On reprend les mêmes ingrédients mais on change littéralement de lieu: de la jungle à la ville en pleine guerre de gangs. La scène du métro est très impréssionnante.
Mieux foutus que le premier opus, "Predator 2" réussi à mettre en place une mythologie de la race des Predator, des chasseurs qui parcourent l'univers pour rapporter des trophées (d'ailleurs sympa le clin d'oeil à alien dans le vaisseau), cependant ce deuxième volet reste un peu trop bourrin.
Ce film est un navet, comme il en existe déjà trop. Voici le cliché du film raté. Des dialogues creux, des stéréotypes en veux tu en voilà, des fusils, des explosions, du sang et tout cela pendant 1h 48. Si c'est votre dada allez y sinon passez votre chemin.
Vu le 31/01/2022. Aussi étonnant que ça puisse paraitre, alors que j'avais vu 3 ou 4 fois le 1er opus, je n'avais jamais vu le second, pourtant sorti trois ans plus tard. Et pour cause puisqu'il n'arrive pas à la cheville du 1er... Moi je veux bien qu'on tente de recréer l'atmosphère oppressante de la jungle en ville à Los Angeles avec une canicule mais franchement, est-ce que cela a du sens? Déjà le Predator, on voit sa vision Infrarouge dès les premières minutes alors que pour le 1er, il avait fallu attendre bien 30 minutes pour le voir et ça mettait une bonne dose de suspens alors que là... ça casse tout. en plus, comment expliquer que notre Prédator arrive comme ça en ville, on apprend en fin de film que le vaisseau se cache dans les entrailles d'un immeuble... sans que personne n'ait jamais rien remarqué? Et pourquoi le Preador s'en prend au héros principal Michael Harrigan (joué par Danny Glover) ? Serait-ce un super héros? non, juste un flic banal, certes un peu excité mais rien de plus, rien à voir avec Schwarzy dans le 1er opus. D'ailleurs la comparaison entre les deux est assez inquiétante pour Glover qui se démène, qui s'excite qui fait ce qu'il peut mais qui a du mal à tenir la comparaison. Et puis franchement, vu toutes les mines qu'il se prend, il se relève encore alors qu'il n'est qu'un simple flic et non un soldat super-entrainé comme Dutch dans Predator 1, je trouve ça maladroit, c’est plus que non-crédible. Ajouté à cela un personnage exubérant joué par Bill Paxton (Jerry Lambert), l'attaque dans le métro où même la mamie cache un flingue dans son sac à main (!!!). Dans l'ensemble un film de SF très moyen qui souffre de la comparaison avec l'excellent 1er opus, franchement, je n’ai pas été emballé du tout, même pas avec en plus la présence de Gary Busey que je trouve comme souvent trop moyen
Même ci il est moin bien réussi que le 1ére, ce 2éme opus reste vraiment pas mal, avec de bon effets spéciaux et plein d'actions, et cette voici le predator qui quitte la foret pour ce retrouver en ville, puis les acteurs joues assez bien. A voir.
Une excellente suite a l'inoubliable Predator de Mc Tierman qui malgré un changement radical de lieu de combat, permet au Predator de jouer a merveille son rôle de chasseur.
Ce deuxième volet du Predator a perdu toute sa substance par rapport au premier et en devient pathétique. Si vous avez aimé le premier épisode et n'avez pas encore regardé ce *Predator 2, abstenez vous et vous me remercierez.
Scwharzie n'est plus la... Ouf!!! L'idée de transposer cette suite dans la ville de L.A était géniale. En effet, contrairement à ca que disent certaines personnes, cette suite pioche toute sa force dans l'ambiance citadine. Un changement. Qu'aurait donné une suite dans le même décor? Un REMAKE tout simplement!!! Scénaristiquement parlant, nous serions vite tombés dans la médiocrité et le déja vu. Attention, le premier opus n'est pas un navet à mes yeux, bien au contraire (de plus, j'apprecie beaucoup Mc Tiernan), mais Schwarzie gâche le spectacle. Danny Glover lui est un vrai acteur. Ce deuxieme volet est plus rythmé, l'image de la presse qui nous est donné quand à elle est assez révélatrice, et enfin, le design de cette créature est vraiment d'enfer.
Un film où tout y est navrant, que ce soit le scénario, les dialogues, les acteurs ou les scène d'action. Un film qui n'a rien a voir avec son aîné et qui fait passer le Predator pour un monstre ridicule.
Stephen Hopkins signe un volet urbain très sombre, tel un thriller donc avec un style bien différent du premier qui évite toute comparaison immédiate, en y ajoutant la mythologie des Predator, ici en sur nombre et en chasseur planétaires, face à un Danny Glover seul et en grande forme. Un épisode peu reclamé mais qui déjà en son temps était solide.
Predator aurait dû rester unique et ne pas connaître de suite tant que celle-ci est un gros navet. Même danny Glover qui remplace dans le rôle principal un certain Arnold Schwarzenegger ne sauve le naufrage. Les effets spéciaux ont mal vieillis. Le Scénario est ennuyeux et le fait d’amener le Predator en ville est des plus absurde.