C'est mignon même si visuellement on sent déjà le poids des ans. Après c'est tellement propret, et sans deuxième niveau de lecture, qu'il n'y a rien qui permette d'aller au-delà du tout juste moyen selon les critères d'un adulte. Mais le cœur de cible est clairement le très jeune public et là je pense que l'objectif est atteint sans problème.
Il n'aura pas fallu attendre longtemps pour voir une suite aux péripéties de la petite souris adoptée par une famille d'humains, avec cette suite sobrement intitulée Stuart Little 2, toujours réalisée par Rob Minkoff et toujours aussi plaisante. L'histoire nous fait suivre Stuart, qui cette fois-ci, va se lier d'amitié avec une jeune oiselle manipulée par un dangereux faucon. Alors qu'elle va disparaître, la souris va partir avec le chat Snowbell à sa recherche pour la sauver des griffes du rapace. Ce scénario est tout aussi agréable à visionner que le premier, et se veut encore plus court que le précédent avec une durée d'à peine une heure et dix minutes au compteur. Cela permet d'avoir une aventure rythmée et sans longueur, encore plus palpitante grâce à son aspect plus aérien. On reste dans la lignée du volet originel, tout en étant différent dans son périple qui met dorénavant l'accent sur l'amitié plutôt que la famille. Tous les ingrédients sont présents pour nous offrir une intrigue simple mais efficace, au ton amusant mais un peu moins touchant que le précédent. On retrouve avec plaisir la famille Little, dont les membres sont toujours interprétés par Hugh Laurie, Geena Davis et Jonathan Lipnicki, mais également évidemment Stuart et Snowbell qui se veut encore plus drôle. Les petits nouveaux sont vraiment appréciables entre Margalo et l'antagoniste représenté par le faucon. Dommage cependant que la petite dernière du couple soit aussi peu utile. Tous ces personnages nous offrent de beaux moments grâce à leurs relations mignonnes et bienveillante, en plus d'amuser. Sur la forme, la réalisation de Rob Minkoff gagne légèrement en ampleur grâce aux scènes se déroulant dans les airs. Les effets-spéciaux sont pour leur part toujours convaincants et donnent vie aux animaux. La b.o. accompagnant le tout est toujours assurée par Alan Silvestri, qui nous gratifie de compositions qualitatives en adéquation avec l'ambiance. Reste une fin sans surprise mais satisfaisante, venant mettre un terme à Stuart Little 2, qui s'avère être une suite du même acabit que son ainé, idéale pour un public familial.
Je tenais à voir cette suite même après mon ennui devant le premier volet. Ce que j'espérais ne fut pas payant pour autant. Juste un petit peu au niveau de l'aventure, elle est plus entrainante c'est sur ce point que Stuart Little 2 gagne en qualité (disons cela comme ça), contrairement à son prédécesseur. Sinon le reste est identique, encore une fois la cible est très enfantine.
le second volet qui est meilleur que le premier car il a plus d'aventure et de scène drôle que dans le précédent . Le film surprend par ça faible durée de 1h08 ce qui est rare même dans un film familial d'aventure a croire qu'on ce demande si il ne savais pas quoi mettre dans ce film . Des nouveau personnage fourbes on rejoint ce film , avec un un grand méchant , stuart et Snowbell doivent également appeler à aide leur amis pour cette nouvelle aventure.
Le charmant souriceau Stuart est de retour, toute sa petite famille snob ont aménagés dans un nouvel épisode sympathique, l’effet comédie pétille avec le chat rival et prédateur puis accepter comme faisant partie de la famille à part entière. La compagnie de Snowbell, maître félin de maison possède le déclic hilarant, comme dans le précédent film, un duo bizarre aux rôles de la nature inversée. Une nouvelle aventure commence avec l’entrée de ce canari femelle rafraîchissante, la rencontre du hasard étourdi et romantique fil conducteur s’ajoutera à une intrigue palpitante, le faucon, agissant en tant que tuteur et oblige Margalo à agir dans l’illégalité, le vol de bijoux. Une belle métaphore poétique entre l’esprit libre, le vol dans les airs puisse se détacher de l’influence tyrannique du vilain, l’exemple classique du rapport de force et de l’instinct animal.
Rien de transcendant, mais lon rit beaucoup avec les têtes blondes devant ce film certes ridicule mais si rafraîchissant. Lanimation est balourde mais crédible, les acteurs ont lair de samuser, nous aussi.
Un film franchement moyen, malgré l'originalité de son histoire. Une famille adopte une petite souris qui parle. La petite souris va avoir du mal à trouver sa place, et le thème du film tourne autour de l'acceptation de la différence, et le moyen d'en faire une force. Le problème c'est que le tout est très niais, et essaie d'être trop mignon. Parfois ça marche, parfois non, et quand c'est pas le cas c'est franchement lourd. N'en reste pas moins un film pour enfant très moyen, mais pas ignoble non plus.
Mieux que le 1 car le scénario a pris bien plus d’épaisseur et le personnage de Stuart Little est plus creusé. C’est toujours autant bien fait et rythmé. Cela reste néanmoins trop enfantin pour apprécier plus.
Dans ce nouvel opus, on retrouve tout ce qui a fait la force de « Stuart Little » : personnages sympathiques, scénario gentillet, humour et dérision. Il est vrai que l’effet de surprise est moins présent mais on ne boude pas pour autant cette histoire touchante pour enfants, à partager en famille naturellement.
Film très sympatique: la peite souris et tous les personnages sont attachants et bien fait. Il y a de l'aventure, des situations marrantes, de l'action et les dialogues sont corrects. Sans être un chef d'oeuvre, ce film est un divertissement plaisant dans lequel on ne voit pas le temps passé.
Hey Stuart ! Comment ça va ? Check, baby ! Alors, maintenant, en plus de la voiture et du bateau, t'as un avion ? La classe. Surtout que peu de monde a un bateau qui s'appelle "le Wasp". Allez, c'est cool, continue ta vie.