Avis : Predator 2 - Page 10

Aiguisez vos couteaux, notre meilleur ennemi Prédator nous invite à un deuxième petit massacre entre amis. John Mc Tiernan et Arnold ayant refusé le nouveau bébé des frères Thomas, Danny GLover en flic explosif ait convié à la table. Le début est magnifiquement trompe-l'oeil en voyant une forêt digne du premier volet pour vite avoir une superbe transition vers une jungle cette fois-ci urbaine, mais tout aussi dangeureuse, lieu de véritable guerre propice à la partie de chasse de l'extraterrestre rasta. Ainsi décor planté, canicule étouffante, une image représente bien le film, le reflet Danny Glover dans une glace d'un magasin d'... animaux empaillé, oui "monsieur le policier", tu seras la nouvelle proie. Ne se privant pas de scènes mémorables, ayant eu carte blanche, comme celle du métro pointant du doigt l'institutionnalisation de la vente libre d'armes à feu, causant malheureusement la perte de civils, Stephen Hopkins offre avec "Predator 2" une excellente suite injustement boudée.

J'avais peur d'une suite mais celle ci est quasiment aussi forte que le 1. Cet opus à même réussit le double exploit de s'adapter à la ville urbaine et a développer un peu plus cette créature.
Jouissif et captivant (surprenant mais convainquant Glover dans un tel rôle)

Bon, ce deuxième Predator est clairement en dessous du premier film qui est vite devenu culte. Ce n'est pas non plus le navet absolu, on retrouve un peu l'esprit du premier film. Un peu dommage que Danny Glover soit trop mis en avant, les autres personnages ne sont pas assez exploités. 3/5

Predator 2 est une suite assez moyenne au Predator de John McTiernan, malgré une présence assez charismatique de Danny Glover à l'écran.
L'acteur est au top et prouve qu'il a tout d'un acteur de film d'action malgré son âge supérieur à la moyenne et une musculature moins imposante (est-ce bien compliquée) que celle d'Arnold Schwarzenegger. Gary Busey et Bill Paxton sont également très bons dans des rôles secondaires.
Mais je suis resté sur ma faim. Déjà, le film perd en fraîcheur. Ce qui faisait la force du premier (de découvrir une chasse à l'homme par un alien particulièrement dangereux et monstrueux) n'est plus du tout surprenant ici (puisque l'on sait déjà exactement ce à quoi ressemble un Predator, son type d'arme et son style de combat). Si ce point n'est pas directement lié à la qualité du film, il n'empêche que l'effet surprise du premier film n'est forcément plus là. Ensuite, finalement, l'univers de la ville, des gangs, des gens qui grouillent dans le métro, … s'avère être un terrain de chasse moins séduisant à suivre (le fait de suivre un petit groupe d'individus perdus dans une forêt sans fin et sans repère était plus enthousiasmant). Et enfin, on passe les trois quart du film à pourchasser le Predator là où c'était complètement l'inverse dans le film de McTiernan (ce qui rendait l'intrigue beaucoup plus frissonnante).
Ça reste au final satisfaisant en termes de production : les effets spéciaux sont là (ils ont pris un petit coup de vieux depuis le temps, mais c'est pardonnable vu l'âge du film) ; les scènes d'action sont très divertissantes et les effusions de sang jouissives, le costume du Predator est flippant, le personnage de Danny Glover est ultra cool, … mais bon, je reste sur le premier film qui m'avait beaucoup plus happé.

Une suite assez moyenne, mais parfois efficace. Certaines choses sont plus soignées que dans le premier volet, comme la mise en scènes ou la photographie, mais le premier opus reste sans aucun doute le meilleur, celui-ci ne lui arrive pas à la cheville ! J'ai aimé cette idée de changer d'environnement, mais j'avoue que je préfère tout de même la forêt qu'à la ville. Les Predators sont tout de même mieux fait, mais certains acteurs sont vraiment nuls, voir insupportable. Et j'ai trouvé le scénario assez faible à côté du 1. Et puis Glover à la place de Swarzy... C'est pas du tout pareil. Pourtant il fait pleins d'efforts pour son rôle mais il ne l'interprète pas aussi bien que notre chère Arnold ! Bref, un film assez bon, mais pas un chef d'oeuvre comme le premier !

On est loin du premier film Predator, qui restera culte !! Une suite baser sur l’action forcément moins intéressent que le précédent, parfois certaines scènes sont ridicules et d’autres surprenantes, mais on peut quand même accrocher jusqu'à la fin. Danny Glover n’est pas Schwarzenegger mais se débrouille bien comme les autres acteurs qui t’entend de faire ce qu’ils peuvent : Gary Busey, Ruben Blades, Maria Conchita Alonson, Bill Paxton, Robert Davi ou encore Adam Baldwin.

Après avoir terrassé Arnold Schwarzenegger, le prédator essaye de s’attaquer à Dany Glover qui est quand à lui pris à partie dans une guerre de gang entre Jamaïquain et Cubain. Il faut l’avouer, il ne faut pas réfléchir pour suivre. Cette suite qui joue une nouvelle foie sur la testostérone des personnages principaux mais également sur des effets spéciaux de bonnes factures pour l’époque mais ce volet ne dépasse en rien le premier.

