Avis : Le Journal de Bridget Jones - Page 5

Une très bonne comédie à l'anglaise qui repose en grande partie sur les épaules de René Zelweger, épatante dans ce rôle.

Après avoir lu les critiques dythirambiques sur ce "film", je me suis enfin décidé d'aller le voir. C'est honnêtement le tréfond du cinéma. De l'humour bien gras et prévisible,un scénario pour ados boutonneuses, une B.O. insupportable à se boucher les tympans, et surtout, surtout, des "acteurs" plus minables les uns que les autres : Grant est fadasse et agaçant comme jamais, et Zellweger n'a définitivement aucun talent. Passez votre chemin.

Ce film doit être dans toutes les DVDthèque: quelle femme ne porte as un peu de Bridget Jones en elle, ne s'est pas retrouvé dans ce personnage?
L'adaptation, même si elle s'écarte parfois du livre, en respecte néanmoins les grandes lignes, on apprécie donc d'autant plus le film en sachant ça.
L'interprétation de Renée Zellweger est une merveille : sensible, drôle, ingénue, foncièrement ridicule parfois (une fois encore, à qui cela n'est pas arrivé ?!) et surtout tellement touchante !
Merci aussi à Hugh Grant, impeccable dans le rôle de "l'enfoiré affectif", et à Colin Firth : qui ne rêverait pas d'en avoir un comme ça (tendre et délicat! mignon en plus). Ce dernier joue impeccablement l'homme fort et sensible qu'on aimerait avoir auprès de soi. Il est aussi l'homme par moment blessé qu'on aimerait consoler, bref : génial !
Petit joyau du film anglais : énorme !!!!

J'ai pas ri. Je me suis embêté. Mais bon, les goûts et les couleurs.

Une comédie romantique sympathique avec un humour agréable.

Excellent ! Bridget Jones est plus attachante que jamais ! Renée Zellweger est hilarante et ce rôle lui va comme un gant. J'adore!

Comédie romantique assez marrante qui fait réfléchir et qui repose essentiellement sur la performance, remarquable, de renee zellweger ! Un bel hommage aux célibataires !

j'adore, j'adore, j'adore... Bridget est une femme simple, au phisique souvent grotesque surtout dans son look, mais tellement attachante et comique. Elle est d'une simplicité ravageuse, et on se retrouve un peu dans son image de trentenaire désabusé.
Bref un film plein d'humour et d'émerveillment.

une bonne comédie qui fonctionne par l'excellente prestation de l'actrice principale et les situations par lesquelles chacun est passé.

Une comédie romantique au charme British bien sympathique et agréable à regarder. De bonnes musiques additionnelles, de bons acteurs, un bon moment avec Bridget Jones.

« Le journal de Bridget Jones » est le premier long-métrage de Sharon Maguire tiré du roman éponyme de Helen Fielding. Sorti en 2001, ce fut un très grand succès commercial car il était plaisant et délassant. L’intrigue est connue de tous, Bridget (Renée Zellweger) est une trentenaire célibataire un peu enrobée, gaffeuse, qui fume comme un pompier, boit comme un trou et passe chaque année le nouvel an avec ses parents et une dinde au curry chez des amis côtoyant ainsi régulièrement un ami de sa prime enfance, Marc (Colin Firth), devenu avocat. Bridget travaille à Londres dans une maison d'édition dirigée par Daniel Cleaver (Hugh Grant), dont elle pense être amoureuse … mais le trio de tergiverser !
Vingt ans après, le film reste plaisant à regarder même si certaines scènes sont « téléphonées » ou outrées … Bref ce n’est pas du grand cinéma mais un très bon téléfilm !

Cette romance londonnienne qui a eu tant de succès dans les librairies,n'évite pas toujours les lieux communs de la célibattante gaffeuse,mais distille un certain charme dont il serait dommage de se priver."Le journal de Bridget Jones" s'adresse essentiellement à un public féminin.Beaucoup de femmes se reconnaissent en Bridget,coeur d'artichaud étourdie,trop spontanée,mais d'une drôlerie inarrétable.Le coup du triangle amoureux,avec d'un côté le bellâtre coureur de jupons et de l'autre le terne et snob avocat,semble déséquillibré.Dans la réalité,les filles ont le chic pour choisir l'homme qui leur convient le moins,d'où une expérience acquise aux forceps...Renée Zellweger est une Bridget irrésistible.Sa moue boudeuse,son côté lunaire et son sourire franc la rendent des plus attachantes.Hugh Grant et Colin Firth,les 2 prétendants,sont tout à fait dans leur rôle.La BO pop référencée est assez enthousiasmante,alors que la fameuse touche british agit.Les dialogues sont impertinents.De nombreuses scènes sont restées mémorables,comme la culotte de grand-mère,la bagarre dans la neige,le pull à tête de cerf,la tenue de bunny...Un conte de fées moderne en somme.

