Avis : Le Seigneur des anneaux - Page 4

Premier opus d'une trilogie où on en prend plein les yeux, justifiant de voir ça en grand-grand écran.

C'est genial!
Ca se rapproche mieux du roman que le film ''la communauté de l'anneau''

Une claque visuelle serait un l'expression approriée pour ce chef-d'œuvre de l'animation. Grand précurseur de la trilogie de Peter Jackson, ce film déjà bluffant au niveau visuel nous impressione par les performances des acteurs, et non des doubleurs, car ce film utilse la technique de la rotoscopie. Tolkien serait sûremment très fier d'une si bonne adaptation car on voit que les producteurs y ont mis les moyens ! Mention spéciale au personnage de Sam qui restera marquant pour les spectateurs ! Pour tout bon fan d'heroic fantasy avec une bonne dose de champi...

Trés bon dessin animé qui est court et trés bien.
J'ai passée un bon moment.
Les dessins sont trés bien.

Au-delà de la technique douteuse (ce film a quand même plus de 30 ans), ce qui m'a choqué dans cette adaptation est que toutes les scènes paraissent bâclées au dernier degré. C'est à se demander comment une personne qui n'aurait ni lu les livres, ni vu la trilogie de Jackson pourrait arriver à suivre l'intrigue et cerner les personnages (qui manquent cruellement de profondeur). Mon seul plaisir a été d'entendre la voix de Bernard Dheran dans le rôle d'Aragorn. Déçu !

L'histoire est fidele mais tronque trop le texte original, le dessin est difficilement appréciable et les voix insupportables. Dommage...

bonne nuit c'est se que j'ai dit a mon père quand il me l'a montrer on s'endore bon pour l'époque c'est bien mais maintenant... c'est nul! ne le regarder pas.

J'avais essayé de regarder ce film d'animation (qui est bien plus que de l'animation) à la fin des années '80, bien avant de voir l'oeuvre de Peter Jackson qui, elle-même, me donna envie de lire le roman original et, par la suite, l'oeuvre intégrale de ce conteur exceptionnel qu'était Tolkien. J'avais vite laissé tomber, tant l'immersion dans un univers tellement dense se fait sans aucune introduction, à la différence et des films de Jackson et des livres de Tolkien.

Venant de terminer le film consacré à la jeunesse du romancier (sobrement intitulé "Tolkien", Dome Karukoski, 2019), je me suis souvenu que j'avais encore le long métrage de Ralph Bakshi dans mes archives et je me suis dit : "pourquoi pas ?".

Bien m'en a pris. Si l'histoire est survolée rapidement et présentée, au début, comme un conte pour enfant, sans la noirceur de la trilogie jacksonnienne ni l'élévation héroïque des romans, il faut reconnaître que les procédés graphiques utilisés, mélange de théâtre d'ombres à la Michel Ocelot, de rotoscopie (ancêtre de la capture de mouvements), de postérisation, de surimpression, de dessin animé classique, donnent une profondeur à l'ensemble, rendant ainsi hommage à l'oeuvre de Tolkien, elle-même patchwork de notes explicatives, de longs moments descriptifs bucoliques, de chansons, de poèmes, de légendes et, bien sûr, de passages d'action.

Hélas, ce film, techniquement complexe, est ancré dans son époque, les années '70 où la saturation des couleurs et les expériences graphiques furent vite démodées (qu'on se rappelle les BD criardes qui eurent cours jusqu'au milieu des années '80). Il convient dont de regarder cette oeuvre comme un document, avec un oeil curieux des techniques de l'époque.

Au niveau du scénario, on notera que pas mal de scènes du livre sont absentes, ce qui en rend le suivi plutôt brutal. On peut d'ailleurs s'interroger sur l'influence que cette oeuvre a eu sur celle de Jackson (scène des lits éventrés absente du livre et passage de Tom Bombadil purement et simplement escamoté dans les deux), également au niveau visuel.

Ce Seigneur des Anneaux est donc une oeuvre complexe et dichotomique : certaines animations sont de réelles prouesses (les chevauchées et les mouvements) et d'autres sont très mal foutues (les scènes de bataille), les personnages des hobbits sont enfantins à un point agaçant et les nazguls réellement terrifiants, certains décors sont à couper le souffle et d'autres bâclés, l'esprit du livre est globalement respecté mais avec beaucoup de coupures et, surtout, aucune suite à ce premier film spoiler: (qui se termine à la victoire du Gouffre de Helm)
.

Oeuvre à conseiller aux connaisseurs et aux cinéphiles.

Magique ce films, une trilogie digne d'être sur le grand écran.

PArfait. Emouvant. Fantastique. J'en suis sans voix ...

Cette adaptation du livre de Tolkien met en perspective la version de Peter Jackson. Autant ce dessin animé a le mérite d'avoir posé les bases d'un livre désormais mythique, autant le film de Jackson livre une version ultime du roman. Concernant ce film d'animation, la transcription du Seigneur des Anneaux donne sa pleine mesure dans sa première moitié. Ainsi, l'ouverture du film en ombres chinoises sur fond rouge, présentant les enjeux et la dangerosité de l'anneau, donne une ampleur réellement dramatique à l'histoire. La première apparition des cavaliers de l'ombre apporte une certaine angoisse. Le hic apparaît lors de la réunion de l'ensemble des protagonistes où les mensurations de chacun des personnages ne sont pas respectées (le nain et Boromir pourraient être de la même famille, non ? et Sylvebarbe, du haut de son mètre 80, fait vraiment pitié !) tandis que les raccourcis pris par le film ne parviennent pas à convaincre. Ce qui devait s'apparenter à des moments exaltants et héroïques s'avère rapidement décevants et montre la limite de la technique du rotoscope. Les combats manquent cruellement d'ampleur, le bulrog prend le costume d'un lion ailé possèdant le charisme d'une moule (pour dire à quel point il peut être impressionnant !) et Smeagol n'est pas aussi intense et schizophrène qu'il le mérite.
Si on ne peut que constater l'envie de la part du réalisateur de "Fritz the Cat" de donner une représentation correcte et, somme toute, digérable par les enfants de l'oeuvre de Tolkien, on pourra cependant aussi arguer que le réalisateur de "Bad Taste" s'en soit inspiré pour la mise en oeuvre de quelques scènes. Il est alors fascinant de comparer l'animation de Ralph Bakshi et la trilogie ultime de Peter Jackson et étonnant de réaliser dans quelle mesure le deuxième a pu se nourrir de l'imagerie du premier tout en l'améliorant.
Soyons redevable à Bakchi d'avoir été le premier à imaginer le roman de Tolkien sur grand écran et d'avoir su faire rêver (un peu !) les inconditionnels de la Terre du Milieu !

nul et trop long

C'est mou, c'est lent, c'est ennuyeux. Une majorité de personnes trouve ce film extraordinaire, ce n'est pas mon cas.

cette épisode annonce évidement une trilogie extraordinaire ;)

Vraiment, les fans du seigneur des anneaux (comme moi), regardez la trilogie de peter jackson, vous serez emmerveillés.