Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Patrice Blouin
A ceux qui disposeraient de la catégorie trop méconnue du "film grotesque mais pas dénué d'intérêt", on signera volontiers l'existence du 51e Etat.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Avec "Le 51e Etat", Ronny Yu (...) signe une comédie dans le style d'"Arnaques, Crimes et Botanique". En moins réussi. Mais voir Samuel L. Jackson en kilt, cela vaut presque le déplacement.
Le Parisien
par Alain Grasset
En dépit d'un scénario ordinaire, cette série B, qui réunit la star noire américaine Samuel L. Jackson et l'excellent acteur britannique Robert Carlyle, est idéale pour se détendre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Stéphane Moïssakis
(...) c'est bel et bien au réalisateur que l'on doit cet agréable spectacle du samedi soir aussitôt vu, aussitôt oublié.
Première
par Mathieu Carratier
Chaque réplique doit contenir une moyenne de quatre insanités, et, en guise de couronnement, vous pourrez assiter au premier travelling anal. Cela dit, [...] les neurones soigneusement déposés à l'entrée de la salle, on pourra y prendre un plaisir certain.
Zurban
par Véronique Le Bris
On y trouve donc de tout, de l'incongru (Samuel L. Jackson en kilt), de l'humour, de l'action, des embrouilles, un réalisateur de Hong Kong, Ronny Yu. De quoi se perdre sans résistance... et sans enthousiasme.
MCinéma.com
par Marc Arlin
A éviter absolument à moins qu'on déteste l'acteur/chanteur Meat Loaf et qu'on ait envie de le voir mourir dans des conditions peu ragoûtantes. Là, au moins, on ne sera pas déçus...
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Comme la fameuse pilule, le film n'est qu'un ersatz : on s'y entre-tue joyeusement mais les personnages n'existent guère au-delà de leur apparence vestimentaire, et les dialogues sentent d'autant plus mauvais que l'humour scatologique n'en est pas absent. Faible.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
Dans ce match où l'Anglais et l'Américain font alliance contre leur gré, les occasions - de rire, s'entend - sont rarissimes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
A ceux qui disposeraient de la catégorie trop méconnue du "film grotesque mais pas dénué d'intérêt", on signera volontiers l'existence du 51e Etat.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Avec "Le 51e Etat", Ronny Yu (...) signe une comédie dans le style d'"Arnaques, Crimes et Botanique". En moins réussi. Mais voir Samuel L. Jackson en kilt, cela vaut presque le déplacement.
Le Parisien
En dépit d'un scénario ordinaire, cette série B, qui réunit la star noire américaine Samuel L. Jackson et l'excellent acteur britannique Robert Carlyle, est idéale pour se détendre.
Mad Movies
(...) c'est bel et bien au réalisateur que l'on doit cet agréable spectacle du samedi soir aussitôt vu, aussitôt oublié.
Première
Chaque réplique doit contenir une moyenne de quatre insanités, et, en guise de couronnement, vous pourrez assiter au premier travelling anal. Cela dit, [...] les neurones soigneusement déposés à l'entrée de la salle, on pourra y prendre un plaisir certain.
Zurban
On y trouve donc de tout, de l'incongru (Samuel L. Jackson en kilt), de l'humour, de l'action, des embrouilles, un réalisateur de Hong Kong, Ronny Yu. De quoi se perdre sans résistance... et sans enthousiasme.
MCinéma.com
A éviter absolument à moins qu'on déteste l'acteur/chanteur Meat Loaf et qu'on ait envie de le voir mourir dans des conditions peu ragoûtantes. Là, au moins, on ne sera pas déçus...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Comme la fameuse pilule, le film n'est qu'un ersatz : on s'y entre-tue joyeusement mais les personnages n'existent guère au-delà de leur apparence vestimentaire, et les dialogues sentent d'autant plus mauvais que l'humour scatologique n'en est pas absent. Faible.
Télérama
Dans ce match où l'Anglais et l'Américain font alliance contre leur gré, les occasions - de rire, s'entend - sont rarissimes.