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    À bout de souffle
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     Kurosawa
    Kurosawa

    513 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 juillet 2013
    "A bout de souffle", de Jean-Luc Godard est un film emblématique de la "Nouvelle Vague". Si l'originalité d'une caméra très mouvante et proche de ses acteurs est très visible dès les premières minutes, elle se banalise très vite. Avec un jeu de mots très facile, on peut affirmer que c'est Godard qui se retrouve "à bout de souffle". En dehors du fait qu'il ne trouve aucune vraie idée de mise en scène qui porterait le film, on remarque surtout une extrême platitude. Celle-ci est continue, et donne le sentiment que son réalisateur est un homme blasé. Ce dernier nous sort une musique digne des plus mauvais téléfilms policiers, un concours de grandes citations qui ne débouche sur rien, et un univers sur théâtralisé qui joue avec la patience limitée du spectateur. Et si l'association Belmondo - Seberg est réussie, elle ne parvient que par instants à sauver le film (si seulement s'en est un). Plus qu'une œuvre cinématographique, un enchainement de situations quasi inintéressant. En bref, un exercice de style raté.
    noizet
    noizet

    3 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 septembre 2021
    moi qui aime bien Bebel, je n'avais jamais eu l'occasion de voir "à bout de souffle. je n'ai pas été déçu du voyage.
    c'est de loin le pire qu'il ait fait. une erreur de jeunesse ...
    pour ma part, je me suis retrouvé a bout de souffle bien avant la fin.
    tout est mauvais dans ce film où il ne se passe rien . les dialogues sont d'un niaiserie affligeante, tous les acteurs , Belmondo compris sont lamentables tellement tout sonne faux. mais c'est peut-être voulu.
    j'ai du mal à croire que c'est ce film qui a lancé sa carrière.
    mais bon il ne faut pas que j'oublie que je ne fais pas partie de l'intelligencia cinéphiles ...
    c'est vrai que ce qui est important, ce ne sont pas le scénario, les actions, mais les idées que véhicule le film.
    et là, on en a vu des véhicules ...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 février 2010
    C'est juste LE film qui a révolutionné le cinéma. Couple mythique Belmondo-Seberg, photo splendide en N et B de Raoul Coutard, répliques cultes ("si vous n'aimez pas la mer...). Un film légendaire, à juste titre celui-là.
    Mathias Le Quiliec
    Mathias Le Quiliec

    42 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 janvier 2014
    Oubliez tout ce que vous avez pu lire ou entendre à propos de ce film et foncez le voir !
    Enfin achetez, louez ou téléchargez le d'urgence plutôt. Chez d'oeuvre de Godard, duo magnifique d'acteurs (pas que physique), la nouvelle vague du ciné arrive et nous éclabousses violemment la tronche pour le coup. A la fin, je n'avait pas de mots assez juste ou réfléchis pour décrire cette ovni d'originalité et de fraîcheur. Vive le cinéma et vive la France. Coup d'essai, coup de maître signé de notre Jean Luc national. Son meilleur film à ce jour je trouve ... Je comprend qu'il puisse diviser. La première fois je lui ai mis 5, pour lui mettre 4 finalement au 2ème visionnage ce qui lui fait une bonne moyenne tout de même ! A voir une fois, ou deux (en attendant 2-3 ans minimum alors)
    Sacha P
    Sacha P

