Avis : L'Empire du soleil - Page 8

Un film racontant l'histoire de prisonniers américains et anglais à shangai. L' on peut redouter un film trop long et barbant mais c'est tout le contraire qui se produit. Au fur et à mesure que le film avance, notre émerveillement ne cesse de grandir grâce au scénario et à la prestation des acteurs magnifiques, Christian Bale nous montre ses talents dès son plus jeune âge. On suit la transformation du héros durant 2h25 ou le réalisateur le fait passer de gosse de riche puéril et insolent à un jeune garçon rusé, surprenant et courageux. Certaines des scènes sont juste magnifiques le tout aidé par une musique génial, en gros, que du positif.

Un film de Spielberg que je redécouvre, ce n’est pas le plus connu. Il retrace les tribulations d’un jeune garçon anglais séparé de sa famille au cours de l’occupation de la Chine par les japonais. Le jeune garçon en question est joué par un Christian Bale de 13 ans qui révèle déjà un talent qu’il ne démentira pas une fois adulte. Malkovich, que je n’apprécie pas toujours, reste sobre dans son jeu. On retrouve le souci du détail de Spielberg et son talent pour mettre en scène les jeunes acteurs. On pourra reprocher au fim d’être un peu long par moment, mais la mise en scène est impeccable et la fin n’est pas trop « lacrymale », les retrouvailles restent pudiques.
Un très bon film (mais Spielberg ne me déçoit que rarement).

Avec "L'Empire du soleil", Steven Spielberg a réalisé ce qui est sans conteste son film le plus leanien. Si l'ensemble n'est pas exempt de longueurs, le sentimentalisme, qui polluait d'autres films du réalisateur comme "La Couleur pourpre", est ici totalement absent et fait place au lyrisme. Certaines séquences dans ce sens-là sont véritablement des merveilles. Le sujet, c'est à dire la confrontation d'un enfant par l'intermerdiaire de la guerre au monde cruel des adultes, y est traité d'une façon réaliste et nuancée. Entouré d'excellents seconds rôles comme Nigel Havers et John Malkovich, Christian Bale alors âgé de 13 ans fait preuve d'une maturité et d'un talent tout simplement incroyables. Un film qui tient le haut-du-pavé de l'oeuvre spielbergien.

J'avais repoussé le visionnage de ce film jusqu'à récemment je ne sais pas pourquoi je n'avais pas lu les critiques et pour une raison quelconque j'imaginais que c'était un film sur un jeune prince japonais. Mais j'ai été captivé par la performance de Christian Bale dans le rôle d'un jeune garçon privilégié nommé Jim Graham qui grandit à Shanghai très loin de la pauvreté et du désespoir qui l'entourent. Lorsque la guerre éclate entre les États-Unis et la Chine cela change à jamais sa vie d'où l'histoire. Après quelques expériences douloureuses il se retrouve dans un camp de prisonniers de guerre où il se lie d'amitié avec des personnages intéressants et s'adapte rapidement à une vie de connivence et de subterfuge pour survivre. La transformation de Jim est magnifiquement capturée Steven Spielberg qui est un réalisateur très doué lorsqu'il s'occupe d'enfants acteurs et il obtient toujours une performance maximale de leurs part. J'ai été captivé du début à la fin de cette histoire le jeune Jim a été changé à jamais par ses expériences et ce changement est dépeint dans l'Empire du soleil de manière frappante lorsqu'il est finalement réuni avec ses parents dans une fin touchante...

Un film d'une importance moindre dans la filmographie de Steven Spielberg, mais qui cependant est tres bien imprégné du style de ce cinéaste, que ce soit dans le traitement de l'histoire, de la façon de parler de l'enfance, ou même simplement sur le plan visuel. Une œuvre intéressante sur la guerre et l'enfance, bercée par une bande-originale plutôt bonne (signée John Williams).

Doté d'une réalisation captivante, Steven Spielberg nous montre une magnifique épopée d'un gamin jouant son rôle à la perfection. Le scénario de "L'Empire du soleil" est intéressant par son aspect historique mais aussi par le côté très touchant de l'histoire. De plus, les autres acteurs sont convainquants et donc l'ensemble du film est bon.

Spielberg en aura lancé, des carrières ! Ici, il révèle Christian Bale que les talents infini d'enfant acteur mettent au premier plan, dans tous les sens du terme. L'histoire repose sur un équilibre étonnant, exceptionnellement neutre, voire objectif, sur le spectre du bien et du mal : il faut du temps pour repérer les "gentils" et il n'y a pas de miracle. Bannie, la résurrection. Ce choix très fade sur le papier permet au contraire de mettre en exergue chaque acte, fut-il mineur. Dans la suite logique de 1941, mais dans le registre opposé en terme d'humour (banni aussi dans L'Empire du Soleil), encore un de ces films qui font honneur à leur longueur par force émotions.

