Changer le passé, c’est modifié le présent et avoir des répercussions sur le futur, une réalisation conjuguée en 1994, avec Jean-Claude Van Damme, il va avoir du sport, son karaté contre ses adversaires ennemis du temps, acrobaties voltigeurs.....! Coup de kicks, du chat étirement classique.
La police américaine s’interpose pour réguler cette science-fiction, de l’action prévue dix ans de plus, le calendrier 2004 anticipée, crée dans l’immédiat des contrôles, des criminels spéculateurs comme intrigue costaud.
La tentation est forte au sein de l’unité d’élite spécial maintien de l’ordre temporel, la courbe inconstance reste encadrée, le voyage sans autorisation est illégal, des candidats entrepreneurs incisifs perturbateurs, mission ramenés les déserteurs passibles de la sentence immédiate et adjugée.
C’est passable, le secret défense militaire des États-Unis intervient là où il faut gérer la situation, à venir de la technologie modifiable, un seul fait peut faire le printemps, l’été, l’automne, l’hiver dans cette histoire ingérée de partout.
Facile de trouver le sujet de ce scénario scientifique qui ne se complique la tâche, une moyenne notée dans l’écriture beaucoup de recommencement inspiré avant-gardiste 2000-2010-2020, le best of des années 90 vidéoclub cassette en série B.
Plusieurs fois dévoilé dans la mise en scène intrigante course contre la montre à chasser le chasseur, intouchable double croisé évaporé, ou clash des mondes intemporels interdits, tout rentre dans l’ordre finalement la romance, it’s Timecop !......