    1 abonné 28 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 juillet 2020
    En plantant ses caméras dans la rue et dans les lieux réels, Godard prétend filmer "le réel", par opposition au cinéma des décennies précédentes qui utilisaient des décors, des éclairages, etc. Des bavardages en guise de scénario et la jeunesse "branchée" de l'époque en guise de vérité. L'inévitable ennui qui en résulte est censé incarner un cinéma d'élite révolutionnaire, que quiconque à l'époque - et encore aujourd'hui sur certains sites de cinéma ? - osait critiquer était tenu pour un esprit faible incapable d'apprécier les hauteurs atteintes par ce type d'oeuvre, voire purement et simplement censuré.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 087 abonnés 4 214 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mars 2024
    Godard n’est pas vraiment un réalisateur classique, c’est le moins de le dire, et j’ai même envie de dire, il fait dans l’expérimental, aussi, il faut être prêt ! Pour ma part, je trouve qu’un peu comme la pissotière de Duchamp, ça passe à petite dose, mais faut pas trop pousser ! Ici, le film profite clairement de ses acteurs. Jean Seberg est superbe, elle est d’un naturel désarmant, elle étincelle et forme un duo mémorable avec un Belmondo que j’ai trouvé, pour une fois, excellent dans son style décontracté, viril et volontiers macho ! Il n’a pas encore cédé à la caricature dont il va malheureusement se revêtir dans les années suivante. Leur duo fonctionne à merveille et j’ai envie de dire, c’est l’atout majeur du film. En effet, sans eux, le film aurait été peu entousiasmant. Le film n’a pas vraiment d’histoire. Le meurtre est un vague prétexte à justifier la conclusion, mais sinon, il ne sert à rien. Imaginez votre journée classique. Ben le film représente ça. En gros, le quotidien basique d’un couple à l’amour chaotique. C’est souvent répétitif, l’obsession de Belmondo à coucher avec Seberg devient limite grotesque, les dialogues sont artificiels et parfois ridicules, et pourtant, d’autres fois, ils sont plus poétiques et presque touchants, voire drôles. On sent que Godard parvient quand même à toucher à une certaine dimension atemporelle et universelle avec son approche déconcertante et réellement nouvelle du cinéma, et faut avouer que même si l’exercice est parfois balourd et maladroit, et aurait pu être vraiment ennuyant s’il avait duré plus qu’une heure 30, il s’avère globalement plutôt réussi, et en tout cas, plus réussi que beaucoup d’autres Godard plus tardifs. Il y a encore une sorte de candeur touchante dans l’exercice, qu’accentue peut-être le cadre années 60, que va perdre Godard dans la plupart de ses films ensuite, en se répétant et en surjouant ses effets.
    Visuellement, le film n’est pas exceptionnel. Le noir et blanc est un peu gris, le cadre du métrage c’est un appartement pour l’essentiel, et je ne peux pas dire que le film saisisse très bien l’ambiance du Paris des années 60. La mise en scène se veut assez expérimentale également, avec des coupes brutales, un montage abrupt, parfois à la limite du compréhensible. On notera aussi cette propension du réalisateur a esquivé ce qui fait d’ordinaire le nœud d’un film, en particulier toutes les scènes clés du scénario qui sont elliptiques (comme le meurtre, mais aussi, les scènes d’amour entre les deux amants). Malgré tout, le film atteint un certain rythme grâce à cette réalisation, et ça reste lisible avec de l’attention. Pour ma part, je dois dire que si Godard essaye de casser son jouet cinématographique, il conserve assez de rigueur classique pour ne pas faire un gloubi-boulga insupportable.
    Très sincèrement, A bout de souffle n’est pas pour moi un chef-d’œuvre. Si on considère que ce qui est neuf est chef-d’oeuvresque, alors peut-être l’est-il à ce titre. Sinon, ça reste un film original, mais assez vain, parfois servi par des dialogues ridicules et des seconds rôles qui laissent pantois. Très clairement, son duo principal, mémorable et excellent relève principalement l’intérêt de ce film, à mon sens surtout entrer dans la légende pour ça, comme un célèbre film de Vadim. Ca reste un des Godard les plus regardables, et les amateurs d’ambiance singulière trouveront assez d’excentricité dans ce métrage pour se laisser embarquer dans le film sans souci. 3
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    139 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 octobre 2020
    A bout de souffle est le symbole de ce qu on a appellé « la nouvelle vague » , cinq réalisateurs français dont la plupart travaillaient au cahier du cinéma vont créer des films différents. La c est le plus illustre d entre eux : Jean Luc Godard .
    Le rythme est difficile à suivre , le scénario n'existe pas , les cadrages sont parfois aléatoires et les scènes de rue ressemblent plus à un reportage où les passants regardent la caméra qu'à deux personnes au coeur d'un film.
    C est donc évident que je n ai pas accroché à ce film que je trouve assez prétentieux et peu intéressant . Je suis sûrement passé à côté .
    FaRem
    FaRem

    7 406 abonnés 8 816 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 novembre 2013
    Je ne suis pas adepte des films un peu ancien comme celui ci mais en tout cas j'ai pas aimé il n'y a pas de scénario, les dialogues sont mauvais il y a trop de longueurs en gros on s'ennuie tout le film.
    NeoLain
    NeoLain

