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    Le Roi et l'oiseau
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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 octobre 2013
    Encore merci à Paul Grimault et Jacques Prévert pour ce chef d'oeuvre,HEADqui nous replonge dans nos rêves d'enfance!!!HEADCritique du société archaïque et obsolète, mais d'une sincérité à vous donner la chair de poule,HEAD"Le Roi et l'Oiseau" ne pourra, en aucun cas, vous laisser indiffé vous ne l'avez pas encore vu, ne perdez plus de temps...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 8 août 2013
    Je trouve que ce film est ennuyeux. Car l'histoire est vraiment trop prévisible et le film avance doucement. Mais je suis surprise par la magie que quelques choses ont disparu ou sont apparues. Par exemple, c'est fantastique des personnages sortent des peintures. Et les dispositifs de château sont très amusant aussi. Il est certain que les films de Miyazaki sont influencés par ce film. Je crois que c'est un très bon film pionnier des films d'animation.
    Louis-Auxile M.
    Louis-Auxile M.

    24 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 janvier 2012
    Classique au style pourtant inhabituel, Le Roi et l'Oiseau saura divertir les plus jeunes et dépayser les moins jeunes, en les emportant dans un univers encore inconnu, mais cohérent et accessible. Sans être devenu un incontournable du cinéma d'animation, ce film reste plaisant à regarder. On notera certaines allusions subtiles à des valeurs d'antan, voire démodées, qui ajoutent encore à sa féerie, si ce n'est à sa pédagogie. Toujours bon à voir.
    Misoramengasuki
    Misoramengasuki

    54 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 juillet 2013
    "Le roi et l'oiseau" est une vache sacrée du cinéma français. Pour en parler, il faut donc évoquer le film lui-même, mais aussi ce qu'il signifie pour l'industrie nationale du cinéma, et pourquoi il a obtenu son statut d'oeuvre "intouchable", devant laquelle la révérence est quasi-obligatoire.

    Pour le film, on dira en qu'en dépit de plusieurs points forts, il a vieilli et que même à l'époque, il ne devait pas paraître très jeune. Paul Grimault est un coloriste compétent, qui obtient parfois de sa palette de beaux effets pastels. Il lui arrive aussi d'avoir de l'esprit (la galerie de portraits et de sculptures du roi, avec des clins d'oeil à Picasso et à d'autres maîtres contemporains), de la culture (les références à "Métropolis" et à quelques autres classiques) et quelques idées fortes (la dernière scène avec le robot, qui inspirera Miyazaki lorsqu'il imaginera le robot jardinier du "Château dans le ciel"). A côté de ça, l'animation de beaucoup de scènes et le design de nombreux personnages sont franchement ringards (la bergère, le ramoneur, les gros flics à moustache), beaucoup de séquences sont longuettes, et surtout verbeuses. "Le roi et l'oiseau" est, à ma connaissance, le seul film d'animation signé par un réalisateur ET un écrivain-scénariste-dialoguiste. Celui-ci, Jacques Prévert, met parfois dans le mille (l'amusante litanie de l'ascenseur énumérant les étages du palais), mais tire trop souvent la couverture à lui avec des discours bavards, trop littéraires pour être naturels.

    Surtout, le film a un défaut majeur: il n'a aucune dimension musicale. Pas de rythme narratif (défaut récurrent du cinéma d'animation français, cf. "Les triplettes de Belleville"), des scènes qui s'enchaînent sans scansion réelle de l'histoire, aucun air plaisant ou facilement mémorisable - là où les productions Disney, par exemple, séduisent immanquablement par leur côté "Broadway". La complainte d'un musicien aveugle qui joue de l'orgue de Barbarie, à côté, ça fait tristounet... Grimault était un homme du visuel, Prévert un homme des mots: aucun n'avait de réelle sensibilité musicale. Or, on ne le dira jamais assez: le cinéma, surtout d'animation, est un art audio-visuel - et dans audio-visuel, il y a audio. Sur cette dimension, "Le roi et l'oiseau" est quasi inexistant.

