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Un visiteur
1,5
Publiée le 5 mars 2014
HOW TO LOSE A GUY IN 10 DAYS (connu sous le nom Comment se faire larguer en 10 leçons en France) aurait pu aussi s’appeller comment faire perdre 2h de son temps à son spectateur. Car alors oui, HOW TO LOSE A GUY IN 10 DAYS est l’archétype hyper stéréotypé de la romance à l’eau de rose de base.
Sans surprise, HOW TO LOSE A GUY IN 10 DAYS nous livre sur un plateau tout les stéreotypes du succés à l’américaine. Elle, a une bonne carrière, belle, mince, intelligente, gentille et bien évidemment blonde platine (les brunes étant réservés pour les rôles de méchante). Lui, a aussi une bonne carrière, beau, gentil, attentionné, musclé et blond californien. Les Barbie et Ken de la vraie. Evidemment, ils évoluent dans un monde rose bonbon, fabuleux, de la niaserie de base. Le scénario est vu et revu des milliers de fois : deux êtres qui tombent amoureux à la suite d’un mauvais paris !Le film est alors sans rebondissements et nous réserve une happy end bien miéllieuse. HOW TO LOSE A GUY IN 10 DAYS n’offre aucun intérêt à son spectateur si ce n’est de lui vider le cerveau.
Les deux rôles titres sont peu convaincants. Kate Hudson n’est jamais devenu une grande actrice après ça et on se demande comment le récemment oscarisé Matthew McConaughey ait pu prendre dans une horreur pareille.
Pour conclure, amateur d’amourette à l’eau de rose fuyez HOW TO LOSE A GUY IN 10 DAYS, un film niais et sans intérêt.
Une gentille, mignone, mais pas tout le temps drôle, comédie, qui ne tient la route que par la présence du grand acteur longtemps sous estimé et récemment oscarisé!
Une histoire complètement convenue dès le départ, on sourit à quelques moments mais certains passages sont carrément affligeants, notamment lorsque les 2 personnages principaux chantent sur la fin. Faut dire, la version française n'aide pas sur le coup...Au final, un film qui se laisse regarder pur se vider la tête, mais seulement pour ça...
Comment se faire larguer en 10 leçons a réalisé l'exploit de faire tenir l'intégralité du scénario du film dans son titre. Se fait larguer en 10 leçons, c'est bien, mais il a réussit à ce que je le largue en 10 minutes et ça c'est encore mieux. D'une banalité absolue. 2/5
Comédie romantique tout ce qu'il y a de plus conventionnel, remplie des "codes" du genre, on sait comment ça va finir, certaines scènes sont téléphonées, mais... cette comédie romantique est sauvée par le couple principal (et surtout la fraîcheur de Kate Hudson) et par quelques bons fous-rires si on se laisse prendre au jeu... Très sympathique !
4/20 : L’idée de base du film n’est pas mal mais malheureusement, le réalisateur Donald Petrie en fait quelquechose de poussif et d’ultra conventionnel. Matthew McConaughey (bon acteur à la base, mais ici nous n’allons pas tellement le remarquer), tient ici le rôle du charmeur Benjamin Barry, un personnage un peu fadasse. Quant à Kate Hudson, qui interprète Andie Anderson le boulet par excellence, celle-ci est certes, à fond dans son rôle mais a tendance à saouler avec ses mimiques cartoonesques. En effet, les réactions du personnage d’Andie sont tellement grotesques qu’elles en sont lourdingues et peu drôles. La scène amusante que nous retiendrons le plus est celle où Andie montre à Benjamin un album photos où celle-ci a réalisé un montage d’images assez délirant dans lequel sont imaginés les futurs bébés qu’elle aurait eu avec celui-ci. Vers la fin du film, nous avons l’opportunité (ironie) d’assister à un bal d’une longueur interminable où nos deux protagonistes se mettent à chanter tout en s’injuriant et se faire des reproches (c’est à ce moment là que vous craignez que l’un de vos proches tombe par hasard sur cette scène complètement risible, qui ne peut que vous faire honte tellement c’est lourd) ainsi que l’entrée en scène d’une femme cougar aux cheveux rouge met le grappin sur Benjamin (une scène complètement inutile qui ne fait que plomber le film davantage). De plus, la scène finale est ultra prévisible et cul-cul la praline.
« Comment se faire larguer en 10 leçons » est une comédie ennuyeuse où tout est dans l’exagération et qui ne nous réserve aucune surprise. Un film barbant.
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Pas mal du tout même si c’est assez téléphoné ! L’humour est bien sympathique et pas lourd du tout, les personnages attachants aussi bien l’un que l’autre. Mais forcément on se doute de comment ça va finir mais bon au final on s’en fiche un peu vu qu’on passe un bon moment devant.
"Comment se faire larguer en 10 leçons"(2002) n'est ni plus ni moins qu'une sitcom déguisée sur deux heures,qui n'a de romantique que son affiche et son couple vedette de papier glaçé. Rien ne pétille,rien ne fait tâche et le postulat de départ semble être le seul moment où les scénaristes se sont grattés la tête. Une publicitaire fait tout pour se faire éjecter par un mâle,qui veut au contraire la faire tomber amoureuse de lui. Quiproquos et échanges verts qui ne tiennent pas la durée face à un cahier des charges prédéfini et des digressions plombantes. Kate Hudson,amusante mais pas dirigée. Matthew Mc Conaughey,limite nigaud.
Ce qui est « bien » avec Donald Petrie, c'est que l'on sait un minimum à quoi s'attendre : quelque chose de pas terrible. « Comment se faire larguer en 10 leçons » est pourtant probablement ce que le garçon a fait de moins pire dans sa carrière, même s'il n'y est assurément pas pour grand-chose. En effet, le léger intérêt comique de cette comédie romantique tient avant tout à son idée de départ amusante et à sa dimension vacharde pendant deux bons tiers, que le réalisateur exploite d'ailleurs plutôt correctement. Oh nous ne sommes pas chez Lubitsch ni Hawks, mais avouons que certaines situations et dialogues font franchement sourire, d'autant que la « charmante » Kate Hudson s'en donne à cœur joie pour embarrasser un Matthew McConaughey en revanche plutôt fadasse. Toute cette partie, appuyée par des seconds rôles plutôt réussis, permet à l'entreprise de garder un minimum d'intérêt, avant sans surprise de se saborder dans la dernière demi-heure. Car cela reste une comédie romantique, et nous avons donc droit au sempiternel schéma narratif, vu à peu près 8234 fois, mais que l'on continue à nous servir invariablement, faisant retomber le film dans la plus grande banalité et niaiserie. Bref, un projet qui eût sans doute offert un classique de l'âge d'or de la comédie américaine, qui, sous les mains peu talentueuses de Donald Petrie, se transforme en résultat tout juste potable. Dommage...