Le film a fait un tabac à sa sortie en 2001 pour avoir mis en image les tourments d’une trentenaire un peu ronde qui a du mal à se trouver une conduite de vie. La comédie innove sur certains détails de mise en scène mais sur le fond elle est assez classique, dans le pur style des comédies américaines des années 40. Sans doute la voix off de Bridget qui exprime ce que beaucoup de femmes pensent quotidiennement, tracassées qu’elles sont par l’image qu’elles s’imaginent devoir donner d’elles-mêmes, contribua à l’engouement que le film provoqua auprès de la gent féminine. Sharon Maguire aidé de Richard Curtis au scénario se moque gentiment de cette propension des femmes à agir en fonction de ce qu’elles pensent devoir être plutôt qu’à rechercher leur propre identité. Des siècles de domination masculine sont à l’origine de cette frustration qui en engendre bien d’autres diront les féministes convaincues. Le risque était de tomber dans la caricature et le film n’y échappe pas toujours. Mais René Zellwegger tient la barre fermement grâce à un tempérament et un culot qui lui permettent d’attirer sur elle une sympathie immédiate. Une réelle performance car le rôle de Bridget lui fait souvent côtoyer le ridicule. Le public ne s’y est pas trompé qui en a fait aussitôt une star mondiale. A côté d’un tel volcan, Hugh Grant et Colin Firth ont souvent du mal à exister. L’ensemble est sympathique, parfois touchant et innovant mais on reste quand même à bonne distance des sommets atteints par les comédies de Wilder , Hawks ou Capra.

Bridget Jones a beaucoup d’objectifs ; que ce soit arrêter de fumer, perdre du poids, ou encore trouver l’amour, le vrai (à commencer par arrêter de chercher l’homme qui lui convient le moins). Si elle ne parvient à réaliser tout cela, ce n’est pas uniquement par manque de volonté, mais surtout à cause d’une maladresse de haut niveau. Sans oublier cette propension maladive à se ridiculiser ouvertement en publique par le biais d’une incorrigible diarrhée verbale. Un personnage très romanesque et haut en couleur dont beaucoup de femmes trentenaires ont dues se sentir concernées. Une ode aux éternelles célibataires qui ne peuvent s’empêcher de faire fuir le moindre prétendant. Pourtant, aussi inespéré que cela puisse paraitre, Bridget Jones se retrouve tenaillée dans un tumultueux triangle amoureux. Gard aux combats de coqs ! Lequel entre Colin Firth et Hugh Grant sera le plus digne de gagner le cœur de la blonde aux rondeurs aguichantes ? Pas facile à dire pour une fois. Les trois sont si différents qu’un simple rapprochement parait tout bonnement impossible. Entre un éditeur zélé, coureur de jupon et un avocat pète-sec et snobinard, le cœur balance. Renée Zellweger incarne à merveille cette représentation de la fille ni trop ordinaire, ni trop canon pour en faire un personnage tout à fait attachant par ses discours et ses intentions. Celle qui rêve de ressembler aux filles des magasines mais qui est bien trop gauche pour être prise au sérieux. Il en ressort une comédie, certes potache, mais fort bien réalisée au vu du sujet énoncé. On ne peu que rire face au comique de situation et par la conviction d’une écriture dynamique. Un scénario avant tout destiné à un publique féminin, mais distillant un tel charme qu’il serait dommage de s’en priver. Une belle romance impertinente et spontanée. 3,5/5

L'histoire de Bridget Jones, c'est celle de tout un chacun, avec un peu plus d'eau de rose que de coutume. Ce film n'a pour lui que la candeur de ses acteurs. Même pas de beaux paysages. Bref, rien de vraiment intéressant. Demandez plutôt à un ami chagriné de vous confier ses peines de coeur, ce sera une soirée plus vraie et plus utile.