J'ai enfin vu le second film de la franchise qui me manquer pour complété la chronologie de l'univers. Cette suite du mythique film avec Schwarzy est très sombre et gore. Elle parvient a construire un récit convaincant et réussie à me surprendre jusqu'au dénouement. Danny Glover est très convaincant dans la peau du flic casse-cout qui veux risquer sa vie pour percer le mystère sur le mystérieux assassin extraterrestre. Tout le reste de la distribution est correct. Mais, tout repose essentiellement sur les épaules de Danny Glover. La mise en scène s'en sort très bien , le scénario passe, les musiques fonctionnent et les effets-spéciaux sont très efficaces." Prédator 2 " n'est pas un chef-d’œuvre, mais il reste tout de même une très bonne suite de l'Original.

Pas à la hauteur du premier film, c'est sûr ! Mais il reste cependant une bonne suite de la franchise, bien divertissante, où l'on retrouve le Predator cette fois en ville dans un déluge de fusillades acharnées entre les flics et les trafiquants. Danny Glover fait ici office de Schwarzy au film, on est content de retrouver la BO du premier film pour nous remettre dans l'ambiance. En bref, pas un très grand film, mais qui a tout de même du potentiel (surtout vers la fin).

Suite au succès du cultissime Predator, il n'aura pas fallu attendre bien longtemps (1990) pour qu'une suite voit le jour ; au demeurant l'idée n'était pas idiote et jouissait d'un fort potentiel, et la tâche ardue que de faire honneur au volet de McTiernan revint à Stephen Hopkins, que je connais autrement pour quelques-unes de ses œuvres futures (L'Ombre et la Proie ainsi que Perdus dans l'espace, tous deux sympathiques mais sans plus). Ceci étant dit, il convient à présent de qualifier Predator 2 de déception, ce long-métrage n'étant clairement pas une réussite au regard de nombreux points ; cela, d'autant plus que même sans faire la comparaison avec son aîné, le film a l'air d'une série B pour ainsi dire ringarde par moments. D'un point de vue visuel d'abord, il y a certes des effets spéciaux plus que réussis pour l'époque, mais en dehors de ça la mise en scène fait pâle figure : aucune immersion à ce niveau-là, des fusillades grossières et affrontements pas convaincants pour un sou, et l'environnement urbain se prête moyennement bien à la chasse du Predator. Il en résulte ainsi une ambiance trop peu prenante, le long-métrage ne parvenant pas à éveiller notre intérêt du fait de péripéties fades et autres rebondissements prévisibles ; la faute tient donc aussi à une intrigue éventée, sans réels mystères, criblées de facilités scénaristiques (l'attaque du métro est difficile à avaler) et d'autant plus plombée par des personnages caricaturaux à l'excès. Sur ce point on ne parvient donc pas à se prendre de sympathie pour Mike Harrigan, archétype du flic tête brûlée, et ce ne sont pas les protagonistes secondaires qui vont relever le niveau (entre figures inutiles et l'antipathique Lambert, il y du monde au portillon) ; dans une même veine le casting ne fait pas de miracle, quoique pas trop ridicule, mais pas à même de redresser la barre, comme peut en attester un Danny Glover fadasse au possible comparé à Arnold Schwarzenegger. Au final, seul subsiste en terme de bon point les quelques éclaircissements apportés au Predator lui-même, notamment au gré de détails visuels et autres clins d’œil savoureux ; le final vaut lui ainsi le détour sur ce plan, de par la présence de plusieurs Predators par exemple, ou encore avec l'apparition d'un pistolet des plus particuliers, de quoi accroître l'intérêt autour de cette race fascinante. On tient donc là une suite pas loin d'être dispensable, uniquement sauvée par ses effets visuels réussis et de rares (mais bienvenues) révélations sur le Predator, compensant à grand-peine un combo intrigue-ambiance-personnages décevants au possible.

Stephen Hopkins (Blown away) sort de la forêt amazonienne pour nous rapatrier ce Predator dans la jungle urbaine de Los Angeles.
En dépis de la surprise créée par Schwarzenneger et McTiernan, Danny Glover, Gary Busey (L'arme fatale, Piège en haute mère), Bill Paxton (Apollo 13, Tombstone) et Adam Baldwin (vu dans Wyatt Earp et Independance day) côté casting restent le principal atout de ce film dopé à l'adrénaline et où le rythme reste constant.
Pour la scène finale, le réalisateur termine sur des chapeaux de roue, même si l'ensemble de Predator 2 reste rondement mené.
Avec toujours la présence d'Alan Silvestri à la musique.
Spectateurs, voici Danny Glover venu vous divertir pour ce soir. Laissez-vous prendre, car dans le genre, on a vu bien pire.

