Derniers Avis : Moonage Daydream - Page 4

Fan et contemporain de DB, je regrette que ce documentaire est en fait "abîmé" l'image que j'en avais. Points positifs: images inédites, interviews très sincères, esthétique qui reprend l'esprit initial de DB. Points négatifs: trop trop long et inutilement répétitif. Le personnage apparaît prétentieux et narcissique, sans aucune empathie pour les autres humains, et par ricochet, le documentaire ne créé aucune empathie chez le spectateur. Sans doute n'en était-ce pas l'ambition.

On peut s apercevoir que de la grandeur de l'artiste en assistant à ce spectacle immersif : quelle foisonnement, quel artiste aux multi visages !

Un traitement pour moi original, par son concept , montage les extraits collectionnnés (choisis), la voix narrative de D Bowie qui se raconte nous raconte.

Un film coloré immersif avec un son puissant remixé immersif spacialisé avec bruitages insérés parfois qui permet de s'immerger.

Comme un tourbillon coloré phydcadelique on nous entraîne au plus proche de l'intimité du personnage des ses états d'âme de sa carrière l'évolution de sa philosophie.

Mon passé remonte également au fil de ce film : une claque.

Pour moi un des plus beaux hommage que l'on puisse lui rendre.

"Hallo space Boy"

Brett Morgen livre un documentaire passionnant et envoûtant sur le génie de Bowie, Bowie et montrer dans sont art le plus complet (musique, poème,peinture, cinéma) a voir absolument !!! (en IMAX de préférence)

Un documentaire musical conçu comme une oeuvre, un travail de montage, de mixage son qui frise la perfection Pour une fois c'est l'artiste qui se raconte au fil de son évolution. Si vous aimez Bowie allez voir ce film sur grand écran Ça mérite l'Imax.

Une plongée dans l'univers de Bowie, à travers une succession époustouflante d'images, et d'interviews où il explique sa démarche artistique et sa philosophie de la vie, sur une bande sonore prodigieuse.

Moonage Daydream est un film documentaire de 2022 sur l’auteur-compositeur-interprète anglais David Bowie. Écrit, réalisé, produit et monté par Brett Morgen, le film utilise des séquences inédites provenant des archives personnelles de Bowie[2], y compris des séquences de concert en direct. C’est le premier film officiellement autorisé par la succession de Bowie[4], et tire son titre de la chanson du même nom de Bowie de 1971 un film inédit en france
Moonage Daydream a eu sa première mondiale au Festival de Cannes 2022 où il a reçu des critiques positives. Il est distribué par Neon, et est sorti en salles et en IMAX aux États-Unis le 16 septembre 2022

En 2016, Bowie parti d’une des plus belles manière possible en nous laissant un dernier morceau de lui avec son œuvre testamentaire « Blackstar ». Mais qui aurait cru qu’il reviendrait ?!

"Moonage Daydream" est une œuvre qu’on pourrait qualifier d’intimiste, dedans Bowie se livre à nous, ce qui n’est pas anodin car tout au long de sa vie il a toujours laissé planer le mystère autour de lui et ses personnalités. Il se confesse avec un accent philosophique sur toute sa vie, décennies par décennies.

C’est notamment grâce aux archives inédites que Bowie se confie, durant l’intégralité du documentaire nous voyageons dans l’univers Bowie, de ses débuts jusqu’à la toute fin. Brett Morgen a fait un travail phénoménal en ce qui concerne la sélection et le montage des images/vidéos. Pendant 2h20 des archives nous sont diffusées sans jamais une seule coupure, ce qui permet de donner un certain rythme au documentaire qui oscille entre entretiens, concerts, voyages, et vie privée de Bowie.

Brett Morgen a fait le choix de ne pas se limiter à la carrière musicale de David Bowie mais bien à tous les arts qu’il exerçait, que ça soit la peinture, le théâtre, le cinéma, la sculpture,… un choix judicieux de sa part car avant d’être une "rockstar", Bowie est un artiste éclectique qui n’a jamais arrêté de se réinventer.

"Moonage Daydream" est une œuvre à la hauteur et dans la lignée de ce qu’a pu faire Bowie.

Et si c'était réellement son œuvre testamentaire ?

Un voyage passionnant dans l'univers créatif de David Bowie. Les images sont splendides. Aucun commentaire, on n'entend que la voix de Bowie, que ce soit par le biais de ses chansons ou d'interviews. J'ai beaucoup aimé mais autant le dire, je suis fan de sa musique. Très intéressant aussi pour qui voudrait comprendre le parcours d'un artiste jamais installé

Ultra bruyant, ultra chaotique, ultra jouissif. Du pur Bowie, quoi. Brett Morgen a tout compris à l'esprit déjanté du chanteur, on l'avait deviné en se réveillant d'un coup face à cet électron libre qui nous a fait un tapis rouge endiablé à minuit à Cannes : on commençait à s'ennuyer pas mal, puis Monsieur est arrivé, nous a balancé Heroes à fond, et a sauté partout comme un fou, nous entraînant dans son délire électrisant le temps de 5 minutes déconnectées de toute réalité. Le film fait pareil, en 2h20. Merci, Brett, vraiment : merci. On précisera néanmoins que la dernière demi-heure est un brin longue (on revoit trop souvent les mêmes images, ainsi les séquences des planètes qu'on retrouve à l'identique au moins trois fois), et que si vous débutez dans la découverte du chanteur (personne n'est parfait), il vaudra mieux commencer par regarder quelques documentaires Arte (excellents) pour avoir quelques notions de base, car c'est un peu la particularité de Moonage Daydream : il n'est pas là pour vous donner un cours scolaire, exit la biographie, les dates, les spécialistes qui expliquent telle chanson ou telle période... Brett mélange tout, la période à Berlin avec la retraite spirituelle, les interviews et citations du chanteur comme seules paroles que vous entendrez (ou lirez) pour décrypter ce kaléidoscope sous ecsta. C'est bien simple : les jeunes assis derrière nous, venus découvrir l'idole de leurs parents, n'ont rien compris, rien appris, et sont sortis plus que dubitatifs... Vraiment, ne vous lancez dans l'épopée Moonage Daydream que si vous avez un pied (une oreille) dans l'univers de Bowie, il s'agit moins d'un documentaire pédagogique (ou d'un biopic comme l'atroce Stardust, sorti récemment et que vous aurez le bon goût d'éviter) que d'un conglomérat d'archives inédites joyeusement bordéliques. On ressort sourd, aveugle, mais en dansant. Let's Dance !