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    Le Grand bazar
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    83 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    11 958 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 février 2015
    Incontestablement la meilleure comèdie des Charlots! Depuis "Les bidasses en folie", c'est à une douzaine d'aventures de ce quatuor jadis musical que nous avons assistè. "Le grand bazar" de Claude Zidi est en quelque sorte la pierre angulaire de ce groupe parodique des seventies, un must de la comèdie spècifiquement française et de la contestation, qui impose une image de marque de notre production et de notre rire, ou plutôt façon de rire! Sans entrer ici dans les dètails des personnalitès et des exceptions, on peut affirmer que cette comèdie de 1973 est un produit de très grande consommation! L'histoire de quatre potes qui dècident d'aider un petit commerçant (Michel Galabru) à rèsister à la concurrence d'un magasin de grande surface dont le directeur est un certain Michel Serrault! Citer les meilleurs moments de ce bidonnant « bazar » prendraient une plombe tellement les gags abondent sans un instant de rèpit: le rèveil matinal à la « Citè des fleurs » , le travail à l'usine, la visite de l'appartement avec Coluche, la livraison des bouteilles de lait, les bikers dans le club...et bien sûr toutes les scènes se dèroulant dans le magasin de grande surface entre cochons de lait, catapulte et planque dans des caisses à vin! De plus, il y a l'excellente musique des Charlots qu’on ne se lasse pas d'ècouter ( « A la Music-Boutique » ). Et puis il y a un tout petit rôle de Michèle Delacroix qui n'est pas sans charme dont la beautè èlectrise chaque plan où elle paraît (avis personnel). 84 minutes de rire absolu avec des Charlots dè-chaî-nès comme jamais! Dommage qu’on ne fasse plus ce genre de comèdie de nos jours...
    rogertg2
    rogertg2

    23 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2008
    Même si la plupart des gags ne volent pas haut, on rigole souvent, d'autant plus que les Charlots nous ont plutôt habitués à de véritables navets. De plus, cette fois-ci, ils sont entourrés de grands acteurs comiques comme Michel Serrault et Michel Galabru.
    landofshit0
    landofshit0

    248 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juillet 2014
    Le grand bazar est sans conteste la meilleure comédie des charlots. Le groupe à une grande filmographie mais très peu de chose sont à garder,le grand Bazar est le seul à sauver. Les gags sont gros c'est une certitude,pourtant ça marche. Une fois de plus ça ne va pas chercher bien loin,mais c'est suffisamment sympathique pour s'amuser.
    Yetcha
    Yetcha

    743 abonnés 4 286 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 avril 2021
    Un excellente comédie franchouillarde où l'on retrouve toute l'absurdité et la drôlerie des charlots comme on les aime qui ajoute une critique acerbe de la société de consommation et les choix gouvernementaux des années 70. S'il baigne dans son jus des 70's, il y baigne avec plaisir et grand bonheur. Claude Zidi étant passé par là, ça ne pouvait qu'être de qualité! Un bon moment à chaque visionnage!
    Buzz063
    Buzz063

    63 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 janvier 2011
    Il faudra un jour écrire un livre sur la filmographie des Charlots tant leurs navets (ou nanars c'est selon l'humeur) semblent avoir une certaine importance sociologique concernant la France giscardienne des 70's. Le Grand bazar est filmé et monté en dépit du bon sens, est un peu poujadiste sur les bords et la plupart des gags vont du débile au consternant, même si il faut admettre que quelques uns sont bien trouvés. Après une première partie où chaque membre de la troupe enfile des minis sketchs à tour de rôle, ils finissent par se regrouper pour augmenter leur pouvoir de nuisance à défaut d'augmenter leur potentiel comique. Serrault et Galabru assurent les seconds rôles en faisant dans le simple et efficace (cabotinage à fond pour résumer).
    Akamaru
    Akamaru

