Avis : Challengers - Page 6

Ce n'est qu'un banal téléfilm, ni plus, ni moins.
Tennis, romance? On ne sait pas trop, les deux sont mal traités de toutes façons.
Aucune profondeur, des personnages superficiels. Les scènes sont mal filmées et en plus on nous balance une bouillie musicale infâme pour nous servir le tout.
J'ai découvert cette Zendaya. Bof. Les deux acteurs sont beaucoup trop âgés pour se comporter comme des ados de 17 ans .
C'est superficiel, du "facile-a-regarder" (si tant est qu'il y ait quelque chose à regarder).. Bref, ça correspond à l'époque et son indigence.

Un supplice! Ce film ne serait pas sorti quelques mois après Dune personne ne l’aurait calculé (la présence de Zendaya fut son principal objet marketing). J’ai rarement été aussi agacée pendant un film. La musique est trop forte, les flash back permanents sont si imprécis qu’on se perds dans le temps par moment (et pas de la bonne manière). Et je ne sais pas pour vous mais les triangles amoureux ça ne fonctionne plus pour moi. Le seul côté positif c’est que ça m’a donné envie de revoir Match Point.

Immersion dans le milieu du tennis qui n'est que prétexte à mettre en scène trois jeunes gens au cours de leur passage à l'âge adulte. Deux amis tombent amoureux de la même fille qui prend plaisir à les manipuler. Le film insiste sur les émois, les questionnements sur l'avenir, toutes les frustrations qu'il faut apprendre et consentir à supporter. Le trio d'acteurs (Zendaya, Josh O'Connor et Mike Faist) est captivant dans la traduction des désirs et des sentiments.
Dans le match final se joue un tournant de leur vie sentimentale et professionnelle.
Les amateurs de la petite balle jaune retrouvent des sensations positives.

Les comédiens sont touchants, mais le film ne l’est pas vraiment.
Serait-ce dû à la musique tonitruante (et pas toujours appropriée), au récit déstructuré qui empêche une véritable identification aux personnages ou au placement de produit intempestif?
Heureusement la fin est très belle.

Un film assez dynamique sur fond de rivalité amoureuse et sportive entre deux hommes, et au milieu Tashi interprétée par Zendaya. L'histoire est entraînante et va être parsemée de flash-back pour comprendre la relation entre ces trois personnes ainsi que la naissance des compétitions autant personnelles que professionnelles. Le casting est bon, l'énergie est présente et la mise en scène appréciable sauf un peu redondante pour la dernière partie du film, étirant trop le « suspens ».
Même constat pour la musique électro assez prédominante dans l'histoire. Autant elle renforçait le côté rivalité quand on l'entendait, autant dans la dernière partie il y a avait un peu trop d'abus.
Quelques défauts mais globalement, un bon moment de plaisir en visionnant « Challengers ».


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Depuis le Slumdog Millionaire, on connait l’acteur british d’origine indienne Dev Patel (on l’a aussi vu chez Shyamalan, Blomkamp, Winterbottom, David Lowery et d’autres). On sait un peu moins qu’il fut ceinture noire de Taekwondo, et qu’il a remporté plusieurs médailles.

Alors pour son premier film, qui s’incrit clairement dans la veine du cinéma d’action contemporain, rien d’étonnant à ce que ce Monkey Man soit bien plus palpitant qu’un John Wick (sutout si on le compare aux deux derniers). D’abord parce qu’ici, le Kid n’est pas un tueur mais une victime. Sous l’apparence du Monkey Man, il gagne sa croûte en montant sur le ring et encaisse les coups de son adversaire. Ensuite, parce qu’il a un sérieux compte à régler avec le chef de police locale qui a tué sa mère et incendié son village. Enfin, parce que toutes les scènes de combat n’ont rien à voir avec les acrobaties inoffensives de Chad Stahelski, elles sont en droite ligne de l’ultra-violence des films indonésiens de Gareth Evans et Timo Tjahjanto (révolutionnaires du genre).
Dans Monkey Man, l’action est trépidante, certes, mais elle est aussi brutale, féroce et sanguinaire. Ça n’est pas par hasard si l’acteur/réalisateur a tourné à Batam (Indonésie) et fait appel à certain Brahim Chab et à d’autres coordinateurs de l’équipe de The Raid. Par moment, on pense aussi à Nicolas Winding Refn (Only God Forgives). Alors, bien sûr, on peut regretter des maladresses, comme celles d’entrelarder trop souvent le récit de flashbacks sur l’enfance et le trauma initial, qui empêche un peu l’immersion...
Mais le résultat est là, Dev Patel réussit un très bon revenge-movie.

