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stallonefan62
237 abonnés
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3,0
Publiée le 26 avril 2022
Retour alléchant de Sean Connery qui reprend un rôle qui lui va si bien !! Une nouvelle fois il assure dans les cascades dans ce nouvel opus plaisant à suivre !! Le final sur la plateforme pétrolière est particulièrement réussi !!
Vraiment moyen ! L'intrigue est souvent absente. Le scénario n'est pas transcendant. La mise en scène est correcte. Le casting moyen et la BO l'est tout autant.
Les Diamants sont éternels, notre bon vieux 007 un peu moins ... Alors oui, j'envoie direct un bon crochet dans les ratiches d'un film qui franchement laisse à désirer, son statut n'y change rien !
Un mot me viens là de suite et sonne pour moi comme une évidence, quincaille. Voilà l'idée que je me fait de cette énième suite des aventures de James Bond. Sean Connery n'y change rien, il fait joujou avec ces engins, ces femmes, ces rivaux et au final deviens comme c'est le cas depuis un moment, très lourd. Coté scénar, ce film est un tantinet plus relevé que le précédent ( On ne vit que deux fois ), pas bien difficile il faut bien dire de réhaussé le niveau à ce sujet, mais bon ...
Il faut se contenté de ce que l'on a. Les premiers films avait leurs défaut mais avec une vue d'ensemble ceux-ci passait au second plan. Ici, on ne retiens que ses échecs. Passons à autre chose. Cap sur ses suites avec Roger Moore.
James Bond (Sean Connery) remonte la piste d’un trafiquant de diamants, en effet les diamants amassés auraient pour but de construire un laser visant à détruire une ville importante. On retrouve Sean Connery, sa classe et son humour, ce qui n’est pas déplaisant. L’histoire est riche en rebondissements même si c’est parfois alambiqué au niveau de l’intrigue. Certaines scènes d’action ont un peu vieilli comme la poursuite avec l’engin spatial dans le désert, ou la course poursuite en voiture, un peu longue. Malgré tout, on ne s’ennuie pas, les méchants sont charismatiques (Mr Wint et Mr Kidd) et on retrouve avec plaisir Sean Connery.
Plus que les diamants, Sean Connery est éternel. L'acteur semble vieillit, fatigué, désintéressé à présent de ce rôle qui l'a élevé au rang de star et de sex-symbol. Ce nouvel opus de James Bond est assez fade, la faute à l'acteur mais également à un scénario qui tire du coté de la satire et de l'humour. L'acteur et le titre sont connus de tous, l'histoire en revanche laisse à désirer. James Bond a besoin d'un nouveau souffle, Live and Let Die arrive dans quelques années avec un nouvel acteur pour quelques films, de quoi relancer sur un nouveau rythme cette saga qui a 60 ans d'âge.
Franchement pas le meilleur James Bond. Bizarrement semble plus vieux que James Bond Contre Dr No, pourtant sorti huit ans plus tôt. Les scènes d'actions sont poussives. On a l'impression qu'il y a un préposé caché dans le décors pour faire glisser les portes. La scène montrant des astronautes dans un décors lunaire laisse perplexe. La poursuite à bord d'une jeep lunaire relève d'un film comique. Les précautions sur la radioactivité sont révélatrices d'une époque de développement du nucléaire civil. Même les répliques sont moyennes. Mention spéciale pour Abondance Delaqueue, une James Bond girl qui porte un nom approprié dans ce film avec queue mais sans tête.
Sean Connery nous avait prévenu "on ne vit que deux fois ". C'est donc tout naturellement qu'il revient aux affaires et s'offre une seconde vie dans la peau de l'agent 007. Après un opus précédent très sombre, celui-ci est plus léger et joue la carte du second degré. Pas le meilleur, mais divertissant tout de même.
Une forme de classique du genre rediffusé à la mort de Sean Connery un peu moins de 50 ans après. Quelques idées amusantes dans le genre macabre avec en fil rouge les deux tueurs presque comiques. Difficile de juger de l'originalité du tout pour ce long film où l'on retrouve un peu tout les poncifs du genre et vu sur différentes décennies. Il est distrayant mais fini par être longuet car l'impression du toujours la même histoire s'infiltre insidieusement. On remarque par exemple le choix des acteurs pour mettre en valeur le James Bond et cela finit aussi par être surfait, quelconque, comme ses aventures féminine d'un autre temps. Il reste une distraction pour les inconditionnels ou à regarder évasivement car au juste il n'y a rien à en retenir.
Un opus plus léger, qui se prend moins au sérieux et décide d'incorporer des ressorts comiques. La recette d'un divertissement hollywoodien rondement mené, davantage axé vers le genre du blockbuster moderne, qui pullule aujourd'hui.