    4 238 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 mai 2009
    un tournant du cinéma français. Un cinéma qui peut dérouter pour son audace, mais qui est relativement délicieux car il y a vraiment le désir de remettre en question le cinéma. Godard le fait très bien, avec bien sûr une histoire pas compliquée pour un sou, mais des scènes très drôles entre Belmondo et Jean Seberg (qui forment un beau couple à l'écran), valent vraiment le détour. Ce film est vraiment à voir car c'est un tournant du cinéma français qui fit beaucoup de bruit et qui n'a jamais été égalé.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 008 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2017
    Jean-Luc Godard est né au cinéma avec "A bout de souffle" devenu le film étendard de la Nouvelle Vague Française, aboutissement des théories sur le 7ème art de la bande des "Cahiers du cinéma" dont il fait partie avec Rohmer, Rivette, Truffaut et Chabrol. Echafaudé surtout à partir de la critique cinglante de tous les réalisateurs français aux commandes depuis l'Après-guerre à qui il est reproché une certaine "qualité française" (expression de Truffaut) bourgeoise et ankylosante, le mouvement se revendique de l'esthétique de certains réalisateurs hollywoodiens comme Alfred Hitchcock, Orson Welles, Fritz Lang, Howard Hawks ou Otto Preminger et de quelques rares metteurs en scène français comme Jean Renoir ou Jean Cocteau. Sont en revanche vilipendés souvent de façon outrancière et injuste des réalisateurs confirmés comme Jean Delannoy, Yves Allégret, Claude Autant-Lara, René Clément et principalement deux scénaristes incontournables de la "qualité française", Jean Aurenche et Pierre Bost jugés responsables d'avoir distillé le poison du conformisme dans tous les films à gros budgets au temps de leur gloire. S'il est vrai que la production française de l'époque avait besoin d'être un peu bousculée, le choc fut rude, certains réalisateurs ne trouvant plus de travail après la déferlante de la Nouvelle Vague qui était aussi la tentative de putsch d'une génération désireuse de prendre la place. "A bout de souffle" s'inscrit donc dans ce contexte effervescent. Grand admirateur du film noir sublimé par les réalisateurs européens exilés à Hollywood, Godard choisit de s'emparer du genre en tentant de le délivrer sans le trahir de toute la sophistication esthétique et narrative qui en fait le sel. Inspiré de l'approche d'un Robert Bresson qui refusait de travailler avec des acteurs professionnels, Godard poursuit quelque part cette vague chimère de réussir à capter la vraie vie pour la retranscrire dans une fiction sans doute afin d'émanciper définitivement le cinéma de la tutelle imposante et millénaire de la littérature. Le résultat est sur l'écran avec une certaine dose de fraîcheur essentiellement due à l'improvisation des acteurs et à la captation par la caméra de Godard de la réalité bouillonnante parisienne qui insuffle un ton primesautier communicatif à l'entreprise. A contrario le scénario plus que minimaliste favorise un bavardage excessif quelquefois ennuyeux qui à la longue vient estomper les bonnes impressions initiales. Malgré tout, Godard parvient à s'en sortir grâce à un montage assez serré qui s'il n'évite pas les ellipses, redonne un certain rythme au scenario après les trop longs tunnels de dialogues. On se demande au final après quoi court Godard, bien moins pur qu'un Bresson ou un Dreyer dans sa recherche d'authenticité et qui se révèle être un manipulateur non dénué de talent mais un manipulateur tout de même, n'hésitant pas à recourir à la remarquable musique de Martial Solal (conseillé à Godard par Jean-Pierre Melville) ou aux références cinématographiques pour enjoliver son travail. Cette habileté que l'on retrouve moins chez Truffaut, démontre on l'a dit un sens aigu de la manipulation qu'il convient d'analyser sur l'ensemble de l'œuvre. Si une chose ressort de ce film alors que Godard revendiquait le contraire, c'est la formidable direction d'acteurs prodiguée par le tout jeune réalisateur qui fait que l'alchimie du couple Belmondo/Seberg est parfaite, donnant sans doute la plus belle image à l'écran de la fragile actrice américaine.
    Redzing
    Redzing