Le sujet de la seconde guerre mondiale vue du côté japonais et chinois est peu traité au cinéma. Ce film présente l'avantage de le faire à travers les yeux d'un enfant, en l'occurence Christian Bale qui a depuis brillé en autre dans "Batman Begins". C'est beau, touchant, parfois créatif et amusant, mais dans l'ensemble ce film palît d'un rythme beaucoup trop lent qui le rend ennuyeux. Si Steven Spielberg évoque une nouvelle fois l'enfance, un thème qui lui est cher, en choisissant un scénario convenable et une belle histoire, sa mise en scène est trop longue. Belle prestation de John Malkovitch et des scènes impressionantes à signaler. Belle histoire mais narration ennuyeuse.

Refusant tous partis pris, Steven Spielberg montre la misère de la guerre à travers les yeux d'un jeune adolescent, remarquablement interprété par Christian Bale. Malgré la profusion de bons sentiments, ce n'est jamais mièvre ; juste beau, tolérant et optimiste.

"L'Empire du soleil" est un film singulier, de par la réalisation se plaçant du point-de-vue d'une famille britannique vivant en Chine pendant la Seconde guerre mondiale, et en plaçant comme personnage principal un gamin, présent dans presque toutes les scènes du film. Le très jeune Christian Bale se révèle alors comme un acteur très talentueux, chose qui se confirmera par la suite. John Malkovich est également remarquable dans son rôle de profiteur et de salaud. Plusieurs scènes sont absolument magnifiques, relevant du chef-d'oeuvre, même si l'ensemble manque parfois d'intensité.

Empire du Soleil est un film pas mal de la part de Steven Spielberg, même s'il n'est pas aussi révolutionnaire que beaucoup d'autres films que le réalisateur avait réalisé par le passé (Les Dents de la Mer, Indiana Jones, Jurassic Park, E.T., La Liste de Schindler ou encore Il faut sauver le soldat Ryan).
L'histoire est plutôt belle, mettant en scène la guerre sous les yeux d'un enfant (même si le concept semble aujourd'hui un peu moins original).
Le film s'appuie sur un bon casting. Le choix de Christian Bale parmi 400 candidatures est payant, l'acteur étant très crédible et le personnage étant assez attachant relativement aux autres rôles d'enfants dans les films (qui sont souvent dépeints en personnages pleurnichards et chiants). L'acteur s'en sort très bien dans un rôle assez complexe qui est censé porter le film et le jeune garçon s'avère déjà très prometteur de la carrière à venir. John Malkovitch est très bon également.
La bande originale de John Williams est belle.
C'est un beau film, bien réalisé.

un bon film même si il y a tout de même quelques longueurs cependant !
Christian Bâle ( tout jeune ici ) porte le film sur son dos et livre une performance parfaite qui prouve son talent, il est accompagné au générique par John Malkovitch toujours aussi excellent !
on notera également quelques brèves apparitions de Ben Stiller.
A voir et même a revoir !

C'est l'un des rares bons films de guerre tout simplement, parce que, ce qui est mis en avant ce ne sont pas les batailles mais les vicissitudes d'un enfant dans un pays en guerre. La critique de la guerre (et de ses conséquences) est ici évidente. L'un des meilleurs films de Spielberg.

La guerre vécu par un enfant, voilà ce que Spielberg à souhaiter montrer dans son nouveau nouveau film d'époque et révélant par la même occasion, un certains Christan Bale. Des décors gigantesque ou les japonais envahissent les américains dans leur vie presque paisible. Un nombre incroyable de figurants qui montre encore la difficulté d'en assumer autant d'un coup. Mais le film se divise en 2 partie, le début bien dynamique et sans cesse évoluant, la seconde bien plus narrative et ou les longueurs s'enchaînent à mon grand dame. Les quelques séquences guerrières sont très bonnes et la mise en scène de tous cela l'est également. Mitigé pour celui-ci donc. Bale livre néanmoins un bon moment très sincère, lui ouvrant ainsi une immense carrière.

En 1941, une famille aisée britannique vit au Japon, mais l’attaque de Pearl Harbor et l’entrée en guerre des États-Unis précipite le pays dans le chaos. James se retrouve séparément de sa famille et erre dans un pays où il est condamné à survivre.

L’empire du soleil devient une œuvre personnel pour Spielberg puisqu’il part de l’enfance éloigné des parents, lui, qui a été traumatisé par le divorce de ses parents.

Magnifié par la photo d’Allen Davau et la musique de John Williams, Spielberg filme à hauteur d’homme et montre la mort de l’innocence.