Bien sûr que les paysages océaniques et que la B.O. sont magnifiques, il est donc normal qu’ils aient massivement attiré le public. Mais, au-delà de cette superficialité jouissive, le rythme lent, les personnages plats et la mise en scène simpliste font de ce film une triste source d'ennui. Celui qui a retenu la leçon c'est bien sûr Luc Besson qui comprit qu'un bon scénario n'était pas nécessaire au succès commercial d'un long-métrage.... Ainsi est né le réalisateur qui fait honte au cinéma hexagonal.
Des belles images, une musique magnifiques. Manque un peu de dynamisme dans le scénario et Barr n'est malheureusement pas à la hauteur du rôle, à l'inverse de Jean Reno.
Un très beau film émouvant avec d'excellentes interprétations ainsi qu'une belle B.O. que l'on doit à Eric Serra ( je l'adore! ). Un bon scénario qui est efficace, le seul "reproche" que j'ai serait la longueur du film... Au final deux grosses heures d'immersion dans l'océan !
Le film d'une génération. De grands moments de poésie, de tendresse et de beauté visuelle. Une bande son passée à la postérité et des acteurs motivés. Une belle réussite.
Pour la mise en scène, les acteurs, le son... le Grand Bleu est un magnifique moment de cinéma, un film fascinant et rare. Mais le scénario en fait des tonnes (on est parfois proches du teen-movie) au point que ça sonne parfois faux. "Le Grand Bleu" rate alors de peu le chef d'oeuvre, dommage.
C'est au son d'une musique frôlant l'enchantement que Luc Besson nous conte l'histoire peu banale de deux champions de plongée en apnée. Loin de course-poursuite et d'explosion en tout genre, Le Grand Bleu oppose deux personnages magistralement interprété par jean marc Barr et jean Reno dans la conquête du titre de champion de plongé. Pas forcément entrainante au premier abord, l'histoire et le scénario se concentre sur les personnages et leurs relations sans jamais trop tomber dans le cliché et le déjà-vu; le côté charismatique des acteurs faisant le reste on se retrouve à se laisser bercer malgré certaines longueurs. Finalement de structure assez classique, le Grand Bleu est projeté au rang des grands grâce à l'alliance de tous ses éléments (musique, acteur, image, scène assez magique,...) qui se complètent et se bonifient et c'est là la grande force de ce film.
Excellent performance technique : les robots sont magnifiquement humanisés. On arrive à lire à la fois la joie, l'amour, la tristesse et la détresse sur des morceaux de ferraille. Excellente performance artistique : émouvant et poétique sans être niais, responsabilisant sans être donneur de leçons. Il n'y a pas vraiment de gentils ni de méchants mais juste une belle histoire divertissante.
C'était avec un mélange de crainte et d'émotion que j'ai visionné ce chef d'oeuvre récemment, plus de 20 ans après sa sortie en salle. Quel soulagement de constater qu'il n'a pas pris une ride et que son intérêt va au-delà de la nostalgie. Pendant près de trois heures, Luc Besson nous fascine avec cette histoire teintée de rivalité, d'amitié, de passion, dans le monde méconnu de la plongée en apnée. Qui dit film d'exception dit musique d'exception : Eric Serra signe là une des plus belles bandes originales de l'histoire du cinéma.
Je m'attendais à un super film ... j'ai été largement déçu ! Je me suis ennuyé la plupart du temps ... J'ai juste apprécié Jean Reno que j'ai trouvé très drole !