant autour de lui nous apportant de plus en plus d'informations concernant sa vie passée. D'ailleurs, pour le coup, Brendan Fraser n'a pas volé ses prix pour sa performance de haut vol ! "The Whale" est donc un très bon film qui peut être tout aussi dérangeant que touchant !
    Pauline G.
    Pauline G.

    33 abonnés 561 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 mars 2023
    Immense, gigantesque déception. Le scénario est fade, la lumière quasi nulle, la qualité des personnages est encore à trouver, tant tout est surjoué, sur scénarisé, et tout ça nappé d'une morale christianoravagée. Plus le film avance, plus la surenchère augmente et plus on s'enfonce dans le ridicule, si bien que ça en devient gênant.
    tixou0
    tixou0

    640 abonnés 1 972 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 mars 2023
    Darren Aronofsky, cinéaste très largement surestimé - "Black Swann" excepté, et (sans surprise) chéri du boboland, confirme et amplifie même, avec ce dernier opus en date, "Le Cachalot" - plutôt que "La Baleine" - si l'on respecte le roman "Moby Dick". "The Whale" étant à la base un succès de Broadway pour public friand de moraline et de voyeurisme, adapté par l'auteur, S.D Hunter, pour le cinéma. Brendan Fraser, le "George of the Jungle" parodique de ses jeunes années (il a alors à peine 30 ans), tient le rôle-titre, un rôle à "performance" oscarisable (on sera fixés cette nuit !...). Pour le reste, le film est un long huis-clos poisseux et sordide (en dépit de la pesante préparation à l'"Épiphanie" de "Charlie", obèse maladif et nonobstant littérateur compulsif). DA a donc réalisé un mélo. Gay-lourdingue (avec supplément évangélique, et caution littéraire bourrative - façon "Herman Melville pour les Nuls"- ). "Bouleversant" (proclame l'affiche) ? Non, artificieux : on peut s'abstenir !
    PS : donc récompensé... La bien-pensance est si prévisible...
    Olivier Gallais
    Olivier Gallais

    39 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 mars 2023
    Un Oscar pour ce rôle ????? Mais où est passé le génie du réalisateur ???? Des dialogues mal écrits, je me suis cruellement ennuyé !!!!
    Omg151
    Omg151

    52 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 mars 2023
    Beaucoup de pathos dans un film glauque et complaisant.
    Le réalisateur semble fasciné par l'obésité morbide de son acteur,
    cela crée un malaise dérangeant et pas très intéressant.
    On est loin de Black Swan du même réalisateur
    Fabien
    Fabien

    1 abonné 26 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 mai 2023
    J'attendais beaucoup de Darren Aronofsky qui est pour moi un réalisateur talentueux. Après des films comme Requiem for a Dream, The Wrestler, Black Swan....là...je n'ai pas compris ce qu'il à fait. Qu'est-ce que c'est que ce film mal joué et ennuyeux..Brendan Fraser semble faire le job au début du film mais alors le jeu des autres acteurs...que c'est mauvais mais mon dieu que c'est mauvais ! Surjeu à profusion, gestuelle ridicule, dialogues inutiles et hors sujets. Zéro émotion. La, fille, la mère, l'aide médicale : ils jouent tous affreusement mal, le scénario est complètement fade et est bourré de contradictions...J'ai tenu 1h00 après je ne pouvais plus continuer. Très mauvais.
    Ninou L.
    Ninou L.

    9 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mars 2023
    Ce film et cette performance juste... wouah ! Un huit clos de 2h là perso ça passe nickel, sortez vos mouchoirs
    Sérieusement le jeu de Brendan Fraser est juste incroyable ça fesait longtemps que je n'avais pas été à ce point touchée pfiou . J'espère vraiment qu'il aura l'oscar..
    Alice025
    Alice025

    1 530 abonnés 1 309 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mars 2023
    Un drame intimiste bouleversant sur un père dépressif et à l'obésité morbide, tentant de renouer avec sa fille.
    L'histoire se déroule principalement en huit-clos, dans une ambiance visuelle assez froide et sombre. On ressent bien la détresse de Charlie, interprété par Brendan Fraser, toujours juste et ne tombant pas dans le pathos. On comprend également comment il en est arrivé là, ce qui ne fait que renforcer notre compassion et notre peine pour lui. 
    En bref, " The Whale " est un film humain déchirant mais terriblement émouvant avec une fin poétique qui nous restera en mémoire.

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