Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Obs
par Xavier Leherpeur
En refusant de donner des réponses et d’expliquer l’origine de l’obsession de son héros (pathologie ? burn-out ?), Mohamed Ben Attia lie peu à peu le spectateur au mystère de son personnage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Parisien
par Catherine Balle
Personne n’attire la sympathie, en dehors de l’enfant, perdu, kidnappé par un père en détresse, prêt à exploser à tout moment. Alors on tremble pour lui et la tension nous happe jusqu’au bout. Jusqu’à ce final qui baigne dans une poétique folie.
La critique complète est disponible sur le site La Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
M. Ben Attia se rate dans les grandes largeurs avec ce drame qui rêve d’espace et de mythologie - à travers son personnage principal, mi-Icare mi-Saturne - mais regarde par trop le bout de ses chaussures lacées par des non-dits et des petits secrets de famille.
Télérama
par Frédéric Strauss
Une tension parfaitement maîtrisée s’installe dans ce film qui fait surgir une atmosphère et un imaginaire rappelant, contre toute attente, l’univers de M. Night Shyamalan, l’auteur de Sixième Sens (1999) — où des gens ordinaires développent un rapport obsédant avec une autre réalité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Pris en tenailles entre une asphyxie politique et la recherche poétique d’un espoir, Par-delà les montagnes articule avec difficulté les moments de tension à l’abandon contemplatif.
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Aussi désarçonnant que touchant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Laura Tuillier
Souvent mal fagoté, brouillon, frôlant parfois le ridicule, Par-delà les montagnes est pourtant riche de ses audaces narratives, de ce côté tête brûlée qui lui fait suivre son antihéros (formidable Majd Mastoura, déjà remarqué dans Hedi) au-delà des bornes de l’empathie, faisant fi des conventions morales pour se brancher sur une psyché en roue libre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par S.O.
Ce road movie trouve son originalité en plaçant le spectateur dans une position incommode face à ce père illuminé et dangereux (...).
Le Monde
par M. Jo.
Le film semble alors naviguer à vue, disséminant ses symboles sans qu’on sache très bien ce qu’ils viennent symboliser. Ou, à l’inverse, on le devine trop bien : le film figure une ode à la liberté, loin des déterminismes de la vie en société, mais qui s’exécute dans un jeu d’oppositions naïf et trop lâche pour attraper le réel qu’il est censé représenter.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
La fable politique est parfois difficile à cerner : on comprend que, dans un monde qui lui paraît absurde, le cinéaste cherche une échappée dans l'imaginaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un film tendre, étrange, poétique, qui manque hélas un peu de consistance et de souffle.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Un périple intrigant qui met trop de temps à assumer sa part de fantastique.
Première
par Thomas Baurez
Par-delà les montagnes intrigue d’abord (dans quel film est-on exactement ?), puis se pose pour se terrer dans une maison (prise d’otages à rallonge), là où l’on aurait voulu que ce drame fantastique décolle enfin pour de bon.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
En refusant de donner des réponses et d’expliquer l’origine de l’obsession de son héros (pathologie ? burn-out ?), Mohamed Ben Attia lie peu à peu le spectateur au mystère de son personnage.
La Parisien
Personne n’attire la sympathie, en dehors de l’enfant, perdu, kidnappé par un père en détresse, prêt à exploser à tout moment. Alors on tremble pour lui et la tension nous happe jusqu’au bout. Jusqu’à ce final qui baigne dans une poétique folie.
Les Fiches du Cinéma
M. Ben Attia se rate dans les grandes largeurs avec ce drame qui rêve d’espace et de mythologie - à travers son personnage principal, mi-Icare mi-Saturne - mais regarde par trop le bout de ses chaussures lacées par des non-dits et des petits secrets de famille.
Télérama
Une tension parfaitement maîtrisée s’installe dans ce film qui fait surgir une atmosphère et un imaginaire rappelant, contre toute attente, l’univers de M. Night Shyamalan, l’auteur de Sixième Sens (1999) — où des gens ordinaires développent un rapport obsédant avec une autre réalité.
Cahiers du Cinéma
Pris en tenailles entre une asphyxie politique et la recherche poétique d’un espoir, Par-delà les montagnes articule avec difficulté les moments de tension à l’abandon contemplatif.
Le Journal du Dimanche
Aussi désarçonnant que touchant.
Libération
Souvent mal fagoté, brouillon, frôlant parfois le ridicule, Par-delà les montagnes est pourtant riche de ses audaces narratives, de ce côté tête brûlée qui lui fait suivre son antihéros (formidable Majd Mastoura, déjà remarqué dans Hedi) au-delà des bornes de l’empathie, faisant fi des conventions morales pour se brancher sur une psyché en roue libre.
Télé Loisirs
Ce road movie trouve son originalité en plaçant le spectateur dans une position incommode face à ce père illuminé et dangereux (...).
Le Monde
Le film semble alors naviguer à vue, disséminant ses symboles sans qu’on sache très bien ce qu’ils viennent symboliser. Ou, à l’inverse, on le devine trop bien : le film figure une ode à la liberté, loin des déterminismes de la vie en société, mais qui s’exécute dans un jeu d’oppositions naïf et trop lâche pour attraper le réel qu’il est censé représenter.
Le Point
La fable politique est parfois difficile à cerner : on comprend que, dans un monde qui lui paraît absurde, le cinéaste cherche une échappée dans l'imaginaire.
Les Inrockuptibles
Un film tendre, étrange, poétique, qui manque hélas un peu de consistance et de souffle.
Ouest France
Un périple intrigant qui met trop de temps à assumer sa part de fantastique.
Première
Par-delà les montagnes intrigue d’abord (dans quel film est-on exactement ?), puis se pose pour se terrer dans une maison (prise d’otages à rallonge), là où l’on aurait voulu que ce drame fantastique décolle enfin pour de bon.