    Enfin, le film incarne mieux que nul autre l'ambition, et finalement l'échec, d'un cinéma d'animation français. Soyons clair: les 1,7 million de spectateurs revendiqués à la sortie sont dûs à un effet de curiosité, à une campagne promotionnelle massive et surtout à l'embrigadement du public scolaire (j'en ai fait partie), qu'on a envoyé en masse remplir les salles à coup de séances spéciales. "Le roi et l'oiseau" incarnait en fait une philosophie du film d'animation vouée à l'échec: un cinéma voué à divertir, mais aussi à éduquer - pour ne pas dire: "à endoctriner". Grimault et Prévert étaient des anciens du groupe Octobre, "collectif" artistique des années 30 spécialisé dans l'agit-prop stalinienne. Et ça ne passe pas inaperçu! Le contenu politique du "Roi et l'oiseau" est pour le moins pesant: le méchant roi et sa société policière contre les gentils pauvres opprimés (quel manichéisme à côté des films de Miyazaki, qui pourtant sont aussi "à message"!), l'asservissement productiviste, le rôle libérateur de l'artiste (symbolisé par l'oiseau), les lendemains qui chantent (allégorie lourdingue des lions qui incarnent la force latente des masses populaires)... Sous les oripeaux du divertissement, le message ne souffre aucune ambiguité. C'est probablement ce qui a séduit la presse et le public "cultivé", massivement engagés à gauche et qui ne rêvaient que de tailler des croupières à Disney qui lui, en méchant réactionnaire, ne cherchait qu'à divertir son public. Ce rêve d'un cinéma à la fois distrayant et engagé (rêve d'autant plus paradoxal que le film dénonce précisément l'exploitation de l'art à des fins idéologiques) était voué à l'échec: "Le roi et l'oiseau" n'a pas eu de successeur. Là où Disney avait bâti une machine au succès mondial qui crachait (et crache encore) des dollars à foison, là où l'industrie de l'animation japonaise se préparait à faire irruption sur la scène internationale grâce à des coûts de production faibles et à de vraies trouvailles visuelles et scénaristiques, les artisans politisés comme Paul Grimault et ses amis étaient condamnés à la marginalité, et finalement à l'extinction. "Le roi et l'oiseau", avec ses qualités et ses défauts, reste, dans son splendide isolement, le symbole de ce rêve impossible. Et la vénération teintée de nostalgie qui l'entoure aujourd'hui témoigne essentiellement du complexe d'infériorité du monde français de la culture face à un monde qu'il n'a pas su comprendre et sur lequel il ne pèse plus guère.
    Roi Arthur
    Roi Arthur

    9 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 septembre 2011
    Enfant, je le regardai en boucle. Je le trouvais drôle et étrange. Je l'ai revu il n'y a pas longtemps, et je le trouve encore plus drôle, et moins étrange. L'âge enlève un peu de fantaisie, mais il nous fait gagner en "expérience" et on apprend à apprécier ce genre de films encore plus qu'avant, car on comprend les messages et certaines plaisanteries cachées.
    insomnia35
    insomnia35

    12 abonnés 309 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 avril 2012
    Un dessin animé atypique, c'est le moins que l'on puisse dire. Des dessins travaillés, des dialogues savoureux signés Jacques Prévert. Cette version cinématographique de La bergère et du ramoneur d'Andersen, se laisse savourer comme une délicieuse tasse de chocolat chaud au coin d'une cheminée d'un chalet savoyard au plein cœur de l'hiver. Tout comme l'image que je viens de donner, le dessin animé est certes délectable, il n'en demeure pas moins un peu daté. On regrettera également la voix catastrophique prêté à l'Oiseau. Ce film aurait sans doute mérité plus de vitesse et de dynamisme, pas tout à fait un chef d'oeuvre à mes yeux, juste un bon moment.
    dominique P.
    dominique P.

    785 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juillet 2013
    Bien que j'avais 7 ans quand il est sorti au cinéma la première fois, on ne m'a pas emmenée le voir.
    Après avoir lu de très bonnes critiques, je décide de le voir puisqu'il ressort au cinéma 34 ans plus tard.
    Oui c'est une belle histoire et l'oiseau est vraiment formidable.
    Toutefois ce n'est visuellement pas très beau, les décors, le roi et ses policiers sont particulièrement moches et c'est assez gênant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 mai 2011
    Un peu décontenancé par tant d'éloge à propos de ce film. Les influences sur le Château dans le Ciel de Myasaki sont évidentes de même que d'autre grandes œuvres ont influencé Le Roi et l'Oiseau. Alors parce que c'est Paul Grimault et Jacques Prévert qui sont à l'origine du film je devrais crier au chef d’œuvre ? A y regarder de plus près qu'elles sont les qualités du Roi et l'Oiseau ?