    921 abonnés 4 296 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mars 2015
    Quand on voit les cartons populaires français des années 2010, il est aujourd'hui difficile de croire que "À bout de souffle" fut en 1960 un gros succès critique et public. Pourtant, ce premier long-métrage de Godard fit sensation, et devint l'un des films phare de la Nouvelle Vague française. On y suit un voyou insolent qui flirte avec une jeune américaine, alors que la police le recherche pour meurtre. L'ensemble est assez révolutionnaire pour l'époque, avec un jeu décalé de Belmondo et Seberg, qui forment un joli couple, certains dialogues légèrement surréalistes et parfois amusants, et un montage bourré de jump cuts qui donnent un rythme étrange au film. Cependant, l'ensemble tourne assez vite en rond (les déambulations du couple sur fond de BO jazzy ennuient rapidement), et le jeu très théâtral de plusieurs personnages fait un peu faux et pompeux. Ainsi, "À bout de souffle" est au moins à voir pour son rôle dans l'évolution du cinéma français, mais risque d'irriter et d'ennuyer bon nombre de spectateurs.
    Nicothrash
    Nicothrash

    292 abonnés 2 921 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 octobre 2016
    Je m'efforce toujours et non sans mal à tenter de comprendre en quoi cette fameuse "nouvelle vague" a changé la face du cinéma français dans le courant des 60's. On avait de très bons films avant et on a continué à en avoir après. En tout cas j'aime le cinéma et je ne pouvais évidemment pas passer à côté de cette période apparemment faste pour le ciné hexagonal, c'est dans l'optique de me cultiver davantage que j'ai mis le nez chez Rohmer pour commencer, non sans mal encore une fois, chez Truffaut, qui remonte nettement le niveau, et le pire, chez Godard, monstre de nombrilisme et d'arrogance. Ici c'est de ce dernier dont il est question avec son premier long métrage qui paradoxalement porte très bien son nom. Si son duo d'acteur est à créditer d'une belle connivence et d'une belle aisance ainsi que d'un charme fou, on ne peut pas en dire autant de l'aspect technique du film. Le vent de liberté de cette époque a sans doute poussé le jeune homme a dirigé ses acteurs à l'arrache avec une grosse part d'improvisation, de traiter le montage comme un vulgaire paquet de m.... ou encore de se permettre une mise en scène approximative sous couvert de néo-quelque chose, m'enfin cinématographiquement parlant je ne vois pas bien l'intérêt ... En outre l'idéologie du Monsieur est somme toute assez particulière, difficile pour ma part de m'attacher à un assassin misogyne bohème et sans scrupule et ce malgré l'interprétation plus qu'intéressante du grand Belmondo. 1h30 d'ennui entre faux raccords, histoire insipide et figurants qui matent la caméra où les bonnes idées de mise en scène sont noyées dans un flot de dialogues pompeux et insignifiants. Après la fumisterie "Le Mépris" du même Godard l'anarchiste, je continue de croire que je ne raterais pas grand chose en arrêtant là ma plongée dans cette "nouvelle vague" pseudo-intello et qui se donne injustement le bon rôle dans le renouveau du cinéma français de ces années là. La libération sexuelle et des moeurs des 60's n'a pas eu que des bons côtés concernant l'art ...
    bobmorane63
    bobmorane63

    153 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 juin 2011
    Je n'ai jamais vu un film du cinéaste Jean-Luc Godard, la nouvelle vague se définissait pour moi à du cinéma intellectuel, avec "A bout de souffle", j'ai pris mon pied. Ce long métrage suit le parcours d'un meurtrier recherché par la police à l'allure trés décontracté disant tout ce qui lui passe par la tete et rencontrant une jeune Américaine jolie, curieuse et papotante. La légende de ce long métrage est justifié, Jean-Luc Godard signe un film culte qui emmerveillera le cinéma mondial avec une liberté de dialogues, une façon de filmer remarquable et offre aux jeunes Jean-Paul Belmondo et Jean Seberg une aurat d'ovation dans le jeu et lancera leurs carrières que l'on connait par la suite. Un chef d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 décembre 2009
    Un film d'une incroyable modernité avec une B.O. jazzy sympa et des dialogues savoureux qui dégagent une grande fluidité, beaucoup d'aisance. Bébel (Michel Poiccard) est un antihéros fascinant de décontraction face à la belle, et plus ambigüe qu'il n'y paraît, Jean Seberg (Patricia Franchini). Culte de chez culte.
    ffred
    ffred

    1 499 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2007
    Première vision de ce film culte. Les premières minutes ne sont pas passionnantes mais petit à petit on est pris par l'histoire, les acteurs et la vue d'un Paris de 1960 forcement étonnante. On comprend aisément que ce film a révolutionné le cinéma à l'époque lançant au passage la nouvelle vague. Même si aujourd'hui il reste un film à voir, il n'a certainement pas le même impact...
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