Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
À la hauteur de son sujet, le film parvient à mettre en scène la matière bien au-delà de la sensualité de ses séquences de pétrissage, captant les particules en suspension qui rendent palpables les rais de lumière tout autant que les objets et les corps souvent magnifiquement et discrètement surcadré.
Bande à part
par Léo Ortuno
Pour son premier long-métrage, Anaïs Tellenne signe un film sur le regard et ausculte l’acteur Raphaël Thiéry avec une fascination contagieuse.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Pierig Leray
"Cet "Homme d’argile" Raphaël (Thiéry) fait plus que l'incarner : il perfore le cœur, écrase le film de sa prestance colossale qu’il contrebalance à la naïveté désarmante et enfantine d’un premier émoi amoureux, s’élève ainsi au-dessus de la masse vaniteuse que peut-être l’art contemporain et sa marchandisation des corps, pour mieux régner, avec pudeur, de sa beauté paradoxale ; la Bête a définitivement fait oublier la Belle.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Françoise Delbecq
Un premier film d'une infinie poésie.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Anaïs Tellenne fait preuve d’originalité et d’ambition dans son premier long métrage [...]. Histoire de la rencontre du gardien d’une grande propriété et de son héritière, le film joue d’ambiances mystérieuses qui nourrissent un thriller intime.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Jérémie Oro
Définitivement un premier film passionnant, d’une beauté métaphysique remarquable et d’une maîtrise ravageuse.
Le Monde
par Ma. Mt.
Tout du long, le film vogue à la lisière du rêve et s’achemine vers un certain paroxysme sans fanfare, où « l’œuvre » aboutie finit par prendre vie sous nos yeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Laura Tuillier
[...] une construction à rebours des canons actuels, mise en scène du plan large et des événements lumineux, où l’histoire s’écrit autant avec les acteurs qu’avec leurs ombres [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Julien Rousset
Un premier film singulier et romantique.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Un film atypique et poétique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
L’Homme d’argile est une œuvre labyrinthique et fascinante au cœur de l’esprit contrarié d’une artiste torturée et d’un modèle malgré lui. Un film somptueux et digne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Sophie Grassin
Tellenne (premier film) brise les barrières sociales, propose une version masculine de l’égérie et convoque l’ombre de Cocteau et le mythe du Golem dans ce conte taiseux où le souffle, la lumière, les regards épousent la sensualité des mains pétrissant la glaise. L’argile et les peaux se mêlent. Ici, la bête est la belle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Tout en étant par endroits trop attaché à l’application soigneuse de son scénario, "L’Homme d’argile" épouse avec la même générosité sa théorie en embrassant les artifices du cinéma et ses irréelles nuits américaines pour mieux en célébrer l’artisanat, mais aussi redéfinir les contours de ses poncifs sur le désirant et le désiré.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
En dépit d’un scénario qui tourne un peu en rond et d’un rythme languissant, cette fable captive par son atmosphère insolite et ne manque pas de charme, notamment dans sa représentation très sensuelle du geste artistique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
À réserver aux cinéphiles radicaux, « l’Homme d’argile » déroule un récit échevelé, en forme d’ode à son personnage et comédien principal, Raphaël Thiéry, qui nous perd en route, le tout filmé à la spatule de sculpteur, ce qui fait parfois mal aux yeux et au cœur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Elodie Bardinet
Si l'on pense à Toni Erdmann dans le portrait de cet homme hors normes, rejeté e craint par les autres notamment lorsqu'il participe sans entrain aux fantasmes sexuels de sa maîtresse, il manque le grain de folie insufflé par Maren Ade pour que ce premier long un peu trop scolaire, réussisse à nous emporter.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
À la hauteur de son sujet, le film parvient à mettre en scène la matière bien au-delà de la sensualité de ses séquences de pétrissage, captant les particules en suspension qui rendent palpables les rais de lumière tout autant que les objets et les corps souvent magnifiquement et discrètement surcadré.
Bande à part
Pour son premier long-métrage, Anaïs Tellenne signe un film sur le regard et ausculte l’acteur Raphaël Thiéry avec une fascination contagieuse.
Culturopoing.com
"Cet "Homme d’argile" Raphaël (Thiéry) fait plus que l'incarner : il perfore le cœur, écrase le film de sa prestance colossale qu’il contrebalance à la naïveté désarmante et enfantine d’un premier émoi amoureux, s’élève ainsi au-dessus de la masse vaniteuse que peut-être l’art contemporain et sa marchandisation des corps, pour mieux régner, avec pudeur, de sa beauté paradoxale ; la Bête a définitivement fait oublier la Belle.
Elle
Un premier film d'une infinie poésie.
Franceinfo Culture
Anaïs Tellenne fait preuve d’originalité et d’ambition dans son premier long métrage [...]. Histoire de la rencontre du gardien d’une grande propriété et de son héritière, le film joue d’ambiances mystérieuses qui nourrissent un thriller intime.
La Septième Obsession
Définitivement un premier film passionnant, d’une beauté métaphysique remarquable et d’une maîtrise ravageuse.
Le Monde
Tout du long, le film vogue à la lisière du rêve et s’achemine vers un certain paroxysme sans fanfare, où « l’œuvre » aboutie finit par prendre vie sous nos yeux.
Libération
[...] une construction à rebours des canons actuels, mise en scène du plan large et des événements lumineux, où l’histoire s’écrit autant avec les acteurs qu’avec leurs ombres [...].
Sud Ouest
Un premier film singulier et romantique.
Télérama
Un film atypique et poétique.
aVoir-aLire.com
L’Homme d’argile est une œuvre labyrinthique et fascinante au cœur de l’esprit contrarié d’une artiste torturée et d’un modèle malgré lui. Un film somptueux et digne.
L'Obs
Tellenne (premier film) brise les barrières sociales, propose une version masculine de l’égérie et convoque l’ombre de Cocteau et le mythe du Golem dans ce conte taiseux où le souffle, la lumière, les regards épousent la sensualité des mains pétrissant la glaise. L’argile et les peaux se mêlent. Ici, la bête est la belle.
Les Inrockuptibles
Tout en étant par endroits trop attaché à l’application soigneuse de son scénario, "L’Homme d’argile" épouse avec la même générosité sa théorie en embrassant les artifices du cinéma et ses irréelles nuits américaines pour mieux en célébrer l’artisanat, mais aussi redéfinir les contours de ses poncifs sur le désirant et le désiré.
Le Journal du Dimanche
En dépit d’un scénario qui tourne un peu en rond et d’un rythme languissant, cette fable captive par son atmosphère insolite et ne manque pas de charme, notamment dans sa représentation très sensuelle du geste artistique.
Le Parisien
À réserver aux cinéphiles radicaux, « l’Homme d’argile » déroule un récit échevelé, en forme d’ode à son personnage et comédien principal, Raphaël Thiéry, qui nous perd en route, le tout filmé à la spatule de sculpteur, ce qui fait parfois mal aux yeux et au cœur.
Première
Si l'on pense à Toni Erdmann dans le portrait de cet homme hors normes, rejeté e craint par les autres notamment lorsqu'il participe sans entrain aux fantasmes sexuels de sa maîtresse, il manque le grain de folie insufflé par Maren Ade pour que ce premier long un peu trop scolaire, réussisse à nous emporter.