    2 799 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 avril 2013
    Il y'en a eu des comédies burlesques,y compris en France où Jacques Tati et Pierre Etaix étaient les maîtres incontestés. Les Charlots,avec Gérard Rinaldi à leur tête,évoluent sur un tout autre registre. Le but est de faire rire grassement avec des gags visuels plus incohérents et débiles les uns que les autres. Oubliez la moindre notion poétique et contestataire(même si l'on prend place dans le phénomène nouveau alors des supermarchés de banlieue). Les Charlots se contentent de faire les zouaves avec leurs têtes d'ahuris finis. Même si l'on sourit à quelques uns de leurs pathétiques gags,on a surtout cette tenace impression de carton-pâte que n'aident pas des bruitages exagérés. "Le Grand Bazar"(1973)conserve de la dignité grâce à Michel Serrault en propriétaire de supermarché et Michel Galabru en épicier colérique. Mais c'est tout.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 mars 2014
    Les énormes Galabru et Serrault, Les gags burlesques délirants, l'ambiance nostalgique des années 70's en font un des meilleurs Charlots. Un divertissement sympathique qui m'a beaucoup amusé...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 mai 2015
    C'est un ami qui m'a conseillé Le grand bazar...................................................... Bon sang que c'est mauvais. J'ai du mal à croire ou à imaginer qu'on ait pu rire à ça, et que mon pote ait pu le trouver drôle. Nan parce que ce film est................nul, y a pas d'autres mots. D'abord, je l'ai regardé parce que je ne dis jamais non à un ami, mais je m'attendais à un truc DRÔLE !!!!!!!!!! Non, j'ai dû sourire deux fois pendant le film........................................sachant que celui-ci dure une heure et demi en enchaînant les gags c'est ennuyeux, non !!!!! Les gags d’ailleurs sont lourds, prévisibles, ridicules, ringards.............nuls. Mon dieu, les acteurs cabotinent avec des personnages nuls (les personnages des charlots sont quatre potes stupides, c'est tout ce qu'on apprend d'eux). Vous voyez, c'est comme quand deux personnes rient d'un souvenir drôle pour eux, mais pas pour vous qui les écoutez, car vous n'avez pas vécu ce moment. Bah ce film, c'est pareil, les charlots se marrent bien mais moi je m'ennuie. Si, des fois je m'amusais à remarquer les décors en carton pâte....................................... Eh ouais.
    Nul, nul bref nul.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 août 2008
    Cette troisième réalisation pour Claude Zidi avec la célèbre et très sympathique compagnie des Charlots s'essouffle trop rapidement dans cet épisode. Le premier, Les Bidasses en folie, était tout à fait potable. Entre-autre, il modernisait à son époque un style de comédie archaïque, proposant une nouvelle gamme d'humoriste. Souvent lourd certes, il avait au moins le mérite de ne jamais pâlir de honte face aux gags qui sonnent aujourd'hui, il est vrai de le dire, assez ringards. Mais c'était le charme de l'époque. Puis l'année suivante, Les Fous du stade reprend la même recette. Plus réussie, le rythme était trouvé. Foisonnant d'un humour bon enfant et moins vulgaire, l'ensemble arrivait à déclencher le rire après les bons sourires du premier. Mais voici que le bazar s'installe dans cette succession d'épisodes, qui ne prendront jamais le temps de se diversifier, d'évoluer. Concrètement, Le Grand bazar marque la chute inévitable de ce gentil quatuor, incapable de comprendre que le renouvellement est la seule solution pour perpétuer dans le temps. En vain, les acteurs ont beau courir et crier, le rythme ne suis pas. A peine un tiers du film et l'essoufflement se fait déjà sentir. Avec souffrance, le scénario tire ses dernières ficelles pour parvenir à quelque chose. Mais la routine emporte le tout. Plus rien ne surprend. La surprise n'est plus, le convenance s'invite. Heureusement, les Charlots arrivent à rendre cette bonne heure et quart regardable par leurs numéros vieillots et un casting qui retient l'attention. Mais force de constater que non seulement la série éprouve premières limites à son époque, le spectacle demeure aujourd'hui absolument désuet. A réserver aux nostalgiques et aux curieux de la nouvelle ère.
    willycopresto
    willycopresto

    116 abonnés 1 349 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 novembre 2015
    "Le grand bazar" (1973) rediff sur NT1 le 03.11.2015.
    On a peine à le croire :qu'est-ce donc dans ce navet qui, en 1973 a pu séduire près de quatre millions de spectateurs en salles ? La popularité des Charlots ? La série de films dans lequel il s'intègre ? L'envie de rire à tout prix et sur n'importe quoi ? Bref, tout est raté dans ce navet quand on le regarde à nouveau avec le recul du temps : un scénario indigent, des gags qui s'accumulent comme les radars sur nos routes, et placés n'importe comment ! Seul intérêt : un casting respectable dont Claude Zidi ne semble pas trop que donner à jouer à ses comédiens ! Burlesque ou ridicule ? Heureusement, le réalisateur nous a gratifié de bien mieux par la suite ! Regardez bien l'affiche : des grimaces, toujours des grimaces ! Cette bouffonnerie a pris aujourd'hui trop de rides !
    willycopresto
    Stéphane C
    Stéphane C

