Avis sur Mastemah

Ambiance christique et très gothic, filmé de façon clipesque dans L'Aubrac qui fini par nous perdre dans cette ambiance horrifique parfois très glauque, avec des cauchemars qui tournent souvent en boucle jusqu'à l'overdose, Camille Razat et son partenaire sont très impliqués sinon envoutés par leur rôle diabolique. Film à voir si vous aimez ce genre d'ambiance anxiogène et qui est aussi suffisamment rare dans l'univers cinématographique français pour y pencher sa curiosité. Dommage que le fin soit pas assez... ou au contraire trop percher. Un thriller psychologique sur le méandre de la psychiatrie qui bascule brutalement vers la possession du diable. Un film presque d'auteur tellement ce film semble une oeuvre singulière à son réalisateur. Un petit budget plus que bien exploité pour mettre mal à l'aise.

Les critiques de presse, peu nombreuses au demeurant, me semblent bien injustes. Le film vaut pas son atmosphère, lugubre et angoissante, les admirables paysages de l'Aubrac, où l'on peut trouver paix et douceur de vivre, étant ici admirablement traités sur le mode horrifique. Certaines critiques déplorent le basculement final dans le domaine de la possession diabolique, un certain Mastemah, démon vomi par l'enfer, s'étant emparé de l'âme et du corps de la jeune psychiatre qu'il téléguide afin que les gens qu'elle hypnotise se suicident ou commettent des meurtres. En fait, il me semble que, dès la scène de la baignoire, on sait qu'il y a possession. Il y a deux aspects dans le film : l'aspect médical qui se refuse toujours à admettre les histoires de possession démoniaque : le chef de clinique ami de l'héroïne le dit bien à deux ou trois reprises, la science explique tout. Les notes prises par le docteur Craven dans le registre qu'elle tient, montrent bien qu'elle a conclu à une schizophrénie dans le cas de sa consoeur et patiente. Mais ce discours est normal chez des scientifiques. En revanche, le prêtre - remarquable Fédor Atkine - , lui, a tout de suite identifié la présence du démon Mastemah, et c'est ce qui précipite sa mort. Donc même s'il peut y avoir une certaine confusion dans l'esprit du spectateur, on peut arriver, me semble-t-il, à la conclusion qu'il s'agit bien d'un film fantastique, dont le sujet est la possession diabolique..

Très glauque très belle filmographie et superbe ban son. Actrice excellente. Vaut vraiment mieux aller voir ce film que Arthur maléfique ! C'est clairement d'un autre niveau.

Insupportable dans le mauvais sens du terme : qu'est-ce que c'est pataud et mal ficelé !! Je suis sorti de la salle d'exaspérations

☺️ : Jolie scène d'ouverture ( spoiler: chute mortelle de son confrère et petit ami)
ambiance bien travaillée.

😓 : L'impression de vivre la même scène pendant tout le film jusqu'à spoiler: ce qu'elle trouve la clef
soit les dernières minutes du film. Effets spéciaux approximatifs spoiler: (scène où elle plonge dans le feu, les toiles d'araignée qui envahissent le plateau à la fin)
, personnage du prêtre stéréotypé, scènes de meurtres sous forme d'ellipses (dommage pour un film d'horreur et cela aurait animé le film)
Au final, même si j'avais envie d'y croire, j'ai été déçu. 😭

Lucie est une jeune psychiatre qui tente de se reconstruire après une séance d’hypnose ratée. Pour cela, elle décide de s’installer dans un petit village perdu dans le trou du cul de l’Aubrac. Sur place, elle va faire la connaissance d’un nouveau patient au comportement étrange…

Premier long-métrage pour Didier D. Daarwin, plus habitué à réaliser des clips (pour IAM, Psy4, Akhenaton, Soprano ou encore Oxmo), le voilà aux manettes d’un film de genre qui oscille maladroitement entre le surnaturel, la possession et l’hypnose.