James bond spécifique qui voit le retour de Sean connery dans le role de james bond, ce sera par ailleurs sa dernière apparition dans le role au sein de la franchise officielle. Un retour principalement du aux complications mal gérées du premier changement d'acteur dans le film précédent ( lazenby n'a pas souhaité reprendre son role après le film ), c'est donc en échange d'un salaire mirobolant que connery accepta de revenir, Pour ce qui selon moi va malheuseuement s'averer etre son moins bon james bond. Cette fois-ci bon devra ( encore ) affronter le spectre et il faut bien dire que cette opposition ( la sixieme, alors que le film ets le 7eme de la franchise ) commence a lasser ( ce sera d'ailleurs "hormis la scene d'épilogue de 5minutes dans rien que pour vos yeux, la derniere apparition du spectre, jusqu'a son retour dans le film du meme nom en 2015) et la ou donald pleasance avait livré une prestation de blofeld ayant fait rentrer le personnage dans l'histoire du cinéma, et ou telly savalas avait réussi à tenir la route, le blofeld de charles gray va malheureusement tomber dans les abimes et se reveler un blofeld vraiment très fade face à ces predecesseurs.et c'est sans comptr la fameuse dernière scène régulierement moquée par les fans de james bond pour son aspect ridicule tant sur le jeu des acteurs ( hormis sean connery, parfait comme dans tout le film ) que sur le choix de l'enchainement des plans. Ce james bond n'est pas non plus si mauvais il est loin d'etre le pire de la franchise, il reste des éléments très intéressants, mais il reste pour moins le moins bon de l'ère connery, et un james bond assez décevant.
Après les moindres succès d’ « Opération Tonnerre » (1965) et d’ « Au service secret de sa majesté » (1969), Albert R. Broccoli et Harry Saltzman, les producteurs historiques de la saga, s’interrogent sur la suite à donner aux aventures de l’agent 007. George Laszenby ayant curieusement décidé de lâcher l’affaire, ils ont dû abandonner la suite directe envisagée d’ « Au service secret de sa majesté ». Il leur faut donc trouver un autre James Bond. C’est peut-être l’occasion d’américaniser la franchise pour lui donner un nouveau souffle. Après Burt Reynolds et Adam West, un temps envisagés leur choix se porte sur John Gavin qui a déjà fait ses preuves chez Douglas Sirk et Alfred Hitchcock. Mais la United Artists tient absolument à ce qu’une démarche soit entreprise pour persuader Sean Connery de reprendre le rôle. Peu motivé, l’acteur accepte en échange d’un cachet colossal qui lui permettra de financer durablement une fondation à destination des jeunes artistes sans le sou de son Ecosse natale. Richard Maibaum officie encore une fois à l’écriture du scénario mais il est aidé par Tom Mankiewicz le fils du célèbre réalisateur, l’action devant se passer essentiellement sur la côte Ouest des Etats-Unis. Les deux James Bond girls sont Jill Saint-John et Lana Wood (la sœur de Nathalie) qui quoique très affriolantes ne resteront dans les mémoires comme les plus marquantes de la saga. L’intrigue qui prend beaucoup de libertés avec le roman de Ian Fleming paru en 1957, s’articule autour de la recherche par Bond à travers le globe du butin provenant d’un vol de diamants faisant suite à de nombreux autres en provenance des carrières d’Afrique du Sud. Si les moments d’humour savamment disséminés ici et là font toujours leur effet tout comme les gadgets plutôt innovants et plaisants, on ne peut s’empêcher de remarquer que Sean Connery alors âgé de seulement 38 ans paraît un peu poussif et surtout assez peu concerné. La linéarité du propos et le transfert de l’action à Las Vegas en pâtissent qui font ressortir encore davantage la lassitude de l’acteur. On trouve donc par instants le temps un peu long à cause d’une intrigue manquant de nerfs que Guy Hamilton pourtant très brillant sur « Goldfinger » (1964) a bien du mal à transcender. Le méchant interprété par l’excellent Charles Gray (déjà apparu furtivement dans « On ne vit que deux fois »), semble lui aussi un peu apathique. Bref « Les diamants sont éternels » n’a rien de vraiment éternel si ce n’est sa longueur. Sean Connery dont la motivation était déjà bien entamée juste après « Goldfinger » s’est sans doute commis dans l’épisode de trop.
Afin de relancer la franchise, EON Productions fait appel à Guy Hamilton (réalisateur de GOLDFINGER), à Shirley Bassey (interprète du titre GOLDFINGER) et surtout au "seul et unique" James Bond à savoir Sean Connery. Mais ce dernier semble fatigué, il est bourssoufler, a pris du poids et sa moumoute et encore plus voyante qu'auparavant et même s'il affronte son pire ennemi pour la énième fois (Ernst Stavro Blofeld, qui change encore de visage), l'envie n'y est plus.
"Les diamants sont éternels" est le septième volet de la saga des "James Bond". Un film plutôt divertissant avec le bonne scènes d'action, l'histoire n'est pas mal et je l'ai trouvé un peu long à certain moment.