    53 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 avril 2019
    Ce film est nul à chier mais je me marre toujours autant dès qu'il passe à la télé .................lol
    Incertitudes
    Incertitudes

    170 abonnés 2 319 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2015
    Dans leurs films, Les Charlots n'avaient de cesse de défendre le petit contre le gros, le faible contre le puissant. Dans Le Grand bazar, ils s'en vont aider leur ami épicier (Michel Galabru) menacé de faillite suite à l'implantation d'un supermarché dirigé par Michel Serrault. D'ailleurs, la disparition des petits commerces à cause de la grande distribution est toujours d'actualité aujourd'hui alors que Le Grand bazar date de 1973 ! Les Charlots étaient-ils finalement des visionnaires ? Allez savoir. Critique de la montée des hypermarchés s'implantant en France depuis la fin des années 60 et instaurant la consommation de masse et critique aussi du chômage galopant dû à la fin des trente Glorieuses alors que Giscard n'est même pas encore au pouvoir. Dès le début du film, Les Charlots se font virer de leur usine de fabrication de tondeuses, parce qu'ils s'évertuaient à construire des motos, et se demandent si, dans leur cité, ils vont retrouver du travail. Là encore, rien n'a fondamentalement changé. On avait déjà ces barres d'immeubles dégueulasses au début des années 70. Cela dit, Le Grand bazar n'est pas non plus un documentaire de son époque. Ce n'est pas un reportage sur le début du déclin de la France. C'est du Claude Zidi aidé par Georges Beller et Michel Fabre au scénario. Ainsi, on voit les Charlots se réveiller le matin les uns les autres en sautant d'immeubles en immeubles et couper leur saucisson du casse-croûte au boulot grâce à la lame de leur tondeuse. On voit également un patron payer le champagne à leurs ouvriers après les avoir virés, un bar servir de garage à moto, un balayeur danser dans la rue, un agent immobilier détruire complètement un appartement qu'il était en train de faire visiter à un Coluche médusé (faut dire que l'humour de Coluche, plus verbal, n'était pas du tout le même que celui des Charlots qui était vraiment, lui, un comique de situation) un agent de sécurité patrouiller dans le magasin affublé d'une tête de vache, des courses-poursuites en moto ou dans le supermarché dignes d'un épisode de Benny Hill. La fin est assez ironique voire même sombre : spoiler: Galabru, avec l'argent de la vente de son épicerie, décide de rentrer dans son village natal pour y construire un supermarché à la place de l'épicerie, les Charlots, qui ont monté un hangar de construction de motos, connaissent le même sort que Galabru au début
    . Triste constat pour dire qu'au fond peu importe les individus : tout est une question de pognon. A une époque où la comédie populaire battait son plein (De Funès, Oury d'un côté, Philippe Clair, Claude Zidi et Les Charlots dans un registre plus franchouillard de l'autre) et dans une France qui commençait sérieusement à s'urbaniser, à déserter les campagnes, à se déshumaniser, Le Grand bazar avec ses gags cartoons tombant à plat une fois sur deux, ses excellents seconds rôles (les deux Michel Galabru et Serrault mais aussi Jacques Seiler, Roger Carel en commissaire-priseur) et son petit message social est une comédie de son temps. Dézinguée par la critique, une constante chez les Charlots, mais plébiscitée par le public qui devait rire de bon cœur devant les facéties de ces grands dadais avant tout excellent musiciens. Quatre millions de spectateurs. Ça m'interpelle sur le phénomène qu'ils devaient être à l'époque.
    ClashDoherty
    ClashDoherty

    210 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 décembre 2006
    Jamais vraiment accroché à celui-ci. Je ne sais pas pourquoi, il est pourtant bon, un des meilleurs, même. Mais sans doute est-il trop 'réussi', alors que les Charlots, en général, faisaient des films assez drôles, mais médiocres...des nanars hilarants.
    Ce film, par contre, n'est pas un nanar.
    moket
    moket

    434 abonnés 4 202 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 février 2020
    Ben… c'est un film des Charlots… Tout est dit ! C'est lourd et ringard avec une absence notable de scénario. A noter tout de même la présence de vrais acteurs qui ne sauvent toutefois pas le film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 novembre 2008
    Un des moins mauvais charlots grace à la présence de Galabru notamment et son aspect historique avec le phénomêne nouveau des hypermarchés.
    Les meilleurs films de tous les temps
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