Challengers un nouveau film Warner Bros Pictures réalisé par Luca Guadagnino est un film pour mon plus grand plaisir réussi. On sens vraiment la tension entre le trio et le film nous emporte avec leur histoire et on a envie de savoir jusqu’au bout qui va remporter ce tournoi de tennis. Zendaya est juste exceptionnel dans son rôle. Vraiment j’ai adoré.

JE n'ai pas aimé du tout
J'ai mis 1 pour les acteurs mais je n'aime pas ''le sujet ''

Peut être une cliente plus jeune aimerait

Très bon film de romance avec une relation qui nous captive jusqu'au bout. La dimension sportive est toutefois selon mois trop mise en avant dans la bande annonce par rapport à ce qu'il en est dans le film.

Étonnant, différent et innovant. Ce film moderne et rythme fait passer Zendaya à un grade supérieur.

quand je regarde les critiques, j'ai l'impression que les 5 étoiles ont été achetés pour compenser ceux qui ont mis la demi étoile. lol . après le seul intérêt de ce film, c'est pas le tennis mais juste savoir comment Zendaya est jolie nue pour voir la suite de la bande annonce... et apparemment elle ne l'est pas , alors du coup pas d'intérêt au film. faut pas se le cacher, le film à l'air naze et j'ai mis la demi étoile pour faire ..... le monde du cinéma mdr . Amusez-vous bien devant cette bouse et allez voir Arthus, la BA m'avait l'air sympa.

J’ai beaucoup aimé ce film. Zendaya nous offre une performance magnifique. L’histoire est bien ficelée, bien racontée, finalement il s’agit d’un match de tennis à plusieurs niveaux.

Intensité. Dualité. Alchimie. Ce film est un match psychologique sur court de tennis dont les performances d’acteurs sont d’un très haut niveau. C’est évidemment à voir !

Le Tennis n’a jamais été aussi sexy. Cette métaphore de l’amour qui réunit deux joueurs qui s’affrontent sur un cours de tennis sous le regard d’une arbitre toxique qu’incarne Zendaya est virtuose. Le montage, avec ses nombreux allers-retours dans le passé ne nous perd jamais en chemin. L’interprétation du trio est d’une grande justesse. Le tennis est érotisé et, c’est une prouesse, suinte le désir. La BO qui mêle électro et bossa est d’une grande modernité. le sport n’a jamais été aussi bien filmé, érotisé. Jules et Jim se sont mis au tennis pour notre plus grand plaisir.

Je ne pourrai même pas dire que je suis déçu tant j’ai hésité à aller voir ce film.
Mais que JE SUIS DÉÇU!
Autant la manière de filmer est un des seuls points positifs du film mais alors le reste...
Pauvre en scénario, challengers déçoit tant par le manque de scènes de jeu réel (pour un film sur le tennis...) que par des moments de musique mal placés et trop lourds.
Des scènes de « sexe » qui prennent trop de place et totalement inutiles, une volonté de rendre la tromperie attirante, et une Zendaya qui malgré sa bonne performance, se pose en « Tom Cruise » dans mission impossible.
Autrement dit: on ne voit qu'elle alors que deux autres personnages avaient un intérêt plus particulier à être développés.
Pas grand chose à ajouter personnellement si ce n'est que la seule bonne chose à retenir sont les 5 dernières minutes du film, bien que gâchées par une musique pas dans le thème et prenant trop de place.