    Un univers original ça c'est certain, inspiré de multiples cultures, une musique il est vrai superbe mais intéressons-nous à l'histoire: un tyran règne sur son royaume et se fait évincer par son propre portrait qui s'est épris d'une bergère qui s'est enfuie avec un ramoneur tous trois sortis d'un tableau. Au niveau des personnages, si je voulais être un peu méchant je dirais que c'est aussi manichéen qu'un Disney (ben oui désolé mais bon, le roi est très méchant, sans humanité et le ramoneur et la bergère sont l'innocence même) mais c'est pas forcément un défaut je dis juste que sa dénote pas non plus sur ce point-là par rapport à d'autres. Sans aller plus loin, ne voulant pas dévoiler la fin de l'histoire, je trouve qu'il y a un problème de faux-rythme. Il est là pour moins le vrai défaut majeur, j'ai l'impression que le film ne démarre jamais et ce sentiment provoque une sorte de grande frustration à la fin du film. Mais c'est là que certains diront "Dans Le Roi et l'Oiseau ce qui compte c'est la poésie qui s'en dégage". Sur ce point là j'ai pas trouvé que ça transcende le genre, oui c'est poétique mais il y en a d'autre.

    En quoi l'histoire sort du lot par rapport à un conte classique ? En quoi ce film d'animation se hisse au-dessus des autres ? Personnellement je n'ai pas vu d'éléments particuliers mise à part l'originalité du monde qui me permet de dire qu'il fait partie des meilleurs films d'animations. Ce n'est pas parce que c'est français et original qu'il faut crier au chef d’œuvre. Peut-être était-ce différent à l'époque où il est sortit, peut-être l'ai-je vu trop tard...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 janvier 2013
    Un film que je regardais toute petite, et que je ressors encore de temps en temps de l'armoire !
    Inspiré d'une histoire de Paul Grimault, ce film est rempli de poésie et possède une ambiance parfois dérangeante (l'ambiance dans le château, et ce robot !) mais reste un excellent dessin-animé.
    ghyom
    ghyom

    69 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2014
    Que n’ai-je découvert ce film plus tôt ! Ou peut-être que non. Peut-être que c’est finalement un mal pour un bien. Si enfant j’aurais probablement apprécié toute la poésie qui se dégage de ce film, je n’aurais certainement pas saisi toutes les références. Car des références il y en a. De « Metropolis » de Fritz Lang aux « Temps Modernes » de Chaplin, de Salvador Dali à Rodin, ou d’ « Ubu roi » de Jarry à « 1984 » de G. Orwell.

    Le roi, monarque absolu à la vie totalement vaine assujettit son peuple. Despote tellement remplaçable qu’il disparait du film remplacé par son double sorti d’une peinture. Soit vous lui obéissez volontairement et vous vous conformer à sa vision des choses et vous vous déshumanisez tels ces policiers tous identiques (entre la Stasi et les Chemises noires de Mussolini), soit par la contrainte il vous offre une vie miséreuse et aveugle tel ce peuple de la ville basse qui ne sait rien du monde extérieur (autarcie) et qui ne vit que pour travailler et ne travaille qu’à promouvoir la gloire de ce roi. L’oiseau, seul, symbole du poète, ose s’opposer à ce roi pour voir triompher l’amour d’une bergère et d’un ramoneur. Sa seule arme les mots.

    Ce qui est particulièrement intéressant, surtout quand on se rappelle qu’on est encore en pleine guerre froide quand est « créé » ce film (création qui s’étale sur une très longue période entre les années 50 et la fin des 70s), c’est que ce film critique le capitalisme (travail à la chaîne) et questionne sur l’utilité de certains progrès technologiques (ascenseur-fusée, jet-skis, auto-tamponneuse et bien sûr le méga robot destructeur) mais qu’on peut également y voir quelques références au nazisme bien sûr : « le travail c’est la liberté » s’exclame le roi, renvoyant alors à l’inscription « le travail rend libre » des camps de concentration mais n’oublions pas que les soviétiques n’étaient pas en reste question camps et qu’ils avaient eux aussi une devise étrangement proche « Par le travail, la liberté ». Même si l’on connait les sympathies politiques de Prévert, il y a de petits détails, pour peu qu’on connaisse les références ou qu’on se renseigne, qui apporte une lecture finalement pas aussi unilatérale qu’on pourrait le penser.

    Bref, un dessin animé très bien écrit et réalisé qui manque peut-être de rythme à un ou deux moments mais qui reste suffisamment poétique pour plaire au plus petits et suffisamment riche et intelligent pour intéresser les plus grands.
    Julien D
    Julien D

    1 102 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 juillet 2013
    Toujours aussi réjouissant à revoir plus de trente ans après sa sortie fracassante, cette fierté française en matière de dessin-animé a rapidement su dépasser les frontières grâce à l’universalité lyrique de son propos et à sa beauté tant graphique que musicale. Sa reprise de passages de La bergère et le ramoneur, que Paul Grimault avait déjà réalisé 25 ans plus tôt, accompagnée de scènes mémorables et de dialogues rédigés par Jacques Prévert (décédé l’année précédente et à qui le film rend ouvertement hommage) a beau être un grand délire visuel et un conte enfantin, il transmet en fait, à travers ses nombreuses métaphores et clins d’œil, un message politique plein d’espoir. La virtuosité intemporelle de cette œuvre et l’honnêteté que l’on ressent derrière ce travail d’orfèvre font allègrement oublier que son animation peut aujourd’hui sembler terriblement désuète.
    Santu2b
    Santu2b