9 ans, il aura fallu 9 ans d’écriture entrecoupées par divers projets professionnel pour accoucher de cette chose incongrue. Filmé comme un clip avec des pseudos effets à la mords-moi le nœud en guise d’enrobage, le tout, plombé par une narration amorphe et des jumps scares éculés. 100 minutes de vide, ne comprenant pas pourquoi ni comment le réalisateur est parvenu à un tel résultat navrant de lassitude. Très clairement, on s’emmerde sans discontinue car rien n’est fait pour nous sortir de notre léthargie, entre le plateau de l’Aubrac et le surjeu d’Olivier Barthélémy, difficile de faire plus glauque. Et en dehors du joli minois de Camille Razat, très franchement, autant passer notre chemin que de s’infliger une telle perte de temps.

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Plutôt bien dans son ensemble, belle photographie, Aubrac magnifique, comédiens ok... La découverte, c'est la bande-son ... Je connaissais pas le compositeur, Yvi Slan. Le son est juste à tombé, ça claque ! Et en salle c'est bon ! Rien que pour sa musique, il faut aller voir Mastemah au cinéma.

Ridicule, une mise en scène catastrophique ! Film clairement pas abouti. Des incompréhensions en pagaille. Heureusement que la prestation de l'actrice relève un peu. Je ne comprends pas où le réalisateur voulait nous emmener. Quand on voit qu'il y a de très bons films qui n'ont pas la chance de sortir au cinéma et qu'à la place on nous offre une daube pareil ! Je ne comprends pas. Un conseil, passez votre chemin.

Ce film est un ovni, on aime ou on déteste, mais on ne reste pas indifférent.
Si vous attendez quelque chose de convenu , passez votre chemin.

Mastemah, techniquement, visuellement et au niveau son, c'est vraiment bien. Le pitch ... Classique. La musique porte le film et elle est plutôt surprenante et ultra-efficace. A voir en grand écran, c'est calibré pour.

Résumé à la con : Une nana qui a plus l’air d’avoir 14 ans que d’être une psychiatre renommée s’enfonce dans l’Aubrac et ce n’est clairement pas pour bouffer de l’aligot.

L’avis pas cool : Comme j’enchaînais un peu trop les bons films en ce moment, je me suis dit qu’il était tout de même temps de remettre les choses en perspective. J’ai décidé de me confronter à la dure réalité de l’existence en allant chercher ce que l’on avait fait de pire au ciné en 2022. C’est alors que ma route a croisé celle de Mastemah. Ce film, c’est l’assurance d’une indigestion de plans, d’une direction d’acteurs inexistante et des dialogues parfaitement à côté de la plaque (mais en revanche pas bien loin de la plaque d’égout).

L’avis cataclysmique : Rien n’est crédible de bout en bout. Des acteurs, aux poncifs et effets de style débordants en passant par un découpage sans queue ni tête et des plans décadrés sortis d’on ne sait où… En plus d’être bling bling et d’un manque criant d’humilité, Mastemah est une véritable leçon de cinéma. Celle du « ce qu’il ne faut absolument pas faire ». Le génie de ce film aux allures de court métrage étudiant en première année de mathématique réside sans doute dans le fait d’avoir réussi à se faire financer. Si vous arrivez jusqu’au terminus de son générique de fin ubuesque et ridiculement grandiloquent, vous méritez un financement CNC pour prise de risque depuis votre canapé.

Si tu veux voir des trucs plus intéressants que ce film:
- un ongle de pied retrouvé sous ton canapé
- Une pale d’éolienne dont on ne sait pas quoi faire parce que ce n’est pas recyclable

Très bon film, super scénario, les paysages sont magnifiques et les deux acteurs principaux brillants

Force est de constater que le film est raté. Trop de montage d images clip, de scènes détestables sans intérêt. il manque une orientation générale. J ai voulu voir l Aubrac, de belles choses sont montrées.

Très bon thriller. Film angoissant, très bon scénario.
Les effets sonores sont impressionnants !
enfin un film de peur qui tient la route, loin des bouses créées ces dernières années

Film pris au hasard, si je savais que c’était un film français je l’aurais jamais regardé!
NUDITÉ INUTILE, la perso principale se douche nue au début du film, ensuite se doigte et se fait soulever par un autre personnage du film.
Déjà que le synopsis est nul et est mal catégorisé (épouvante horreur) alors que le film ne fais pas peur et est ennuyant!
A classer dans la catégorie PORNO sa serai sa place.