Après la jungle tropicale dense et verdoyante voici donc qu'on nous plonge dans le béton de la jungle urbaine où la guerilla semble avoir explosée même si on se dit que les cartels ne sont pas bien malins alors que le métier impose plutôt une industrie souterraine. On aurait aimé peut être une sorte d'alliance entre police et gang plutôt que la sempiternelle agence secrète. Plusieurs passages sont clairement des erreurs ou des maladresses comme un Predator qui joue le paratonnerre, ou pire le Predator qui voit en infrarouge sans son masque (?!). Niveau action il est dommage que le hors champs soit si systématique, le gore ne peut se satisfaire de quelques corps plus ou moins sanguinolents et un simple flic qui survit trop facilement face au Prédator. Pourtant la bête reste fascinante, un des meilleurs aliens du cinéma, et la chasse reste captivante tandis les acteurs font le job. En conclusion, une suite qui ne manque pas d'idées mais qui joue trop la carte du jeu de massacre gratuit, une mise en scène un peu fouillie sans inspiration mais comme séance pop corn décérébré ça reste efficace.
Site : Selenie

Un monstre attaque la ville… L’idée de génie qui contribua grandement à la réussite du film, c’est sans nul doute celle de transposer l’action de cette suite dans la cité des anges, pour le coup devenue un véritable enfer dantesque. Il manque néanmoins une chose à Predator 2, l’effet de surprise. Un manque heureusement compensé par un rythme haletant qui fait la part belle aux scènes d’action (celle du métro et celle de l'abattoir par exemple), d’investigation, sans oublier bien sûr quelques passages relativement gore pour relever le tout. Côté casting, Danny Glover est plutôt à l’aise dans son rôle de vieux baroudeur. Il est d’ailleurs parfaitement épaulé par une jolie galerie de seconds rôles inévitables à la fin des eighties. Entre Bill Paxton, Robert Davi, Maria Conchita Alonso et cette crapule de Gary Busey. Côté récit, on peut également apprécier que la « mythologie » du Predator soit quelque peu développée en fin de film. Définitivement un chasseur en safari sur Terre pour s’offrir quelques trophées, la créature nous apparaît plus sociable qu’on pouvait l’imaginer dans cette scène étonnante où Danny Glover se retrouve cerné par une poignée de chasseurs. Epargné et même gratifié d’une récompense pour avoir vaincu l’un des leurs, le héros semble être soudain respecté, comme si les Predator obéissaient à une sorte de code d’honneur à l’image de celui des samouraïs dans le Japon féodal. Bref, c’est peut-être gadget mais ça donne un plus indéniable (une petite touche Alien) au film de Stephen Hopkins, loin d’être une vulgaire suite sans âme. Au final, une bonne série B où l’on ne s’ennuie pas une seconde.

Le Predator est probablement une des créatures les plus fascinantes dans l’histoire du septième art. Avec ses gadgets et son camouflage, il est un excellent chasseur. Dans le premier opus, l’extra-terrestre s’attaquait à Arnold Schwarzenegger dans une jungle tropicale. Dans cette suite, le Predator s’attaque à Danny Glover dans une autre jungle, mais cette fois urbaine. Vous l’aurez compris, changement de décor pour la chasse à l’homme. Pour être franc, j’ai été très déçu de cette suite, qui aurait pu être beaucoup plus intéressante si elle était bien menée. Je trouve que le Predator n’a pas sa place dans une ville. Et quand on s’attaque à un mercenaire (Arnold Schwarzenegger) dans le premier épisode, il n’est pas vraiment intelligent de choisir un simple policier (Danny Glover) comme proie. Je suis très déçu, car le Predator a un potentiel énorme pour le cinéma. Il a été assez mal utilisé dans cette suite. L’histoire n’est pas bien écrite, et le fait d’inclure des guerres de gangs ne rend pas le récit plus intéressant, bien au contraire. D’ailleurs, ce film est bourré de clichés de tous les genres. On voit très bien que c’est un film. Rien que la scène dans le commissariat le prouve. Je n’ai encore jamais vu un tel commissariat de police. J’avais l’impression de voir le commissariat de Last Action Hero. Predator 2 a plutôt mal vieilli. Vous l’aurez compris, cette suite est bien inférieure au premier épisode et fait plus penser à un nanar qu’autre chose. Heureusement, certaines scènes ne sont pas trop mal (le Predator qui marche dans des flaques d’eau alors qu’il est invisible), et ce monstre du cinéma sauve à lui seul le film.

Un nouveau film de predator après un chef d'oeuvre avec Arnold Schwarzenegger pas trop mauvais. Le film reprend le même scénario que le précédent film sauf que cela se passe dans une ville, et non pas dans une jungle. Un casting d'acteur assez moyen dont Danny Glover qui joue le vrai policier à l'américain mais son rôle se montre assez lourd. Gros avantage du film, les scènes d'actions ne traînent pas rien qu'un début assez explosif. Une bonne confrontation avec le predator qui est un sacré tueur. On ne s'ennuie pas car il y a pas mal d'action. Les effets spéciaux sont pas trop mal. Quelques scènes bien pensées. Même si le film n'est pas mauvais, il reste tout à fait regardable pour l'action mais il ne vaut pas mieux que le premier.