    214 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 octobre 2014
    Sorti à l'orée des années 1980, "Le Roi et l'Oiseau" s'avère l'exemple type du film porté aux nues auquel je suis resté relativement insensible. Pourtant, c'est dire si le duo formé par Paul Grimault et Jacques Prévert a pu marquer toute une génération d'enfants et de cinéaste, en particulier Hayao Miyazaki qui dira longtemps la dette qu'il doit à l'auteur français. Celui-ci est incontestablement un grand dessinateur et son film est pourvu d'une réelle potentialité esthétique malheureusement peu habillée, pas loin de la désincarnation et ce pour plusieurs raisons. Tout d'abord et principalement à cause du rythme extrêmement lent de l'intrigue ; peu (sinon pas) de dialogues, de dynamisme, dans un ensemble confondant contemplation et statisme, et plongeant le spectateur dans un profond ennui. Ajouter à cela des personnages plutôt superficiels, en particulier la bergère et le ramoneur complètement transparents, suivis de près par le roi plutôt anodin. Le seul de ces protagonistes à sauver est à la rigueur le robot mais là encore parce qu'il puise ses racines au sein de "Metropolis". Quant à la poésie de Prévert, celle-ci s'avère là encore en petite forme, bien loin du chef-d'oeuvre attendu. Rien à faire, je n'ai pu y entrer et comprends mieux pourquoi quelques fois Miyazaki m'indiffère.
    Max Rss
    Max Rss

    168 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 janvier 2013
    D'un côté, il y a le roi et de l'autre il y a l'oiseau. Le Roi, Charles V est un homme tyrannique, qui n'hésite pas à jeter ses hommes dans les oubliettes et de manière totalement arbitraire. C'est un homme mégalomane, à l'image de son vaste et somptueux palais royal. C'est un homme qui cultive un culte de la personnalité hors du commun, en effet celui ci se fait confectionner des chaises et des statues à son effigie. Et son royaume est une vraie dystopie. C'est un roi qui déteste tout le monde et qui est détesté par tout le monde. Face à ce tyran se dresse un oiseau qui prend un malin plaisir à le narguer. Cet oiseau enjoué aux idées libertaires a pris ses quartiers juste au dessus de l'appartement secret du roi. «Le Roi et l'oiseau», inspiré de la Bergère et du ramoneur de H.C Andersen est un film d'animation qui traîte d'une histoire d'amour à première vue impossible puisqu'elle s'oppose à la volonté du tyran, mais grâce à l'oiseau libertaire les cartes vont être redistribuées et la dictature va être renversée. Sous ses airs de romance animée, «Le Roi et l'oiseau» adresse un sérieux message politique et se place du côté des opprimés. Passons outre les graphisme un peu dépassés, le seul reproche que l'on peut faire à ce film d'animation c'est qu'il met un peu de temps à demarrer, mais après, ce n'est que du bonheur. Paul Grimault, avec l'aide précieuse de Jacques Prévert signe un film brillant et intelligent à l'image du dernier plan particulièrement explicite. Du grand art.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 août 2013
    J'aime beaucoup cette histoire. C'est très joil et magique. Je ne peux pas croire pas que ce film soit sorti en 1980. J'ai été surprise par les idees dans ce film. Les musiques aussi sont merveilleuses.
    Mais je ne comprends pas ce que dit l'oiseau. Il a un très fort accent et je pense que les images et les voix ne vont pas ensemble. Les personnages sont très mignons. Mais les voix sont très vielles. J'étais troublée par la bergère, le ramoneur et l'oiseau.
    Mathieu C.
    Mathieu C.

    4 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 juillet 2013
    Je suis allé revoir ce film pour la simple raison que c'est le premier que j'ai vu au cinéma à l'âge de 4 ans. Très curieux de le redécouvrir avec des yeux d'adulte, il en ressort qu'il a beaucoup vieilli, mais y demeure un charme étrange et suranné, à l'ambiance quasi onirique,
    qui n'est pas sans rappeler parfois Destino le dessin animé "de" Dali / Disney. On y retrouve avec plaisir la plume de Prévert notamment dans le truculent personnage de l'oiseau, clairement inspiré de celui de Frederic Lemaître (Pierre Brasseur) dans les Enfants du Paradis, écrit par le même Prévert. Un film pour les enfants ? Pas si sûr.
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